Les experts es Sciences politiques s'exercent à construire rhétorique-ment un monstre, contre lequel ils appellent à la haine, en le nommant « populisme » ou même, comme Ilvo Diamant! et Marc Lazar, « peuplecratie », c'est-à-dire, dans leur langue italienne d'origine, ce mixte inélégant de latin et de grec : « popolocratia ». Pouvoir du peuple ? Peuple au pouvoir ? Dictature du référendum ? Exaltation autoritaire d'une identité fantasmée ? "Nous" contre "les autres" ? Le populisme vu par les experts, c'est un peu tout cela une horreur. Un anti-modèle que l'on peut stigmatiser tranquillement sans jamais être injuste. Une figurine spécialement fabriquée pour aimanter toutes les fléchettes, pour mériter toutes les critiques. Viviane Forester parlait de « l’horreur économique ». Le populisme aujourd'hui serait, sans qu'il y ait besoin de plus ample examen, « l'horreur politique ». Comment expliquer cette inflation médiatique des qualificatifs négatifs au sujet d'une réalité politique que personne (et pas même les spécialistes) ne se donnent la peine dé définir : « C’est l’un des mots les plus confus de la science politique, un terme exceptionnellement vague » note par exemple la professeure de théorie politique Margaret Canovan. Nous comprenons très bien pourquoi ce vague et ce flou : parce que le populiste, c'est l'autre, celui qui n'est pas en accord avec le système quoi qu'il pense... Celui donc que les tenants du système ne peuvent que détester, sans même éprouver le besoin de savoir ce qu'il pense.
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COVID 19 : en finir avec l’hystérie pour agir avec bon sens et efficacité
Communiqué d’Olivier Pirra, Membre du bureau politique du PCD, Délégué départemental PCD69 :
A l’approche de la rentrée, nos responsables politiques s’activent pour contrôler la potentielle seconde vague du COVID 19 : conférences de presse du gouvernement, menaces d’un possible reconfinement et même port du masque obligatoire à Lyon et Villeurbanne à compter de ce jour…
Il ne s’agit pas de nier l’existence du COVID ni de remettre en cause les précautions sanitaires élémentaires visant à limiter la propagation du virus. Ces précautions sont suivies avec bon sens à chaque épidémie, car il faut le rappeler, le COVID n’est ni la première ni la dernière épidémie, la grippe saisonnière à titre d’exemple faisant chaque année en France plusieurs milliers de morts. Mais les mesures imposées, toujours plus contraignantes, sont-elles proportionnées au risque sanitaire existant à ce jour ?
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Augustin et les hyènes, par Etienne Defay
Nos lecteurs n’auront pas oublié Augustin. Ce jeune homme de 17 ans qui s’est fait lyncher tandis qu’il protégeait des jeunes filles d’une poignée de racailles. On sait désormais qu’il ne faut surtout pas intervenir dans une bagarre ! Après cette agression, des messages ont fleuri sur les réseaux sociaux réclamant certes justice pour l’adolescent mais aussi des voix aigres, dissonantes, malhonnêtes, des hurlements de chacal en somme qui remettent en question la version du jeune homme en se basant notamment sur un témoignage anonyme présenté comme celui d’une des filles. Ces dernières se sont carrément moquées du jeune homme en racontant partout que les racailles qui les importunaient étaient en réalité des connaissances et qu’Augustin s’était mêlé de ce qui ne le regardait pas.
Sautant sur l’occasion, l’inénarrable Huffington Post s’est empressé de dénoncer une agression « qui fait bondir la droite et l’extrême droite ». Manœuvre rhétorique classique qui voudrait faire croire que si vous vous choquez de cette agression, vous êtes nécessairement un dangereux nazi.
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Italie. Lampedusa n’en peut plus de l’immigration… et le fait savoir
BI – Lampedusa, île symbole de la pression migratoire extra-européenne sur notre Vieux Continent, n’en peut plus. Avec l’arrivée de 367 nouveaux migrants dans la nuit du samedi 29 au dimanche 30 août, c’est à une situation de saturation sans précédent qu’est désormais confronté le rocher italien coincé entre la Sicile et la Tunisie.
À tel point que le maire de Lampedusa, Toto Martello, a appelé, à travers un communiqué, à la tenue d’une « grève générale » sur l’île pour faire enfin réagir le gouvernement italien.
(…) Lire la suite sur Breizh Info
https://www.tvlibertes.com/actus/italie-lampedusa-nen-peut-plus-de-limmigration-et-le-fait-savoir
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Le coup de gueule d'Isaac sur Sud Radio : "Un immigré, il suffit qu'il pleure pour qu'il ait tout!".
