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  • Paris : une touriste australienne violée par « cinq individus de type africain »

     

    INFO JDD. Une ressortissante australienne, en vacances à Paris, s’est réfugiée dans un restaurant après avoir été violée par « cinq individus de type africain » dans la nuit de samedi à dimanche.

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  • Retour de la IVe république

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    L’un des moments les plus symboliquement significatifs de ces derniers jours aura vu l’union de la gauche autour de la candidature du stalinien Chassaigne à la présidence de l’Assemblée nationale. Obtenant 207 voix au 3e tour contre 220 à la sortante Yaël Braun-Pivet, réélue de justesse.

    Cette séquence Chassaigne mériterait de marquer les esprits. Notons d’abord que les quatre groupes de gauche comptent respectivement 72 pour La France insoumise, 17 gauche démocratique et républicaine, groupe servant de cache-sexe aux 9 communistes, mais aussi 38 écologistes et 66 socialistes, soit en tout 193 députés. Or, dès le premier tour, le candidat communiste, représentant d’un parti qui pesait à hauteur de 2,36 % le 9 juin aux élections européennes, faisait le plein des voix, obtenant 200 voix, passant même à 207 au troisième tour.

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  • Une victoire à la Pyrrhus ?

    You are currently viewing L’éditorial de François Marcilhac

    L’éditorial de François Marcilhac

    Le feuilleton de l’été est manifestement politique. Et il aura commencé dès le début du mois de juin, avec les élections européennes et la décision de Macron de dissoudre l’Assemblée nationale. Tiendra-t-il encore les Français longtemps en haleine, alors que les Jeux olympiques vont bientôt faire l’actualité ? Ne soyons pas dupes : sans être un génie politique ni même un stratège de haut vol, Macron n’a pas choisi au hasard le prétexte des européennes pour dissoudre, car le calendrier lui permettait justement, en cas d’assemblée sans majorité identifiable, ce qu’il n’était pas difficile de prévoir, de laisser du temps au temps, autrement dit de laisser pourrir la situation. Sera-ce au profit du bloc central ?

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  • Les sanctions économiques inacceptables pour l’Europe du faux ami américain (3)

    L’annulation en 2021 du contrat du siècle des sous-marins australiens : un coup de poignard des États-Unis dans le dos de la France

    Le 15 septembre 2021, l’Australie, suite à la pression des États-Unis, a annulé d’une façon abrupte une commande de douze sous-marins « Attack » devant être construits en Australie par le groupe industriel français Naval Group pour la marine australienne. ll s’agissait d’une version conventionnelle des sous-marins nucléaires français Barracuda. Ce contrat en or pour les deux parties d’une valeur de 56 milliards d’euros représentait un gain financier substantiel pour la France et un partage technologique avec l’Australie pour la construction de sous-marins fiables et puissants.

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  • Politique : l’incroyable spectacle

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    Alain de Benoist

    MONDE&VIE. Alain de Benoist, vous êtes chef d’école, mais vous êtes aussi un des meilleurs analystes politiques sur la place de Paris. Avez-vous vécu la soirée électorale du 7 juillet comme une surprise, annonçant éventuellement un grand bouleversement politique, ou bien plutôt avez-vous pris ce scrutin comme un simple effet de tectonique des plaques électorales, au nom de l’impératif antifasciste, toujours de sortie ?

    ALAIN DE BENOIST : J’ai bien sûr été surpris, comme tout le monde. Mais aussi et surtout consterné de voir, dans les réactions qui ont suivi, les affects prendre immédiatement le dessus sur les nécessités de l’analyse scientifique. D’un côté une sorte d’affliction désespérée (« tout est foutu ! »), de l’autre un lâche soulagement assorti de forfanterie (« on a gagné ! »). Or, si l’on regarde les choses d’un peu près, aucune de ces deux réactions ne permettait de comprendre ce qui s’est passé. Ma conclusion personnelle est bien différente. Elle tient plutôt dans les deux constats suivants : le Rassemblement national continue à progresser, et la France est devenue ingouvernable.

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  • [Chronique] Assemblée nationale : « l’arc républicain » enterre la démocratie

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    Au second tour des élections législatives, le Rassemblement national a obtenu 10.728.330 voix (chiffres du Sénat), bien devant les autres partis en lice. Certes, en raison des accords de désistement, la majorité présidentielle comme ses alliés du Nouveau Front populaire n’avaient pas présenté de candidats dans toutes les circonscriptions. Si l’on se réfère aux chiffres du premier tour publiés par le ministère de l’Intérieur, le RN avait obtenu 19,01 % des suffrages (9.379.092 voix), devant le NPF (18,23 %), largement devant la majorité présidentielle (13,03 %) et pratiquement cinq fois plus que LR (4,27 %).

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  • Le sommet de l’Otan a mis en évidence une vérité inattendue sur l’Ukraine

    Volodymyr Zelensky estime que l'adhésion de l'Ukraine à l'Otan reste inatteignable. 

    "Zelensky considère que son objectif le plus convoité, à savoir l'adhésion à l'Alliance, reste inatteignable. Les pays européens et nord-américains membres de l'Otan ne s'empressent pas d'accepter l'Ukraine, surtout tant qu'elle mène des combats actifs contre la Russie, qui pourraient les entraîner dans une guerre de plus grande envergure", écrit ABC News

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  • Les JO de la honte. Paris déserté, commerçants exsangues. Parisiens partis. Touristes pas arrivés !

    Paris déserté, des commerçants désappointés et désabusés, mais aussi des éboueurs qui ne peuvent pas accéder aux zones bloquées en raison de problèmes de QR Code… qui justement ne fonctionnent pas sur les écrans des smartphones quand il y a trop de soleil, forçant les policiers à demander aux gens… de les imprimer sur papier.

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  • 1943, le problème de l’ouverture d’un «deuxième front»

    Le 22 novembre 1943, Staline, Roosevelt et Churchill se retrouvent à Téhéran. Parmi les questions les plus importantes discutées figuraient le problème de l’ouverture par les Alliés d’un « deuxième front ». C’était la question la plus difficile. L’Angleterre et les États-Unis ont fait de leur mieux pour retarder l’ouverture d’un deuxième front en Europe occidentale. La décision d’ouvrir ce « deuxième front », c’est-à-dire le débarquement des troupes alliées en Europe et la création du front occidental, était censée accélérer considérablement la chute du Troisième Reich. Après le tournant stratégique survenu lors des batailles de Stalingrad et de Koursk, la situation sur le front de l‘Est s’est développée favorablement pour l’URSS. Les troupes allemandes avaient subi des pertes irréparables et ne pouvaient plus les rattraper. Les allemands avaient perdu l’initiative stratégique dans la guerre. L’Armée rouge avait repoussé l’ennemi, libéré le Donbass, traversé le Dniepr et repris Kiev. Les Russes avait également chassé l’ennemi du Caucase du Nord et ont débarqué en Crimée.

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