Ce 23 novembre, à Paris, avait lieu le 5e Forum de la Dissidence sur le thème de la « dictature Macron ».
Cet événement réussi aura réuni plus de 500 personnes. Voici la conclusion combative de Jean-Yves Le Gallou, en vidéo.
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Ce 23 novembre, à Paris, avait lieu le 5e Forum de la Dissidence sur le thème de la « dictature Macron ».
Cet événement réussi aura réuni plus de 500 personnes. Voici la conclusion combative de Jean-Yves Le Gallou, en vidéo.
La vente d’Alstom à General Electric (GE) et son traumatisme ont entraîné une prise de conscience de la part des politiques sur les questions de souveraineté et de base industrielle et technologique de défense (BITD). Ainsi, dix-sept députés de la commission de défense nationale, dont douze LREM, ont adressé vendredi un courrier au Premier ministre Edouard Philippe, avec en copie les ministres de l’Economie et des Armées Bruno Le Maire et Florence Parly, concernant la vente et donc l’avenir des entreprises Photonis et Latécoère, considérée par les parlementaires comme “des actifs stratégiques”.
Jean-Yves Le Gallou, ancien député européen, président de la Fondation Polémia, animateur d’I-Média sur TV Libertés et auteur de « Album des Bobards d’Or » : 10 ans de Fake News des Médias ! (Via Romana) était l’invité d’André Bercoff sur Sud Radio !
https://www.tvlibertes.com/actus/jean-yves-le-gallou-le-premier-pouvoir-est-le-pouvoir-mediatique
Après un an de mobilisation des gilets jaunes, Xavier Raufer fait le point sur le mode de répression du gouvernement face à ce mouvement. Il cite des témoignages de médecins hospitaliers parlant de « boucherie » et rappelle les sanctions sévères appliquées par la Justice.
Au micro de Boulevard Voltaire, il dénonce le deux poids deux mesures : d’un côté, « une répression sauvage », de l’autre, « une non-répression » des actes d’insurrection contre l’État dans les quartiers sensibles.
Rennes, préfecture de l'Ille-et-Vilaine. Autrefois charmante et paisible ville de province, qui faisait un peu penser à Varsovie quand on la parcourait l'été, de sa place de la République à la place St Anne, le Colombier, son parc du Thabor. C'était propre et bien fréquenté. C'était surtout une autre époque, avant la "parisianisation" de la ville, la flambée des prix de l'immobilier, l'arrivée massive de populations "diversifiées" déplacées de la région parisienne ou en provenance directe d'Afrique afin d'apporter une touche de "vivre-ensemble" à la (fausse) capitale bretonne. Aujourd'hui, ce mini-Paris, considéré comme une ville où il fait bon vivre par la propagande municipale, concentre les trafics de drogue en plein centre-ville, les exactions des "bandes de jeunes", la présence de migrants agressifs entretenus et soutenus et devient invivable.
Breizh Info – Les arrivées de migrants ne connaissent pas de répit en Italie comme en Grèce. Tour d’horizon de la situation.
Grèce : des îles toujours prises d’assaut
En Grèce tout d’abord, ce sont 643 migrants qui ont débarqué sur les îles de Lesbos et Samos en l’espace de 24 heures le week-end dernier. Un nombre auquel il faut ajouter 60 autres personnes secourues en mer par les gardes-côtes grecs dans la même zone.
Avec plus de 700 migrants en moins de deux jours, le flux des arrivées sur les îles grecques se maintient à un niveau élevé depuis plusieurs semaines. À titre d’exemple, dans un article publié le 7 novembre, nous évoquions le triste record battu en Grèce entre le 29 et le 30 octobre derniers : en l’espace de 48 heures, 795 migrants avaient réussi à gagner les côtes grecques en provenance de Turquie. Il fallait alors remonter à mars 2016, soit avant l’entrée en vigueur de l’accord UE-Turquie, pour retrouver trace d’un tel afflux.
Lundi 25 novembre. 13 militaires français de l’opération Barkhane trouvent la mort au cours d’une mission aux confins du Mali.
Dès le lendemain, une figure emblématique de la communauté malienne de Paris – jeune universitaire très actif dans une ONG de la diversité – interpelle vigoureusement ses concitoyens. En quelques jours, une conscience commune s’est émue, un élan s’est formé et des centaines, puis des milliers de jeunes hommes, âgés de 18 à 35 ans, se sont présentés, soit spontanément, soit poussés par leur famille, à des centres de recensement installés à la va-vite dans le quartier de La Chapelle, répondant au mot d’ordre « Malien de France, avec Barkhane et tes frères, viens combattre pour ta patrie ! » Une noria aérienne est organisée vers Bamako, où ces volontaires sont équipés, formés puis intégrés dans les unités du G5 Sahel…
Fin de la fiction. Voilà ce qui serait juste, normal et digne.
Or, comment ne pas être révolté devant ce scandaleux paradoxe : de jeunes Français combattent et meurent pour le Mali – État failli incapable de restaurer la paix dans ses frontières – tandis que des milliers de jeunes Maliens en âge de combattre errent dans nos banlieues, en mal de reconnaissance, d’identité et d’avenir.
Aurions-nous imaginé, en 1914, qu’une diaspora française, jeune et nombreuse, reste oisive au-delà des mers tandis que le pays était en guerre ?
L’auteur de ces lignes, dont l’un des fils, officier, rentre à peine d’une mission au sein de Barkhane, ne trouve pas tolérable que nous entretenions chez nous une population étrangère dont le pays en guerre est défendu par nos propres soldats.