Elon Musk, le patron de X, l’a exprimé brièvement, suite à la victoire de Trump :
“Vous êtes les médias maintenant”
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Elon Musk, le patron de X, l’a exprimé brièvement, suite à la victoire de Trump :
“Vous êtes les médias maintenant”
Quatre femmes ont été victimes d’un homme aux abords du centre commercial Écully Grand Ouest. L’une d’entre elles a été violée alors qu’elle était avec son bébé en poussette.
Chronique de Paysan Savoyard (n° 329 – Octobre 2024)
Nous l’avons dit à plusieurs reprises : le Système au pouvoir est de nature totalitaire (voir cette chronique, celle-ci, celle-ci). La recension des événements intervenus depuis notre chronique précédente sur ce thème le démontre une fois encore.
Les politiques conduites par le Système sont entièrement guidées par son idéologie, l’humanisme, héritée des Lumières et de la révolution française et composée des principaux axiomes suivants : primat de l’individu, libre et égal aux autres, placé au centre de la société ; universalisme ; matérialisme ; progressisme (voir cette chronique). Animé de ces principes, le Système entend mettre en œuvre une « ingénierie sociale » pour fabriquer une société nouvelle et un homme nouveau. Le Système considère que son idéologie représente le Bien : il est donc pour lui légitime de l’imposer à tous, même lorsque les politiques qui en découlent ne correspondent manifestement pas aux vœux de la population et qu’elles bouleversent en profondeur les conceptions communes et la vie de chacun. Pour imposer son idéologie, le Système veut persuader et s’emparer des esprits, par la propagande omniprésente, le mensonge et la manipulation, le contrôle des médias, l’usage permanent du deux poids deux mesures, l’utilisation d’une novlangue et la réécriture de l’Histoire. L’imposition de l’idéologie du Système et des politiques qui en découlent passent également par la contrainte : limitation de la liberté d’expression, harcèlement des opposants, volonté d’installer un climat de crainte pour s’assurer de la docilité de la population. La toute puissance de l’idéologie, la volonté de remodeler la société et l’homme lui-même, la volonté d’imposer à tous l’idéologie officielle par la persuasion et par la contrainte sont les marques nettes, nous semble-t-il, de ce que nous sommes en présence d’un régime de nature totalitaire.
De Christophe Machard dans Les 4 Vérités :
Tout le monde se souvient de la révolte des Gilets jaunes, un mouvement qui a embrasé la France en 2018, cristallisé autour de l’augmentation brutale des prix du carburant. J’ai moi-même pris part à ce mouvement, d’abord sur les ronds-points de Segré, puis à Paris, et j’y ai rencontré des gens travaillant dur, des ouvriers, des employés, des artisans. Ces manifestations ont montré l’ampleur du malaise: des travailleurs incapables de boucler leurs fins de mois, malgré leurs efforts. L’augmentation du coût de l’essence n’a été que l’étincelle, car la colère couvait déjà depuis longtemps, exacerbée par un système d’assistanat qui privilégie ceux qui ne travaillent pas au détriment de ceux qui triment.
Nos élus, on les veut stupéfiants par actions, non par addictions ! Dehors Andy Kerbrat !
Encore un « Insoumis » gratiné … à ce stade leur service casting est un vrai petit bijou …
Dans ce foutoir à ciel ouvert qu’est devenue la France de Macron, s’acharnant à assassiner celle des Patriotes et de leurs valeureux ancêtres, il n’est guère un mois, une semaine, quelques jours… sans un nouveau scandale, toujours plus exécrable, en provenance de cette prétendue gauche virant de plus en plus en une secte de gravissimes malades mentaux, se voulant toujours totalement irresponsable des maux qu’elle produit par la crétinerie avérée de ses « têtes pensantes » !
par H16
L’actualité politique française est totalement occupée par les gesticulations parisiennes : les parlementaires s’agitent en Commissions et à l’Assemblée, les médias font leurs choux gras de leurs saillies, la presse relaie et analyse avec gourmandise les propositions et les joutes verbales. Pendant ce temps, personne ne s’occupe plus des difficultés de la Province.
Pourtant, les signes s’accumulent que la Province rencontre effectivement des difficultés croissantes. Parmi ces signes, la grogne des édiles de municipalités de toutes tailles et surtout les plus modestes : ainsi, il ne s’écoule pas une semaine sans qu’on compte l’une ou l’autre démission de maire d’une de ces 36 000 communes que la France compte sur son territoire.
par Thierry Meyssan
Si nous avons souvent montré que l’UE n’est qu’une chambre d’enregistrement de l’OTAN, c’est pour la première fois une décision de la Cour de justice du Luxembourg qui l’illustre. Selon elle, l’UE ne peut pas renvoyer de migrants en attente d’une décision d’asile vers des pays tiers dont les frontières légales ne correspondent pas à leurs frontières réelles. Il s’ensuit que l’Italie ne peut pas transférer de migrants égyptiens et bengalis dans des centres de rétention en Albanie. Tout cela en prévision d’un exode massif de Moldaves pour justifier d’une guerre en Transnistrie.
Le 18 octobre, un tribunal italien a invalidé la possibilité de faire transiter par un pays tiers, douze migrants bengalis et égyptiens qui avaient été sauvés en mer et réclamaient le droit d’asile. Politiquement, cette décision semble mettre à bas l’échafaudage imaginé par Boris Johnson de délocalisation des migrants. Les Britanniques voulaient les envoyer à des milliers de kilomètres, au Rwanda, les Italiens se «contentaient» de les acheminer à quelques dizaines de kilomètres, en Albanie.
Nicolas Bauer, chercheur associé à l’ECLJ (le Centre européen pour le droit et la justice) et Alain de Peretti, président de Vigilance Halal étaient invités de la matinale de Radio courtoisie le 17 octobre.
Quand un enraciné parle d’immigration à un déraciné, le dialogue ne peut que tourner court. Tous deux ne vivent pas dans le même monde. Ce lundi matin, Bruno Retailleau a néanmoins rendez-vous avec Emmanuel Macron. L’homme des champs devrait tenter de convaincre l’homme des villes de la nécessité d’une nouvelle loi sur le sujet. La dernière avait été largement censurée le 25 janvier, à l’invitation tacite du président, par le Conseil constitutionnel. Le ministre de l’Intérieur plaidera probablement pour l’allongement des délais de rétention des expulsables, des restrictions au regroupement familial et au droit du sol, une remise en question de l’Aide médicale d’Etat (soins gratuits pour les clandestins), le rétablissement du délit de séjour irrégulier, etc.