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  • La face cachée de la loi de 1905

    La pensée dominante fait aujourd’hui une lecture anachronique de la séparation de l’Eglise et de l’Etat. En son temps, la loi de 1905, rupture unilatérale du Concordat de 1801, ne fut jamais négociée avec la hiérarchie catholique. Solennellement condamnée par le pape Pie X, la loi de Séparation parachevait vingt-cinq années de mesures laïcistes imposées à la France par des gouvernements anticléricaux.

    « La République française s’est construite autour de la laïcité » , affirmait, en 2003, la première phrase du rapport Stasi : il serait plus juste de dire que la République française s’est construite autour de l’anticléricalisme. Un tel aveu, cependant, ne peut être attendu d’instances officielles qui ont tout intérêt à masquer que, pour les hommes qui prirent le pouvoir à la fin des années 1870, la laïcité était une philosophie de combat contre le catholicisme.

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  • Repentance pour le colonialisme ?

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    Repentance pour le colonialisme ? 1 1.jpegLorsque Macron évoque le « crime contre l'humanité » qu'aurait constitué la colonisation française en Algérie et demande pardon pour cela, son discours s'inscrit dans une réflexion idéologique de fond, véhiculée depuis quelques décennies par les marxistes culturels : la repentance pour le colonialisme et ses « crimes ».

    Marquée par une sorte de ballet de flux et de reflux historiques, la guerre des races moderne entre les Blancs et les non-Blancs à l'échelle mondiale a connu deux rounds successifs, tout d'abord la colonisation et européenne outre-mer (expansion blanche), puis la décolonisation sur les sols asiatique et africain (reflux blanc). Nous sommes en train de vivre actuellement le troisième round de cette guerre des races moderne la guerre raciale sur le sol européen même, entre indigènes blancs repliés sur leur terre sacrée européenne d'un côté, collabos immigrationnistes de tout poil (lobbies gauchistes, capitalistes négriers, féministes xénophiles, sionistes anti-européens) et populations de couleur utilisées comme colons au service de la classe dominante mondialiste (un vrai schéma colonial, comme dans une colonie de peuplement en Afrique jadis, Algérie ou Rhodésie, mais à l'envers) de l'autre.

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  • Heureux comme un squatteur en France

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    Nous vivons une époque vraiment formidable. Tantôt des ministres, les yeux grand fermés, débattent du sexe des anges par cameras interposées à propos d’une bataille sémantique liée à la hausse vertigineuse des crimes et délits qui « participe du sentiment d’insécurité » ; tantôt tout ce qui compte de bien-pensance défend, dans la même journée, tous les Charlie de la presse mais refuse à un hebdomadaire « qui pense mal » le droit de caricaturer une députée de la nation qui traite la France comme un paillasson.

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  • Ô rage! Obono! Pourquoi TRUMP va gagner! & autres considérations

  • Face au chantage aux « valeurs de la république », pourquoi pas la sécession ?

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     Julien Dir, chroniqueur et polémiste officiant régulièrement sur Breizh-Info, est l’invité pour 8 semaines du quotidien Présent. Il débutait sa mission mardi dernier, par une tribune évoquant le « séparatisme » et le récent sondage sur l’adhésion aux « valeurs de la République » publié en marge de l’affaire Charlie Hebdo. Le ton ne change pas par rapport à ce qu’il écrit sur Breizh-info. Piquant.
    Polémia

    Un récent sondage IFOP pour Charlie Hebdo montre qu’une fracture, de plus en plus large, se creuse entre Français et musulmans de France.

    Ainsi, peur sur la ville, une partie de ces derniers ne « serait pas Charlie », tout comme ils ne partageraient pas « les valeurs de la République », tandis qu’une petite minorité confesse carrément comprendre les islamistes qui ont massacré la rédaction de Charlie Hebdo.

    D’un côté, il y aurait donc « les bons Français républicains », de l’autre « les méchants islamistes ». Les choses sont-elles aussi simples ? Est-on obligé vraiment de choisir entre la République et l’islamisme ? Sûrement pas.