Extrait tiré de l'émission "Bercoff dans tous ses états", diffusée sur Sud Radio le 31 Août 2020.
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Porte ouverte à l’inflation puis à l’hyperinflation
Marc Rousset
Jerome Powell, président de la Fed, vient de tracer, à Jackson Hole (Wyoming), les grands axes du nouveau cadre de la politique monétaire. La Fed entend placer l’emploi avant l’inflation. La Fed visera un taux moyen de 2 % sur la durée et compensera les périodes de faible inflation par une inflation de plus de 2 % durant un certain temps. La banque centrale américaine entend, ainsi, ramener les USA au plein-emploi et favoriser la remontée de l’inflation. La nouvelle stratégie monétaire de la Fed devrait donc la conduire à conserver des taux nominatifs très bas et des taux réels négatifs.
Alors que Paul Volcker, à la tête de la Fed entre 1979 et 1987, releva d’une façon très forte le taux directeur américain pour dompter l’inflation, Jerome Powell cherche à la stimuler. Volcker provoqua une récession mais parvint à éteindre l’inflation avant de provoquer une forte reprise économique, tandis que Powell pourrait bien déclencher, à terme, une hyperinflation incontrôlable. Le chômage américain est actuellement à 10,2 %. Il est en baisse par rapport aux 14,7 % d’avril dernier, mais il reste bien supérieur aux 3,5 % de février. La semaine dernière, le nombre de demandes d’allocation chômage était toujours d’un million.
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Qu'est-ce que le fascisme ? (avec Scipion de Salm)
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« Devises, l’irrésistible émergence de la monnaie » de Jean-Baptiste Bersac
Comment en finir avec l’austérité ? Pourquoi les États (hors euro) paient-ils sur leur dettes publiques des intérêts si faibles, si stables, et empruntent apparemment à volonté, tandis que les prêts bancaires aux particuliers n’ont jamais été aussi difficiles ? Pourquoi n’y a-t-il pas d’inflation inhabituelle alors que les banques centrales n’ont jamais injecté autant d’argent ? Comment en sommes-nous arrivés à être aussi mystifiés ?
Tous ceux qui veulent en finir avec l’austérité, se doivent de pouvoir répondre à toutes ces questions et à quelques autres. Devises, l’irrésistible émergence de la monnaie le fait. Il s’agit d’une argumentation très complète comportant :
Dans une première partie, la démonstration de l’absurdité (de l’objectif) des déficits zéro, la réalité de la création monétaire, le vrai rôle du crédit (avec ses limites), etc. jusqu’à ce que le financement de nos économies n’ait plus de mystère pour le lecteur.
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Assemblée nationale : LREM perd sa majorité absolue
Plus de trois ans après avoir raflé plus de 300 sièges à l’Assemblée Nationale, La République En Marche enregistre un 35ème départ parmi ses députés.
Élue dans l’Yonne, Michèle Crouzet quitte le groupe En Marche et rejoint le MoDem, dénonçant “le fonctionnement du mouvement LREM”.
Le groupe LREM ne dispose plus d’une majorité absolue et doit désormais s’appuyer sur les jeux d’alliance à l’Assemblée nationale.
https://www.lesalonbeige.fr/assemblee-nationale-lrem-perd-sa-majorite-absolue/
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L'Ombre de Staline sur Hidalgo city
De retour dans cette malheureuse Capitale de la Macronie, siège social de la république jacobine, votre chroniqueur a retrouvé, outre l'usage de sa plume, tous les embarras de Paris. Crasse, mendicité, racailles, cela ne s'était pas arrangé en 6 ans de folles décisions, et de folles dépenses, de la Mégère Hidalgo.
À l'aube de son nouveau mandat, cela s'est encore aggravé, en quelques semaines. Habile politicienne, elle a su faire l'unité de son camp retranché. Et face à pas mal de branquignols et autres bras cassés, la rouée ne nous a pas seulement rappelé que le plus mauvais des professionnels se révèle en général supérieur au meilleur des amateurs. Elle a su également s'inscrire dans un contexte de ville musée, de bobos subventionnaires et attributaires. Et tout ceci risque fort d'accélérer le déclin du centre nerveux qui persiste, impavide, à diriger le pays.
En revanche, ces désagréments en eux-mêmes permettent, dans un tel marigot grouillant, dans la quantité de son offre culturelle, outre quelques bribes de souvenirs nostalgiques au coin de certaines vieilles rues, certaines informations importantes qui passent inaperçues ailleurs.