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anti-national - Page 1022

  • Vindicte gouvernementale contre la famille par Augustin Debacker

    Lu sur Politique Magazine :

    L’annonce, attendue et redoutée, est donc tombée : le gouvernement a décidé d’abaisser le montant du quotient familial pour les familles dites « aisées », ce qui représente en réalité une partie des classes moyennes, de 2000 euros par demi-part fiscale à 1500 euros.

      « La force des gouvernements est en raison inverse du poids des impôts. » Emile de Girardin

    1.3 million de foyers (soit près d’un ménage avec enfant sur 6) verront donc leur avantage fiscal une nouvelle fois raboté (il est déjà passé de 2300 à 2000 euros au 1°Janvier 2013), et leur imposition sur le revenu augmentée de 64 euros par mois.

    « Familles, je vous hais ! ». Visiblement, dans le cadre de la réduction des dépenses d’Etat, le gouvernement socialiste a décidé de poser cette apostrophe de Gide en axiome de réflexion. Ainsi, l’exécutif passe le rabot budgétaire sur l’ensemble de la politique familiale française, pourtant l’une des branches les plus saines de l’Etat Providence français : son déficit n’est en réalité du qu’au financement de 4 milliards d’une partie des retraites.

    En tirant à boulets rouges sur le « quotient familial », le gouvernement a certes préservé le sacro-saint principe d’universalité de l’allocation, mais il a néanmoins remis en cause le principe fondamental de toute politique familiale qui est : « A niveau de vie égal, taux d’imposition égal ». L’économiste Alfred Sauvy l’expliquait ainsi : « La progressivité du taux se justifie parce que le superflu peut, par définition même, être réduit dans une proportion plus forte que le nécessaire... Un célibataire qui gagne 150 000 F par an a un niveau de vie supérieur à un père de 4 enfants ayant le même revenu. Les imposer également serait frapper également la partie de plaisir du premier et la viande, voir le pain du second » [...]

    La suite sur Politique Magazine

    http://www.actionfrancaise.net

  • Crise de la dette : On a sacrifié la Grèce pour sauver l’euro

    par Giorgios Malouchos

    Selon le FMI, le plan de sauvetage de la Grèce a surtout permis à ses créditeurs de se décharger de leur responsabilité et se prémunir des risques de contagion. Les Grecs devraient se révolter et rediscuter des conditions du prêt, estime To Vima.

    C’était donc ça : le plan d’aide était faussé depuis le début. Un plan qui a conduit à des conséquences dévastatrices. Un plan qui était censé “sauver” la Grèce, mais c’est plus exactement de l’euro qu’il s’agissait, et cela, à travers la mise à mort de la Grèce ! Et qui dit ça ? Eh bien, un des trois membres de la Troïka (BCE, UE, FMI) : le Fonds monétaire international. Et il critique autant ses partenaires que lui-même, mais aussi le gouvernement grec. Tous ensemble se sont dirigés vers une catastrophe qui n’avait pas d’autre motif que de faire gagner du temps aux autres pays de la zone euro.

    Le document du FMI qui a été publié le 5 juin est une gifle pour la politique de “sauvetage’’, mais surtout pour l’“Europe” — c’est à dire l’Allemagne — et également pour le gouvernement grec de l’époque, mené par le socialiste George Papandréou, qui avait signé le premier mémorandum.

    Non seulement les créditeurs détruisent, mais ils donnent l’impression de vouloir utiliser la crise grecque pour protéger et, finalement, réorganiser la zone euro, au détriment de la Grèce.

    Une classe politique discréditée

    Les documents sont exaspérants : le FMI avoue le crime, mais n’admet pas ses responsabilités. Il révèle de la manière la plus officielle le motif sans expliquer comment cette tragédie que traverse le pays — due non pas à la dette mais au plan de sauvetage — pourrait être affrontée une fois que les erreurs ont été reconnues. C’est d’un cynisme débordant…

    Et naturellement, tout ceci expose irréparablement la classe politique grecque, qui soutenait le plan d’aide et qui le présentait comme le seul moyen de recours du pays. Et qui forçait vaille que vaille la Grèce à se plier à cette recette de mort avec pour alibi son sauvetage. Un sauvetage qui, comme l’a avoué le FMI, s’est révélé une catastrophe.

