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  • Neuville-en-Ferrain (59) : excédés par un rodéo urbain, une vingtaine de riverains munis de battes de baseball décident d’intercepter les voyous eux-mêmes et tabassent l’un des auteurs

  • La conquête du cheval. Une histoire génétique, de Ludovic Orlando

    La conquête du cheval. Une histoire génétique, de Ludovic Orlando

    Passionnante enquête, ce livre nous révèle que tous les chevaux domestiques actuels descendent d’une population restreinte appelée DOM2 ayant vécu il y a 4200 ans dans un arc de cercle partant du Caucase aux rives de la Caspienne.

    « Le monde lui-même parut plus petit que jamais », nous dit-il. La culture qui les aurait diffusés serait la culture de Sintashta, une culture proto-indo-iranienne du sud de la Russie à la frontière du Kazakhstan. Une fois domestiqué, ce nouveau cheval DOM2 aurait été élevé en grandes quantités, son nombre explosant rapidement. On le retrouve près de 200 ans plus tard en Europe centrale. L’auteur prend l’ « hypothèse kourgane » au sérieux.

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  • Macron vend la France par la dette

     Éric Letty 1 octobre 2023

    Rassurez-vous, Français, tout va bien dans la meilleure Macronie. 

    « Tout en continuant de baisser la fiscalité, l’État investit dans l’avenir : la transition écologique, nos services publics et notre souveraineté nationale », affirme un sous-titre de l’exposé des motifs du projet de loi de finances (PLF) pour 2024. Moyennant quoi, ledit PLF prévoit un besoin de financement de quelque 300 milliards d’euros et, pour y répondre, le gouvernement va lancer 285 milliards d’euros d’emprunts, qui s’ajouteront aux 3.000 milliards de dette publique enregistrés à la fin du deuxième trimestre 2023 (3.046,9 milliards d'euros, selon l’INSEE). Au troisième trimestre 2017, juste après l’entrée d’Emmanuel Macron à l’Élysée, la dette des administrations publiques s’élevait à 2.218,4 milliards d’euros. Autrement dit, en moins de sept ans, l’ancien associé gérant de la banque Rothschild aura accru l’endettement de la France de plus de 1.000 milliards d’euros.

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  • FLAMBEE DE VIOLENCE AU KOSOVO, DISPARITION DU NAGORNY-KARABAKH : LES MAUVAISES FRONTIERES FONT LES BONNES GUERRES !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Fin septembre, des paramilitaires serbes, retranchés ensuite dans le monastère de Banjska, ont attaqué la police kosovare. Cette dernière a riposté, tuant plusieurs de ses adversaires. Un policier kosovar est mort dans cet échange de tirs, décès donnant lieu à un concert de pleurs de la part des officiels de Pristina, la capitale de cette ancienne province autonome de l’ex- Yougoslavie, dépecée dans les années 1990.

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  • Non, le Pouvoir ne fera pas taire la révolte des Français

    Faire taire : l’obsession de la Macronie. Claquemurée dans ses croyances progressistes, la caste ne souffre aucune contrariété. A entendre ses membres, les sifflets qui ont couvert le 8 septembre le bref discours d’Emmanuel Macron en ouverture de la Coupe du monde de rugby ne furent qu’un tumulte obscène de supporters mal léchés. Karl Olive, député Renaissance, s’est précipité après la profanation pour réclamer à l’avenir des « lois d’exception » destinées à éteindre ces injures faites au président.

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  • La fin de la BCE : Les États-Unis déclarent la guerre à l’euro

    L’euro n’a pas eu la vie facile depuis son introduction officielle en tant que moyen de paiement en 2001. Considérée comme une alternative au dollar, la monnaie unique était au bord du gouffre onze ans seulement après sa création.

    La crise de la dette issue de la crise financière de 2008 menaçait de faire s’effondrer l’euro et la zone euro. Seule l’intervention courageuse du président de la BCE de l’époque, Mario Draghi, a empêché la destruction de l’Eurosystème. Aujourd’hui, onze ans plus tard, la survie de l’euro semble à nouveau compromise. Mais cette fois-ci, la BCE n’a plus le pouvoir de décider elle-même si l’euro disparaîtra de la scène, comme l‘a expliqué Tom Luongo.

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  • Bretons et Bretonnes célèbres : Alain V de Bretagne

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    Via Centre d’Histoire de Bretagne

    Pourquoi Alain V, ce personnage, pourtant d’envergure, peut-être même un des plus importants de l’histoire de la Bretagne et de l’Occident, a-t-il échappé à la sagacité proverbiale des historiens les plus confirmés ?

    A cause de son nom tout d’abord ou plus exactement de ses noms. Jusqu’à récemment on le nommait Alain d’Avaugour. Dans les ouvrages sur l’abbaye de Beauport qu’il a fondé en 1202 il est désigné sous le nom d’Alain de Goëlo, terre qu’il a possédée. En Angleterre, où il était seigneur de Waltham (qui correspond exactement au Conseil du Nord-est Lincolnshire), il est désigné depuis très longtemps sous le nom d’Alain de Bretagne, ce qui n’est pas faux.

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  • À neuf mois des européennes, vent de populisme en Slovaquie

    Sans vouloir vexer nos amis et alliés slovaques, une question : qui, en France, sait placer sur la carte d’Europe la République slovaque, connaît le nom de sa capitale et le nombre de ses habitants ? Qui est capable de dire combien d’années dura l’union, avec la Tchéquie, de ce petit pays à peine plus grand que notre région Bourgogne-Franche-Comté et comptant moitié moins d’habitants (5,4 millions) que l’Île-de-France ? Vous me direz que ce pays est bien loin de chez nous ! Pourtant, il faut à peine six heures de route depuis Strasbourg pour rejoindre sa capitale Bratislava : autant que pour faire Paris-Avignon, quand tout va bien.

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