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  • Marine Le Pen en déplacement à Pontida, en Italie, aux côtés de Matteo Salvini

    Marine Le Pen en déplacement à Pontida, en Italie, aux côtés de Matteo Salvini

    La patronne des députés RN à l'Assemblée réitère son soutien à la Ligue de Matteo Salvini.

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  • Un officier de conscription ukrainien révèle un nombre énorme de victimes

    Près de neuf recrues de l’armée ukrainienne sur dix qui ont rejoint l’armée au cours de l’année dernière ont été tuées ou blessées au combat, a déclaré vendredi un officier supérieur de la conscription dans la région de Poltava, selon les médias locaux.

    S’exprimant lors d’une réunion du conseil municipal de Poltava, le lieutenant-colonel Vitaly Berezhny, chef par intérim du centre local de recrutement et de soutien social, a admis que les autorités locales étaient en difficulté dans leur campagne de conscription, n’ayant rempli que 13% de leur quota de conscription, les plaçant ainsi au dernier rang de la région.

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  • “J’ai honte d’une Union européenne soumise à l’islam” : l’eurodéputée italienne Silvia Sardone et ses enfants menacés de mort depuis qu’elle a dénoncé la promotion du voile islamique par l’UE devant le Parlement européen (MàJ)

    19/09/2023

    Des insultes, des menaces de mort et des intimidations très graves, même à l’égard de ses enfants, ont été dirigées contre l’eurodéputée de la Ligue du Nord, Silvia Sardone , pour son militantisme contre le port du foulard islamique et la prolifération des mosquées illégales . Elle l’a signalé elle-même, en rapportant certains des messages arrivés via les réseaux sociaux et par courrier électronique. Une situation qui, a-t-il expliqué, dure depuis des années et qui s’est aggravée après son discours la semaine dernière à l’hémicycle portant le t-shirt “Non au foulard islamique”.

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  • Entretien avec Robert Steuckers sur l'Europe, le néo-nationalisme, l'immigration, etc. 2/6

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    En Allemagne, c'est la revue de droite conservatrice Mut, dirigée par Bernhard Wintzek, qui exhorte les patriotes allemands d'aujourd'hui à relire Harmel. L'ex-Général de la Bundeswehr, Kiessling — chassé de l'état-major du SHAPE de Casteau parce qu'il estimait que les officiers allemands devaient être traîtés comme des pairs et non comme des valets par leurs collègues américains — est le plus assidu des néo-harmeliens allemands. Les idéaux du socialiste Coolsaet, auteur de 2 livres néo-harméliens et anti-spaakistes (1), et ceux des conservateurs Kiessling et Wintzek se conjuguent étrangement. En tant que “libre-exaministes”, nous constatons avec joie que le clivage gauche-droite, dans une question aussi essentielle pour l'Europe, s'estompe et disparaît. Libre à vous, nationaux-révolutionnaires d'inspiration thiriartiste (2), de participer à l'offensive et de réclamer, dans vos programmes, la restauration de l'esprit harmelien ; peut-être serez-vous plus à même, à long terme, de réaliser cet idéal que les partis socialistes où se côtoient, pour participer allègrement aux fromages, spaakistes hollywoodiens et neutralistes pétris d'idées valables mais sans cœur au ventre.

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  • Jean Dujardin : Y a-t-il plus inélégant que lâcher ceux qui vous ont soutenu ?

    Y a-t-il plus inélégant que lâcher en rase campagne ceux qui vous ont soutenu, défendu, entouré de leur affection quand les autres vous conspuaient, fussent ces supporters peu fréquentables ? Y a-t-il plus mesquin que les repousser sans ménagement, leur faire le coup du mépris, par peur d’être vu et confondu avec ces gueux ?

    C’est exactement ce qu’a fait, pourtant, l’acteur Jean Dujardin en dénonçant Valeurs actuelles sur Instagram, story immédiatement repartagée par le joueur de rugby Antoine Dupont : « La France rugby oui, vos valeurs non. Pas de récupération, merci. » Et le coq chanta pour la troisième fois. Cette « petite France » enracinée à laquelle Valeurs actuelles consacre ces pages méritait pourtant l'hommage.

    Si l’empressement fébrile à se démarquer n’étonne guère de la part d’Antoine Dupont - avant le second tour des présidentielles, il avait signé (quelle originalité) une tribune collective dans Le Parisien appelant à voter Emmanuel Macron pour faire barrage à Marine Le Pen -, il est un peu plus surprenant venant de Jean Dujardin, que l’on imaginait suffisamment indépendant pour ne pas se soumettre aux génuflexions imposées.

