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Oyonnax : des scènes de guérilla en ville en plein confinement
Dans la nuit du vendredi 6 au samedi 7 novembre, des scènes de guérilla urbaine se sont produites en plein cœur d’Oyonnax (Ain), relate La Voix de l’Ain.
« Oyonnax, c’est devenu Bagdad »
Des poubelles et des voitures brûlées, des tirs de mortiers et de pétards ont nécessité l’intervention des pompiers pour éteindre les divers incendies. Les forces de l’ordre ont été violemment prises à partie durant les interventions. La police mais aussi la BAC et même le peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) ont dû être mobilisés pour disperser les agresseurs.
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Réapprendre l'Histoire de France ! (texte de 2011)
Une résistance s'amorce contre les programmes d'histoire de l’Éducation nationale qui enseignent l'histoire du Mali au XIII, siècle, mais font l'impasse sur saint Louis !
« Quand Nicolas Sarkozy parle d'Histoire... » Tel était le titre de la deuxième de couverture du quotidien Le Figaro du 18 septembre dernier. Le journaliste Charles Jaigu y relatait le déjeuner entre neuf historiens et le chef de l'Etat. L’objectif, plus ou moins affiché, est d'« activer des relais d'influence médiatiques » et de « modifier le regard que le Paris intello » et « cultivé » porte sur Nicolas Sarkozy à douze mois de la présidentielle.
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Pas d’amalgame mais complémentarité, par Philippe Germain.
Notre descente aux abîmes de l’Islam moderne nous ayant amené à identifier, d’une part la guerre d’infiltration culturelle de l’Islam des banlieues et de l’autre la guerre armée de l’Islam radical, voici l’Action française exposée à l’accusation « d’amalgame ». Et comme esquiver les attaques n’est pas une habitude maurrassienne, alors montons au créneau sur cette accusation.
D’abord en partant de l’essentiel : Le monde du politiquement correct accuse « d’amalgame », tout ceux qui doutent que l’Islam des banlieues puisse évoluer vers un « Islam des Lumières » progressiste. L’objectif de cette instrumentalisation grossière (on le sait, plus c’est gros et plus cela marche !) est la culpabilisation detous les réfractaires à l’islamophilie. Et nous sommes nombreux !
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Le recours de Donald Trump « Pourrait changer le résultat” de l’élection, selon un avocat spécialisé en droit public (Vidéo)
Plusieurs recours en justice ont été déposés par l’équipe de Donald Trump. Ils ciblent plusieurs Etats-clés, où le scénario d’une invalidation de bulletins de vote pourrait profiter au candidat républicain. « Quels bulletins de vote a-t-on le droit de compter en fonction de la loi de chaque Etat ? C’est cela qui est en jeu », explique à France 24 Olivier Piton, avocat spécialisé en droit public. « Cela pourrait changer complètement le résultat (de l’élection) ».
France24 / Fds
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On parle de liberté d’expression ; moins de liberté scolaire. Mais distinguer ces deux combats n’a aucun sens
D’Axelle Girard sur Educ’France :
Chaque semaine apporte son lot de combats en matière de liberté scolaire, a fortiori dans une période où sont attaquées frontalement l’instruction en famille et les écoles vraiment libres.
On parle de liberté d’expression ; moins de liberté scolaire. Mais distinguer ces deux combats n’a aucun sens. Défendre la liberté d’enseignement, c’est défendre la liberté d’expression. Et vice-versa. D’abord parce toutes les libertés découlent d’une lutte intrinsèquement démocratique, et qu’à ce titre, les libertés se valent au moins sur un plan à la fois historique et politique.
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L'histoire de France sacrifiée sur l'autel du mondialisme
L’École n'enseigne plus l'histoire de leur pays aux jeunes Français. Elle s'occupe de former des citoyens du monde.
