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Extrait d’un entretien donné par Bérénice Levet dans La Nef :
L’écologie exulte, plus ou moins sous cape, de venir ajouter son lot de victimes à toutes celles dont l’Occident serait, selon les idéologies que vous évoquez, la grande fabrique. Après et avec les femmes, les homosexuels, lesbiennes, gay et autres BTQI, les noirs, les musulmans, bref, les « racisés », voici venus le danger pour la terre, les bêtes, le climat.
C’est le moment où jamais de rappeler la sentence prononcée par Raymond Aron à l’encontre d’un de nos présidents : “le drame de Giscard est qu’il ne sait pas que l’histoire est tragique”. L’actuel occupant de l’Elysée, s’il n’est certes pas du même niveau que Giscard, s’il n’a pas la même filiation politique, puisqu’il vient du socialisme quand VGE était libéral, appartient néanmoins au même camp géopolitique. C’est celui du “Meilleur des Mondes”, délivré de la tragédie, où l’économie a absorbé la politique, où le progrès scientifique et technique pourront assurer le bonheur “dans une sereine ignorance de la passion et de la vieillesse”, comme dit Huxley.
Les locaux de l’Aide sociale à l’Enfance, rue Remilly à Versailles.
Il y a un problème en France avec les services de « l’Aide sociale à l’enfance » (ex DDASS). Un certain nombre de cas de placements abusifs et choquants sont signalés. Autant de tragédies pour les parents et les enfants concernés.
Jean L. nous fait part de ce qui est arrivé à sa famille, dans un long récit. On peut accéder à ce texte en cliquant sur le lien qu’il propose dans la présentation qu’il en fait ci-dessous. Attention, pour pouvoir lire le texte vers lequel pointe le lien, il faut se connecter à Google Drive (et donc avoir un compte Google).
« Depuis deux années, trois enfants catholiques des Yvelines sont, au nom de leur intérêt supérieur, placés dans des familles musulmanes. Le juge Claire Lafoix est le maître d’œuvre de cette mesure de protection judiciaire.
Dans la nuit de mardi à mercredi à Viroflay, une femme de 20 ans a reçu huit coups de couteau par un individu lui ayant ensuite volé son téléphone portable. Transportée à l’hôpital, la victime n’encourt pas de danger vital.
(…) L’agresseur a arraché des mains de la passante le smartphone qu’elle tenait. La victime s’est alors mise à agripper l’individu dans l’espoir de récupérer son téléphone. Une réaction qui a motivé l’assaillant à sortir un couteau et à en asséner plusieurs coups dans le ventre de la jeune femme. Au total, cette dernière a été poignardée à huit reprises.
Que ne dit-on actuellement sur les relations tenues pour « ambiguës » entre Vladimir Poutine et Éric Zemmour, Marine Le Pen ou le politiquement défunt François Fillon ? Il est vrai que par une sorte d’injonction médiatique à vocation quasi religieuse, tous les Français sont désormais sommés d’être « ukrainiens ». Fort bien, l’époque étant tout, sauf à la nuance.
«Certains gouvernements (pas l’Ukraine) ont dit à Starlink de bloquer les sources d’information russes. Nous ne le ferons que sous la menace d’une arme. Désolé d’être un absolutiste de la liberté d’expression», a écrit, dans la nuit du 4 au 5 mars, le patron de SpaceX sur le réseau social Twitter.
Raphaël Spina enseigne à l’Université d’Aix-en-Provence.
Le STO – Service du Travail Obligatoire – fut un exil forcé de main d’œuvre française vers l’Allemagne durant la seconde guerre mondiale. Au total, les lois du STO transfèrent 600.000 à 650.000 travailleurs vers le Grand Reich. L’essentiel des départs se produit entre début octobre 1942 et début août 1943 : le STO est un phénomène relativement bref mais qui concerna de très nombreuses familles. Dans la France – l’un des seuls pays d’Europe sans tradition d’émigration – , à la population casanière, jamais autant de civils, souvent jeunes, n’avaient quitté le territoire national en un temps aussi court.
Il a disparu de l’actualité aussi vite qu’il était apparu. Après avoir tenu la tête d’affiche pendant deux longues années, le Covid s’est éclipsé. Progressivement au cours du mois de janvier et des premiers jours de février, puis complètement à partir de l’offensive russe en Ukraine. Mais pourquoi n’en parle-t-on plus ? La réponse se veut aussi logique qu’évidente : tout simplement parce que l’épidémie est sur le point de se terminer. CQFD ! Or, il n’en est rien pour l’instant. « On peut débattre de tout, sauf des chiffres », nous a enseigné le gouvernement. Alors parlons chiffres. Du 1er mars au 31 décembre 2020, le Covid aurait fait, selon les statistiques officielles, 64 632 décès, soit 211,11 morts quotidiens. Du 1er janvier au 31 décembre 2021, le nombre de victimes s’élèverait à 59 109, soit 161,94 par jour. Et du 1er janvier au 28 février 2022, 14 626 morts (7 190 en janvier et 7 436 en février), soit 247,89 morts par jour. En d’autres termes, plus personne ne parle du Covid à un moment où celui-ci n’a jamais causé autant de décès. Cette situation paradoxale contient deux enseignements.
Le départ à la retraite de presque tous les médecins issus du baby-boom d'après-guerre laisse maintenant apparaître au grand jour des déserts médicaux, conséquence du numerus clausus imposé aux étudiants en médecine qui n'a pas permis de compenser ce vide. Si on ajoute à cela que les jeunes médecins ne veulent plus travailler autant que leurs aînés, qui sacrifiaient souvent leur vie de famille à leur vie professionnelle, on se retrouve maintenant face à un vrai problème de santé publique, tout particulièrement dans certaines zones géographiques.