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anti-national - Page 155

  • “Collabos, collabos !”,”dégagez !” : l’intervenante de l’UNEF huée à Paris lors de l’hommage à Samuel Paty

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    De nombreuses manifestations ont été organisées dans la plupart des villes françaises pour rendre hommage à Samuel Paty, le professeur d’histoire décapité le vendredi 16 octobre à , par un Tchétchène islamiste ayant obtenu le statut de réfugié en mars dernier.

    A Paris, plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées place de la République. Munies de pancartes « Non au  de la pensée » ou « Je suis prof », la mémoire de Samuel Paty a été saluée dans le calme. « Je suis Samuel », « Liberté d’expression, liberté d’enseigner », scandaient les manifestants. Des applaudissements ont été entendus, puis une minute de silence a été respectée et une Marseillaise a été chantée vers 15h30.

    “Dégagez !”, “collabos, collabos, collabos !”, “traîtres à la laïcité !”

    En revanche la tension est montée lorsque la représentante du syndicat étudiant UNEF a pris la parole pour rendre hommage au professeur. Son intervention à la tribune a été couverte par des huées et des sifflets. Malgré l’appel au calme d’un des organisateurs, elle a eu du mal à terminer sa brève  allocution, comme en témoignent des vidéos postées sur Twitter. “Dégagez !”, “collabos, collabos, collabos !”, “traîtres à la laïcité !” pouvait-on entendre dans la foule.

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  • Dix professeurs de droit contre "la police de la pensée" à l'université

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    Ils dénoncent, dans une tribune, le « lynchage » dont serait victime l'un de leurs collègues de Paris-1, après un cours controversé sur le mariage pour tous.

    Une dizaine de professeurs de droit (*), parmi lesquels le constitutionnaliste Olivier Beaud (Paris 2-Panthéon-Assas) et le civiliste Rémy Libchaber (Paris-1-Panthéon-Sorbonne) dénoncent, dans une tribune transmise au Point, le « lynchage médiatique » et la mise « au pilori » de leur collègue Aram Mardirossian. Cet historien du droit de Paris-1 a suscité une vive polémique après son cours d'histoire du droit de la famille, le 29 septembre, dans lequel il revendiquait haut et fort son hostilité au mariage pour tous, avant de se lancer dans une improbable comparaison chevaline : « Donc, il va y avoir forcément quelqu'un, un jour, qui va aller devant un tribunal et qui va dire : “Voilà, je suis discriminé, j'ai une jument, je l'adore, je ne peux pas l'épouser, c'est un scandale. C'est une discrimination !” » avait-il lancé à ses étudiants de L2. Le cours avait été filmé par l'un d'eux et aussitôt mis en ligne sur les réseaux sociaux, déclenchant une avalanche de réactions hostiles, sur Internet, de nombreux militants LGBT, dénonçant notamment « une comparaison scandaleuse entre homosexualité et zoophilie ».

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  • Médias partout information nulle part

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    Avec Le début de la fin et autres causeries crépusculaires, paru aux éditions Xénia, Éric Werner poursuit la publication de ses féroces et ironiques essais polyphoniques, dans lesquels dialoguent plusieurs personnages à présent bien connus des lecteurs d'Éléments l'Ethnologue, bien sûr, mais aussi l'Avocate, l'Auteur, le Cuisinier, l'Étudiante, l'Auditrice, etc. En toile de fond? La crise de la gouvernance néolibérale.

    « Le Moderne veut se libérer des conditions de sa liberté. Il guerroie contre ce qui le rend libre concrètement, au nom d'une liberté abstraite qu'il n'exerce jamais, mais qui s'exerce sur lui par un enchaînement de servitudes. »

    Luc-Olivier d'Algange, Propos réfractaires(1)

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  • Échec à l'intox pseudo humanitaire

    6a00d8341c715453ef0263e96e1f5a200b-320wiVotre chroniqueur tient à saluer aujourd'hui une analyse, enfin, réaliste de la situation migratoire aux frontières de l'Europe. C'est, en effet, l'honneur du quotidien Présent d'avoir publié en ligne ce 14 octobre l'article d'Olivier Bault, spécialiste de l'Europe centrale et danubienne, que l'on trouvera dans son intégralité ci-dessous.[1]

    Ce regard tranche avec le lot quotidien fielleux des gros médias parisiens, alimentés par la désinformation pro- Frères musulmans qui s'emploient au désarmement moral de l'Europe, au nom du politiquement correct. Ce qui reste de la Chrétienté doit se ressaisir et se mobiliser pour défendre les confins de l'Europe, de la Baltique à la Mer Égée.

    Voici donc l'article auquel L'Insolent n'a rien à ajouter, sinon le petit commentaire qu'on trouvera en bas de cette chronique :

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  • “L’islamophobie”, cette nouvelle fatwa qui encourage à nous massacrer

    “L’islamophobie”, cette nouvelle fatwa qui encourage à nous massacrer

    Le professeur de lycée (photo) a été décapité pour avoir montré des caricatures de Mahomet à ses élèves, lors dans d’un débat sur la liberté d’expression. Si le professeur d’histoire avait permis aux élèves gênés de quitter la pièce, son débat sur la liberté d’expression a provoqué la colère des plusieurs parents d’élèves de familles musulmanes.