    La classe politique ne s’est pas battue pour les intérêts du pays, mais au contraire elle a préféré la voie facile et ne s’est souciée que du maintien de son pouvoir. Elle était prête a renoncer au peu de souveraineté du pays pour céder à un pitoyable chantage.

    Si le gouvernement grec avait un minimum de respect tant pour le mot “grec” que le mot “gouvernement”, il ne devrait pas fermer les yeux sur la récente révélation du FMI.

    Et maintenant ?

    Il devrait cette fois ci répondre à cette question : est-il possible que l’un des trois membres du directoire international qui exerce le contrôle économique sur le pays continue à suivre sa route sans que le gouvernement grec ne réagisse ? C’est peut-être pour cette raison que ce rapport a été réalisé et publié : pour donner à Athènes la force de remettre en question le cette route — ou peut-être pas. En tout cas, l’idée qu’ils se soient “rendus compte tout à coup de leur erreur” est naïve.

    La Grèce devrait enfin faire quelque chose. Qu’est ce qu’elle attend ? Et si ce n’est pas maintenant, quand ? Et tous ceux qui disaient que cette solution était un “sauvetage”, ou que la Grèce est elle-même responsable de son malheur et que les grecs devraient endurer tout cela, devraient revoir leur opinion.

    Les créditeurs eux-mêmes ont fait auto-critique. Eh bien, que leurs partisans fassent de même…Et voyons, enfin, tous ensemble, comment peut-on exploiter cette terrible hypothèse pour mettre un frein à la catastrophe qu’on a nommé sauvetage. Même si il est beaucoup trop tard : parce que maintenant, la Grèce a perdu toutes ses armes. Par sa propre faute.

    Presseurop.eu  http://fortune.fdesouche.com

  • Affaire Meric : le scandale politico-médiatico-judicaire se poursuit

    Ahurissant : le procureur de Paris, François Molins, a annoncé qu’une information judiciaire pour « homicide volontaire » a été ouverte aujourd’hui, visant Esteban, un jeune de 20 ans qui s’est défendu contre la bande d’extrémistes de gauche qui l’agressait et dont faisait partie Clément Méric, mort accidentellement au cours de la rixe.

    Autre scandale : le parquet a requis le placement en détention provisoire de quatre des cinq personnes déférées, a précisé le procureur lors d’une conférence de presse. Sous quel motif ?!

    Enfin, en dépit des témoignages, les médecins légistes prétendent que la mort de l’agresseur gauchiste serait due aux coups et non au choc de la tête avec un poteau… Il faut exiger une contre expertise indépendante.

    La collusion gros médias – politiciens – justice est patente dans cette affaire : les agresseurs deviennent les victimes et les défenseurs deviennent des assassins pour des motifs purement politiques.

    Tiens, saviez-vous qu’à Rennes, un jeune homme de 25 ans vient de mourir, après avoir reçu un coup de poing ?
    Non ? C’est normal. Et Valls et compagnie n’en parleront pas, ne pouvant instrumentaliser l’affaire.

    En attendant, on peut déjà aider les victimes du Système et de ses nervis « antifas » avec le CSVR.

    http://www.contre-info.com/

  • Après-manifs : le deuxième round sera judiciaire !

    Depuis quelques semaines, plusieurs centaines de personnes — bientôt un millier — ont été contrôlées, arrêtées, enfermées et certaines même tabassées par les forces dites de l’ordre.

    Pour quel motif ?

    Parfois pour avoir participé paisiblement à une marche ou un rassemblement de défense de la famille, lors de manifestations autorisées et bien organisées. Parfois pour avoir simplement été présent à proximité de ces manifestations. Pour avoir été au mauvais endroit au mauvais moment – devant le Louvre ou le théâtre des Champs-Élysées, dans une gare, aux abords d’un lycée. Parce que le mauvais moment, c’est quand un ministre vient au concert, quand le Président vient faire une causerie…

    Non, nous ne sommes pas dans une de ces républiques bananières qu’on se plaît à moquer, mais en France, pays des libertés.

