
Un couple d’Annéciens a été jugé pour le délit d’ « aide à l’entrée, à la circulation ou au séjour irréguliers d’un étranger en France » par le tribunal correctionnel d’Albertville.
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Un couple d’Annéciens a été jugé pour le délit d’ « aide à l’entrée, à la circulation ou au séjour irréguliers d’un étranger en France » par le tribunal correctionnel d’Albertville.
Fini le jeu d’ombres. C’est maintenant au grand jour. Tous les coups sont permis.
Pièce 1 : vendredi 22 mars 2024. C’est la guerre. Le Kremlin, par l’intermédiaire de Peskov, l’admet enfin, officiellement.
La citation :
«La Russie ne peut pas permettre l’existence à ses frontières d’un État qui a l’intention documentée d’utiliser toutes les méthodes pour lui prendre la Crimée, sans parler du territoire des nouvelles régions».
Traduction : le mongrel de Kiev fabriqué par l’Hégémon est condamné, d’une manière ou d’une autre. Le signal du Kremlin : «Nous n’avons pas encore commencé» commence maintenant.
Pièce 2 : Vendredi après-midi, quelques heures après Peskov. Confirmé par une source européenne sérieuse – non russe. Le premier contre-signal.
Jeudi dernier, à l'occasion d'une réunion qu'il tenait à Lannion (22), le journal Le Télégramme a donné la parole à Erwan Chartier, auteur d'un livre vantant les "bienfaits" du grand remplacement, en particulier dans la commune de Callac qui, l'an dernier, à victorieusement résisté au projet d'implantation massive de migrants voulu par une fondation parisienne. Cliquez ici
Notre ami Bernard Germain, abondamment calomnié dans cet entretien, adresse ce jour au Télégramme le droit de réponse suivant :
Erwan Chartier est-il quelqu’un de sérieux ?
Dans son édition du 21 mars 2024, Le Télégramme de Brest a publié un article annonçant une réunion d’Erwan Chartier devant se tenir le soir même à Lannion pour y présenter son livre « Callac de Bretagne » qui rétablirait la « vérité » sur ce qui s’est passé à Callac et pourquoi le projet de faire venir des centaines de migrants dans ce petit bourg a été abandonné par la municipalité de gauche, soutenue par les élus de droite du conseil.
Deux ans après le début de la guerre en Ukraine, la réalité contredit les prévisions hasardeuses du camp occidental qui annonçait la mise en échec de la Russie. En fermant la porte à la diplomatie, les États-Unis et les pays de l’Union européenne n’ont fait que prolonger la guerre en entretenant l’illusion que l’Occident avait les moyens de la soutenir et de la gagner, contribuant ainsi à imposer au peuple ukrainien des souffrances effroyables. On peut tirer des évènements et de la situation actuelle un certain nombre d’observations et d’enseignements. Pour qu’un tel exercice puisse être utile, il faut éviter toute forme de simplification et de manichéisme. Nous en sommes loin. Toute position qui s’écarte de la doxa officielle en replaçant cette guerre dans son contexte historique et géopolitique, et en soulignant les erreurs et les fautes qui nous incombent, est combattue et disqualifiée. On ressort alors les mots qui tuent pour discréditer ceux qui ont un regard différent sur la guerre. Ce sont des traitres et des collabos contaminés par l’esprit de Munich. Jamais, peut-être, l’opinion n’a été manipulée à ce point. Triste réalité d’une époque médiocre dans laquelle l’intelligence a cédé la place à l’idéologie.
L’attentat de la gare de Bologne, 85 morts et plus de 200 blessés le 2 août 1980.
Le 26 septembre suivant, 13 morts et 200 blessés à la fête de la bière de Munich.
Les tueries du Brabant, 28 morts dans le sud de la Belgique entre 1982 et 1985.
Derrière ces crimes, se trouveraient l’Otan, les Etats-Unis et de hauts responsables politiques de plusieurs pays d’Europe, désireux de créer une « stratégie de la tension » pour lutter contre l’URSS.
Lundi 18 mars, en milieu d’après-midi, une jeune femme se présente au commissariat de Rennes pour signaler l’enlèvement d’un proche. Il était un peu plus d’une heure du matin, la nuit précédente, quand un jeune homme de 23 ans a été enlevé par plusieurs individus alors qu’il se trouvait à son domicile, dans le quartier du Blosne, au sud de la ville. Au commissariat, la jeune femme explique que, le matin même, à la demande des ravisseurs, elle a dû récupérer un sac et le leur remettre, dans un garage. Puis, ces mêmes ravisseurs ont exigé qu’elle leur verse 100 000 euros en liquide. Somme qu’elle ne peut réunir.
Frédéric Mitterrand vient de mourir. Il est d’usage, quand on est de droite et chrétien - contrairement au communiste Boris Vian -, de ne pas cracher sur les tombes. On apprenait, autrefois, aux enfants à se signer et se découvrir au passage du corbillard, par respect pour le gisant à l’intérieur, au moment où il se présentait, transi, devant son créateur.
L’option la plus élégante aurait donc pu être le silence. Sauf que la surréaliste canonisation générale dont il fait l’objet dans les médias, le zèle de ses thuriféraires pour le porter au pinacle forcent à rétablir la vérité. Il ne manquerait plus qu’il soit - c’est tellement à la mode - panthéonisé.