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actualité - Page 780

  • Trump : le dernier round face à l’Etat profond – JT du lundi 11 janvier 2021

    Au programme ce soir, la charge des réseaux sociaux contre le président Trump. Régulièrement censuré, le président américain a vu ses comptes littéralement supprimés de certaines plateformes. Un phénomène qui pose le problème de la toute-puissance de ces firmes des Big Tech.

    Egalement dans cette édition, retour sur le Covid. Un an après le premier décès officiellement lié à l’épidémie en Chine, le monde est plongé dans de multiples crises. Un bouleversement global où la liberté individuelle sera à compter parmi les premières victimes.

    Et puis nous irons du côté des conséquences économiques. Après une année 2020 marquée par les perfusions de l’Etat pour sauver le monde du travail, Pôle Emploi se prépare à une déferlante de nouveaux chômeurs en 2021.

    https://www.tvlibertes.com/trump-le-dernier-round-face-a-letat-profond-jt-du-lundi-11-janvier-2021

  • Les seuls héros qu’on admire aujourd’hui sont ceux qui se font tuer…

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    Entretien avec Alain de Benoist

    Naguère, le héros, le combattant, le sage et le saint étaient admirés et donnés en exemple. Aujourd’hui, les victimes semblent avoir pris leur place. Comme expliquer une telle mutation symbolique ?

    Deux causes fondamentales : le discrédit des valeurs héroïques, la montée de l’idéologie victimaire, lacrymale et exhibitionniste.

    Il est clair que les valeurs héroïques sont aujourd’hui perçues comme des valeurs d’une époque que l’idéologie dominante, avant tout hédoniste, individualiste et utilitariste, s’emploie à présenter de façon répulsive. Comme tout ce qui touche à la patrie, elles sont décrétées « ringardes », c’est-à-dire à la fois vieillottes et obsolètes. On admire à la rigueur les héros qui se sont fait tuer (le colonel Beltrame, les soldats français tombés au Sahel), car leur mort a fait d’eux des victimes, mais on se méfie des héros vainqueurs. Trop guerriers dans une époque qui rêve de paix universelle, trop virils à l’époque de la « masculinité toxique » (le « repos du guerrier » ayant déjà été mis hors-la-loi par les pétroleuses du mitou).

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  • « Compétitivité » : des usines énergivores débranchées du réseau français

    « Electricité : des usines énergivores débranchées du réseau françaisVendredi, aux alentours de 14 heures, RTE a activé le mécanisme dit « d’interruptibilité ». Autrement dit, il a débranché des sites industriels énergivores pour réduire leur consommation à cause d’un incident. RTE explique que ce phénomène n’est pas lié à la tension sur le réseau électrique français. Des sites comme celui du groupe Liberty, qui produit de l’aluminium à Dunkerque, ou ceux du chimiste KEM ONE dans le sud de la France peuvent se voir couper le courant pour libérer des centaines de mégawatts »

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  • GAFA: La toile se resserre – Une dérive qui inquiète jusqu’à la gauche (Présent)

    9781-p2-chardtrumpgafa.jpg?resize=600%2C940&ssl=1Prenant honteusement prétexte des incidents ayant émaillé mercredi dernier la juste manifestation de colère des partisans de Donald Trump devant le Capitole à Washington (voir Présent daté du 8 janvier), les milliardaires mondialistes à la tête des tout-puissants réseaux sociaux que sont Twitter, Facebook ou encore Instagram ont brutalement fermé ou suspendu vendredi les comptes du président américain, et entamé une impitoyable chasse aux sorcières contre ses sympathisants. Une atteinte à la liberté d’expression tellement énorme que certains grands médias français et autres personnalités, pourtant très hostiles au chef de la Maison-Blanche, en viennent aujourd’hui à s’interroger, et même à s’inquiéter d’une telle dérive totalitaire.

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  • Affaire Duhamel, dérive racialiste et décolonialiste: Science Po dans la tourmente

    Science Po toujours dans la tourmente. Après la mise en cause d’une de ses figures emblématiques, Olivier Duhamel, pour des faits d’inceste pédocriminels, la fabrique à petites élites de la république est à présent sous le feu des projecteurs pour l’idéologie racialiste qui prospère en son sein.  Racialiste, décolonialiste et indigéniste se seraient ainsi fait leur place dans l’école rue Saint Guillaume… C’est en tout cas ce qu’explique une enquête publiée dans le Figaro dimanche.

