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1945-1949 : Les États-Unis et la gauche française, le point de vue du département d’État
par Franck Marsal
Je poursuis l’exploration des années 1945-1951 comme matrice de la vie politique et sociale française et européenne. C’est en effet dans cette période que sont établies la RFA, dont le développement sera la ligne directrice maîtresse de la politique US, la CECA qui est l’embryon de l’actuelle UE et l’OTAN. Cette situation est en cours de changements radicaux. Pour comprendre et se situer au sein de ces changements, il importe de saisir la manière dont la vie politique actuelle a été organisée, avec perspicacité et constance par le gouvernement et les forces d’influence des États-Unis d’Amérique.
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1ère Guerre Mondiale. Zemmour, Obertone, Conrad… : des personnalités nous livrent leurs conseils de lecture
Les commémorations du centenaire de la fin de la Première guerre mondiale (Grande guerre) ont débuté.
Si les commémorations « officielles » actuelles laissent à désirer, tant tout cela semble convenu, que ce soit en terme d’organisation que de perpétuation de notre longue mémoire, il est intéressant de se plonger dans les livres, dans les témoignages et les récits d’une guerre qui a touché presque chaque famille d’Europe de l’Ouest – les monuments aux morts en témoignent.
Nous avons donc interrogé quelques personnalités – que nous avons déjà eu l’occasion d’interviewer – afin de leur demander quels livres ils conseilleraient à nos lecteurs, pour mieux appréhender ce drame qui s’est déroulé il y a un siècle.
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Agriculteurs en colère : les tracteurs sont de retour à Bruxelles
À l'occasion du sommet des ministres de l'Agriculture européens, les tracteurs sont revenus à Bruxelles, à peine plus de trois semaines après leurs manifestations, afin de maintenir la pression sur l'Union européenne.
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les idées reçues en matière historique – Jean Sévilla
Jean Sévilla à l’occasion de la sortie de son livre Historiquement incorrect répondait le 7/11/2011 à une interview dans le journal Famille Chrétienne
Question (Famille Chrétienne) : Comment se définit, en Histoire, le « politiquement correct » ?
Réponse (Jean Sévilla) : Globalement, il s’agit d’une lecture du passé commandée par l’idéologie actuellement dominante. Quelle est cette idéologie ? Celle d’un monde sans frontières, où les enracinements sont condamnés par principe ; d’un monde multiculturel, où toutes les civilisations sont déclarées égales ; d’un monde voué au libre-échange humain et matériel, où toute référence morale et métaphysique est bannie dès lors qu’elle paraît faire obstacle au libre-arbitre individuel.
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Macron, un dangereux “va t’en guerre” en Ukraine qui nous met en danger et nous ridiculise
Armons-nous et partez : le ridicule et la folle prétention d’un président start-up !
Le lundi 26 février 2024 au soir, lors de la conférence de soutien à l’Ukraine, le Président Macron a déclaré : « Il n’y a pas de consensus aujourd’hui pour envoyer de manière officielle, assumée et endossée des troupes au sol. Mais en dynamique, rien ne doit être exclu » à la suite des derniers succès russes sur la ligne de front, notamment la prise de la ville Avdeevka aux forces ukrainiennes.
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Macron totalement humilié
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Inversion accusatoire
Le Monde se surpasse encore avec un article à charge contre les parents qui s’interrogent pourtant à juste titre sur le contenu de certains programmes scolaires.
Dans un monument d’objectivité (euphémisme), l’article dénonce la pression mise sur les établissements. Mais la pression est ailleurs :
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[ENTRETIEN] Une lueur d’espoir pour la paysannerie française ?
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Remarquable analyse du mode de fonctionnement du macronisme (à lire dans son intégralité, par M. Arnaud Benedetti pour le Figaro Vox)
M. Arnaud Benedetti, directeur de la revue politique et parlementaire: « Il y a une dimension profondément factice dans le macronisme. C’est ce qui pose problème au demeurant et qui risque le moment venu de se payer au prix fort. Il existe des institutions, il existe des procédures, il existe des corps intermédiaires dans une démocratie. Emmanuel Macron affaiblit tout cela par sa pratique. Connaissez-vous beaucoup de présidents sous la Ve République qui aient souhaité qu’une loi dont ils sont à l’origine soit censurée par le Conseil constitutionnel ? C’est pourtant ce à quoi s’est prêté l’actuel chef de l’État, montrant ainsi une désinvolture sans précédent avec l’usage institutionnel. De même lorsqu’il annonce, depuis un an sans avoir de majorité à l’Assemblée nationale, des initiatives comme les «cent jours», les rencontres de Saint-Denis, «le grand rendez-vous avec les Français», tout est fait en usant d’artefacts communicants pour contourner la seule matrice démocratique dont le Président devrait se soucier dans une démocratie, à savoir la souveraineté populaire, qu’il s’efforce en permanence de tenir à distance et de contourner. »