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anti-national - Page 302

  • Violences à Mantes-la-Jolie : appliquons la tolérance zéro !

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    Un communiqué de la Dissidence française :

    Avant-hier soir, les pompiers furent appelés pour intervenir sur un incendie de véhicule dans le quartier du Val-Fourré à Mantes-la-Jolie (Yvelines). Pourtant escortés par des policiers, comme c’est devenu la norme dans un certain nombre de quartiers « sensibles », les pompiers sont alors tombés dans un guet-apens. Une centaine d’individus ont ainsi attaqué pompiers et policiers, usant de cocktails molotov, de caillassages et de tirs de mortiers. Après une heure d’affrontements, les policiers sont parvenus à rétablir un semblant d’ordre dans le quartier, mais sans réussir à interpeller un seul des assaillants.

    Ce nouvel épisode de violences contre les forces de l’ordre témoigne du climat d’ensauvagement et de sédition qui se développe dans un certain nombre de quartiers en France. C’est aussi le résultat de décennies de laxisme judiciaire et migratoire qui ont créé les conditions d’une véritable guerre civile en gestation, dont ces émeutes ne sont que les symptômes annonciateurs.

    Face à cette grave crise sécuritaire, seule la Dissidence Française propose l’instauration d’un plan d’urgence contre l’ensauvagement de la France à travers 6 mesures d’urgence à mettre en oeuvre immédiatement :

    1. Appliquer la tolérance zéro dans les banlieues, et mener une guerre totale contre la drogue, les dealers et les trafiquants ;
    2. Mettre un terme au laxisme judiciaire en rétablissant des peines planchers et supprimant l’automaticité des remises de peines ;
    3. Augmenter les moyens et les effectifs des forces de l’ordre ainsi que le nombre d’établissements pénitentiaires ;
    4. Expulser systématiquement les clandestins et les détenus étrangers ou binationaux, lutter contre le communautarisme islamiste  ;
    5. Instaurer la déchéance de nationalité pour les crimes et délits graves, notamment terroristes.
    6. Rétablir immédiatement et définitivement les contrôles aux frontières, stopper l’immigration et engager un processus de remigration.

    Pour la France et les Français d’abord ! 

    La Dissidence française cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/25/violences-a-mantes-la-jolie-appliquons-la-tolerance-zero-6185524.html

  • Jérôme Gigou : « Au Val Fourré, comme dans d’autres quartiers, la reconquête républicaine va être difficile »

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    Ce jeudi soir, des dizaines d’individus ont tendu un guet-apens aux pompiers et à la police dans le quartier du Val Fourré, à Mantes-la-Jolie (Yvelines).

    Explications de Jérôme Gigou, secrétaire général adjoint du syndicat VIGI Police, au micro de Boulevard Voltaire. Il revient également sur le malaise grandissant au sein des forces de l’ordre, qui sont « au bout du rouleau ».

  • « Rétablir l’état de droit face à ces nouveaux despotes que sont les multinationales et les marchés financiers »

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    Ex: https://www.bastamag

    Les Nations-Unies travaillent à un nouveau traité pour contraindre les multinationales à respecter les droits humains et l’environnement. En France, une loi impose, depuis 2017, un « devoir de vigilance » aux grandes entreprises, à leurs filiales et sous-traitants. Cet outil juridique mettra-t-il fin à leur quasi impunité ? Explications de notre journaliste Olivier Petitjean, via ces bonnes feuilles tirées de son ouvrage Devoir de vigilance. Une victoire contre l’impunité des multinationales.

    Le 27 mars 2017, la France promulguait, à l’issue d’un laborieux parcours législatif de plusieurs années, la loi sur le devoir de vigilance des multinationales – ou, plus précisément, des « sociétés mères et entreprises donneuses d’ordre ». De manière très inhabituelle pour la France, cette loi n’a pas été conçue dans les ministères, mais par un petit groupe de députés indépendamment du gouvernement, en collaboration étroite – ce qui est encore plus rare – avec une coalition d’associations, de syndicats et autres acteurs de la société civile. C’est une loi d’une grande simplicité, qui tient en trois articles. Son objectif pourrait paraître modeste : corriger une lacune du droit existant en donnant la possibilité, dans certaines conditions, de saisir la justice lorsqu’une entreprise multinationale basée sur notre territoire est mise en cause pour des atteintes graves aux droits humains et à l’environnement, commises en France comme à l’étranger.

