La semaine écoulée aura été marquée, pour la France, par la plus grande urgence qui pèse sur le pays. Il ne s'agit pas en effet de la pseudo-guerre annoncée en mars contre le virus. Nous nous trouvons bel et bien en présence d'une véritable agression armée. Elle se confirme désormais comme permanente. Mais nous ne pouvons l'identifier que comme celle que nous mène l'islamisme radical.
On doit constater hélas, que 5 ans après les attentats de 2015, le quotidien officieux Le Monde pouvait encore souligner, ce 16 octobre :"face au Terrorisme, l’urgence d’un large débat en France". On nous dit : "urgence ". Mais depuis combien de temps le répète-t-on ?

« Les grandes erreurs de la seconde guerre mondiale » aborde les années 1939-1945 sous un angle inattendu: celui des grandes erreurs politiques, diplomatiques et militaires qui ont marqué l’histoire de ce conflit. Le résultat est fascinant. L’ouvrage, réalisé par 12 auteurs sous la direction de deux spécialistes de cette époque, Jean Lopez et Olivier Wieviorka nous fait redécouvrir l’apocalypse à travers les fautes majeures, commises dans un camp ou dans l’autre.

On accuse ici et là la gauche ou le marxisme culturel. Mais ceux qui nous ont mis là sont bien les libéraux. Ce sont eux qui veulent la guerre à mort contre la Russie, le super-Etat européen, les migrants à tout prix, la culture pour personne et la rééducation des citoyens. Le problème de la gauche est qu’elle est devenue 100% libérale, que plus rien ne la distingue des libéraux et de leurs calembredaines. Le terrifiant ministre teuton Schauble l’a rappelé qu’il fallait protéger l’héritage libéral européen, qui rime avec le nihilisme européen de Nietzsche.
