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HENRI IV, UN MYTHE FRANÇAIS
La France célèbre le quatrième centenaire de la mort d’Henri IV. Chef de guerre mais aussi restaurateur de la paix civile, roi très chrétien mais aussi grand coureur de femmes, prince du sang mais aussi campagnard dans l’âme, ce souverain possédait mille facettes. S’il reste le plus populaire de nos rois, c’est que les Français se reconnaissent en lui.
Le 14 mai 1610, Henri IV mourait sous le poignard de Ravaillac. Quatre cents ans plus tard, on aurait dû invoquer sa mémoire en organisant un débat sur l’identité nationale : quoi de plus français que celui que naguère, dans les écoles de la République, les manuels surnommaient le Bon Roi ?
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De quelle civilisation parle-t-on ?, par Olivier Perceval.
La logorrhée médiatique sur la montée irrémédiable de la pandémie est ponctuée par les actes de violences qui se succèdent de loin en loin, contre la police, les pompiers, les églises (peu de ces dernières cependant) et par des meurtres crapuleux comme celui de Victorine, ou « religieux » comme la dernière et spectaculaire décapitation d’un professeur d’histoire à Conflans Sainte Honorine qui nous offre la possibilité de parler d’autre chose que du Coronavirus, triste alternative !
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Syndicats d'enseignants : il faut rendre l'école à la nation (texte de 2010)
« L’Éducation nationale est un système cogéré par un pouvoir transitoire, celui du gouvernement, et un pouvoir permanent, celui des gros syndicats. », écrivait en février 2010 le journaliste François d'Orcival dans Valeurs actuelles. Ce n'est plus un secret pour personne, le service public de l’Éducation nationale est devenu un monstre ingérable, un « mammouth » à dégraisser de toute urgence. Mais pour atteindre cet objectif, encore faudrait-il parvenir à libérer l’école de l'emprise et de l'influence des syndicats.
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Christine Kelly révèle que des entreprises ont été averties d’un reconfinement pour le 26 octobre
Un tweet de Christine Kelly, journaliste de la chaine “Cnews”, vient renforcer l’idée que le gouvernement nous ment et a déjà prévu un reconfinement à la fin du mois d’octobre.
Le couvre-feu décrété depuis le 17 octobre 2020 par Emmanuel Macron ne serait qu’une étape avant de nous faire subir un nouveau reconfinement déjà planifié. La journaliste de l’émission Face à l’info sur Cnews révèle que plusieurs grandes entreprises ont reçu des mails les avertissant d’un second reconfinement au 26 octobre prochain.
Sur Twitter, Christine Kelly a écrit le 17 octobre 2020 : “Pourquoi, afin de se préparer, des mails internes des grandes entreprises annoncent un confinement au 26 octobre ? Préparation ? Le couvre feu n’est il qu’un prélude…?“
Quelques heures plus tard, elle a reposté plusieurs tweets de salariés ayant reçu les mêmes informations à l’exemple d’une personne qui écrit : “J’ai aussi reçu cette information ! #Reconfinement prévu fin octobre“.
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Politique-Eco avec Jean-Louis Butré – Vent de colère contre les éoliennes
Dévastation de nos paysages, modèle économique contestable, recyclage hasardeux… les éoliennes se multiplient mais n’ont pas le vent dans le dos. C’est en tout cas l’avis de Jean-Louis Butré, président de la Fédération environnement durable qui regroupe plus de 1 500 associations pour défendre les Français face à l’envahissement de cette industrie et ses lobbys. Car ce à quoi l’on assiste depuis les années 2000 n’est qu’un début. En effet, plus de 6 500 éoliennes tournent actuellement sur le territoire national et d’ici 3 ans, les pouvoirs publics comptent en installer 45% de plus… L’invité de « Politique & Eco » est décidé à se battre !
https://www.tvlibertes.com/politique-eco-avec-jean-louis-butre-vent-de-colere-contre-les-eoliennes
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Face à l’islam déchaîné, se réveiller ou mourir, par Ivan Rioufol
Se réveiller ou mourir. Cette fois, la France est arrivée au bout de son somnambulisme. La décapitation au couteau d’un professeur d’histoire-géographie, vendredi dans une rue d’Eragny (Val d’Oise) par un jeune réfugié tchétchène, est le résultat de trente ans de lâchetés collectives face à l’islam radical. L’aveuglement des sermonnaires a conduit à la mise en application de la charia (loi islamique) dans toute son horreur. C’est le Coran pris à la lettre qui permet, en effet, de couper la tête du blasphémateur, mais aussi d’égorger le Juif, le Chrétien, le mécréant. Samuel Paty, enseignant au collège du Bois d’Aulne, à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), avait donné à étudier des caricatures de Mahomet, dans le cadre d’un cours sur la liberté d’expression.
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Du robinet d'eau tiède à la dissolution du régime.
Détail de l'histoire sanglante de la guerre de conquête islamiste menée depuis treize siècles contre l'Occident, l'Europe et la chrétienté, la décapitation de Samuel Paty a permis la réouverture depuis quatre jour du robinet d'eau tiède de la sensiblerie populaire, du laïcisme militant et de la forfanterie gouvernementale.Sensiblerie populaire avec ses rassemblements pleurnichards, ses litanies profanes, ses bouquets floraux, ses bougies et ses peluches. -
5,7 millions d’euros pour une association qui a milité pour la libération d’Oussama Atar, superviseur des attaques du 13 novembre 2015
Nouveau scandale, qui implique notamment Amnesty International, avec un évènement de streaming, #Zevent2020, salué par Emmanuel Macron… :
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Algérie - Le massacre de la rue d'Isly inaugure les accords d’Évian
Qui se souvient du massacre de la rue d'Isly, le 26 mars 1962 à Alger ? Une semaine après les accords d’Évian, censés signifier l'arrêt des combats en Algérie, le bain de sang commençait.
« Ils s'avançaient drapeaux en tête. C'était quelques instants avant la fusillade. 14h50, rue d'Isly : les manifestants en cortège sont fauchés par des rafales de FM. ». Tel était le titre qui s'étalait dans France-Soir au lendemain de la fusillade du 26 mars 1962 à Alger, huit jours à peine après la signature des accords d’Évian qui faisaient don de l'Algérie au Front de Libération Nationale (FLN). Le 19 mars 1962, date d'une défaite diplomatique et politique, est cependant commémorée comme le serait une victoire, devant l’Arc de triomphe, par la FNACA, fédération communiste d'anciens combattants. Dans de nombreuses communes de France, on trouve aussi des rues du 19 mars 1962. Un peu comme si l’on donnait pour nom à des rues les dates du 28 janvier 1871 et du 22 juin 1940, sous prétexte de commémorer les armistices qui mirent fin aux combats après les défaites françaises contre l'Allemagne. Par ailleurs, les accords du 19 mars marquent, comme l'écrit Jean Sévillia dans Historiquement correct, « le début d'une autre tragédie », qui est « longtemps restée enfouie dans la mémoire nationale, comme un secret honteux. »