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anti-national - Page 1143

  • La Manif Pour Tous | Opération Tulle | France 3

  • Mélenchon, tigre de papier, valet du mondialisme

    Le Parti de gauche défend l’installation d’un Starbucks à Montmartre

    PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) – L’association « Paris Fierté » avait organisé une manifestation festive prévue samedi dernier place des Abbesses dans le quartier de Montmartre.

    Ce rassemblement visait à réunir sympathisants, commerçants, élus et associations pour s’opposer à l’installation d’un Starbucks dans le quartier.

    Multinationale américaine, emblème de la restauration mondialisée, ce groupe est connu pour ne payer aucun impôt en France et avoir des pratiques sociales extrêmement contestables.

    C’est l’annonce par le Parti de gauche de Jean‑Luc Mélenchon de l’organisation d’une contre‑manifestation qui a décidé la préfecture à interdire ce premier rassemblement.

    La connivence entre les mouvements d’extrême gauche et les entreprises mondialistes ultralibérales ne semble plus être à démontrer.

    Novopress

    Le Parti de Gauche défend l’installation de la multinationale américaine Starbucks place du Tertre !

    Malgré la procédure de référé-liberté que nous avions engagée (cf. notre précédent communiqué), notre rassemblement initialement prévu le 9 février à 15h30 place des Abbesses a finalement été interdit.

    Ce rassemblement festif avait pour but de dénoncer l’implantation d’un Starbucks, multinationale symbole de la standardisation des goûts, sur la place du Tertre sans aucune consultation préalable des commerçants et des habitants.

    L’interdiction a été motivée par l’organisation à la toute dernière minute d’une contre-manifestation annoncée comme potentiellement violente, déposée par un responsable du Parti de Gauche de Jean-Luc Mélenchon.

    La Préfecture a préféré tout annuler plutôt que de faire son devoir : interdire la contre-manifestation et sécuriser notre rassemblement prévu de longue date.

    Nous prenons acte de cette décision et tirons de tout cela un point positif.

    Depuis le début de l’opération, nous cherchions en effet à ce que les politiques se positionnent sur le dossier : sont-ils pour l’implantation du Starbucks, ou contre ?

    Nous nous réjouissons de voir le Parti de Gauche être le premier à se positionner clairement, et apporter de facto son soutien à la Multinationale, qui rappelons-le ne paie quasiment aucun impôt en France.

    Au delà de cela, et malgré les nouveaux amis de Starbucks, l’Association Paris-Fierté annonce d’ores et déjà la tenue de prochaines actions aux côtés des riverains, des commerçants et des autres associations impliquées, qui nous ont apporté leur soutien de manière unanime. Nous annonçons par ailleurs que plusieurs plaintes, notamment contre le Parti de Gauche, seront déposées dans la semaine.

    Plus d’informations sur : www.parisfierte.com // Notre page facebook // Notre page tweeter // Par courrier électronique : parisfierte@gmail.com

    http://www.actionfrancaise.net

  • Réforme bancaire : Comment le gouvernement s’est écrasé devant l’oligarchie financière

    Par Agnès Rousseaux

    C’était l’une des réformes les plus attendues du quinquennat : réguler le secteur financier en imposant de nouvelles règles aux banques françaises. Et notamment séparer leurs activités spéculatives des activités utiles à l’économie, aux entreprises et aux ménages. Objectif : prévenir une nouvelle crise financière. Sauf que le gouvernement Ayrault n’a pas osé heurter les intérêts privés des puissantes banques françaises. L’intérêt des citoyens et de la démocratie a, lui, été soldé. Explications.

    Les banquiers peuvent dormir tranquilles. Ce n’est pas le gouvernement socialiste qui viendra mettre de l’ordre dans les dérives du capitalisme financier. C’est une retraite en rase campagne que s’apprêtent à sonner le Parlement et le gouvernement avec la réforme du secteur bancaire, discutée à l’Assemblée nationale à partir du 12 février.

    Auditionnés par la commission des Finances de l’Assemblée, les dirigeants du Crédit agricole, de la Société générale et de BNP Paribas admettent ne pas être « spécialement gênés par cette loi » (selon les mots de la rapporteure du projet de loi, la députée PS Karine Berger) ! Et ils n’ont même pas à faire semblant.

    Face à la faiblesse du projet dévoilé en novembre par le ministre de l’Économie et des Finances, Pierre Moscovici, on nous promettait des amendements pour « muscler » la loi. Il y a bien eu quelques avancées la semaine dernière. Mais « les amendements acceptés resteront cosmétiques », reconnaît un des porte-parole du groupe PS, Thierry Mandon, interrogé par Le Monde. « Il n’y aura pas de psychodrame. (…) On n’a pas la volonté de charger la barque des banques ». Tout est dit sur l’ambition de la majorité. L’enjeu de la loi est pourtant de taille : il s’agit de « remettre la finance au service de l’économie », de « refondre notre paysage financier pour les 20 prochaines années », tout en protégeant les dépôts des épargnants et les contribuables. La réalité est nettement moins idyllique.

    Pourquoi faut-il « séparer » les banques ?

    Pourquoi une loi sur les banques ? La France compte quatre banques « systémiques » (sur 14 au niveau de l’Europe). Des banques dont la faillite peut mettre tout le système bancaire en péril : BNP Paribas, BPCE (Banque populaire – Caisse d’épargne), Crédit agricole et Société générale. Petit rappel : BNP Paribas, la première banque française, pèse autant que le PIB de la France ! Soit 2000 milliards de dollars. Ses actifs ont augmenté de 34 % entre 2007 et 2010. Et la banque continue tranquillement ses stratégies d’optimisation fiscale. Sur 334 de ses filiales, plus d’un tiers sont situées au Luxembourg, 24 aux Iles Caïmans… Un modèle d’entreprise éthique, donc. Qui, s’il s’effondrait, mettrait le pays par terre.

    Pour reprendre le contrôle sur la finance, François Hollande avait fait une promesse [1] : les banques de dépôt et les banques d’affaires seraient séparées. D’un côté, les activités spéculatives, de l’autre, les activités utiles à l’économie. L’idée centrale : on ne spécule pas avec l’épargne des citoyens. Car le modèle français, c’est celui de la « banque mixte » – celui de la Société générale, de BNP Paribas ou du Crédit Agricole. Une seule entité juridique, pour deux types d’activités bancaires : d’un côté, les banques collectent les dépôts et octroient des prêts – et ont alors un rôle de création de monnaie. De l’autre, elles interviennent sur les marchés financiers, pour le compte de leurs clients ou pour elles-mêmes, en vue de réaliser des profits financiers.

    Ces « banques mixtes » seraient plus solides, affirment leurs dirigeants, qui ne veulent pas entendre parler de séparation. Solides ? Ce serait oublier qu’en 2008 la Société générale a été renflouée par le contribuable américain, à hauteur de 11,9 milliards de dollars, lors du sauvetage de l’assureur AIG. Et BNP a reçu 4,9 milliards. La même année, l’État français a mis 360 milliards d’euros à disposition des banques, sous forme de garanties de prêts interbancaires, pour assainir la situation. Solides, vraiment, les banques françaises ? Selon le dernier rapport de l’Autorité de contrôle prudentiel (ACP), publié le 16 janvier, les tests confirment « la relative vulnérabilité que constitue la dépendance des banques françaises au refinancement interbancaire court-terme ». Sur sept banques soumises au stress test, l’une d’entre elles ferait faillite en une semaine en cas de crise, et une autre en 3 mois. A moins que la banque centrale européenne n’intervienne…

    Comment le contribuable subventionne la spéculation

    Le principal défaut des banque mixtes ? En cas de faillite, les dépôts des clients sont exposés. Et la garantie de l’État – pour les banques de dépôts – s’étend de fait au département « marché ». Un soutien implicite des pouvoirs publics à la spéculation, qui fait des contribuables les prêteurs en dernier ressort. En résumé : une banque mixte, ça fait plus de dégâts quand ça tombe. « Surtout, cette garantie permet aux banques mixtes de se financer elles-mêmes à plus bas coût sur les marchés financiers, car les investisseurs savent fort bien qu’en prêtant à telle banque, ils bénéficient de la garantie de l’État français », explique l’économiste Gaël Giraud, chercheur au CNRS. Résultat : des taux d’intérêts plus favorables pour les banques mixtes que pour les banques d’affaire « pures ». Soit l’équivalent d’une subvention annuelle de 48 milliards d’euros aux grandes banques françaises [2]. Un chiffre à comparer aux 18 milliards de profits réalisés en moyenne chaque année par les trois principales banques françaises, et aux 11 milliards d’impôts acquittés en 2010 par l’ensemble des banques françaises, précise Gaël Giraud.

    Cette garantie, qui permet d’emprunter à faible coût, encourage le développement des activités de marché, et la totale déconnexion avec l’économie réelle [3]. Seuls « 22 % des actifs bancaires français sont consacrés aux crédits aux ménages et aux entreprises non-financières », rappelle l’ONG Finance Watch. Séparer les banques de dépôt et d’affaires vise « simplement à ne pas faire subventionner par la société la croissance des 78 %, dont seule une fraction est consacrée à l’économie réelle. »

    La réforme s’attaque à… 1 % des activités bancaires !

    D’où l’intérêt de séparer ces activités. Sauf que… il n’est pas question dans le projet de loi de « séparation » mais de « filialisation ». Chaque banque mixte doit simplement « cantonner » dans une filiale un certain nombre d’activités jugées spéculatives. « Les grands groupes bancaires français ont déjà filialisé la plupart de leurs métiers », souligne Gaël Giraud. C’est la filiale Cetelem qui gère les prêts à la consommation de BNP Paribas. « Exiger la filialisation revient donc à un statu quo ». Avec toujours autant de risques : « AIG, premier assureur du monde [4], a été mis en quasi-faillite à la fin de septembre 2008 par l’une de ses filiales, qui pesait 0,3 % du chiffre d’affaires d’AIG, une filiale parisienne qui était sous contrôle de la Banque de France », rappelle Gaël Giraud. A cause d’opérations à fort effet de levier, une petite filiale peut accumuler des dettes plusieurs milliers de fois supérieures à ses fonds propres. Un amendement adopté en Commission des finances stipule que les pertes d’une telle filiale (regroupant les activités spéculatives) ne seront pas couvertes par le groupe bancaire. Reste à voir comment cela se traduira concrètement.

    Surtout, peu d’activités financières sont au final visées par la réforme. Elle concernera moins de 1 % des activités des banques ! C’est Frédéric Oudéa, PDG de la Société générale, qui a fini par lâcher ce chiffre, alors qu’il était auditionné par la Commission des Finances [5]. Consternation dans la salle. On se doutait que le volume des activités « filialisées » serait extrêmement faible. Mais pas à ce niveau ! « Aucune des activités de marché significatives des banques ne sera affectée par cette filialisation », avançait Finance Watch dans une analyse du projet en janvier. Ni la spéculation sur les produits dérivés, ni celles sur les matières premières agricoles.

    Pire que le « secret défense » : les données détaillées des banques

    Pourquoi les députés ont-ils découvert ce chiffre deux semaines seulement avant l’ouverture des débats ? Parce que les banques ont refusé toute évaluation des activités concernées, « compte tenu du très petit nombre de banques concernées et pour des raisons de confidentialité et de respect du secret des affaires ». Impossible, donc, de mesurer l’impact de la loi ! Un flagrant « déni de démocratie », estime Finance Watch. Cela signifie également que les actionnaires des banques n’ont pas accès à ces données, rappelle l’ONG. Les intérêts des dirigeants sont-ils supérieurs à ceux des citoyens, contribuables, actionnaires, clients et salariés confondus ?, questionne Finance Watch, pour qui cette absence d’étude d’impact semble inconstitutionnelle [6].

    Quel est le critère utilisé pour évaluer si une activité doit être filialisée ? L’ « utilité ». Mais pour le gouvernement, une activité financière utile, ce n’est pas seulement un prêt pour aider une PME à démarrer, c’est une activité… réalisée avec un client. Donc la quasi-intégralité des opérations des banques, y compris les plus spéculatives et les plus déconnectées de l’économie réelle. Exemple ? La vente à un fonds spéculatif basé aux Iles Caïmans d’un « credit default swap » sur dette souveraine, ou l’achat d’un produit spéculatif sur les matières premières agricoles, sont considérés comme utiles au sens du projet de loi, car réalisés avec un client. Les députés s’échinent depuis quelques semaines à préciser les contours de la filialisation, qui restent pour le moment bien obscurs. Nul doute que les banques sauront inventer de multiples stratégies de contournement.

    Les pleins pouvoirs à l’oligarchie financière

    « Bercy ne prétend même plus que le projet de loi vise la séparation des banques de dépôt et d’affaires. Et les députés ne sont pas dupes », soutient Gaël Giraud. L’ambition se réduit à obliger les banques à se doter d’un testament en cas de faillite. On ne cherche plus à prévenir les risques, mais on essaye d’anticiper les obsèques d’un établissement bancaire en cas de grave difficulté financière. C’est ce qu’on appelle le régime de résolution bancaire. En cas de faillite, l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) gèrera le démantèlement ou le sauvetage. Et prendra la décision de mettre à contribution les Français ou de pénaliser actionnaires et créanciers. « Le projet de loi ne détaille pas le régime de résolution. Il se contente d’en indiquer l’esprit. C’est extrêmement léger », critique Gaël Giraud.

    L’Autorité de contrôle prudentiel est aujourd’hui une administration adossée à la Banque de France chargée de « contribuer à la stabilité du secteur financier » et de « protéger la clientèle ». En cas de crise bancaire, le projet de loi fait reposer la décision sur deux personnes : « Le directeur général du Trésor et le gouverneur de la Banque de France, qui disposent de la majorité absolue pour décider si et comment la banque sera renflouée », détaille Gaël Giraud, qui pointe « un complet court-circuit démocratique » et « un véritable conflit d’intérêts ». Car c’est la Banque de France qui reste le principal créancier des banques privées, et n’aura aucune envie de décider leur démantèlement en cas de faillite ! Bref, les pleins pouvoirs sont donnés à l’oligarchie financière et le rôle du Parlement est évacué.

    BNP Paribas, plus puissante que l’État français ?

    Autre instance de contrôle, le Conseil de régulation financière (ex-Conseil de régulation financière et du risque systémique – Coréfris) se voit doter de nouveaux pouvoirs… mais toujours non contraignants. Dans son Conseil de huit membres, aux côtés du ministre, des présidents de l’ACPR et de l’Autorité des marchés financiers (AMF), on trouve trois « personnalités qualifiées ». Dont Jean-François Lepetit, membre du Conseil d’administration de BNP Paribas, et Jacques de Larosière, conseiller de BNP Paribas.

    Le lobby bancaire est dans la place. « L’AMF et l’ACPR ont énormément de mal à faire valoir leur point de vue vis-à-vis des banques, c’est une guerre continuelle avec le lobby bancaire, raconte Gaël Giraud. C’est comme si on demandait à des gendarmes à bicyclettes de faire respecter le code de la route sur un circuit de Formule 1 ». Pourquoi Bercy s’est-il fait aussi facilement dicter son projet de loi par les banques ? « Quand vous êtes haut-fonctionnaire à Bercy, vous savez qu’à 45 ans, vous allez plafonner dans votre carrière. Si vous ne voulez pas moisir dans votre bureau, vous allez pantoufler dans une banque, avec un salaire multiplié par 10 ou 50 », avance le chercheur. Un haut fonctionnaire ne mord pas la main qui lui donnera à manger demain.

    Paradis fiscaux : encore un effort !

    Les députés ont cependant réussi à (presque) gagner de rares escarmouches. Comme sur les paradis fiscaux. Un amendement (PS/EELV), voté en Commission, stipule que les banques devront publier chaque année la liste de leurs filiales, avec effectifs et chiffres d’affaires. Une avancée intéressante. Mais pourquoi ne pas en profiter pour demander le montant des profits réalisés par chaque filiale ou celui des impôts payés ? Ce qui aurait permis de mettre en lumière les filiales qui réalisent des profits, avec peu de salariés et sans payer d’impôts. Bref, de lutter vraiment contre les paradis fiscaux.

    François Hollande voulait aussi mettre un frein au Trading à haute fréquence (THF), ces opérations financières réalisées chaque microseconde par des robots informatiques. La loi les limite un peu [7], mais les interdictions ne s’appliquent pas aux « activités de tenue de marché ». Résultat : « 80 % à 90 % du trading haute fréquence ne sera pas concerné par l’interdiction », évalue Christophe Nijdam, analyste bancaire chez AlphaValue.

    Pierre Moscovici, ministre des banques ?

    « L’état actuel du projet de loi français ne résout aucun des problèmes qui motivent la nécessaire séparation des activités bancaires. Il cumule à vrai dire les faiblesses de tous les projets de loi déjà existants », conclut Gaël Giraud. Qui prône une réforme de type Glass Steagall Act (GSA), votée aux États-Unis en 1933, actant une réelle séparation des banques. Pour la rapporteur du projet de loi, Karine Berger (PS), séparer les banques serait revenir à la « préhistoire ».

    C’est oublier que les banques mixtes ont été autorisées en France par la loi bancaire de 1984. Les premières banques mixtes sont nées bien plus tard, avec la fusion du Crédit Agricole et du Crédit Lyonnais, et celle de BNP et Paribas en 2000. Une séparation authentique des banques équivaut simplement à revenir au paysage bancaire français de 1995.

    Pierre Moscovici, ministre de l’Économie et des Finances, nous avait prévenus : « Mon rôle (…) n’est pas de déstabiliser le secteur dont j’ai la charge », affirmait-il devant l’AMF en novembre dernier. Le « ministre des banques » résume alors sans ambigüités l’ambition du gouvernement : « Cette reforme est faite dans l’intérêt même du secteur financier, dans l’intérêt de sa protection, dans l’intérêt de son image, dans l’intérêt également de cette réconciliation que je souhaite entre les banques et les Français. » Le monde de la finance n’est plus le « véritable adversaire » désigné par François Hollande avant son élection. Bien au contraire. « Cette loi bancaire, ambitieuse et rigoureuse » permettra aux acteurs financiers « de redoubler d’effort pour faire ce que vous savez admirablement faire, servir vos clients, tous vos clients et financer notre économie, à un moment crucial de son histoire », poursuit le ministre. Et de citer l’auteur latin Tite-Live : « Il faut oser ou se résigner à tout ». Le gouvernement a visiblement tranché.

    Notes

    [1] « Maîtriser la finance commencera ici par le vote d’une loi sur les banques qui les obligera à séparer leurs activités de crédit de leurs opérations spéculatives. Aucune banque française ne pourra avoir de présence dans les paradis fiscaux. Les produits financiers toxiques, c’est-à-dire sans lien avec les nécessités de l’économie réelle seront purement et simplement interdits. Les stocks options seront supprimées. Et les bonus encadrés ». Discours de François Hollande au Bourget, janvier 2012.

    [2] 12 milliards d’euros pour le Crédit Agricole, 6 milliards d’euros pour BNP Paribas, 5 milliards d’euros pour la Société Générale, et 24 milliards d’euros pour Banque populaire-Caisse d’Épargne.

    [3] Le volume total de produits dérivés a été multiplié par 7 en l’espace de douze ans. Il atteint aujourd’hui 700.000 milliards de dollars. Soit 12 fois le PIB mondial.

    [4] Dont le sauvetage a couté plus de 130 milliards de dollars au contribuable américain

    [5] Selon Frédéric Oudéa, les activités de banque de marché représentent 15 % à 20 % du Produit net bancaire (chiffre d’affaires) des banques, et « moins de 10 %, voire 5 % » de ces activités pourraient être isolées dans une filiale. Ce qui veut dire que seulement 0,75 % à 2 % de l’activité des banques sera impacté par le projet de loi.

    [6] « La loi organique n° 2009-403 du 15 avril 2009 relative à l’application des articles 34-1, 39 et 44 de la Constitution prévoit notamment dans son article 8 que l‘étude d’impact accompagnant une loi inclut « l’évaluation des conséquences économiques, financières, sociales et environnementales, ainsi que des coûts et bénéfices financiers attendus des dispositions envisagées pour chaque catégorie d’administrations publiques et de personnes physiques et morales intéressées, en indiquant la méthode de calcul retenue ». » Source :  Rapport de Finance Watch.

    [7] Par l’interdiction d’annuler une opération moins d’une demi-seconde plus tard, et d’annuler plus de 80 % des ordres passés dans une même journée.

    Basta Mag  via http://fortune.fdesouche.com/

  • Ignobles Femen : à quand la dissolution ?

    Le recteur de Notre-Dame porte plainte contre les Femen

    Mardi 12 février, le collectif féministe des Femen a pénétré seins nus à l’intérieur de la cathédrale pour saluer à sa manière le départ de Benoit XVI. Les responsables de la cathédrale porte plainte.

    Contacté par téléphone, Monseigneur Jacquin, recteur de Notre-Dame annonce qu’il porte plainte contre les Femen qui ont envahi ce matin l’intérieur de la cathédrale parisienne.

    Les services du rectorat de Notre-Dame ont déposé au commissariat une triple plainte.

    . dégradation d’objets (il s’agit des nouvelles cloches que les Femen ont fait retentir).

    . non-respect de lieux cultuels.

    . agression sur les surveillants de Notre-Dame.

    Monseigneur Jacquin évoque deux personnes blessées du côté du service d’ordre de Notre-Dame alors que les Femen de leur côté estiment avoir été brutalisées au moment de leur expulsion.

    "Cette intrusion a été d’une violence inouie et je pèse mes mots", juge Mgr Jacquin qui regrette "que pour l’instant (18H30 ndlr) aucune autorité de l’Etat n’ait exprimé publiquement sa désapprobation".

    PARIS - Île-de-France

    http://www.actionfrancaise.net

  • « Mariage » homo : le projet de loi passe l’étape de l’Assemblée nationale…

    L’Assemblée nationale vient donc d’adopter, hier, le projet de loi sur le « mariage » homosexuel, par 329 voix contre 229. Cette réforme sociétale contenue dans le programme du candidat François Hollande, et soutenue par la majorité socialiste, a donc franchi une première étape vers sa réalisation. Le vote est intervenu vers 17h, après dix jours de débat parlementaire : à son issue, Christiane Taubira a remercié les députés et le gouvernement.

    Le projet de loi ouvrant le droit au mariage et à l’adoption pour les couples homosexuels va désormais être examiné par le Sénat. Cette deuxième étape législative se déroulera à partir du 2 avril : calendrier annoncé mardi par le ministre des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies. La France s’enfonce encore un peu dans le gouffre d’une décadence qui ignore toutes les normes naturelles, toutes les frontières éthiques, et préfère s’adonner aux revendications consuméristes au mépris des intérêts supérieurs.

    Cependant,  lundi 11 février à 21h, soit quinze jours après les premières pétitions contre le « mariage » homosexuel adressées au Conseil Économique, Social et Environnemental, lequel a autorité pour intervenir dans le processus en cours, on comptait 552.000 signatures. Philippe Brillault, maire du Chesnay et conseiller général des Yvelines, fait le point :

    http://www.contre-info.com/

  • Le Parti de Gauche de Mélenchon a bien appelé à contre-manifester contre le rassemblement de Paris Fierté organisé contre Starbucks

    PARIS (NOVOpress) – Depuis samedi, la Toile bruisse d’interrogations, de rumeurs et de contre-rumeurs quant à la participation du Parti de Gauche (PG) de Jean-Luc Mélenchon à la contre-manifestation organisée par l’extrême-gauche contre le rassemblement organisée par Paris Fierté contre l’implantation d’un Starbucks à Montmartre.

     

     

    Arrêté préfectoral d'interdiction du rassemblement de Paris Fierté, page 1. Crédit photo : Novopress

    Arrêté préfectoral d’interdiction du rassemblement de Paris Fierté, page 1. Cliquer sur l’image pour l’agrandir. Crédit photo : Novopress

     

    En effet, comment un mouvement qui ne cesse de cracher sur le gouvernement de Jean-Marc Ayrault peut-il soutenir in fine un multinationale américaine ? Multinationale qui ne paie pas d’impôts en France, qui plus est… Alors monsieur Mélenchon, où sont vos appels à la justice fiscale, vous qui êtes si prompt à attaquer le patronat français à ce sujet ?

     

    De plus, cet appel à soutenir en creux une multinationale qui dénature la nature de nos villes s’est fait au nom d’une lutte contre un fascisme imaginaire, bien loin des vraies préoccupations de Paris Fierté…

     

    Ainsi donc, des militants du Front de Gauche (dont fait partie le parti de Gauche avec le PCF et d’autres mouvements de la gauche radicale) veulent faire croire que cette participation du PG ne serait qu’une rumeur.

     

    Arrêté préfectoral d'interdiction du rassemblement de Paris Fierté, page 2. Crédit photo : Novopress

    Arrêté préfectoral d’interdiction du rassemblement de Paris Fierté, page 2. Crédit photo : Novopress

     

    Seul hic, un correspondant de Novopress nous a fait suivre l’arrêté préfectoral (images ci-contre) interdisant le rassemblement organisée par Paris Fierté. Et que voit-on sur cet arrêté ? La déclaration de la contre-manifestation au nom du Parti de Gauche. Starbucks peut donc se féliciter d’avoir trouvé ainsi des employés modèles pour le défendre : Parti de Gauche, NPA, CNT, etc.

     

    En tout cas, Paris Fierté passe outre cet incident puisque l’association culturelle peut compter sur un vrai soutien des commerçants et des touristes.

    http://fr.novopress.info/

  • Homoparentalité : l’étude statistique censurée en France

     Une étude publiée par un sociologue américain démontre les effets de l’homoparentalité sur la psychologie des enfants privés d’altérité dans leur éducation et confrontés aux questions sur leur conception et leurs origines. Cette étude tenue secrète en France démontre, outre les problèmes de déséquilibre psychologique des enfants élevés par des couples homosexuels, que ces enfants sont en moyenne 10 fois plus victimes d’attouchements sexuels que les enfants ayant grandi dans leurs familles biologiques…

    Le sociologue américain Mark Regnerus a publié un article dans le journal américain « Social Science Research, intitulé  « How different are the adult children of parents who have same-sex relationships ? Findings from the New Family Structures Study » (À quel point les enfants devenus adultes de parents ayant eu une relation homosexuelle sont-ils différents ? Résultats de l’Étude sur les nouvelles structures familiales), qui dresse le bilan de la longue étude qu’il a menée sur 2988 personnes interrogées.

    Lesrésultats de cette étude du chercheur universitaire sont surprenants. Ils ont été repris dans lesite d’information américain Slate. Selon cette étude, les enfants élevés dans leurs familles biologiques disposent d’un meilleur niveau d’études, d’une meilleure santé mentale et physique, ils consomment moins de drogue, se tiennent plus éloignés des activités criminelles et se considèrent plus heureux que les enfants élevés par un couple homosexuel.
      Àl’inverse, les enfants issus de familles homoparentales, et en particulier de couples lesbiens sont bien plus sujets aux dépressions, il ont plus de problèmes physiques, ils consomment plus de marijuana et ont plus de chance d’être au chômage (69% des enfants issus de familles homoparentales vivent des prestations sociales contre 17% pour les enfants de couples hétéros). Surtout, contrairement aux théories de Jean-Michel Aphatie et de Caroline Fourest, selon lesquelles les hétérosexuels sont de violents alcooliques qui frappent leurs enfants et en abusent, les enfants de couple lesbiens seraient en moyenne 10 fois plus victimes d’attouchements sexuels que dans les familles « hétéro-parentales » (23% contre 2% de moyenne).
    Aux États-Unis, le lobby gay a été choqué par cette étude et l’a dénoncée si violemment (appuyé par des journalistes progressistes) qu’un mouvement de scientifiques s’est créé pour soutenir ces travaux et leur sérieux méthodologique.
    Il est étonnant de constater que cette étude n’a jamais été évoquée par le moindre journaliste en France, alors que nous sommes censés être en plein débat sur l’homoparentalité. Les journalistes préfèrent suivre les socialistes dans leur chasse aux « dérapages » homophobes plutôt que de s’interroger sur le fond du sujet et sur les dangers d’une telle loi.
    Il est clair que les études sociologiques peuvent être controversées, mais pourquoi nous cacher celle-là, alors que tous les défenseurs du mariage pour tous les homos, sans jamais rien citer, disent, l’air sûrs d’eux, que les premières études prouvent qu’il n’y a pas de différence éducative entre l’homoparentalité et la parenté « classique » ? Pourquoi personne ne parle tout haut de cet élément qui pourra certes être débattu mais qui ne peut qu’apporter des faits nouveaux aux discussions.
    Qu’on montre toute les études et chacun se fera son idée, pourquoi laisser Caroline Fourest nous expliquer que les enfants de couples homosexuels sont en pleine forme sans mettre en doute cette vérité énoncée qui ne coule pourtant pas de sens ?
    En même temps, tous ces futurs enfants dépressifs, drogués, aux troubles psychologiques, parasites de l’état, formeront de formidables électeurs (et militants pour ceux qui seront un peu plus en forme) du Parti Socialiste. On comprend mieux pourquoi le PS veut déglinguer nos enfants et légaliser le commerce des bébés…
    La dégénérescence programmée, c’est maintenant !
  • Les subventions pas très gaies du lobby homo

    Appel au meurtre, propagande dans les écoles, provocations…

    Tous les moyens sont bons pour les khmers roses, ce noyau d’activistes homos qui promeut son idéologie à coup de subventions.

    C’est la crise, mais pas pour le lobby gay.

    Prenez Act Up-Paris, l’association dont plusieurs mem­bres (sur les 150 revendiqués) avaient agressé Mgr Patrick Jacquin, le recteur de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris en 2005 ou qui avaient, l’année d’avant, dégradé la façade de l’Elysée.

    Act Up : plus de 200.000 € de subventions

    En 2010, derniers comptes disponibles, elle a reçu 233.750 € d’argent public dont 15.000 € de la région Ile-de-France. De quoi employer douze permanents ! Officiellement, ils participent à la lutte contre le SIDA – ce qui justifie les 20.000 € de subventions annuelles allouées par l’Institut national de pré­vention et d’éducation pour la santé.

    Mais ne croyez pas que tous ces subsides les aient calmés : pas plus tard qu’en décembre 2012, Act Up-Paris appelait en toute impunité au meurtre des oppo­sants à la dénaturation du mariage sur son site (« Préparons les planches et les clous »)…

    À chacun ses prétextes, quand il s’agit de palper l’argent du contribuable. Celui de SOS Homopho­bie, pour toucher des subventions, est la lutte contre « l’homophobie ». Moyennant quoi l’associa­tion fait de la propagande en faveur du « mariage » homosexuel jusque dans les écoles de la Répu­blique.

    On vous prévient tout de suite, « les ressources de l’association sont toutes celles qui ne sont pas interdites par les lois et règlements en vigueur » (art. 4 de ses statuts).

    L’association a d’abord touché 6.100 € de la Ville de Paris (dès 2002), puis 10.000 € chaque année, à partir de 2006.

    C’est sans compter les subventions exceptionnelles, comme celle de 2.000 € votée les 11 et 12 décembre 2012 pour le projet « Interventions dans les établissements parisiens », alors même que SOS Homophobie a perdu l’agrément du ministère de l’Education nationale pour intervenir dans les collèges et les lycées, suite à une décision du 23 novembre du tribunal administratif de Paris, saisi par la Confédération nationale des associations familiales catholiques.

    En attendant, au cours de l’année scolaire 2011-2012, SOS Homophobie est passée dans 533 classes…

    Le contribuable est vraiment généreux ! Prétendre lutter contre l’homophobie ouvre des enveloppes : c’est peut-être pour cela que l’Asso­ciation Réseau d’Assistance aux Victimes d’Agressions et de Discriminations a décidé d’« [orienter] son travail sur les victimes d’homophobie », ce qui lui a permis de toucher 7.000 € de subventions de la Ville de Paris en 2011.

    Caroline Fourest subventionnée

    Un petit joueur à côté de Prochoix, « la revue pour le droit de choisir », une publication pro-maria­ge gay (entre autres…) co-fondée par Caroline Fourest qui ne paraît pas depuis novembre 2011 et dont le blog n’a publié que dix billets en un an. Pour tout ce travail, elle a reçu en mars 2012 la ba­gatelle de 12.000 € d’argent municipal, comme chaque année…

    Le Paris Foot Gay fait encore mieux : il voit ses subventions issues de la Ville de Paris passer de 30.000 € (votés en 2011) à 40.000 € (2012).

    Aides de la Ville de Paris pour un festival interdit aux hommes

    Le Sidaction (295.000 €), le Centre Lesbien, Gay, Bi et Trans de Paris et d’Ile-de-France (112.000 €), le Syndicat national des entreprises gaies (13.000 €), Contact Paris Ile-de-France (12.500 €), Les Elus Locaux Contre le Sida : Ensemble Luttons Contre le Sida (12.000 €), le « festival du film gay, lesbien, bi, trans & ++++ » (sic) 23.000 €, le festival du film lesbien Cineffable dont l’entrée est in­terdite aux hommes (4.000 €).

    Les oublié(e)s de la mémoire – Association civile homosexuelle du de­voir de mémoire (2.000 €) vivent eux aussi grâce au clientélisme de la Ville de Paris…

    On ne par­le pas des opérations spéciales, comme cette subvention de 6.000 € accordée en juillet 2011 aux « Incorrigibles de Montreuil » pour la production de son exposition « Fils et fille de, portraits et ré­cits de jeunes adultes élevés par un ou des parents homosexuels », ainsi que pour l’édition d’un ca­talogue…

    Mention spéciale au MAG-Jeunes Gais, Lesbiennes, Bis et Trans, qui a réussi à se faire voter une subvention de 13.000 € en février 2012, une aide de 2.000 € en septembre de la même année, sans compter les 2.000 € obtenus en octobre pour la campagne de lutte contre les discriminations « Opé­ration collégiens ». Trois subventions dans la même année !

    25.000 € au profit de la « visibilité » des personnes transsexuelles

    Et quand l’argent de la Ville de Paris ne suffit pas, il y a le Conseil régional d’Ile-de-France. L’Asso­ciation des parents et futurs parents gays et lesbiens veut organiser une « journée d’information et d’échanges sur les familles homoparentales » ? Elle obtient 2.500 € de subventions (votées en mars 2012).

    L’association LGBT Dance Pride Off veut organiser la 5e édition de son festival Jerk Off ? Elle récolte 6.000 € d’argent public. C’est ainsi que le Refuge reçoit 10.000 € pour « [accompagner] les jeunes homosexuels exclus » ou l’association Sauvegarde de l’enfant, de l’adolescent et de l’adulte en Yvelines 25.000 € au profit de la « visibilité » des personnes transsexuelles… Bref, les subventions pleuvent à tous les étages.

    Le lobby gay est d’autant plus subventionné que le rejoignent dans ses revendications de très nombreuses organisations gavées d’argent public : lors de la manifestation pro-mariage gay du 16 décembre 2012, entre la faible mobilisation et cet enfant accompagné de ses parents qui tenait un panneau « Bite dans le cul ou pas, on veut l’égali­té des droits », on trouvait des délégations du PS, de la CFDT, de la CGT, de la Ligue des droits de l’homme, de SOS Racisme, de l’UNEF…

    Sondage bidon

    Ne parlons pas du Parlement européen des jeunes, une association loi 1901 – rien à voir avec l’ins­titution européenne – co-financée par plusieurs ministères français (Affaires européennes, Educa­tion nationale…) qui, après avoir demandé à ses membres (dont 161 Français, 101 Turcs…) de se prononcer dans un « sondage » (réalisé sans le moindre panel représentatif de la population jeune de l’UE), avait envoyé à la presse les résultats, où elle notait un « fort consensus sur les droits au mariage homosexuel chez les jeunes Européens ».

    Cela avait permis au média communautaire gay Yagg.com de titrer en octobre 2012 : « Plus de 85% des jeunes Européen-ne-s sont favorables au ma­riage pour tous les couples », précisant qu’« en France, ce chiffre dépasse les 90% ».

    Ou comment manipuler l’opinion à coup de subventions…

    Le Cri du Contribuable

  • Philippe de Villiers demande à Hollande un référendum sur le départ de l’UE

     Talentueux avertissement de Philippe de Villiers au Président de la République Française .

    Une vidéo à ne pas manquer !

    http://www.actionfrancaise.net

  • Lyon : un forum nationaliste, la licra et un divin incendie !

    Loué soit l’Eternel ! Le “Yatch Espace Saint Germain” a été fortement endommagé par un incendie hier matin ! Il faut dire que le bâtiment, situé à Saint Germain au Mont d’Or près de Lyon, appartient à une entreprise privée spécialisée dans la location de salles pour banquets, réunions, colloques… qui avait commercialement accepté d’acceuillir le Forum de la Nation samedi 16 février prochain.

    Un Forum de la Nation villipendé par la LICRA (ligue internationnale contre le racisme et l’antisémitisme), l’officine subventionnée du racisme anti-français, anti-blanc et anti-chrétien dont les liens avec certain lobby qui n’existe pas ont si bien été mis en exergue par Anne Kling (cliquez ici) dans sa “France Licratisée”. Le bidule avait éructé un communiqué haineux le 6 février dernier par lequel il exigeait des “autorités” l’interdiction de cette manifestation que ses rares militants, fort réputés pour être aussi lâches et couards que rachitiques, avaient fort peu de chance de perturber (cliquez là). C’est peut-être parce que la Préfecture de Lyon a fait la sourde oreille que l’Eternel, probablement sollicité, a ravagé le démoniaque endroit de son feu purificateur.

    Il est donc peu probable que les “autorités” cherchent réellement à savoir qui a inspiré ou téléguidé le ou les incendiaires; mais on peut avoir la certitude que cela ne fera que renforcer la détermination de nos amis des Jeunesses nationalistes et de l’Oeuvre françaisetout comme celle de nos camarades européens de la Falange, du NPD ou de la Casapound invités au Forum. Les chiens ne continuent à mordre que s’ils sentent la peur : haut les coeurs !

    Yves Darchicourt dans Synthèse nationale

    http://fr.altermedia.info/