    Pollutions pétrolières ou chimiques, main-d’œuvre surexploitée dans les usines des fournisseurs, conflits et répression autour des sites d’implantation des multinationales, complicité avec des dictatures, accaparement des ressources naturelles, tout le monde a entendu parler de cette face obscure de la mondialisation, où l’internationalisation des chaînes de production et la chasse aux profits se développent aux dépens des femmes et des hommes et de la nature. Que les victimes puissent porter plainte pour faire respecter leurs droits fondamentaux, ou que des associations puissent exiger l’intervention d’un juge pour mettre fin aux abus, quoi de plus naturel, quoi de plus normal soixante-dix ans après l’adoption de la Déclaration universelle des droits de l’homme, et après de multiples traités internationaux sur la lutte contre l’exploitation, le climat ou la protection de l’environnement ?

    Un chaînon manquant dans la mondialisation

    Et pourtant, en pratique, mettre en cause une grande entreprise et ses dirigeants pour les violations des droits humains ou la dégradation de l’environnement occasionnées par ses activités reste souvent mission impossible. Et ce n’est pas faute d’avoir essayé, comme nous le racontons dans ce livre. D’un côté, il existe une multitude de textes de droit international ; de l’autre, une impossibilité apparente de les faire appliquer et de leur donner effet dans des situations impliquant des multinationales. Voilà manifestement un chaînon manquant dans la mondialisation.

    Beaucoup de raisons entrent en jeu pour créer cette situation d’impunité. D’abord les soutiens et les complicités politiques dont bénéficient généralement les milieux d’affaires internationaux dans les pays où ils sont implantés. Ensuite la faiblesse du pouvoir judiciaire, par manque de moyens ou par manque d’indépendance. Sans compter que, bien entendu, les grandes entreprises et leurs dirigeants peuvent mettre en branle des armées d’avocats pour faire traîner en longueur les procédures, épuiser tous les recours ou exploiter les failles de l’accusation. Les personnes et les groupes les plus affectés par leurs activités, en revanche, comptent souvent parmi les plus démunis. L’histoire de David contre Goliath semble donc infiniment répétée – mais sans fronde à disposition des « petits ».

    Il est aussi une raison moins visible et plus structurelle à cette impunité des multinationales, qui gît dans le droit lui-même et dans sa déconnexion d’avec la réalité économique. On peut dire qu’aujourd’hui la « multinationale », le « groupe », voire l’« entreprise », n’existent pas réellement d’un point de vue juridique. Là où nous voyons un sujet cohérent et autonome – Total, Apple ou H&M –, avec sous son égide des dizaines d’établissements, de filiales, de co- entreprises ou autres relations d’affaires gérées en fonction de l’intérêt du tout (ce qui signifie malheureusement souvent le seul intérêt des actionnaires et des dirigeants), le droit voit une nébuleuse d’entités distinctes, seulement liées entre elles par des liens capitalistiques et des contrats.

    Il ne s’agit pas seulement d’un simple détail technique. Une conséquence directe de ce hiatus est qu’il est souvent extrêmement difficile de responsabiliser la multinationale elle-même (autrement dit la « société mère » qui chapeaute tout l’édifice et le dirige) pour les manquements d’une de ses filiales à l’étranger. Et à plus forte raison pour des abus constatés chez l’un de ses sous-traitants ou fournisseurs, quand bien même ces abus seraient directement liés aux exigences ou aux pressions de la multinationale en question.

    Coup porté à l’impunité des multinationales

    C’est précisément cette lacune, cet angle mort du droit, que la loi sur le devoir de vigilance entend combler. À certains égards, ce n’est qu’un point de détail, un simple aménagement législatif qui crée une possibilité de recours judiciaire ne visant que les abus les plus criants, selon une procédure très spécifique, et qui impliquera d’apporter la preuve que la société mère (vis-à-vis de ses filiales) ou donneuse d’ordre (vis-à-vis de ses fournisseurs et sous-traitants) a clairement manqué aux responsabilités qui étaient les siennes en proportion de son influence réelle. On voit mal cette loi donner lieu à une floraison de procès intentés contre des entreprises, comme l’ont suggéré ses détracteurs.

