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Le Zygomyr a les dents longues mais le cerveau lent. Il n’a toujours pas compris les intentions du général Keith Kellog envoyé spécial de Trump, renforcé par le vice-président J.D Vance en visite à Kiev cette semaine. C’est pourtant simple : fixer la ligne de contact comme trait de démarcation, écarter l’adhésion à l’Otan de l’Ukraine, mettre le grappin sur les terres rares, lever progressivement le blocus contre la Russie et organiser une élection présidentielle en Ukraine avant août 2025.
Les Patriots for Europe (PfE) passent à l’action. Réunis à Madrid ce 7 février, les chefs de file des principaux partis patriotes et souverainistes européens, dont Viktor Orbán, Marine Le Pen, Matteo Salvini et Geert Wilders, affichent leur volonté de renverser le statu quo à Bruxelles et de nouer une alliance stratégique avec Donald Trump.
Le slogan de ce rassemblement ne laisse aucune place à l’ambiguïté : “Make Europe Great Again”, un clin d’œil direct au célèbre “Make America Great Again” de l’ancien et probable futur président des États-Unis.
Prenant quelques citations chez Bonnard, qui s’ajustent parfaitement à la situation du moment, voici un commentaire qui convient à l’actuel contexte parlementaire.
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Par Stéphane Blanchonnet
Rappelons pour bien comprendre le parallèle que sous la plume de Bonnard un « modéré » désigne un homme politique de droite qui au lieu de combattre le régime, s’y installe et joue le jeu parlementaire. La première citation intéressante porte sur l’impossibilité en quelque sorte ontologique pour une vraie droite d’être intronisée « républicaine » par le seul parti républicain authentique, à savoir la gauche. Bonnard décrit à sa façon ce qu’Albert Thibaudet appelait « le mouvement sinistrogyre » (gauchisation progressive de la vie politique à partir de 1880) et le ralliement de la droite à la République : « Après leur avoir reproché d’entretenir la discorde en France, par leurs opinions monarchistes, on leur représenta, quand ils les eurent abandonnées, qu’il ne dépendait pas d’eux de devenir des républicains ».
C’est un article du très sérieux site Euractiv.fr qui nous apprend que “les ONG européennes dans l’incertitude avec l’arrêt des financements américains” !
Et oui… elles sont en grande partie financées par l’USAID…
« Toutes les ONG attendent avec impatience de savoir si leurs programmes entrent dans les catégories définies par les autorités américaines, mais la vérité est que personne ne le sait, car personne à l’USAID ne répond plus », explique un travailleur humanitaire français basé en Asie, qui craint une importante vague de licenciements.
Jusqu’où ira la russophobie hystérique des Occidentaux ? L’agressivité envers un pays ami, blanc et chrétien, n’a d’égale que la soumission au discours islamiste conquérant, omniprésent en Europe.
L’Occident ne cesse d’humilier les Russes et de les traiter comme des pestiférés tout en vénérant le régime mafieux et corrompu de Kiev, adorateur de Stepan Bandera, le boucher pronazi aux mains rouges du sang juif.
Pierre Cassen, brillant et persuasif comme d'habitude. À sa droite, l'essayiste Bernard Germain, bien connu de nos lecteurs.
Dimanche 9 février, c'est près d'une centaine de convives qui ont participé au grand banquet annuel de la fédération bretonne du Parti de la France dirigée par notre Ami Jean-Marie Lebraud.
L’effondrement de l’Ukraine expose les nombreuses illusions mensongères de l’Occident sur la Russie. La situation devient si grave que même les médias traditionnels ne peuvent plus ignorer les réalités du champ de bataille.
Un texte de Nafy-Nathalie
Vous pensiez qu’obtenir des informations sur la superficie de votre terrain était un droit fondamental ? Non ! Détrompez-vous !
Vous souhaitez vendre votre terrain et vérifier sa superficie exacte ? Payant.
Vous voulez vérifier si votre clôture est bien positionnée sur votre propriété ? Payant.
Vous envisagez un projet d’extension et souhaitez connaître vos limites foncières ? Payant.
Autrefois gratuits, ces services sont désormais payants. En effet, sous prétexte d’optimiser ses services au public, une réforme a discrètement instauré une nouvelle façon de faire payer les citoyens pour accéder à leurs propres données.
