
Les démolisseurs de la France sont contents d’eux. Ils ne veulent entendre que des applaudissements. S’indigner des désastres sécuritaires liés à leur « société ouverte » devient risqué pénalement. L’ « incitation à la haine » est le nouvel argument des censeurs. Ceux-ci ne voient rien, en revanche, de l’antisémitisme islamique ni du racisme anti-blanc des minorités ethniques. Le site d’extrême gauche Médiapart illustre l’application liberticide du procédé accusatoire, avec la publication cette semaine d’une enquête à charge contre CNews, qualifiée de « fabrique de la haine ». Parce que la chaîne d’information a notamment choisi de décrire la réalité de la vie des gens ordinaires, elle déchaîne l’agressivité – la haine – des dénégationnistes qui aimeraient interdire les critiques contre l’immigration de masse et l’islam prosélyte, quitte à rétablir le délit de blasphème au profit de cette dernière religion.