    À d’autres égards, cependant, cela change tout. C’est d’ailleurs pourquoi cette législation d’apparence modeste, ciblant des situations que personne ne pourrait considérer comme acceptables, a suscité, et continue de susciter, une opposition aussi acharnée de la part d’une partie des milieux d’affaires français et internationaux. La loi française sur le devoir de vigilance est un coup porté à la barrière de protection juridique qui isole les multinationales des impacts de leurs activités sur les sociétés et l’environnement.

    De ce fait, elle remet en cause la condition d’« irresponsabilité sociale » intrinsèque à la notion même d’entreprise multinationale, se jouant des frontières et des juridictions. Elle modifie ce qui, en apparence, n’est qu’un petit rouage juridique de la mondialisation, mais qui affecte virtuellement tout le fonctionnement de la machine – notamment au profit de qui et au détriment de qui elle opère.

    Tout ceci ne vient pas de nulle part. L’adoption de la loi française en 2017 n’est ni le commencement ni la fin. La manière dont elle sera effectivement utilisée et mise en œuvre fera certainement l’objet de controverses aussi virulentes que celles qui ont entouré son élaboration et son adoption. Sa portée dépasse les frontières de l’Hexagone, comme l’illustre l’intervention dans le débat législatif français d’organisations comme la Chambre de commerce des États-Unis, principal lobby patronal américain, ou la Confédération syndicale internationale, porte-parole du monde syndical à l’échelle globale.

    Des chaînes de responsabilité souvent complexes et diffuses

    Cette loi constitue une étape dans une histoire qui commence, au moins, dans les années 1970 – date à laquelle la régulation des entreprises multinationales dans le cadre du droit international émerge en tant qu’enjeu politique. Elle est issue, dans sa conception, de l’expérience concrète d’associations et d’avocats, en France, au Royaume-Uni, aux États-Unis, en Inde, en Équateur et ailleurs, qui ont tenté pendant des années d’utiliser les armes du droit existant pour mettre les multinationales et leurs dirigeants face à leurs responsabilités. Parallèlement à la France, d’autres pays européens débattent de législations similaires – ce qui prouve à quel point le sujet est à l’ordre du jour. Dans les enceintes onusiennes comme le Conseil des droits de l’homme ou l’Organisation internationale du travail, les discussions se poursuivent sur des instruments de droit international visant à donner, comme la loi française, une effectivité juridique à la responsabilité des multinationales.

    Pour un lecteur non averti, tout ceci pourrait peut-être paraître irréel. Nous ne sommes pas préparés, culturellement et historiquement, à imaginer une multinationale ou un patron d’entreprise dans un tribunal, devant un juge, obligés de répondre de leurs actes, sauf peut-être dans les cas les plus flagrants d’escroquerie ou de corruption. Les tribunaux sont faits pour les délinquants et les criminels ordinaires, en chair et en os, dont les actions sont clairement identifiables, avec des conséquences tout aussi claires sur la vie humaine ou l’intégrité des personnes et des biens.

    Par comparaison, la délinquance ou la criminalité « en col blanc » – celle des spéculateurs, des fraudeurs fiscaux, des hommes d’affaires et des cadres d’entreprise – ne nous apparaît pas avec le même sens de gravité et d’immédiateté, même si ses conséquences directes ou indirectes peuvent être beaucoup plus sérieuses. Nous imaginons facilement juger l’assassin qui aurait fait une seule victime, et non juger l’entreprise ou le dirigeant dont les décisions froides ont directement entraîné une pollution, la commercialisation de produits dangereux ou un affaiblissement des règles de sécurité affectant la vie de centaines de riverains, de consommateurs ou de travailleurs.

    Il y a de bonnes raisons à cela. Lorsqu’il est question d’abus de la part de multinationales, les actions, les processus de décision qui ont mené à ces actions, les causes et les chaînes de responsabilité sont souvent complexes, diffus et délicats à déterminer. Mais cette difficulté ne signifie pas qu’il n’y ait pas effectivement décision, action et nécessité de répondre de leurs conséquences. L’impression de discontinuité et de distance entre les décisions apparemment « impersonnelles » prises dans les salles de réunion des sièges des multinationales et leurs conséquences très concrètes pour les gens et pour la nature, parfois à l’autre bout du monde, est précisément ce qui facilite les abus et laisse libre cours à la seule recherche du profit financier.

