C’était samedi dernier dans le centre-nord du Burkina Faso à Barsalogho, ville de 10.000 habitants, et le terrible bilan ne cesse de s’alourdir : plus de 300 personnes ont été abattues par un groupe terroriste, essentiellement des hommes.(…)
actualité - Page 261
-
Burkina Faso : en deux jours, plus de 300 civils massacrés aux cris de “Allah Akbar” à Barsalogho par des djihadistes et dans une autre ville, 26 chrétiens tués lors d’un attentat dans une église
-
Eric Comyn : la France en a marre…
L’affaire du gendarme tué à Mougins met la nation à mal et révèle ce que le pouvoir tente de cacher en permanence, alors que ce n’est plus possible : les méfaits d’une immigration de masse, avec des gens qui n’ont pas l’ombre d’une quelconque compatibilité avec la vie en Occident. Ils s’en sortent souvent avec une appréciation judiciaire du style « Il ne connaît pas nos codes », laquelle vient contredire une autre appréciation judiciaire ; « Nul n’est censé ignorer la loi ». Et cette loi a lentement glissé vers une ethnicisation de son application, devenue très différente selon l’origine ethnique et la couleur du délinquant. Ethnicisation également des commentaires de la presse, qui matraque des jours sur Nahel, la mort d’un jeune défavorablement connu des services de police, mineur, non encadré par ses parents, qui sont tout juste responsables de leur progéniture, et relativise à outrance la mort d’un gendarme, un fonctionnaire et un honnête homme, allant jusqu’à considérer ce qui a toute l’apparence d’un meurtre, comme un banal fait divers. Manque de chance pour le délinquant capverdien, des images de vidéosurveillance mettent à mal sa version du « je l’ai pas fait exprès, je ne l’ai pas vu ». Et donc quoi, il ne faudrait rien lui dire, puis qu’il ne l’a pas fait exprès ?
-
France : démocratie, droits de l’Homme, libertés, en péril ?
Lucie Castets dénonce « un déni de démocratie » en France concernant le choix d’un Premier ministre. Avec la détention du fondateur de la messagerie Telegram, Pavel Durov, les Français, mais aussi les observateurs internationaux s’interrogent sur la situation des droits fondamentaux dans le pays. Avec les législatives, un « coup d'État démocratique » se confirme. Les divers responsables politiques opposés à Macron évoquent une dérive illibérale. De nouveau, la destitution du président français est brandie.
Pour la recherche d'un gouvernement, Lucie Castets dénonce « un déni de démocratie », stipule France Info. Résultat, « les écologistes et le PS boycottent les nouvelles consultations à l'Elysée ».
-
Chemin de croix
Gaëtan de Capèle
Cela fait maintenant quarante-six jours qu’Emmanuel Macron est à la recherche d’un mouton à cinq pattes pour Matignon. Un extraterrestre qui mènerait une politique à la fois de droite - mais point trop - et de gauche - point trop non plus - pour espérer coaliser un bloc central jusqu’ici introuvable. Et dont la première priorité serait d’établir un budget pour l’an prochain. Souhaitons-lui bon courage ! Alors qu’il ne reste que quelques jours pour boucler cet exercice, aux dernières nouvelles, la situation, déjà critique, ne fait qu’empirer : les recettes attendues ne sont pas au rendez-vous et les dépenses des collectivités territoriales s’envolent. Résultat, l’objectif de ramener le déficit de 5,5 % du PIB à 5,1 % - chiffres déjà cauchemardesques - ne sera pas atteint.
-
Moi et le chaos : Macron à la manœuvre
Notre pays s’enfonce dans le chaos politique. La France n’a plus qu’un gouvernement démissionnaire et fait pire que sous la IVe République, avec cette différence qu’à cette époque il y avait encore un État et une industrie pour faire fonctionner le pays. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Macron le destructeur peut désormais ajouter à son tableau de chasse un nouveau massacre : celui de la Ve République.
Le grenadier de la république
Macron a tué la Ve République en dissolvant l’Assemblée nationale au lendemain de sa défaite aux élections européennes et en organisant des législatives dans la précipitation, sinon en violation du code électoral. Des législatives dont il refuse ensuite les résultats.
-
Paris (18e) : violent affrontement entre des dizaines de migrants afghans en pleine rue sous les yeux de riverains et d’automobilistes
[Info Valeurs] Une rixe entre 40 migrants afghans a fait 4 blessés à l’arme blanche secteur Marx Dormoy dans le 18e arrondissement de Paris, ce samedi, indique une source policière. Les victimes ont été prises en charge en urgences absolue et relative. Six interpellés.
-
En passant…
Par Rodolf Hertig
L’été s’achève et nous regardons en arrière comme envieux du temps qui a passé. Ces beaux instants… Mais la rentrée arrive et, avec elle, c’est la réalité qui nous écrase. Qu’il est éprouvant d’y revenir.
Devoir se taire car la liberté d’expression n’est plus en Europe. En témoigne la brutalité du traitement des Britanniques légitimement abasourdis par l’assassinat de fillettes par l’un des fils d’Islam. Se demander quand les autorités françaises se laisseront aller aux mêmes abus. Peut-être est-ce déjà le cas…
-
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov prévient les États-Unis que la troisième guerre mondiale ne se limiterait pas à l’Europe
« Ils ont l’état d’esprit d’un maître assis quelque part à l’étranger et se croyant totalement en sécurité, pensant que non seulement les Ukrainiens, mais aussi… les Européens seraient prêts à faire le sale boulot et à mourir pour eux. »
Mardi, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a averti les États-Unis que si la guerre en Ukraine dégénérait en un conflit militaire plus large, une éventuelle troisième guerre mondiale ne se limiterait pas aux champs de bataille en Europe.Alors qu’il répondait aux questions des journalistes deux ans et demi après le début de l’OMS, M. Lavrov a été invité à répondre à un récent reportage du Guardian selon lequel le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy voulait utiliser des missiles Storm Shadow à longue portée qui « menacent Moscou et Saint-Pétersbourg » pour forcer la Russie à s’assoir la table des négociations.
-
Le système politique allemand est au bord du gouffre en Thuringe.
L’Allemagne, dirigée par un gouvernement composé des sociaux-démocrates du SPD, des écologistes du Bündnis 90/Die Grünen et des libéraux du FDP, connaîtra, au mois de septembre, des élections pour les parlements de trois des 16 États fédérés qui la composent : le 1 du mois, en Thuringe et en Saxe, et, le 22, au Brandebourg.
Le plus grand défi pour le système politique
Ces scrutins, qui se déroulent dans l’Est, constituent probablement le plus grand défi, depuis la Seconde Guerre mondiale, pour le système politique en place en Allemagne. Si le Brandebourg, en tant que zone entourant Berlin, et la Saxe, qui dispose des métropoles de Dresde et de Leipzig, pèsent lourd au sein du pays, la Thuringe ne représente que 3 % du nombre total d’habitants. Pourtant, cet État est probablement celui qui constituera le plus un test pour le système politique en place.
-
[MIEUX VAUT EN RIRE] La théorie de Lucie Castets pour vaincre le racisme