Les remous prévisibles de la motion de censure débattue ce 4 décembre, et votée par 331 députés amènent votre chroniqueur à se réinvestir hélas dans l'observation des méandres de la politique française.
Il n'est que trop clair en effet que le régime des partis est revenu en force. Ceci se confirme de jour en jour depuis la réélection du candidat Macron en 2022. Et le mal s'est aggravé, en 2024, du fait de la dissolution irresponsable de juin et du résultat qu'elle entraîna en juillet. L'incendiaire numéro un loge au palais de l'Elysée.