
Notez que cette prise de conscience est générale alors que dans les médias français se succèdent les intervenants habituels, retraités de l’OTAN, ancien espion du KGB, spécialistes de la Russie recrutés à cause de la haine visible qu’ils vouent à l’objet de leurs recherches, 68% des Français ne veulent pas que nos armées aillent remplacer les troupes défaillantes de Zelensky. Les sondages dont il est fait état ici sont volontairement ceux de l’occident et du régime ukrainien. La question de la négociation avance, celle des conditions d’une paix durable reste encore très floue.
Danielle Bleitrach