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Jean-Frédéric Poisson, président de VIA, et François Billot de Lochner, président de Liberté Politique, signent une tribune de défense de nos libertés, dans Valeurs Actuelles :
Toujours plus d’atteintes aux libertés fondamentales des Français. Après la liberté de culte, la liberté de circuler, la liberté d’informer et la liberté éducative, le gouvernement tente à présent sa chance du côté de la liberté d’opinion. C’est à croire qu’il s’est fixé pour programme de n’en laisser aucune intacte.
Dans la série des albums collector du type « Un Président de devrait pas dire ça… » à mettre sous le sapin, il faudrait ajouter le « Un ex-ministre de l’Éducation nationale ne devrait pas, etc. »
Commençons par planter le décor et jouer franc-jeu : j’enseigne en REP depuis dix ans et, comme 90 % de mes collègues, je ne scolarise évidemment pas mes enfants dans cet établissement. Nous le faisons sans aucune mauvaise conscience, mais de façon raisonnée. En effet, nous souhaitons pour nos enfants un enseignement et une vie scolaire, non pas « élitiste », mais tout simplement « normale ». Vous vous souvenez, comme le Président d’avant, tout simplement. Enfin, un peu mieux que ce normal-là, quand même.
Le Maire et Macron ont trouvé comment nous transformer en dhimmis dans notre propre pays.
Condamnés à travailler pour engraisser les immigrés… majoritairement musulmans et à subir les coups, humiliations et morts violentes que nos nouveaux maîtres nous assènent, avec la complicité effective de Macron.
Nous y sommes, le djihad est en phase finale, la transformation de la France en pays tenu par les musulmans qui imposent la charia aux dhimmis , c’est maintenant.
Comment ne pas s’étrangler de rage en lisant la presse chaque jour ?
Ce matin : plus d’un milliard d’euros pour l’AME des clandestins… mais ils veulent que les De Souche bossent davantage !
Ce matin, j’apprends donc, entre autres horreurs, que plus de 330 000 clandestins nous coûtent, au titre de l’AME, plus d’un milliard par an.
Depuis qu’ils furent « découverts » au XVIIIe siècle, les droits de l’homme font l’objet de critiques diverses, comme le montre Le procès des droits de l’homme (J. Lacrois et J.-Y. Pranchère, chez Seuil). Il n’empêche : ils sont devenus une « religion séculière), une « nouvelle morale » dénoncée par Alain de benoist (Au-delà des droits de l’homme, P.G. de Roux) et par jean-Louis Harouel (Les droits de l’homme contre le peuple, DDB). Le mur des droits de l’homme doit-il tomber ? À vous de juger.
Un professeur agrégé de chimie thérapeutique, en rupture avec la médecine d’Etat et son Agence Nationale de Sécurité du Médicament, interné d’office en hôpital psychiatrique sur décision préfectorale, couvre-feu, et autorisation de circulation limitée sous peines de lourdes sanctions, limitation des sorties du territoire avec mesures d’isolement au retour pour les récalcitrants. Tout cela rappelle vaguement quelque chose… Traitement des dissidents en URSS, plus présentable que le Goulag, “Ausweis” rendus célèbres par l’occupation allemande, et couvre-feu de surcroît.
L’Institut de sciences sociales économiques et politiques (ISSEP) inaugure son Centre d’analyse et de prospective (CAP). Marion Maréchal, fondatrice et directrice générale de l’ISSEP, explique les raisons de cette création. L’occasion de faire un tour d’horizon de l’actualité pour Boulevard Voltaire : crise sanitaire, crise économique, crise sociale, crise politique.
Le couperet est tombé ! Comme prévu, la macronie penche pour la privation des libertés. A partir du 15 décembre, la France vivra donc sous le régime du couvre-feu. Pour ne pas provoquer de révolte, le gouvernement autorise, dans sa grande amabilité, le réveillon de Noël, mais les Français devront faire l’impasse sur la fête pour la nouvelle année. Le tout alors même que les menaces d’un troisième confinement commencent à fleurir.
Dans un contexte toujours plus étouffant, les annonces de vaccins aussi innovants qu’inconnus, pullulent, le tout sur fond de conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique. Dans une stratégie de tension permanente et d’agitation des peurs, le gouvernement parvient à rogner les libertés des Français en bâillonnant peu à peu les élans de révolte.
Florian Philippot, le président des Patriotes, revient avec nous sur cette situation aussi dramatique sur le plan économique et social que sur le plan sanitaire. Un bilan provisoire assez net : la population est perdante sur tous les plans.
Dans son entretien du vendredi 4 décembre dernier pour le média Brut, Emmanuel Macron a enchaîné les déclarations sidérantes de soumission. L’une d’elle concernait les « contrôles au faciès ». Pour Emmanuel Macron, le fait que les extra-européens soient plus contrôlés que les Européens en France est « insoutenable ». Pour démontrer à quel point cette position est absurde, nous republions l’excellent travail du site Je Réinforme qui a répértorié 10 preuves du lien entre immigration et délinquance.
Y a-t-il un lien entre immigration et délinquance ? La criminalité est-elle plus fréquente chez les populations d’origine étrangère qu’auprès des Français sans ascendance extra-européenne ?
Avec cette loi contre le séparatisme islamiste – rebaptisée depuis « loi confortant les principes républicains » – le gouvernement s’at- taque à l’une des dernières libertés qu’il nous reste, et non des moindres, la liberté éducative.
Les éditions Akribeia viennent de sortir un nouvel ouvrage d’Eric Delcroix, avocat à la retraite, auteur notamment de deux livres majeurs sur l’effondrement du système pénal en France et de nos libertés individuelles. (…) Son nouvel ouvrage, intitulé Droits, conscience et sentiments, fait mouche alors que notre société semble tomber de plus en plus dans le totalitarisme. Extrait de l’entretien à retrouver sur Breizh Info: