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  • L'islamisme ne passera pas

    6a00d8341c715453ef026be41b91f1200d-320wiLa semaine écoulée aura été marquée, pour la France, par la plus grande urgence qui pèse sur le pays. Il ne s'agit pas en effet de la pseudo-guerre annoncée en mars contre le virus. Nous nous trouvons bel et bien en présence d'une véritable agression armée. Elle se confirme désormais comme permanente. Mais nous ne pouvons l'identifier que comme celle que nous mène l'islamisme radical.

    On doit constater hélas, que 5 ans après les attentats de 2015, le quotidien officieux Le Monde pouvait encore souligner, ce 16 octobre  :"face au Terrorisme, l’urgence d’un large débat en France". On nous dit : "urgence ". Mais depuis combien de temps le répète-t-on ?

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  • Le nouveau Conservateur, la nouvelle revue de Paul-Marie Coûteaux

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    N° 1 AUTOMNE 2020 - 15€

    Revue trimestrielle actuellement en librairie

  • Lecture : Les grandes erreurs de la seconde guerre mondiale, sous la direction de Jean Lopez et Olivier Wieviorka, Perrin, octobre 2020.

    41ibnpnzsql._sx331_bo1204203200_.jpg?w=200&h=300« Les grandes erreurs de la seconde guerre mondiale » aborde les années 1939-1945 sous un angle inattendu: celui des grandes erreurs politiques, diplomatiques et militaires qui ont marqué l’histoire de ce conflit. Le résultat est fascinant. L’ouvrage, réalisé par 12 auteurs sous la direction de deux spécialistes de cette époque, Jean Lopez et Olivier Wieviorka nous fait redécouvrir l’apocalypse à travers les fautes majeures, commises dans un camp ou dans l’autre.

    L’ouvrage débute par un rappel des reculades des démocraties face à la montée de l’Allemagne nationale-socialiste à partir de 1934: réarmement de la Rhénanie en mars 1936, l’Anschluss et Munich en 1938 . « L’apaisement, une erreur » Que d’occasions ratées d’interrompre la course folle de la planète vers la grande déflagration. La politique d’accommodation avec les nazis, dans les années 1930, fut l’une des pires erreurs de jugement de la classe dirigeante de l’histoire du XXe siècle,, en tout cas celle aux conséquences les plus désastreuses.

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  • Trump, faute de mieux

    L’élection présidentielle américaine se rapproche à grands pas. À titre personnel, souhaitez-vous la réélection de Donald Trump ? Un second mandat de ce président vous réjouirait-il, ne serait-ce que pour voir la tête de ses opposants, américains comme européens ?

    Alain de Benoit : Je souhaite sa réélection, mais à défaut ou faute de mieux. Comme vous le savez, le personnage n’a pas grand-chose pour me plaire. Ce n’est pas tant ce qu’on lui reproche habituellement (son style, sa brutalité, sa vulgarité) qui me choque, car je pense que c’est au contraire ce qui lui vaut d’être apprécié de bon nombre d’Américains, ce qu’on s’entête à ne pas comprendre de ce côté-ci de l’Atlantique. C’est plutôt que son projet me paraît nébuleux, que sa politique étrangère est à mon avis exécrable, et que l’homme ne convient pas pour diriger ce qui demeure quand même (provisoirement au moins) la première puissance mondiale. Il n’y a, au fond, que trois véritables chefs d’État dans le monde d’aujourd’hui : Vladimir Poutine, héritier de l’ancien Empire russe, Xi Jinping, héritier de l’ancien Empire chinois, et Recep Tayyip Erdoğan, qui cherche à recréer l’ancien Empire ottoman. Donald Trump a sans doute des qualités, mais il n’a pas la dimension d’un homme d’État.

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  • Didier Raoult EXCLUSIF Fin de l’épidémie observée avec les nouvelles mutations #covid.

    Les dernières analyses du professeur Raoult montrent que la sévérité de l'infection diminue de manière très significative.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/10/19/didier-raoult-exclusif-fin-de-l-epidemie-observee-avec-les-n-6270842.html

  • Léon Daudet et l’irrésistible ascension de la bêtise libérale

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    par Nicolas Bonnal

    Nous sommes dirigés par des élites libérales. Elles coulent le pays depuis la fin du gaullisme. Interrogé par la télé russe sur les élections françaises, j’avais dit que rien ne changeait dans le fond depuis 1830, soit depuis la monarchie de Juillet flanquée en son temps de sa presse anglo-libérale et de sa banque Rothschild. Je l’avais dit sans ressentiment aucun : théorie de la constatation.