    Tous ces gens sont sans histoire, respectueux des lois. Ils croyaient sincèrement, et sans doute naïvement, pouvoir exprimer leurs opinions ou circuler librement dans la rue. La preuve est faite que ce n’est pas vrai ! [...]

    Anne-Laure Blanc, Présidente de Solidarité pour tous - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net

  • Christine Lagarde : le FMI a fait son mea culpa sur le plan de sauvetage de la Grèce… décidé par DSK

    Plan de « sauvetage » de la Grèce : 110 milliards d’euros dépensés en pure perte

     

    Le 6 juin 2013, les médias se sont concentrés sur la mort tragique de Clément Méric. Pourtant cet événement relève du fait divers comme il en survient, hélas,  presque chaque jour en France, sans déclencher un tel tapage médiatique. Mais, aux yeux des politiques, qui, semble-t-il, ne peuvent retenir leur émotion, où est vraiment le drame ? Ce n’est pas, comme on pourrait le ressentir, la mort brutale et violente de l’étudiant de Sciences Po, mais, pour reprendre les mots du ministre de l’Intérieur Manuel Valls, « la marque de l’extrême droite ». N’y aurait-il pas une inversion des valeurs ?
    Or, ce même 6 juin, une autre information est tombée, celle-là de taille, énorme, qui n’a fait la Une d’aucun grand quotidien ni l’ouverture de journaux télévisés : le FMI venait de reconnaître solennellement que le fameux « plan de sauvetage » de la Grèce du 11 mai 2010 avait accumulé tant d’erreurs qu’il avait provoqué une catastrophe.
    Polémia.

     

    GRÈCE – Faute avouée, à moitié pardonnée ? Le FMI a fait son mea culpa mercredi et admis que le premier plan de sauvetage de la Grèce en 2010 s’était soldé par des « échecs notables » en raison notamment de désaccords avec ses partenaires européens au sein de la « troïka ». « Il y a eu (…) des échecs notables. C’est Dominique Strauss-Kahn qui était le patron du Fonds à cette époque, depuis remplacé par Christine Lagarde. La confiance des marchés n’a pas été rétablie (…) et l’économie a été confrontée à une récession bien plus forte que prévu », a indiqué le Fonds monétaire international dans un rapport évaluant les résultats du plan d’aide de 110 milliards d’euros accordé à Athènes en mai 2010 en contrepartie d’un plan d’économies drastiques.

    Le Fonds s’était alors montré bien optimiste en tablant sur un retour de la croissance en Grèce dès 2012 et une amélioration sur le front de l’emploi. Les faits lui ont donné tort: le pays s’enfonce actuellement dans la récession pour la sixième année consécutive avec un taux de chômage de 27%, malgré un deuxième plan d’aide international massif au printemps 2012.

     

    Les projections de dette publique grecque établies par le Fonds ont elles aussi été balayées « dans une très large mesure », reconnaît l’institution. Ce n’est pas la première fois que le FMI fait son aggiornamento sur la Grèce. En octobre, son chef économiste Olivier Blanchard avait fait sensation en admettant avoir sous-estimé les « multiplicateurs budgétaires » qui mesurent l’impact des mesures d’austérité sur la croissance.

     

    La troïka (UE-BCE-FMI) n’est pas épargnée

     

    Mais le Fonds va plus loin aujourd’hui en remettant en cause l’efficacité même de la troïka, la structure hybride qu’il forme avec la Commission européenne et la Banque centrale européenne (BCE) et qui est aujourd’hui en charge de quatre plans de sauvetage dans la zone euro. Selon le rapport, cette cohabitation a obligé le Fonds à « négocier d’abord avec les pays de la zone euro (…) et ensuite avec les autorités grecques », créant une source d’ « incertitude considérable » alimentée par les hésitations et les revirements européens.