    Espérer qu’il se taise

    On s’était trompé. « On le croyait du marbre dont ont fait les statues, il était en réalité de la faïence dont on fait les bidets », disait Marie-France Garaud de Chirac. En fait de statue et en dépit de sa stature, l’acteur est somme toute moins colosse marmoréen que nain Dujardin. Cette France qui le défendait n’attendait aucun remerciement, il y a bien longtemps qu’elle donne sans retour, mais elle pouvait espérer néanmoins qu’il se taise. Il n’est pourtant question, dans ces pages, que d’Ovalie et de terroir. Une ambiance très « café gourmand ». Sauf à considérer Patrick Sébastien comme la réincarnation de Wagner et le paquito comme une variante du pas de l’oie, difficile de comprendre quelles sortes de « valeurs » inquiétantes véhiculées dans ce numéro sont assez étrangères à la « France Rugby » dans l’esprit de Jean Dujardin et d’Antoine Dupont pour qu’ils se désolidarisent de cette façon.

    On comprend mieux pourquoi Jean Dujardin est si brillant acteur. Du Retour du héros à OSS 117, en passant par Un gars, une fille ou encore Brice de Nice, Jean Dujardin ne se contente pas de jouer le faux héros hâbleur, bellâtre rouleur de mécanique, beau parleur et roublard, goujat et séducteur, plaisantin faisant le malin, grand diseur et petit faiseur : il le vit. Il ne rentre pas dans le rôle. Il est le rôle.

    « Nous vous aimions avant »

    Tugdual Denis, nouveau rédacteur en chef de Valeurs actuelles, a répondu sans agressivité ni ressentiment, éconduit mais constant : « Nous vous aimions avant, nous vous aimerons après. » Tugdual Denis aura montré que le magazine n'a pas perdu son mordant après le départ de Geoffroy Lejeune. À en croire les réactions sur les réseaux sociaux en tout cas, tous les lecteurs ne sont pas aussi magnanimes.

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  • La guerre en Europe, la fin de la sphère publique. La fin d’un monde

    par Vincenzo Costa

    En espérant que nous n’arrivions pas à la fin du monde (c’est-à-dire à la catastrophe nucléaire), nous sommes certainement à la fin d’un monde, la fin de la sphère publique, d’un système d’organisation du monde, de structures conceptuelles.

    La fin de la sphère publique

    La notion de sphère publique – nous le savons depuis Mill et Tocqueville jusqu’à Habermas et Arendt – est fondamentale pour la notion de démocratie, puisque la démocratie suppose une opinion publique informée, critique, capable de discernement.

    Ce qui a rendu possible cette forme de gouvernement, ce sont les «corps intermédiaires» (partis, associations, etc.) qui sont la condition de possibilité d’un décryptage critique et pluriel, et sans pluralisme des informations et des interprétations, il n’y a pas de sphère publique.

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  • 3 fois plus d’énergies renouvelables en Allemagne qu’en France, mais 20 fois plus de CO2 !

    par  | 19 Sep 2023 |

    Ce tweet ci-dessous est très cocasse.

    L’auteur pousse des hourras de victoire pour démontrer qu’avec 62 % d’énergies renouvelables, l’Allemagne est génial et « l’a fait », alors que la pauvre France n’a que… 21 % de renouvelables au même moment, sauf, sauf… que le diable se cache dans les détails et le diable là, c’est le CO2 représenté par le petit carré à gauche marron en Allemagne avec 448 grammes contre seulement 22 en France le petit carré vert en dessous.

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  • Macron et le piège du référendum

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    Frédéric Rouvillois*

    Tout petit déjà, bien avant d'être happé par la passion du théâtre, Emmanuel adorait (probablement) se déguiser, puis parcourir la grande maison d'Amiens en demandant à tous ceux qu'il croisait :

    "Eh ! devine qui je suis !" Quatre décennies plus tard, devenu président de la République, Macron continue d'aimer cela. Et son déguisement favori, c'est celui de général de Gaulle.

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  • Une histoire du Brésil, par Michel Faure

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    Les éditions Perrin publient « une histoire du Brésil » de Michel Faure. Ce dernier est journaliste, grand reporter à l’Express jusqu’en 2005, spécialiste de l’Amérique Latine. On apprécie d’emblée le titre, qui n’est pas « Histoire du Brésil » ou « L’Histoire du Brésil » mais « Une histoire du Brésil », celle qu’a choisi de raconter Michel Faure.

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