« Il a fallu faire un choix et l’Elysée n’a pas tardé à faire celui de la FNSEA. Face à l’invitation des Soulèvements de la Terre au grand débat organisé au Salon de l’agriculture en présence d’Emmanuel Macron, le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, avait refusé d’y participer. Difficile d’organiser ces discussions sans le syndicat agricole majoritaire en peine crise des agriculteurs et sur leur propre terrain. La présidence est alors revenue sur sa décision et a finalement décidé de ne plus convier les Soulèvements de la Terre à l’événement. Retour sur un rétropédalage diplomatique. » Organiser un nouveau « grand débat » au salon de l’agriculture en y invitant Soulèvement de la terre était, de toute évidence, le moyen le plus sûr de remettre le feu aux poudres.
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Face aux agriculteurs, Macron avance masqué
Le double langage n’est pas seulement une pratique islamique. Emmanuel Macron l’utilise sans vergogne, notamment quand il s’adresse aux paysans en colère. L’imam de Bagnols-sur-Cèze (Drôme), Mahjoub Mahjoubi, expulsé sur le champ vers la Tunisie pour ses propos anti-France, va assurer ce lundi par son avocat, en référé liberté, avoir été mal compris de Gérald Darmanin. La taqîya autorise ces mensonges. Ils dissimulent en l’occurrence la volonté d’instaurer le califat dans un monde islamisé. C’est pourquoi la parole des représentants musulmans s’est décrédibilisée. Mais celle du chef de l’Etat ne vaut pas mieux.
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J.D. Vance (sénateur Républicain de l’Ohio) : « J’aimerais que les élites européennes écoutent leurs citoyens pour une fois »
Lors du récent sommet de Munich sur la sécurité, le sénateur américain J.D. Vance, un républicain de l’Ohio en poste depuis un an, était la mouffette de la garden-party. Vance, un allié de Trump, est depuis longtemps un sceptique déclaré de l’implication américaine dans la guerre entre la Russie et l’Ukraine, et il a irrité ses collègues du GOP du Sénat les plus établis pour sa critique pénétrante de la conduite de Washington dans cette guerre par procuration.
Pourtant, sa critique fait son chemin. Politico, la voix du courant dominant de Washington, a admis cette semaine que “J.D. Vance n’a pas tort” lorsqu’il affirme que les États-Unis ne peuvent pas produire de munitions et d’armes pour continuer à soutenir l’Ukraine. Immédiatement après la conférence de Munich, le Financial Times a publié une tribune sévère de M. Vance appelant les Européens à assumer une plus grande part du fardeau de leur propre défense. M. Vance a notamment écrit : “Nous devons à nos partenaires européens d’assumer une plus grande part du fardeau de leur défense : Nous devons à nos partenaires européens d’être honnêtes : les Américains veulent des alliés en Europe, pas des États clients, et notre générosité à l’égard de l’Ukraine touche à sa fin. Les Européens doivent considérer la fin de la guerre en Ukraine comme un impératif. Ils doivent continuer à reconstruire leurs capacités industrielles et militaires. Et l’Europe devrait réfléchir à la manière dont elle va vivre avec la Russie lorsque la guerre en Ukraine sera terminée”
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Dimanche 10 mars, à 15 h : une conférence d'Alban d'Arguin en Vendée
Alban d'Arguin est aussi l'auteur du livre
Éolienne, un scandale d'État cliquez ici
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Léviathan : le symbole du Serpent/Dragon - Démonologie
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« MNA dehors, agriculteurs d’abord ! » : à Dol-de-Bretagne (35), des habitants s’opposent au futur centre d’accueil de migrants mineurs isolés, implanté par le Conseil départemental
Une quarantaine d’opposants au futur centre d’accueil de mineurs isolés se sont rassemblés à Dol-de-Bretagne ce samedi 24 février à l’appel du parti d’extrême droite “Reconquête” et du groupuscule rennais l’Oriflamme. En réaction, 200 habitants et sympathisants de gauche sont venus témoigner de leur soutien à ce projet à l’appel de plusieurs partis de gauches.
“MNA [Mineur non accompagné] dehors, agriculteurs d’abord” versus “Jeune migrant bienvenu à Dol-de-Bretagne”. Des slogans qui en disent long sur la vive tension qui règne ce samedi 24 février dans cette petite commune d’Ille-et-Vilaine de 6 000 habitants. Une centaine de membres des forces de l’ordre y était d’ailleurs déployée pour éviter des débordements.
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Deux ans après le début de l’opération militaire spéciale, l’Occident est totalement paralysé
Le 24 février 2022 a été le jour qui a changé à jamais la géopolitique du XXIe siècle.
Il y a exactement deux ans ce samedi, le 24 février 2022, Vladimir Poutine a annoncé le lancement – et décrit les objectifs – d’une opération militaire spéciale (OMS) en Ukraine. C’était la suite inévitable de ce qui s’était passé trois jours auparavant, le 21 février – exactement 8 ans après le Maïdan de 2014 à Kiev – lorsque Poutine a officiellement reconnu les républiques autoproclamées de Donetsk et de Lougansk.
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Le tribunal révolutionnaire, d’Antoine Boulant
Les éditions Perrin viennent de publier le livre d’Antoine Boulant, le tribunal révolutionnaire.
Ce livre court et facile à lire réussit cependant à nous faire connaître tous les rouages de ce tribunal qui fonctionna d’avril 1793 à juillet 1794 et qui est l’incarnation parisienne de la répression révolutionnaire. Marqué par la figure prépondérante de l’accusateur public FOUQUIER-TINVILLE, ce tribunal exécuta les basses besognes en leur donnant un vernis légal. Pendant ces mois de répression jacobine, le tribunal jugea 5215 personnes et prononça 2791 condamnations à mort avec souvent comme seule justification le désir d’appliquer les principes utopiques de l’égalité dogmatique.
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13 heures de Macron… Un culte de la personnalité ?
La France n’est pas la Corée du Nord, pas encore.
Evidemment, jamais en Corée le grand leader Kim n’aurait pu tolérer se faire siffler ou huer et n’aurait été obligé de composer avec sa population à ce point.
Pour autant, pour retrouver le calme nécessaire à la propagande présidentielle et aux plans de communication des services du Palais, il aura fallu environ 1 000 CRS, empêcher les gens de rentrer dans le pavillon N°4; et 35 gardes du corps.
La France n’est pas la Corée du Nord, pas encore, mais nous sommes déjà un peu Cuba.
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Crise agricole : le jeu de dupes de la FNSEA
A propos de la crise agricole, Yann de Kérimel a été interrogé dans L’Homme nouveau. Extrait :
[…] Quand on veut bien y passer du temps, on se rend compte que le syndicat majoritaire, la Fédération nationale des Syndicats d’Exploitants agricoles (FNSEA), n’est pas dirigé par les revendications de ses membres de la base. Il a monté un système de cogestion avec le ministère de l’Agriculture, l’agroindustrie, les coopératives, Groupama (société d’assurance mutuelle française née dans le monde rural, NDLR), la Sociétés d’Aménagement foncier et d’établissement rural (Safer), le Crédit agricole, la Mutualité sociale agricole (MSA)… Le groupe Avril (groupe agro-industriel français, NDLR) est lié à la FNSEA et détient des parts dans bon nombre d’agro-industries d’autres pays mais est aussi responsable de l’importation d’huile de palme, des silos par lesquels passent les importations et exportations, etc.