Jean-Christophe est à plaindre. Ce professeur d'histoire et géographie en région parisienne aime son métier, est convaincu de l'importance de sa mission et de l'héritage à transmettre aux lycéens qui lui sont confiés. Alors il fait ce qu'il peut, en se battant pied à pied contre l’Éducation nationale, ses programmes ubuesques et ses inspecteurs butés, contre le parti-pris aussi de ne plus enseigner aux jeunes Français l'histoire de leur pays, si passionnante pourtant.
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France et islam : de « Touche pas à mon pote » au choc des civilisations
Par Didier Beauregard, journaliste et essayiste ♦ L’actualité tragique donne raison à tous ceux qui, depuis des décennies, alertent sur les conséquences de la politique de promotion de l’immigration extra-européenne. La période où les militants de gauche faisaient tout pour favoriser cette immigration semble désormais révolue. Sur les plateaux télé, certains responsables politiques de cette mouvance immigrationniste semblent très gênés, au point de réclamer désormais, toute honte bue, de la fermeté. Mais le mal est malheureusement déjà fait.
Polémia« Touche pas à mon pote », ethnomasochisme institutionnel
« Touche pas à mon pote » disait le slogan « antiraciste » des années 80, aux heures triomphantes de la Mitterandie, à l’heure où les Français prenaient conscience de l’enjeu migratoire et des dangers qui l’accompagnaient. Toute cette décennie a été marquée par une lutte inégale entre la réalité que vivait la majorité des Français, celle d’une dépossession identitaire et territoriale, et la représentation que les pouvoirs dominants voulaient leur imposer ; celle d’une France de la diversité heureuse que le racisme primaire d’indigènes obtus empêchait de s’épanouir. L’accusation collective de racisme envers un peuple qui ne demandait rien, est devenue la principale armature idéologique de la vulgate idéologique.
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France et islam : de « Touche pas à mon pote » au choc des civilisations
Par Didier Beauregard, journaliste et essayiste ♦ L’actualité tragique donne raison à tous ceux qui, depuis des décennies, alertent sur les conséquences de la politique de promotion de l’immigration extra-européenne. La période où les militants de gauche faisaient tout pour favoriser cette immigration semble désormais révolue. Sur les plateaux télé, certains responsables politiques de cette mouvance immigrationniste semblent très gênés, au point de réclamer désormais, toute honte bue, de la fermeté. Mais le mal est malheureusement déjà fait.
Polémia« Touche pas à mon pote », ethnomasochisme institutionnel
« Touche pas à mon pote » disait le slogan « antiraciste » des années 80, aux heures triomphantes de la Mitterandie, à l’heure où les Français prenaient conscience de l’enjeu migratoire et des dangers qui l’accompagnaient. Toute cette décennie a été marquée par une lutte inégale entre la réalité que vivait la majorité des Français, celle d’une dépossession identitaire et territoriale, et la représentation que les pouvoirs dominants voulaient leur imposer ; celle d’une France de la diversité heureuse que le racisme primaire d’indigènes obtus empêchait de s’épanouir. L’accusation collective de racisme envers un peuple qui ne demandait rien, est devenue la principale armature idéologique de la vulgate idéologique.
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Jean-Yves Le Drian ne voit pas de lien entre immigration et terrorisme, les faits prouvent le contraire
Le ministre des Affaires étrangères et de l’Europe Jean-Yves Le Drian refuse de voir le lien entre l’immigration extra-européenne et le terrorisme islamiste. Un bref rappel des faits permettrait pourtant de lui ouvrir les yeux.
Emmanuel Macron : une piqûre de réel sous couvert de « pragmatisme »
Lors d’un déplacement à la frontière franco-espagnole le jeudi 5 novembre, le président de la République Emmanuel Macron a annoncé le doublement des forces de sécurité aux frontières et entend mettre en place une refonte « en profondeur » des accords de libre circulation dans l’Union européenne. Un projet qu’il compte défendre au Conseil européen.
(…) lire la suite sur Breizh Info Via TVL
Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, immigration, insécurité, islamisme, lobby 0 commentaire