    Après des jours de crispations entre l’établissement et la famille, une note précisait lundi que la tension semblait être retombée mais insistait sur le profil d’un homme – qui n’avait pas d’enfant scolarisé dans l’établissement – particulièrement énervé. Le professeur se savait menacé de mort sur les réseaux sociaux. Accusé d’islamophobie par des parents en colère, il a été assassiné comme si une fatwa avait réclamé son exécution. Victime de pressions de la part de certains parents d’élèves, il était en effet devenu une cible. La responsabilité morale et juridique de ces parents musulmans doit être engagée. Le terrorisme n’est que la partie émergée de l’iceberg.

  • Mesures « anti-Covid » annoncées par Macron : les Français payent l’incurie du gouvernement, par Franck Deletraz

    Instauration à partir de samedi, et pour au moins un mois, d’un couvre-feu entre 21 heures et 6 heures en Ile-de-France et dans ces huit autres métropoles du pays que sont Lille, Grenoble, Lyon, Aix-Marseille, Montpellier, Rouen, Saint-Etienne et Toulouse ; autorisation de se rendre dans la famille pour la Toussaint mais à condition de « porter le masque » et de « respecter les distances » ; limitation des réunions privées ou au restaurant à « six personnes maximum »…

    Comme l’on pouvait s’y attendre, c’est un nouveau et sérieux tour de vis que le président Macron a annoncé mercredi soir, au nom de la lutte anti-Covid, lors de son interview télévisée par les journalistes de TF1 et de France 2. Des mesures liberticides et d’autant plus injustes qu’elles font payer aujourd’hui aux Français l’incurie d’un gouvernement qui, depuis mars dernier et le confinement, n’a quasiment rien prévu en vue de la seconde vague épidémique annoncée.

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  • Assassinat d’un professeur : l’impuissance de nos dirigeants face à l’islamism

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    L’assassinat barbare d’un professeur d’histoire, coupable d’avoir voulu expliquer à ses élèves l’importance de la liberté d’expression, est l’aboutissement extrême des menaces et des pressions régulièrement exercées dans les établissements scolaires par des familles qui font passer la loi de leur religion avant la loi de la nation. Il est aussi la conséquence d’un laxisme trop fréquent, qui refuse de reconnaître la réalité : la volonté des islamistes d’imposer progressivement leurs conceptions politico-religieuses, incompatibles avec les valeurs de notre culture.

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  • Contre la loi sur le séparatisme, un collectif de mosquées prend de l’ampleur au niveau national

    Une centaine de responsables de mosquées se réunissent pour dénoncer “la discrimination de certains musulmans” dans certains discours politiques.

    Samedi 2 octobre dernier, une quinzaine de policiers avaient débarqué à la mosquée Omar, dans le 11e arrondissement de Paris, en plein cours d’arabe, pour contrôler les lieux, les enseignants et les élèves. Peu après, plusieurs associations musulmanes s’étaient insurgées de cette opération menée au lendemain du discours d’Emmanuel Macron sur le séparatisme islamique. Depuis, plus de 100 responsables de mosquées françaises se constituent en collectif pour dénoncer « les discours politiques hostiles aux musulmans », rapporte Le Parisien.

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  • J’accuse les lâches et les hypocrites

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    Au lendemain de l’acte barbare – la décapitation sordide d’un enseignant qui faisait son travail -, on assiste au sempiternel défilé de politicards hypocrites, d’intellectuels s’étouffant et de lâches en pleine contrition. Les uns pointant du doigt les islamistes, les autres faisant semblant de découvrir les conditions psychologiques exécrables dans lesquelles les professeurs exercent leur activité, mais personne (ou très peu) relève la chasse à l’homme.

    Les faits. Le professeur est accusé d’avoir montré des caricatures de Charlie Hebdo dans le cadre d’un échange sur la liberté d’expression avec ses élèves. En avait-il le droit ? OUI !

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  • "Faire bloc" ? Oui ! Contre le régime !

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    L'avis de Jean-François Touzé
    La décapitation à Conflans-Sainte-Honorine d'un professeur d'Histoire supplicié pour avoir cru aux principes républicains, s'inscrit dans la déjà longue théorie des martyrs français de la sauvagerie islamique.
    Aussi abominable soit-il cet acte n'est qu'un épisode de la guerre plus que millénaire menée par les fous d'Allah contre l'Occident. Le pire est évidemment à venir. Le temps des émeutes généralisées accompagnées de massacres de masses est pour bientôt, en comparaison desquelles les tueries du Bataclan et des rues avoisinantes apparaîtront comme de simples prolégomènes.
    Face à cette perspective sanglante, Macron a eu raison d'appeler vendredi soir les Français à "faire bloc". 
    Faire bloc contre lui, faire bloc contre les lâches, les scélérats et les traîtres qui nous gouvernent, mais surtout faire bloc contre ce régime criminel qui, non content de cadenasser les libertés publiques et individuelles, abandonne son peuple à la submersion migratoire, à la domination de l'étranger et aux lames des égorgeurs.