
Michel Festivi
Je vous ai entretenu, il y a quelques semaines, du lycée musulman Al Kindi, qui avait vu s’abattre sur lui, un arrêté préfectoral, le privant de toute subvention d’État pour la rentrée de septembre 2025. Les islamogauchistes ont vociféré et comme ils en ont l’habitude, ont monté en épingle de soi-disant atteintes aux libertés et invoquant la sempiternelle discrimination dont ils seraient victimes, ils ont tempêté tant et tant. Le recteur de la grande mosquée de Lyon, président des conseils des mosquées du Rhône, Kamel Kabtane avait même exhorté Emmanuel Macron pour que cette décision préfectorale soit annulée. Les six inspecteurs de l’Éducation nationale avaient trouvé des livres d’un islam radical dans la bibliothèque de l’établissement de Décines, comme prônant le djihad violent, le viol conjugal ou la torture des homosexuels.
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