
Le progressisme est un champ de ruines. Aucune idée ne sort plus de ses universités d’été, sauf pour qualifier d’ extrême droite la société civile quand elle critique l’oligarchie mondialiste au pouvoir. De Jean-Luc Mélenchon à Emmanuel Macron, une même caste persiste à imposer, au nom d’un militantisme universaliste, une société ouverte et déracinée. Les protestataires sont relégués dans la fachosphère, selon le procédé stalinien du terrorisme intellectuel et de la traque aux dissidents. Or la force des réalités oblige à constater les désastres de ces idéologies socialistes, antiracistes, postnationales.

