
Elles sont nombreuses, ces femmes occidentales, à prendre fait et cause dans des associations humanitaires et s’en vont, maintenant en tant que salariées, dans des Organisations Non-Gouvernementales, le plus souvent entretenues à la fois par des subventions publiques, mais aussi des financements opaques, ce qui fait qu’elles sont devenues des leviers d’actions politiques et disposent de moyens de communications puissants capables de tordre les réalités afin de « sensibiliser », disent-elles, mais surtout de manipuler les opinions publiques européennes et occidentales. On l’a vu avec le petit Ylan, ou des « migrants » soit disant photographiés en pleine mer, mais qui ont en réalité pied et sont au bord du rivage, bien entourés. Ou pire, les figurants censés être morts et qui se sauvent quand retentissent les sirènes d’alerte.