     

    « Il n’y avait pas de division claire du travail » au sein de la troïka, pointe le rapport, qui ajoute que les Européens manquaient d’expérience et de « compétences » sur des programmes d’aide liés à de très strictes conditions. L’ironie de l’histoire veut que l’Europe voyait d’un très mauvais œil l’arrivée du FMI sur le Vieux Continent. Début 2010, Jean-Claude Trichet, alors président de la BCE, jugeait même cette éventualité « mauvaise ».

     

    Décryptant les relations au sein de la troïka, le FMI s’attache à un point crucial du plan de sauvetage grec: la restructuration massive de la dette privée au printemps 2012. Le Fonds estime aujourd’hui que cette opération, la plus importante de l’histoire, aurait dû être menée dès 2010 mais que cette solution n’était alors pas « politiquement réalisable » en raison de l’opposition des Européens.

     

    Les créanciers ont pu fuir avant la catastrophe

     

    « La restructuration de la dette avait été envisagée par les parties à la négociation (du programme grec, ndlr) mais elle a été exclue par les dirigeants de la zone euro », qui craignaient qu’une telle mesure ne soit pas approuvée par les Parlements nationaux, indique le rapport.

     

    Cette décision a été lourde de conséquences, selon le Fonds. Elle a permis à de nombreux créanciers privés (banques, fonds d’investissement) de « s’échapper » du pays sans subir la moindre perte et de « passer le fardeau » aux Etats et donc aux contribuables qui ont dû de nouveau renflouer la Grèce en 2012. « Nous aurions dû avoir une réduction de dette plus tôt en Grèce », a reconnu mercredi Poul Thomsen, chef de la mission du FMI en Grèce.

     

    Le premier plan d’aide a en réalité été une mesure « d’attente », résume le rapport. Il a permis de donner le temps à la zone euro de construire son pare-feu, le Mécanisme européen de stabilité, afin de protéger d’autres pays « vulnérables » et limiter l’impact sur l’économie mondiale.

     

     Le HuffPost avec AFP
    6/06/2013  http://www.polemia.com

  • Un Algérien plus lucide que bien des Français

    Le blogueur algérien Aldo Sterone livre ses réflexions sur la Syrie, sur la France, et c’est tout à fait pertinent. Rafraîchissant même.

    Il a bien raison de souligner que le gouvernement « français » soutient les terroristes islamistes en Syrie, non pas malgré le fait qu’ils massacrent des chrétiens, mais probablement parce qu‘ils massacrent des chrétiens.

    http://www.contre-info.com/

  • « J’ai été la première victime d’un système totalitaire » – Entretien avec Christian Vanneste

     Cette semaine paraît, aux éditions Mordicus, M… au lobby gay ! (1) Une plaquette vigoureuse et alerte signée par Christian Vanneste, le président du Rassemblement pour la France (RPF), cloué au pilori (mais judiciairement blanchi) par ce groupe de pression de plus en plus intransigeant. Christian Vanneste prolonge dans « Minute » ce salutaire coup de gueule d’un homme libre.

    Minute : Votre livre s’intitule M… au lobby gay!. Le M…, c’est pour Merde ou c’est pour Merci ? Car finalement, après toutes vos mésaventures, vous êtes maintenant libre de dire tout ce que vous voulez…

    Christian Vanneste : Non, c’est le mot de Cambronne! C’est le célèbre mot qui vient confirmer, de façon claire et concise, ce que Cambronne venait de déclarer durant la bataille de Waterloo à un général anglais qui avait l’outrecuidance d’insister pour qu’il dépose les armes: « La garde meurt mais ne se rend pas! » C’est mon envoi au lobby gay: Vanneste meurt mais ne se rend pas !

    Ce lobby, vous le dénoncez tout au long du livre, mais qu’est-ce exactement que le « lobby gay »?

    Le lobby gay est un mouvement qui trouve ses racines aux Etats- Unis dans la pensée de Harry Hay, un intellectuel marxiste et homosexuel. Dès la fin des années 1940, Harry Hay a théorisé le mode de développement de ce groupe de pression, en identifiant le groupe homosexuel comme étant un groupe dominé et en en faisant une sorte de prolétariat. Selon sa théorie, le groupe homosexuel devait s’engager dans un processus de libération par rapport à l’idéologie excluante de l’ensemble de la société. La différence avec le marxisme, et l’une des aberrations de son raisonnement, est que le prolétariat avait vocation à devenir majoritaire et à constituer la totalité du peuple alors que toute revendication des homosexuels constitués en groupe de pression ne peut être qu’ultra minoritaire !

    Sauf à basculer dans une autre dimension, totalement irréelle, et c’est ce qui se passe avec la « théorie du gender », qui, comme le marxisme, est une théorie culturaliste, qui nie l’importance de la nature. On en arrive à dire que l’orientation sexuelle est plus importante que le sexe, ce qui est complètement absurde car il y a bien évidemment, physiquement, une différence entre les sexes. C’est encore Harry Hay qui, dans les années 1970, a apporté sa caution intellectuelle au mouvement LGBT dont je n’ai jamais compris qu’on ne dénonce pas certaines de ses propositions dans un grand éclat de rire.

    « Une vitesse de propagation jamais vue en France »

    Non seulement la théorie a pris mais elle est passée à un autre stade, celui de la quasi-dénonciation de l’« hétérosexualité », conçue comme un simple mode particulier de sexualité…

    Oui car, après lui, sont arrivés des « identitaires homosexuels », pour qui la sexualité fonde l’identité, et qui ont joué à fond la carte de la victimisation. Leur raisonnement, ou leur tactique, est d’une grande simplicité: si nous sommes exploités, c’est à cause de la culture hétérosexuelle contre laquelle il faut se regrouper et se mobiliser.

    Sans réaction ?

    Pendant longtemps, il n’y a pas eu de réaction, car on ne mesurait pas à quel point ces revendications farfelues allaient pénétrer la société. Cela semblait impensable qu’elles sortent d’une culture ultra minoritaire pour irriguer un jour jusqu’à l’enseignement dans les écoles ou jusqu’à la modification de la législation et du sens même des mots du dictionnaire! Il a fallu en arriver là, avec une vitesse de propagation jamais vue en France, pour que la résistance se lève et s’organise.

    Vous faites là allusion au mouvement de la Manif pour tous…

    A la Manif pour tous, au Printemps français et à tous les mouvements qui sont nés en réaction à la dénaturation du mariage, jusqu’aux Antigones. Les Français ont eu une réaction forte et cohérente, qui pose les bases d’un solide mouvement de reconquête des esprits par ce qui est tout simplement le bon sens.

    Pendant longtemps, j’ai eu l’impression d’être seul: seul sur le plan intellectuel et politique, seul à résister à une idéologie dangereuse, absurde et pernicieuse portant at teinte à la liberté d’expression dans la mesure où, maintenant, toute critique de cette idéologie conduit au tribunal en vertu d’une législation qui contraint la parole et même la pensée! Lorsque j’ai été poursuivi – pour être finalement totalement blanchi, on oublie de le rappeler! –, je ne l’ai pas été à raison de ce que j’avais dit mais en fonction de ce qu’on me suspectait de penser au-delà de ce que j’avais dit! J’ai été la première victime d’un système totalitaire et je crains de ne pas être le dernier.

    « J’ai été la première victime d’un système totalitaire » - Entretien avec Christian Vanneste

    Christian Vanneste

    Ce mot d’« homophobe » est dépourvu de tout sens mais admettons- le pour répondre à votre question. Il n’y a jamais eu la moindre « homophobie » dans mes propos, c’est-à-dire le moindre appel à la haine ou à la violence envers les personnes homosexuelles. Je me contente de défendre une conception millénaire de la société. Que l’on veuille me bâillonner alors que je ne fais qu’exposer tout ce qui est à la base de la société et qui lui permet de se reproduire de génération en génération est tout simplement extravagant!

    Le système totalitaire de contrôle de la pensée, a fortiori quand elle est catholique, comme c’est mon cas, repose sur la pression, les menaces de toute une myriade d’associations qui perçoivent des subventions inversement proportionnelles à leur représentativité et qui se permettent de traîner ceux qui résistent à leurs oukases devant les tribunaux pour un oui ou pour un non. Ces associations ne sont fortes que de la lâcheté de ceux qui, s’ils étaient fidèles à leurs convictions – ou à leurs électeurs – devraient les ignorer.

    En fait, ces associations appliquent la méthode qui a fonctionné pour le racisme. C’est la technique du coucou: elles s’installent dans le lit de l’antiracisme et font pareil. Elles auraient tort de se gêner puisque ça fonctionne.

    « Bien sûr que Copé était favorable au mariage homo ! »

    Pourquoi cette lâcheté ?

    Parce que les partis politiques ne sont plus que des agences de placement électoral, à commencer par l’UMP. Ce que Stéphane Bern vient de révéler sur Jean-François Copé tenant, en privé, des propos favorables au mariage homosexuel n’est que la divulgation publique de ce que je savais. Bien sûr qu’il était favorable au mariage homo! Beaucoup l’étaient à l’UMP. Mais comme leurs électeurs – ou leurs anciens électeurs – se sont levés pour dire non, ils sont devenus contre! Vous noterez au passage que Jean-François Copé dîne avec Stéphane Bern et Marc-Olivier Fogiel; moi pas.

    Si j’ai été flingué, alors que j’étais très proche de Nicolas Sarkozy dans un premier temps, c’est parce que ces gens-là, qui n’ont aucune conviction et qui n’ont aucune formation philosophique, ceci expliquant cela, pensaient utile d’être bien avec le lobby gay qui comprend des associations mais aussi des gens fortunés.

    Il faudra quand même un jour que l’on sache qui finance GayLib et comment ce mouvement est devenu associé à l’UMP!

    Ce n’est quand même pas compliqué de comprendre que le mariage des homosexuels constitue un changement anthropologique majeur, il suffit d’avoir lu Claude Lévi-Strauss pour le savoir!

    Peut-être Lévi-Strauss n’est-il pas enseigné à l’ENA…

    L’ENA est une école d’ignorance et de fatuité. Elle ne produit que des dirigeants inefficaces et très sûrs d’eux.

    Quand vous parlez, dans votre livre, d’« invasion de l’UMP par le groupe de pression homosexuel », vous y allez quand même un peu fort!

    Vous trouvez? Il y en a plus qu’on ne le pense. Vous avez ceux qui sont déclarés, ce qui aurait été impossible il y a quelques années, parce qu’ils le sont, mais vous avez surtout ceux qui se sont déclarés pour des raisons électorales, particulièrement en région parisien e.

    Et puis, et là on marche sur la tête, vous avez ceux qui ne sont pas homosexuels mais qui se déclarent « gay friendly », comme on dit, pour avoir les sympathies de la presse!

    L’exemple emblématique est Nathalie Kosciusko-Morizet, qui mise sur la bienveillance des médias et le vote des homosexuels à Paris pour être élue.

    Au-delà des personnalités, il ne faut pas négliger le poids des apparatchiks.

    Je ne peux pas donner de noms mais, au sein de l’appareil de l’UMP, le groupe de pression homosexuel est extrêmement puissant. Ce cercle de l’ombre, si j’ose dire, pratique une sorte d’autorecrutement et cela finit par peser sur les décisions ou, pire encore, par des anomalies dans le fonctionnement parlementaire comme il a pu s’en produire au Sénat lors du vote sur le mariage des homosexuels.

    Mais comment le groupe a-t-il pu renoncer à demander un scrutin public?

    C’est joyeux…

    C’est la réalité. Moi qui ai commencé en politique à l’UJP, le mouvement des jeunes gaullistes, et étais bien sûr, en Mai 68, contre la « chienlit » et les idées folles que défendaient les révoltés, j’ai fini par m’a percevoir que, dans mon parti, devenu l’UMP, je n’avais plus que des adversaires. Dans le parti auquel j’étais resté fidèle, il n’y avait plus que des Rhinocéros, comme dans la pièce de Ionesco

    « Marine Le Pen est passée à ma gauche… »

    Le mouvement suscité par le « mariage pour tous » a dû vous réjouir.

