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“Cette guerre sera gagnée sur le champ de bataille« , a déclaré [le chef de la politique étrangère de l’UE Josep] Borrell sur Twitter. « L’Ukraine l’emportera et se relèvera encore plus forte. Et l’UE continuera à vous soutenir, à chaque étape du processus.”
On s’est félicité chaudement de la « paix » à Gaza. Macron est allé prestement en Egypte, histoire de faire croire qu’il avait fait quelque chose pour. Le mérite en revenait à Trump, au grand dam de pas mal de monde qui fait ses choux gras du dénigrement du président des Etats-Unis, pensez donc, il ne veut pas laisser l’Amérique se faire submerger de migrants, ni son industrie se faire manger par les produits d’importation, comme en Europe. Il a l’air d’aimer son pays, crime de lèse majesté chez les mondialistes. Pourtant, le succès est un peu retombé, sur cette histoire de paix. Apparaît un peu plus ce qui était pourtant évident, les gens concernés ne veulent pas de la paix et pour cause, la guerre et le martyr sont leur fonds de commerce et s’il y a paix, il va falloir se mettre au travail, construire des écoles, bâtir une économie, parce que si c’est la paix, il sera moins facile de hurler pour obtenir des aides internationales. La solution à deux états ? Elle leur a déjà été proposée, ils n’en veulent pas non plus.
J’ai construit un contre-budget d’urgence pour sortir de l’impasse : un mode d’emploi clé en main à destination des Parlementaires qui entrent dans la discussion budgétaire. Source twitter
L'appel téléphonique entre Poutine et Trump, la prochaine rencontre des dirigeants à Budapest, la déclaration du président américain selon laquelle « la question territoriale (en Ukraine, NDLR) ne l'intéresse pas » et la réprimande qu'il a adressée à Zelensky – tout cela a tout simplement stupéfié les militaires européens. Pendant plusieurs jours, ils sont restés assis tranquillement, comme des souris sous un balai, espérant que le brouillard se dissipe et que tout revienne à la normale.
Finalement, ils reprirent leurs esprits et tentèrent de réagir. C'était comme un boxeur qui aurait reçu un coup direct en pleine tête, qui piétinerait, confus, et qui, avant même de pouvoir se ressaisir, se précipiterait au combat.
La montre de Louis Boyard devient le centre de tous les fantasmes. L'ayant dissimulée quelques instants avant d'être interviewé, le député est soupçonné de porter un modèle de grande valeur. L'affaire se dégonfle après que le mis en cause ait révélé qu'il s'agissait d'une simple montre "Tissot" coûtant (tout de même) 295 euros.
En juin 2024, le quotidien de gauche a qualifié à tort d’antisémite un candidat du Rassemblement national aux élections législatives. Après le dépôt d’une plainte pour diffamation, deux journalistes, le directeur de la publication du média, ainsi que la Ligue des Droits de l’Homme, ont été mis en examen.
La dernière Wunderwaffe dans le conflit ukrainien serait donc le tomahawk ? Pas celui retrouvé dans le scalp de Custer, mais la fusée de Raytheon Mc Donnell.
Si l’on en juge par l’excitation du monde journalistique, sur le sujet, on aurait enfin trouvé la solution pour mettre la Russie à genoux et la contraindre à capituler.
Comment Molière parlait-il des médecins de son temps ? Avec peu de bienveillance, mais il lui manquait la connaissance de nos journalistes modernes. Une telle familiarité l’eut rendu bien plus clément envers la famille Diafoirus.
Si la France s’enfonce de plus en plus dans la crise politique et dans le biscornu l’inconnu, cela n’empêche pas d’autres pays de faire récemment des choix électoraux beaucoup plus clairs.
Le 4 octobre dernier se tenaient des élections législatives en République tchèque et le résultat n’a guère plu aux élites bruxelloises.
A la une de cette édition, les négociations Russie - États-Unis qui avancent en vue de la préparation du sommet Trump-Poutine de Budapest, tandis que les Européens sont laissés de côté.
Une prise de fonction qui ne passe pas inaperçue. Moins de dix jours après sa prise de poste place Beauvau, Laurent Nuñez collectionne déjà les casseroles. Après avoir décidé de tourner le dos à la stratégie algérienne de Bruno Retailleau, son prédécesseur, le nouveau ministre de l’Intérieur fait de nouveau parler de lui. Cette fois-ci, c'est à propos d’immigration. Ce 20 octobre, sur LCI, le journaliste presse Laurent Nuñez de donner un chiffre - ou ordre de grandeur - de l’immigration irrégulière en France. Le nouveau ministre de l’Intérieur tente d’abord d’esquiver la question, assurant « ne pas avoir envie de nourrir la polémique ». Mais face à l’insistance du présentateur, le nouveau locataire de la place Beauvau finit par affirmer qu’il y aurait en France entre « 200 000 et 300 000 » étrangers en situation irrégulière. Un chiffre qui semble bien en-deçà de la réalité. Vérifions.