    Ramener les multinationales et leur pouvoir au sein d’un véritable « état de droit »

    Parfois, ce principe d’irresponsabilité finit par entraîner des scandales de grande ampleur : effondrement au Bangladesh en 2013 de l’immeuble du Rana Plaza qui abritait des ateliers textiles travaillant pour de grandes marques occidentales ; marées noires avec leurs déversements de pétrole comme celles de l’Erika, de Chevron-Texaco dans l’Amazonie équatorienne ou celles qui polluent au quotidien le delta du Niger ; pollutions chimiques à grande échelle comme à Bhopal en Inde ; collaboration avec des dictatures ou des groupes terroristes. Mais il régit aussi, au quotidien, d’innombrables décisions prises par les directions d’entreprise, dont nous sentons indirectement les conséquences dans nos vies et qui font du monde d’aujourd’hui ce qu’il est, avec ses multiples défis sociaux, politiques et environnementaux.

    En ce sens, la loi sur le devoir de vigilance n’est pas une loi « de niche » qui n’intéresserait que les ONG de solidarité internationale ou les défenseurs de l’environnement. La place croissante et, pour être clair, le pouvoir des multinationales – elles-mêmes de plus en plus dominées par les marchés financiers et leur logique de profit à court terme – sont aujourd’hui une réalité qui dépasse largement la seule sphère économique. Impossible d’y échapper. Elle engage nos modes de vie, la préservation des écosystèmes et du climat, notre cohésion sociale elle-même, au sein de chaque pays et entre pays. Ce pouvoir est aussi de plus en plus contesté par une grande partie de l’opinion publique, par les communautés qui accueillent (et souvent subissent) ces activités, et parfois par les travailleuses et travailleurs des multinationales eux- mêmes. Une forme de contrat social semble s’être rompue.

    Face à ce constat, la tentation de beaucoup est d’en appeler simplement à une réaffirmation du pouvoir politique face aux pouvoirs économiques, d’exiger des autorités publiques qu’elles (ré)imposent enfin leurs règles et leurs volontés aux acteurs économiques et fassent primer l’intérêt général sur les intérêts privés. Difficile d’être en désaccord. Mais il ne faut pas non plus passer à côté de ce qui fait la spécificité de ce « pouvoir » qui est celui des multinationales, qui justement ne fonctionne pas sur le modèle de celui des États et ne s’oppose pas frontalement à eux – sauf, bien sûr, cas extrêmes. C’est un pouvoir de fait qui s’exerce dans les creux du pouvoir politique et de la législation, en occupant tout l’espace de ce qui n’est pas expressément interdit et effectivement sanctionné par les pouvoirs publics, ou en jouant de l’« extraterritorialité » que lui permet sa dimension multinationale par rapport aux frontières administratives et judiciaires. Il s’exerce aussi d’une certaine façon par le droit, en s’appuyant sur un « droit des affaires » qui le rend invisible et quasi naturel – par exemple celui des accords de libre-échange. C’est pourquoi le terrain juridique est tout aussi important que les terrains politique et économique face aux abus des multinationales.

    Au fond, l’enjeu est de maintenir ou de ramener les multinationales et leur pouvoir au sein d’un véritable « état de droit » et d’un espace public démocratique. Les grands principes des droits de l’homme et des libertés civiles se sont construits, historiquement, en réponse à l’arbitraire des monarchies absolues ; il faut aujourd’hui les protéger ou les reconstruire face à ces nouveaux despotes que sont les grandes entreprises et les marchés financiers.

    Le devoir de vigilance se situe en ce sens à l’une des plus importantes « frontières » actuelles de notre démocratie – une démocratie de plus en plus mondialisée et de plus en plus soumise aux pouvoirs économiques. C’est un outil et un point d’appui pour rééquilibrer, à la fois de l’intérieur et de l’extérieur des entreprises, un système de plus en plus biaisé en faveur des puissances de l’argent. Son avenir et la manière dont il sera mis à profit restent aujourd’hui à écrire.

    Olivier Petitjean

    Ce texte est tiré de l’introduction du livre d’Olivier Petitjean : Devoir de vigilance. Une victoire contre l’impunité des multinationales, 2019, éditions Charles Léopold Mayer, 174 pages, 10 euros.