    Ce mouvement me donne beaucoup d’espoir en cela qu’il vient du peuple. C’est la levée – la levée en masse si j’ose dire – des gens d’en bas, révoltés non seulement par le fait que notre pays connaît le déclin mais surtout par le fait qu’il s’enfonce dans la décadence. Les valeurs disparaissent, la seule qui tenait encore à peu près debout, la famille, est attaquée, et ce « vieux peuple », comme disait De Gaulle, se dresse enfin! Oui, l’espoir a changé de camp!

    Oui, c’est une réaction de tout un peuple et c’est une réaction de la vie, cette vie qui finit toujours par gagner! J’espère que cela va se traduire par un mouvement politique quasiment révolutionnaire.

    Comment le voyez-vous ?

    Je ne le vois pas, j’essaye de le faire. Je suis pour l’union des droites, de toutes les droites, mais à une condition: que ce soit des vraies droites, et pas des gens qui font carrière.

    Avec le Front national ?

    Avec toutes les droites, même si, je dois le dire, les positions économiques de Marine Le Pen me dérangent énormément. En gros, Marine Le Pen est passée à ma gauche…

    Etre vraiment de droite implique d’être conservateur sur les valeurs sociétales, ancré sur l’idée de nation et pragmatique sur le plan économique, ce qui ne peut se concevoir que lorsqu’on agit à l’intérieur d’un impératif qui est l’impératif libéral, qui est bien différent de la mondialisation.

    Il faut aussi dire que la liberté est essentielle, à commencer par la liberté de l’information, absolument essentielle, ce qui est mon point de convergence avec Robert Ménard chez qui mon livre est édité.

    Mais sur le plan économique, il faut être conscient que seuls des acteurs économiques qui ont la possibilité d’être libres peuvent donner une économie efficace.

    Propos recueillis par Antoine Vouillazère http://fr.novopress.info

    1. M… au lobby gay !, par Christian Vanneste, éd. Mordicus, 32 pp., 4,95 euros.

    Article de l’hebdomadaire “Minute” du 5 juin 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

    « J’ai été la première victime d’un système totalitaire » - Entretien avec Christian Vanneste

  • Valls devra répondre de ses exactions

     

    Tandis que 1) La Manif pour tous assigne l’Etat pour faute lourde pour la répression violente et illégale dont ont été victimes les défenseurs de la famille, 2) une centaine de plaintes ont été déposées déposées contre les abus des forces de l’ordre dans la répression de ces mêmes manifestations pacifiques. 3) Quant à la Hongrie de Viktor Orban, elle s’insurge contre les violations des droits de l’homme dans la France de Hollande.

     

    1) - Manif Pour Tous : Assignation de l’Etat pour faute lourde

    Communiqué de presse La Manif Pour Tous - 7 juin 2013

    Plusieurs manifestants ont décidé, à titre individuel, de déposer plainte pour des violences policières ou des atteintes injustifiées à leurs libertés fondamentales d’expression mais aussi d’aller et venir.

    Ces plaintes, déposées avec ou en dehors de l’assistance des avocats de La Manif Pour Tous, viennent confirmer les inquiétudes réelles de La Manif Pour Tous sur l’usage immodéré, inapproprié et à des fins politiques de la contrainte policière, en marge des manifestations organisées par le collectif.

    La Manif Pour Tous continue de collecter sur www.libertepourtous.fr les témoignages des personnes s’estimant victimes de gardes à vue, arrestations et contrôles d’identités abusifs.

