
Emmanuel Macron et Gabriel Attal ont beau se féliciter en permanence de l’excellence de leur politique, la France est dans un état lamentable – et tout a été et est fait pour qu’elle y reste.
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Emmanuel Macron et Gabriel Attal ont beau se féliciter en permanence de l’excellence de leur politique, la France est dans un état lamentable – et tout a été et est fait pour qu’elle y reste.
« Lorsque vous dépensez votre argent pour vous-même, vous le faites judicieusement.
Lorsque vous dépensez votre argent pour les autres, vous minimisez les coûts.
Lorsque vous dépensez l’argent des autres pour vous-même, il y a du gaspillage.
Le pire, c’est de dépenser l’argent des autres pour les autres. C’est pour cela que l’État n’est jamais efficace.»
Attention ! ceci n’est pas une critique antimilitariste car on sait bien qu’il ne représentent qu’une infime minorité de l’armée française, mais plutôt le constat d’un phénomène socio-médiatique. Ils sont là désormais, fanfaronnant, omniprésents sur les « chaînes d’info en continu », ce nouvel outil de propagande. Ce qui est sidérant, c’est la ressemblance entre les « généraux de plateau », présupposés experts de la guerre d’Ukraine et les « médecins de plateau », appelés à commenter le déroulement de la crise sanitaire en 2020-2021 du haut de leur prétendue science des épidémies. La ressemblance entre les généraux de plateau et les médecins de plateau est frappante :
Un couple d’Annéciens a été jugé pour le délit d’ « aide à l’entrée, à la circulation ou au séjour irréguliers d’un étranger en France » par le tribunal correctionnel d’Albertville.
Fini le jeu d’ombres. C’est maintenant au grand jour. Tous les coups sont permis.
Pièce 1 : vendredi 22 mars 2024. C’est la guerre. Le Kremlin, par l’intermédiaire de Peskov, l’admet enfin, officiellement.
La citation :
«La Russie ne peut pas permettre l’existence à ses frontières d’un État qui a l’intention documentée d’utiliser toutes les méthodes pour lui prendre la Crimée, sans parler du territoire des nouvelles régions».
Traduction : le mongrel de Kiev fabriqué par l’Hégémon est condamné, d’une manière ou d’une autre. Le signal du Kremlin : «Nous n’avons pas encore commencé» commence maintenant.
Pièce 2 : Vendredi après-midi, quelques heures après Peskov. Confirmé par une source européenne sérieuse – non russe. Le premier contre-signal.
Jeudi dernier, à l'occasion d'une réunion qu'il tenait à Lannion (22), le journal Le Télégramme a donné la parole à Erwan Chartier, auteur d'un livre vantant les "bienfaits" du grand remplacement, en particulier dans la commune de Callac qui, l'an dernier, à victorieusement résisté au projet d'implantation massive de migrants voulu par une fondation parisienne. Cliquez ici
Notre ami Bernard Germain, abondamment calomnié dans cet entretien, adresse ce jour au Télégramme le droit de réponse suivant :
Erwan Chartier est-il quelqu’un de sérieux ?
Dans son édition du 21 mars 2024, Le Télégramme de Brest a publié un article annonçant une réunion d’Erwan Chartier devant se tenir le soir même à Lannion pour y présenter son livre « Callac de Bretagne » qui rétablirait la « vérité » sur ce qui s’est passé à Callac et pourquoi le projet de faire venir des centaines de migrants dans ce petit bourg a été abandonné par la municipalité de gauche, soutenue par les élus de droite du conseil.
Deux ans après le début de la guerre en Ukraine, la réalité contredit les prévisions hasardeuses du camp occidental qui annonçait la mise en échec de la Russie. En fermant la porte à la diplomatie, les États-Unis et les pays de l’Union européenne n’ont fait que prolonger la guerre en entretenant l’illusion que l’Occident avait les moyens de la soutenir et de la gagner, contribuant ainsi à imposer au peuple ukrainien des souffrances effroyables. On peut tirer des évènements et de la situation actuelle un certain nombre d’observations et d’enseignements. Pour qu’un tel exercice puisse être utile, il faut éviter toute forme de simplification et de manichéisme. Nous en sommes loin. Toute position qui s’écarte de la doxa officielle en replaçant cette guerre dans son contexte historique et géopolitique, et en soulignant les erreurs et les fautes qui nous incombent, est combattue et disqualifiée. On ressort alors les mots qui tuent pour discréditer ceux qui ont un regard différent sur la guerre. Ce sont des traitres et des collabos contaminés par l’esprit de Munich. Jamais, peut-être, l’opinion n’a été manipulée à ce point. Triste réalité d’une époque médiocre dans laquelle l’intelligence a cédé la place à l’idéologie.
L’attentat de la gare de Bologne, 85 morts et plus de 200 blessés le 2 août 1980.
Le 26 septembre suivant, 13 morts et 200 blessés à la fête de la bière de Munich.
Les tueries du Brabant, 28 morts dans le sud de la Belgique entre 1982 et 1985.
Derrière ces crimes, se trouveraient l’Otan, les Etats-Unis et de hauts responsables politiques de plusieurs pays d’Europe, désireux de créer une « stratégie de la tension » pour lutter contre l’URSS.