Près de 200 convives, une dizaine de stands dont celui de Synthèse nationale, quatre interventions (Roland Hélie, Pierre Cassen, Bruno Hirout et Bernard Germain), une détermination intacte, le tout ponctué par un concert de Christoff BZH... cette année encore la Fête du Cochon organisée par la fédération bretonne du Parti de la France a remporté un franc succès dimanche 11 septembre à Treffendel (35).
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La Fête du cochon organisée par la section bretonne du Parti de la France a rencontré un franc succès...
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Le Danemark fait un pas de plus vers l’expulsion de ses demandeurs d’asile vers le Rwanda (MàJ)
11/09/2022
Après plus d’un an de négociations, une déclaration bilatérale ouvre la voie à l’expulsion de migrants en attente de protection vers le pays d’Afrique centrale, le temps que leur dossier soit étudié.
Une brique de plus dans la forteresse. En juin 2021, le gouvernement social-démocrate danois réalisait un rêve de l’extrême droite en faisant voter une loi autorisant à sous-traiter l’accueil – ou l’enfermement – de migrants dans un pays tiers, le temps d’évaluer leur demande d’asile. Désormais, le projet controversé prend forme.
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La novlangue économique au travail
La novlangue économique au travail
Dernièrement, il y a eu cinq cas d'utilisation de la novlangue dans le plan économique qui méritent d'être analysés, car pour le lecteur de la presse mainstream, les mots le trompent, ils relèvent de la novlangue.
De plus, celle-ci a atteint un point extrême où les mots dissimulent de terribles plans, un contrôle et une domination des masses impensables il y a seulement quelques années.
1- - Europe : mettre progressivement en place le 'Crédit Social'.
En Chine, depuis 2018, ils ont établi un "Score de crédit social" pour tout le monde, qui est calculé sur des ordinateurs centralisés, à partir de données provenant d'achats, de transactions, de voyages ou de déplacements, de lectures et d'utilisation de la presse, d'Internet, du cinéma, de la télévision.....
Ceux qui ont un bon score ont la préférence pour les emplois, les transports, les universités, le logement, et ceux qui ont un moins bon score sont limités en tout. Une déclaration publique de soutien aux idées ou aux mesures du gouvernement améliore la note, et si la note est très mauvaise, vous pouvez finir dans un centre de rééducation.
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Chapitre 10 : GIEC, Climat & fin du monde, conclusion.
Cet article est une tribune libre, non rédigée par la rédaction du Salon beige. Si vous souhaitez, vous aussi, publier une tribune libre, vous pouvez le faire en cliquant sur « Proposer un article » en haut de la page.
* LA SCIENCE A L’ENDROIT ! Conférence en ligne sur le climat. *
Chapitre 1 : Le GIEC pour les nuls
Chapitre 2 : Le réchauffement climatique anthropique fait consensus à 97%. Vraiment ?
Chapitre 3 : Y a-t-il un complot pour faire taire les opposants au GIEC ?
Chapitre 4 : Le climat mondial se réchauffe t il ?
Chapitre 5 : CO2, accusé levez-vous !
Chapitre 6 : Contre toute logique scientifique pourquoi le CO2 est-il devenu l’ennemi public numéro 1 ?
Chapitre 7 : Nous notons depuis une vingtaine d’année une augmentation des phénomènes climatiques. Info ou intox ?
Chapitre 8 : Les prévisions du GIEC se vérifient-elles ?
Chapitre 9 : Et demain, vers quoi les prévisions du GIEC nous emmènent-elles ?
Chapitre 10 : GIEC, Climat & fin du monde, conclusion.
Tout au long de ces 9 chapitres, nous nous sommes attachés à non pas bêtement s’opposer aux travaux du GIEC, mais à démontrer à base de sources scientifiques, publiques, et vérifiables, que les choses ne sont pas aussi évidentes que ce que l’on souhaite nous faire passer pour un consensus absolu et non discutable. Le premier travail d’un scientifique est d’être sceptique.
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Entretien avec Olivier Piacentini sur le désastre économique orchestré par les mondialistes
L’économiste Olivier Piacentini était l’un des conférenciers de la IVe université d’été du Pays Réel organisée par Civitas. A l’issue de celle-ci, Olivier Piacentini a accepté de répondre à quelques questions posées par Alain Escada. L’entretien porte notamment sur la situation politique, le rôle des médias et, bien sûr, la situation économique.
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Le PDG d’EDF a osé tenir tête à Macron : comme le général de Villiers ?
