
MàJ 08/09/2025
Un détenu de la prison de Lyon Corbas a été mis en examen dans l’enquête sur le meurtre d’un jeune guetteur survenue en plein jour et devant une école, au mois d’avril dernier, à Vaulx-en-Velin.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

MàJ 08/09/2025
Un détenu de la prison de Lyon Corbas a été mis en examen dans l’enquête sur le meurtre d’un jeune guetteur survenue en plein jour et devant une école, au mois d’avril dernier, à Vaulx-en-Velin.

La période se prête aux formules parlantes. Les féministes dégénérées avaient inventé le mot « féminicide » pour qualifier le meurtre d’une femme par un homme… surtout quand l’homme est blanc et français. En réponse, Éric Zemmour avait évoqué les francocides, pour parler, lui, des crimes quotidiens de Français assassinés par des étrangers sur notre sol. Philippe de Villiers avait parlé, lui, de mémoricide, pour parler de la destruction de l’histoire de notre pays et de sa mémoire, par ceux qui haïssent notre roman national.

par Cyrille de Lattre
Une lettre, voilà souvent par quoi commencent les plus grands bouleversements de l’Histoire, un simple pli administratif qui, tombant sur le bureau d’un fonctionnaire, vient soudainement fissurer l’édifice apparemment stable de la paix quotidienne. C’est une missive de cette nature, révélée par les soins du Canard Enchaîné, qui vient d’ébranler les certitudes d’une nation tout entière, dessinant à l’encre bureaucratique les contours d’un avenir que beaucoup refusaient d’envisager. Il s’agit ni plus ni moins d’une instruction du ministère de la Santé, datée du 18 juillet 2025, enjoignant aux agences régionales de santé de se tenir prêtes, d’ici mars 2026, à un possible «engagement (militaire) majeur» de la France. Cette formulation, aussi sèche qu’alarmante, ouvre une brèche dans le récit officiel d’un pouvoir toujours prompt à minimiser les crises, et impose une réflexion profonde sur la trajectoire funeste empruntée par le pays sous l’ère Macron.

Mike Benz était rédacteur de discours pour la Maison Blanche sous Trump et sous-secrétaire adjoint aux communications internationales et à la politique de l’information au département d’État lors du premier mandat de Trump. Il a fondé la Foundation for Freedom Online en 2022 et est devenu l’un des principaux acteurs ayant dénoncé le « complexe industriel de la censure » après la publication des Twitter Files. Collin McMahon (The European Conservative) s’est entretenu avec Mike Benz lors de la Westminster Free Speech Conference le 20 juin 2025. Traduction breizh-info.com.

Alors que Bruxelles et Paris poursuivent leurs discussions avec l’administration Trump, un rapport récemment publié révèle l’ampleur des manœuvres françaises pour imposer une véritable industrie de la censure aux géants des réseaux sociaux. Au cœur du dispositif : l’État français, des ONG subventionnées, et une volonté assumée d’étendre le contrôle du discours public bien au-delà de nos frontières.
Michel Festivi
Depuis trop longtemps, les citoyens honnêtes et de bon sens, se plaignent en très grande majorité selon tous les sondages d’opinion, et à très juste titre du laxisme judiciaire ambiant qui empêche une vraie politique pénale dissuasive contre les criminels. Les plafonds des peines ne sont généralement quasiment jamais atteints, la pratique du sursis est abyssale, les remises de peines faussent totalement la vision que les Français peuvent avoir de la Justice. L’argument mille fois ressassé d’une justice qui ne serait pas indulgente, car les prisons sont archi pleines est un pur sophisme. D’une part la criminalité a explosé depuis une dizaine d’années voire plus, et d’autre part corrélativement, l’État se refuse à construire de nouvelles places d’incarcération, malgré les promesses réitérées des politiques. Cela a conduit dernièrement certains Chefs de Cour à devoir faire différer les jugements d’incarcération, comme ils l’ont indiqué publiquement en audience solennelle.

L’accord entre l’UE et les pays du Mercosur (Brésil, Argentine, Paraguay, Uruguay, Bolivie) a été validé ce 3 septembre par les membres de la Commission européenne. Dans les mois qui viennent, le texte sera soumis aux États membres, puis aux eurodéputés. Le Parlement européen est majoritairement favorable à cet accord.

L’auteur de l’attaque au couteau à Marseille, qui a fait 5 blessés hier, est un Tunisien “en situation régulière”.
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Tout d’abord je suis très heureux de vous retrouver après ces quelques semaines de vacances et de repos pour une rentrée qui s’annonce chargée et où l’actualité économique va partir sur les chapeaux de roues.