    Grâce à ces témoignages, La Manif Pour Tous assistera toutes les personnes qui le désirent dans les diverses actions judiciaires qui vont être initiées dans les prochains jours et qui sont destinées à sanctionner et réparer les fautes lourdes commises par l’Etat dans l’administration de la justice

    La Manif pour tous

    2) - Une centaine de plaintes déposées contre les abus des forces de l’ordre

    Environ 20 avocats se sont rendus aujourd’hui au secrétariat particulier du Procureur de la République François Molins pour déposer une centaine de plaintes pour arrestation arbitraire et violences commises par des dépositaires de l’autorité publique. Le Procureur s’est excusé et les avocats ont été reçus par le secrétaire général qui a fait enregistrer les plaintes et a indiqué qu’une information serait donnée ultérieurement.

    Une autre série de plaintes sera déposée la semaine prochaine.

    Le Procureur de la République a 3 mois pour répondre.

    A 19h30, une manifestation déclarée est organisée au Trocadéro contre la répression policière.

    Chrétienté Info

    3) - La députée hongroise Szilvia Bertha a déposé cette lettre à l’ambassade de France

    Lettre ouverte au Président de la République François Hollande, et au ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, déposée mercredi à l’ambassade de France par la députée hongroise Szilvia Bertha, présente avec certains de ses enfants au rassemblement de protestation organisé par les Christian Women against Femen :

    « Messieurs,

    Nous manifestons aujourd’hui devant l’ambassade de France pour protester contre l’irresponsable politique familiale du pouvoir politique français et la scandaleuse répression dont ont été victime les très nombreux manifestants opposés à ce que l’on a pudiquement appelé « Le Mariage pour tous ».

    Ainsi donc, défiant toutes les lois de la nature et entendant bouleverser les lois fondamentales de la filiation, vous avez choisi de voter en force le mariage homosexuel et la possibilité pour ces couples d’adopter des enfants et d’en être les deux parents légaux. [...]

    La suite surNdF

     

    http://www.actionfrancaise.net

  • “Un flic, une balle, justice sociale ! “ à l’hommage à Clément Méric. Qu’en pense Manuel Valls ?

    PARIS  (NOVOpress) – Hier deux ou trois cent personnes ont manifesté à Paris pour rendre hommage au militant d’extrême-gauche Clément Méric. Entre autres slogans, les manifestants ont scandé “Un flic, une balle, justice sociale ! ” (à partir de 3min45 dans la vidéo ci-dessus).

    Des vitrines de banques ont été cassées, du mobilier urbain a été déplacé, des poubelles ont été renversées et éparpillées sur la chaussée avec tentatives de mise à feu (pour bloquer la route au “fascisme” ?), quelques véhicules ont été dégradés.

    http://fr.novopress.info

  • La France ruinée par l'immigration, par Éric Muth

    Le dernier ouvrage de Gérard Pince « Les Français ruinés par l'Immigration », paru aux Éditions Godefroy de Bouillon, fera date. Le titre « évoque le spectre de la ruine, c'est le mot juste », précise son auteur.
    Gérard Pince
    Ce document explosif taille en pièces les arguments des " Élites " qui prétendent qu'elle nous enrichit.  Fondé sur les chiffres de la comptabilité nationale de 2011, il démontre au contraire que la crise de la dette publique est celle de l'immigration en provenance des pays tiers, extérieurs à l'Union Européennes à 27.
    L'immigration ne nous avantage pas, il démontre au contraire d'une manière irréfutable qu'elle entraîne la faillite de nos finances publiques et pénalise lourdement le niveau de  vie de votre ménage. : " je ne vous cite pas les chiffres qui illustrent l'ampleur du désastre. Il est préférable de se plonger dans l'ouvrage pour comprendre l'engrenage qui nous broie".
     
    Comment interrompre cette hémorragie ?
    Au terme de cette lecture, on découvre que les efforts d'austérité imposés aux Français proviennent du refus de réguler l'immigration extracommunautaire. « Des solutions existent et j'en évalue l'impact, mais qui aura le courage de les appliquer ? », affirme Gérard Pince, et de conclure : « Au prix d'un long travail, j'ai ainsi édifié un barrage contre le mensonge. Je m'attends à un silence des médias. »
    Ce qui ne sera pas le cas ici.