    Inspirés des dérives universitaires américaines, des petits groupes feraient ainsi pression pour imposer leur vision du monde, faisant la chasse à celui qui serait dominant ou dominé. Un groupe d’étudiants noirs demande par exemple de rendre obligatoire des cours « à propos de l’intersectionnalité raciale, la théorie critique de la race et la pensée décoloniale » et d’obliger aux blancs de se rendre compte qu’ils sont racistes… Une partie des élèves, mais aussi des enseignants, s’inquièteraient de ces dérives… Avec les récents évènements, l’organisation de l’IEP pourrait bien être grandement chamboulée d’autant que certains parlementaires se sont publiquement inquiétés de ces dérives.

    https://www.tvlibertes.com/actus/affaire-duhamel-et-derive-decolonialiste-science-po-dans-la-tourmente

  • Les vaccins peuvent faire disparaître le virus, mais pas la crise

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    Marc Rousset

    La Bourse de Paris a fini au-dessus des 5.700 points, ce vendredi, portée par les perspectives optimistes de reprise économique, suite à la vaccination. Wall Street a également clôturé sur des records, ignorant les mauvais chiffres de l’emploi américain. En décembre, 140.000 emplois ont été perdus, alors que les analystes tablaient sur 112.000 emplois créés. Quant à la folie Tesla, elle continue puisque l’action s’est approchée des 900 dollars, faisant d’Elon Musk l’homme le plus riche du monde, la capitalisation boursière de Tesla (834 milliards de dollars) représentant 80 fois celle de Renault et dépassant celle de Facebook.

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  • Une réponse nationaliste au mondialisme par Julien DARVANT

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    C’est devenu une vérité de La Palisse que de dire que la pandémie du covid a permis au mondialisme d’étendre encore plus son emprise. Gestion par l’OMS, sacrifice de l’économie locale au profit des GAFAM, perte de cohésion sociale et atomisation de la société… Le mondialisme a su profiter de la crise qui aurait au contraire pu et dû accoucher d’une réaction nationaliste. Mais, par manque de réactivité et, aussi on le sent, par peur d’enfreindre les Diktat sanitaires, les nationalistes ne surent profiter de l’opportunité qui se présentait.

    Cette réaction salutaire était dictée d’abord par un sentiment de rejet. Le mondialisme avait failli, ses promesses ne s’étaient pas concrétisées, on nous avait menti. Mais comme l’adage le stipule, les sentiments, tout comme la colère, sont de bien piètres conseillers. Pourquoi s’opposer au mondialisme?

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  • Olivier Duhamel : il paraît que « tous savaient ». Et, donc ?

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    Il m’est arrivé de débattre avec . Je l’ai aussi beaucoup entendu dans les médias. Je n’ai jamais douté de sa position éminente dans certains lieux de pouvoir et de son influence auprès de beaucoup de décideurs, voire de son aura mondaine. Est-il besoin de rappeler Sciences Po et, sur un autre registre, Le Siècle ?

    À chaque fois que j’ai eu l’occasion, directement ou indirectement, de mesurer ce qu’il était, son intelligence, son savoir, son assurance voire parfois son arrogance (si sûr d’être supérieur !) étaient incontestables et souvent la pertinence de ses propos (où la gauche n’était plus un obstacle à l’adhésion) indiscutable.

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  • Pierre-Yves Rougeyron : l'UE contre Poutine - CEDH - Loi Magnitsky

  • Le féminisme n'est pas un humanisme : La grande défaite des femmes 2/2

    Le féminisme n'est pas un humanisme La grande défaite des femmes.jpegÉLÉMENTS: Vous tentez une comparaison entre limage de la femme chez Balzac et chez Houellebecq. Qu'est-ce que cette comparaison nous apprend ?

    EUGÉNIE BASTIÉ. Balzac et Houellebecq sont des auteurs intéressants car ils décrivent chacun la « comédie humaine » de leur époque, ce sont des romanciers-sociologues; je pense d'ailleurs que c'est souvent la littérature qui est la vraie sociologie. Chez Balzac, la femme est le centre du jeu social, qu'elle soit séductrice, qu'elle manigance, qu'elle soit femme de cœur ou femme de tête, alors que chez Houellebecq elle est souvent réduite à une pute ou à une emmerdeuse. Il décrit un monde où la femme et la mère disparaissent. Contrairement à Éric Zemmour - qui, je pense, se trompe lourdement sur ce point -, il a compris que nous ne vivions pas du tout une phase de féminisation de la société. La prof de lettres désabusée, la musulmane, la pute thaïlandaise, l'artiste, la journaliste, etc. : autant de figures différentes qui témoignent pourtant dans ses romans d'une réduction radicale de l'imaginaire féminin symptomatique de ce qu'a provoqué le féminisme, c'est-à-dire une dévalorisation de la femme.

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