Elle est accusée d’outrage et insulte envers le président de la République suite à la publication d’un message sur les réseaux sociaux.
Elle sera jugée au tribunal de 20 juin.
Lorsque Valérie a ouvert la porte de son logement vendredi 24 mars vers 10 heures, elle ne s’attendait pas à se retrouver devant trois policiers. « Je leur ai demandé si c’était une blague ; c’est la première fois que je suis arrêtée », raconte-t-elle. Elle est alors placée en garde à vue.