Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 56

  • Obsolescence, mythe... programmé ? (texte de 2012)

    Au cœur des critiques de la société de consommation de masse, l’obsolescence programmée tient une place de choix. Les industriels s'évertueraient à nous proposer des produits dont la durée de vie est volontairement limitée, pour nous pousser à les renouveler régulièrement. Mythe ou réalité ?

    Expérience vécue une imprimante, servant régulièrement mais modestement, tombe en panne brusquement. Une recherche sur le Web montre rapidement qu'une puce, présente dans la machine, la désactive après un nombre donné d'impressions. C'est ce que l'on appelle l'obsolescence programmée, et elle serait presque aussi vieille que la société industrielle.

    Lire la suite

  • Les fausses alternatives, par Aristide Renou.

    3655806653.62.jpgLe débat public, en France, construit systématiquement de fausses oppositions qui empêchent de considérer, et encore plus d'adopter, une troisième voie, qui est presque systématiquement celle de l'intérêt national et du débat raisonnable.

    C’est l’un des nombreux malheurs individuels qui découlent du malheur de la France que de se trouver de plus en plus souvent contraint d’approuver des choses que l’on désapprouve ; ou tout au moins sommé de les approuver avec une force à laquelle il est difficile de résister.

    Lire la suite

  • La droite française contre le racisme

    La droite française contre le racisme.jpegLe nationalisme français traditionnel, tel qu'il fut notamment théorisé par Charles Maurras, a tout au long du XXe siècle rejeté vigoureusement le racisme. Parce que celui-ci est perçu, dans ce courant ce pensée, comme totalement étranger à ce qui a fait la France.

    « Si le racialisme de Gobineau n’a pas fait école en France », écrit Pierre-André Taguieff, c'est notamment du fait « de l'incompatibilité du nationalisme français, incarné par l'Action française (fondée en juin 1899), avec toute forme de matérialisme biologique. »(1) Charles Maurras (ci-contre), en effet, traitait volontiers le comte de Gobineau, excellent littérateur mais également l'un des pères du racialisme, de « Rousseau gentillâtre » ou de « stupide et indigne Français », selon l'humeur mais avec une réelle constance. Selon le théoricien du « nationalisme intégral », la pensée de Gobineau était en ce domaine pénétrée de germanisme et d'esprit allemand. Comme Maurras l'écrira le 10 octobre 1926 dans son quotidien L’Action française : « Nous sommes des nationalistes. Nous ne sommes pas des nationalistes allemands. Nous n’avons aucune doctrine qui nous soit commune avec eux. Toutes les falsifications, tous les abus de textes peuvent êtres tentés : on ne fera pas de nous des racistes ou des gobinistes. »(2)

    Lire la suite

  • Election présidentielle US : pourquoi il faudrait mieux rester prudent

    Election présidentielle US : pourquoi il faudrait mieux rester prudent

    Même s’il existe une forte probabilité que le 46ème président des Etats-Unis soit Joe Biden, voici trois raisons de rester prudent.

    L’élection du président des Etats-Unis se joue officiellement début décembre et non début novembre.

    emp3nkqwmaeau-f-359x300.jpgIl reste donc un mois à attendre. Ce n’est pas aux médias d’annoncer la victoire de Joe Biden, c’est à Donald Trump de reconnaître sa défaite. C’est ainsi. C’est un usage, une coutume de la vie démocratique américaine. Les médias devraient faire preuve de prudence, eux qui en 2000 s’étaient empressés d’annoncer à tort la victoire d’Al Gore. D’ailleurs, certains dirigeants, comme le président du Mexique, préfèrent attendre avant de féliciter Biden (« it’s too soon to congratulate Biden”).

    Aucun état Américain n’a donc encore certifié ses résultats. Seuls CNN et AP ont annoncé la victoire de Biden. 

    Lire la suite

  • La mondialisation, stade suprême de l'expansion du capitalisme (texte de 2014) 3/4

    L'attitude des marchés financiers vis-à-vis des États a néanmoins évolué. Alors que dans le passé, les libéraux cherchaient à réduire le rôle de l'État au minimum, leurs héritiers ont très bien compris qu'ils sont maintenant en position de mettre les structures étatiques à leur service. Ils ne demandent donc plus la disparition de l'État, mais attendent que lui qu'il crée les conditions les plus favorables au déploiement de la Forme-Capital. En adoptant une politique de la dette pour financer la demande sociale et renflouer les banques, les États, de leur côté, se sont placés entre les mains des marchés financiers et des agences de notation, puisqu'ils ne peuvent plus emprunter auprès de leurs banques centrales. Ils n'ont dès lors d'autre ressource que de se soumettre aux diktats de la finance en cherchant à rendre leurs structures les plus attractives possibles pour le Capital.

    Lire la suite

  • Bastia – Manifestation contre le confinement et pour la défense des commerçants jugés “non essentiels”

    Corse – Vendredi soir, à Bastia, une manifestation contre le confinement et pour la défense des commerçants a animé les rues.


    https://www.medias-presse.info/bastia-manifestation-contre-le-confinement-et-pour-la-defense-des-commercants-juges-non-essentiels/126725/

  • Attentat de Nice Les politiques au pied du mur, par Véronique Jacquier.

    Face à la menace terroriste, hommes et femmes politiques sont conduits à répondre au défi civilisationnel qui se pose désormais en France.

    « Aujourd’hui les mots ne suffisent plus. Il n’y a pas d’avenir ni de relèvement de la France si elle n’assume pas ses racines chrétiennes. » Ainsi parle le député européen François-Xavier Bellamy. Mais quelle forme pourrait prendre cette affirmation de notre identité ?

    Lire la suite

  • À la découverte des « Plus beaux villages de France »

    Depuis 1982, les « Plus beaux villages de France » ont leur label. Une bonne raison de leur rendre visite.

    Ils sont 31 en Midi-Pyrénées, 18 en PACA, mais on n'en trouve - pour l'instant ? -aucun dans le Nord-Pas-de-Calais, ni en Çhampagne-Ardennes. « Ils », ce sont les 157 membres de l'Association des plus beaux villages de France. Un label lancé en 1981 par un Corrézien, le maire de Collonges-la-Rouge, Charles Ceyrac, qui se décliné désormais dans 21 régions de France et d'Outre-Mer. Certains de ces villages ont une identité chrétienne très forte, comme Vézelay (Yonne), la « colline éternelle » chère à Maurice Clavel et Flavigny-sur-Ozerain (Côte-d'Or), bien connu des fidèles traditionalistes, deux communes bourguignonnes où la Foi est un élément structurant de l'identité locale.

    Lire la suite