« Nos agriculteurs ne peuvent pas être la variable d'ajustement ni du pouvoir d'achat, ni la variable d'ajustement des accords agricoles. C’est aussi pour ça que nous nous sommes opposés au Mercosur tel qu'il a été signé », déclarait, en février 2025, Emmanuel Macron, lors du Salon de l’agriculture, sans doute pour contenter les agriculteurs et faire oublier ses revirements incessants, dont le dernier remonte au 23 octobre dernier. À l’issue du Conseil européen qui se tenait à Bruxelles, le président de la République a expliqué que « les choses vont dans le bon sens », ce qui, en langage macroniste, annonce une énième capitulation au détriment des intérêts français et au bénéfice de l’Allemagne qui pousse pour que l’accord soit ratifié le plus rapidement possible.