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Quand François Ruffin remet en question l’abandon par LFI des classes populaires
Le Ruffin des villes, parcourant les rues d’Amiens-Nord, distribuait des tracts avec « la tête à Mélenchon, en bien gros » car c’était « le succès presque assuré, son nom servait de passe-partout ». À l’inverse, le Ruffin des champs, changeant de clientèle, prenait soin d’effacer toute référence à son encombrant patronage : « dès qu’on s’éloignait, pour le dire avec un euphémisme, cette affection n’était guère partagée, et mieux valait le gommer de nos affiches, de nos documents ».
François Ruffin s’est donc mis en tête, de reconquérir l’« électorat populaire de la France des gilets jaunes, des France périphériques », comme il le déclarait au micro de France inter, le 6 septembre dernier. Une « reconquête » car cet électorat est parti depuis longtemps chez Marine Le Pen : « La gauche a-t-elle lâché l'affaire ? », s’interrogeait le député Insoumis. « Je le crains, et je viens de faire un livre pour dire que je ne veux pas ça », ajoutait-il.
Des déclarations précédées de plusieurs interviews dans la presse nationale, et notamment Le Monde qui, en juin dernier, soulignait la volonté du député de la Somme de faire entendre sa différence au sein de La France insoumise (LFI). Une différence source de tensions car elle appuie là où ça fait mal en révélant l’imposture de Mélenchon et des Insoumis qui, pour accéder au pouvoir, ont fait le choix de sacrifier la France périphérique pour la France des « minorités », la lutte des classes pour les luttes sociétales.
Plusieurs députés LFI se sont empressés de dénoncer les propos de leur collègue. Alexis Corbière, élu du 93, a réagi sur Twitter : « Pourquoi taire nos bons scores dans les départements qui sont aussi populaires ? » Un autre député insoumis, Antoine Léaument, lui a reproché de « participer à la logique de division du peuple de nos adversaires » en « opposant les citoyens des quartiers et des campagnes ». Les mauvaises langues verront là les prémices d’une guerre des chefs provoquée par les annonces de départ du Líder Máximo. Jean-Luc Mélenchon a pourtant menacé : « Le premier qui déclenche une guerre civile [au sein de LFI], il aura affaire à moi. »
Ces petites querelles permettent de mettre au jour le cynisme de Mélenchon et des Insoumis qui ont trahi les « classes populaires » en reprenant la stratégie de Terra Nova, le think tank progressiste qui encourageait, en 2011, la gauche à se mettre plus en conformité avec « la France de demain ». Entendez : remplacer son électorat traditionnel ouvrier par l’électorat des jeunes, des diplômés, des femmes et surtout des minorités. La laïcité sourcilleuse de Mélenchon a ainsi été passée par-dessus bord et ce sont désormais des imams qui appellent à voter pour lui. Ajoutons à cela quelques déclarations bien outrancières contre la police et le Líder Máximo est devenu l’icône des quartiers perdus de la République.
Mélenchon est finalement comme Macron : ses convictions suivent la direction des vents dominants. Dans un entretien paru dans LVSL en 2021, Manuel Cervera-Marzal, sociologue venu de l’extrême gauche et auteur d’une enquête sur la stratégie des Insoumis, expliquait qu’après l’échec de 2017 à la présidentielle, il y avait eu un débat au sein de LFI pour déterminer où se trouvaient les voix manquantes qui auraient permis l’accès au second tour. Deux lignes s’opposaient : d’un côté, ceux qui estimaient qu’elles se situaient « du côté des classes populaires blanches, des zones rurales ou péri-urbaines plutôt en déclin, désindustrialisées, la diagonale du vide » ; de l’autre, ceux qui misaient sur les banlieues des grandes métropoles où se trouvent « les classes populaires racisées, descendantes de l’immigration ». Voilà qui a le mérite de la clarté. Comme le reconnaissait alors le sociologue, on ne tient pas le même discours aux uns et aux autres « sur des thèmes sensibles comme la laïcité, l’immigration, la police ». C’est bien tout le problème de François Ruffin.
Mélenchon, lui, semble avoir tranché en faisant le choix de sacrifier les « classes populaires blanches » sur l’autel de la « créolisation de la société ».
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« Vous êtes des baqueux de merde. » Le député écologiste Aurélien Taché condamné pour avoir insulté des policiers
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Charles Gave : "On a élu des lâches et on paye le résultat aujourd'hui !"
Avec Charles Gave, président de l’Institut des Libertés et économiste. -
L’analyse de Christopher Lasch sur la fracture entre les « élites progressistes » et le peuple
L’origine de l’idéologie du progrès
Dans le monde anglo-saxon, l’origine de ce que l’auteur définit comme une « promesse d’abondance et de jouissance destinée à s’accomplir ici-bas » est moins à rechercher chez les philosophes des Lumières français que chez leurs homologues écossais et les pères du libéralisme moderne Bernard de Mandeville (1670-1733), David Hume (1711-1776) et Adam Smith (1723-1790).