    58478503.jpgOn accuse ici et là la gauche ou le marxisme culturel. Mais ceux qui nous ont mis là sont bien les libéraux. Ce sont eux qui veulent la guerre à mort contre la Russie, le super-Etat européen, les migrants à tout prix, la culture pour personne et la rééducation des citoyens. Le problème de la gauche est qu’elle est devenue 100% libérale, que plus rien ne la distingue des libéraux et de leurs calembredaines. Le terrifiant ministre teuton Schauble l’a rappelé qu’il fallait protéger l’héritage libéral européen, qui rime avec le nihilisme européen de Nietzsche.

    Pour bien comprendre ce qu’est un libéral je propose un auteur réactionnaire (au sens littéral : qui invite à réagir), le royaliste Léon Daudet, fils du maître du conte et disciple de la vieille école française, celle qui avait du style et du coup de gueule.

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  • Le gouvernement hongrois déclare que la décapitation de Samuel Paty est liée à une immigration massive et incontrôlée en France

    L’acte terroriste qui a eu lieu près de Paris est lié à une immigration massive et incontrôlée, a déclaré György Bakondi, conseiller principal du Premier ministre Viktor Orban pour la Sécurité intérieure, sur la chaîne d’actualités M1.

    György Bakondi a déclaré qu’il y avait une grande menace terroriste en France et qu’il y avait eu plusieurs actes de terrorisme ces derniers temps. Le conseiller principal a également souligné qu’en raison de l’épidémie de coronavirus, une situation grave pourrait se développer pendant les périodes d’automne et d’hiver. En l’espèce, la question des frontières est d’une importance capitale.

    Index.hu via Fdesouche

    https://www.tvlibertes.com/actus/le-gouvernement-hongrois-declare-que-la-decapitation-de-samuel-paty-est-liee-a-une-immigration-massive-et-incontrolee-en-france

  • Jean-Marie Le Pen légitimé…

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    Si ça n’est pas un début de guerre civile, que faudra-t-il donc qu’il arrive de plus grave pour qu’enfin, les autorités acceptent de prononcer le mot ?

    J’ai, depuis très longtemps, le privilège de connaître Jean Marie Le Pen. Nous sommes restés amis et nous nous voyons de temps en temps. Durant ces longues années, j’ai partagé, comme nombre de ses amis, les difficultés de son parcours dans l’arène politique française. Nous avons été témoins de sa mise au pilori par les âmes bien-pensantes de la caste politique puisque fabriquées dans les usines du prêt-à-penser, des cris d’orfraie des vierges effarouchées par les discours musclés du Menhir, des journalistes toujours enclins à lui chercher noise plutôt que d’essayer de comprendre son message, de ces directeurs de chaînes de télévision aux ordres de politiciens plus soucieux de défendre leurs prébendes que de venir l’affronter sur les plateaux télé. Mais nous avons aussi partagé sa lucidité devant la montée de l’islam radical et de sa matrice, l’immigration.

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  • Michel Onfray sur CNews : « On voit bien que les gouvernants ne prévoient rien ».


    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/10/19/michel-onfray-sur-cnews-on-voit-bien-que-les-gouvernants-ne-6270848.html

  • Les révélations scandaleuses sur les leaders démocrates peuvent-elles faire basculer le vote au profit de Donald Trump ?

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    Jusqu’ici, on avait l’impression – à lire les « grands » médias – que le président sortant était un concentré de vices et d’incompétence que le « camp du bien » allait aisément balayer. En réalité, à deux semaines du scrutin, l’écart relevé par les sondages, même s’il est élevé et constant (8 à 10 %), n’est pas irrémédiable. D’ailleurs, dans des États cruciaux (swing states), il est souvent plus faible, et le vote des Noirs et des Latinos y fera la différence. Or, si les minorités votent habituellement démocrate, Trump est arrivé à en attirer une proportion non négligeable. D’où son show habile dans les jardins de la Maison-Blanche. Trump, guéri, déborde d’activité pendant que l’équipe Biden est en arrêt Covid-19. Il suffirait que la moitié des électeurs de cette marge (soit 4 %) change de camp pour inverser le résultat. Les scandales que sortent désormais les médias au sujet des démocrates y suffiront-ils ? Ce n’est pas certain, mais n’est plus à exclure.

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