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  • Le Parti de la France a réuni samedi son Bureau politique à Paris

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    Communiqué du Parti de la France :

    Le Bureau politique du Parti de la France s'est réuni ce samedi 12 septembre à Paris.


    Le Président du PdF, Thomas Joly est tout d'abord revenu sur les raisons qui nous ont obligé à reporter notre meeting qui aurait dû se tenir ce même jour. L'hystérie sanitaire et les mesures de distanciations obligatoires imposées par un gouvernement en marche vers le totalitarisme en portent la responsabilité pleine et entière. Ce n'est que partie remise: dès que possible cette réunion publique aura lieu, dans la même salle et avec les orateurs initialement prévus.

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  • Paris : Pierre Aidenbaum, un adjoint d’Anne Hidalgo, démissionne après des accusations de harcèlement sexuel

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    Pierre Aidenbaum, ancien maire socialiste du 3e arrondissement de Paris et adjoint chargé de la Seine à la mairie de la capitale, a démissionné de ses fonctions après des accusations de harcèlement sexuel, a indiqué la mairie, lundi 14 septembre.

    France Info

    https://www.tvlibertes.com/actus/paris-pierre-aidenbaum-un-adjoint-danne-hidalgo-demissionne-apres-des-accusations-de-harcelement-sexuel

  • La France face aux périls géopolitiques.

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    La Covid 19 écrase tout dans l’actualité et je ne suis pas certain que cela soit une bonne chose : non que la maladie soit insignifiante ni ses effets fortement indésirables, mais la Terre continue de tourner et la vie de se poursuivre, avec ses bonheurs et ses malheurs, et les grands enjeux de notre humanité, qu’ils soient géopolitiques, économiques ou sociaux, et environnementaux, entre autres, ne doivent pas être négligés, au risque de réveils plus douloureux encore que l’actuelle pandémie. Soyons bien certains que les régimes dictatoriaux ou autoritaires, eux, profitent de l’aubaine, mais aussi nos propres États démocratiques en interne, confirmant les intuitions argumentées de Bertrand de Jouvenel dans « Du Pouvoir » : quand les opinions publiques s’inquiètent de leur propre santé, les États chinois et turcs (liste sans exhaustivité…) avancent leurs pions, qui en Mer de Chine, qui en Méditerranée, et le silence des Démocraties fait parfois penser à un « Munich » réactualisé. Et pourtant ! Sans être un adepte de la démocratie libérale dont les faiblesses comme les crispations m’inquiètent, l’histoire nous instruisant terriblement sur ces défauts qui peuvent être, parfois, mortels pour les pays, les populations et les libertés réelles, il me paraît hautement préférable de défendre notre démocratie française, non parce qu’elle serait démocratique mais parce qu’elle est, en ce temps, l’incarnation institutionnelle et politique de la France, et que c’est la France dans son essence, rapportée par son nom même qui signifie « Liberté » (1), qu’il s’agit de préserver envers et contre tout. C’est sans doute l’écrivain royaliste Georges Bernanos qui a le mieux expliqué cette position qui est mienne, en particulier lors de la Seconde guerre mondiale durant laquelle il fut, du Brésil, la plume de l’espérance et de la liberté françaises sans jamais céder aux sirènes de l’idéologie démocratique ni aux honneurs qu’elle semblait promettre à ses thuriféraires. (2)

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  • Nadine Morano : « Ici, c’est la France. S’ils veulent vivre différemment, ils pouvaient aller se marier en Turquie »

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    Samedi dernier, en plein centre de Toul (Meurthe-et-Moselle), les participants d’un mariage ont bloqué la circulation pendant une vingtaine de minutes. Drapeaux turcs, grosses cylindrées, tir de feux d’artifice… Nadine Morano, présente sur les lieux, intervient alors pour demander à ces gens de respecter la loi. Elle raconte la scène au micro de Boulevard Voltaire.

    À Toul, un mariage a dégénéré. Les membres de la fête ont investi la place et tiré des feux d’artifice, alors que c’était interdit. Pourquoi être intervenue en personne ?

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