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2019/10/23/retablir-l-etat-de-droit-face-a-ces-nouveaux-despotes-que-s-6185024.html

  • Honneur au Général Franco.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    La profanation de sépulture participe de la nature même des hyènes rouges.
    Ce jeudi 24 octobre, portée par huit membres de sa famille dont son arrière petit fils Louis de Bourbon considéré par les Légitimistes comme prétendant au trône de France, la dépouille mortelle de l'ancien Chef d'Etat espagnol a été exhumée du mausolée de Los Caídos et transférée au cimetière de Mingorubbio au nord de Madrid où repose déjà son épouse.
    Les rouges et les roses croient ainsi, par cet acte honteux, tenir leur revanche sur l'Histoire et sur celui qui sauva son Pays de la terreur communiste et de l'anarchie.
    La partie est pourtant loin d'être terminée. En Espagne comme dans toute l'Europe, notre heure reviendra.
    Honneur au Général Franco. Espana Una Grande y Libre !

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  • Emmanuel Macron : «Le port du voile dans l’espace public n’est pas mon affaire»

    Le président Emmanuel Macron, interrogé par « Réunion la 1ère » et « Antenne Réunion », qui lui demandaient si le port du voile était souhaitable dans l’espace public, a répondu : «Le port du voile dans l’espace public n’est pas mon affaire. C’est ça la laïcité», en ajoutant que «Le port du voile dans les services publics, à l’école, quand on éduque nos enfants, c’est mon affaire. C’est ça la laïcité».

    Alors qu’il dénonçait « le débat qui consiste à ne stigmatiser qu’un seul signe religieux », le président a toutefois reconnu l’importance du devoir de neutralité des agents dans les espaces où le service public est rendu, avant de concédér que le communautarisme était le « cœur du problème » : «il y a aujourd’hui des femmes et des hommes, citoyens français, qui disent: “De par ma religion je n’adhère plus aux valeurs de la République”». «Je sors mon enfant de l’école pour le mettre peut-être à la maison ; je refuse qu’il aille se baigner avec d’autres, apprendre la musique… Et j’ai un projet de vie et de société qui n’est plus d’être ensemble dans la République mais, au nom de ma religion, de porter un autre projet politique».

    «Ça, c’est un problème pour moi. Ça, c’est un communautarisme. Et dans ce cas-là, j’ai un problème avec l’utilisation, la revendication, en quelque sorte, qui devient politique, de ce séparatisme. Si on confond les sujets, à ce moment-là on se met en situation de ne pas pouvoir véritablement régler le cœur du problème qu’à la République française, qui est le communautarisme», a-t-il conclu.

    Le Figaro

    https://www.tvlibertes.com/actus/emmanuel-macron-le-port-du-voile-dans-lespace-public-nest-pas-mon-affaire

  • Nadia Remadna : “J’ai vu des élus négocier des voix avec des intégristes”

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    Nadia Memadna, fondatrice de l’association la “Brigade des mères” qui lutte contre la montée de l’intégrisme islamique dans les banlieues est l’invitée d’André Bercoff sur Sud Radio.

    Source: Sud Radio

    https://www.alterinfo.ch/2019/10/23/nadia-remadna-jai-vu-des-elus-negocier-des-voix-avec-des-integristes/

  • Une note lierait résultats électoraux et suppression de postes de juges d’instruction !

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    Une note des services de Mme Belloubet dévoilée, le 23 octobre par Le Canard enchaîné a provoqué, à jute titre, un tollé chez les syndicats de magistrats et crée un profond malaise dans l’opinion. Selon ce document, la chancellerie a sollicité une réunion avec l’un des conseillers du Premier ministre et des experts électoraux de LREM afin de déterminer les villes pouvant être gagnées par les fidèles de M. Macron et de différer, pour celles-ci, les annonces de suppression de postes de juges d’instruction. Il s’agirait de ne pas mécontenter l’opinion publique locale.

    En effet, la réforme de la carte judiciaire promulguée en mars permet de telles modifications dans les départements où plusieurs villes sont pourvues de juges d’instruction. Cette mesure peut se comprendre : est-ce utile de conserver dans une agglomération un poste de magistrat instructeur et tout son cabinet pour moins de cinquante dossiers par an ? Alors que notre pays étouffe sous l’hydre d’un déficit structurel, chercher à économiser sans trop nuire à l’administration de la  est logique et guère contestable.

    Mais le contenu de la note interne provoque avec raison la fureur des syndicats, car des postes de juges d’instruction seraient provisoirement sauvés pour permettre à un candidat LREM de s’imposer ! C’est le cas à Montluçon, où le magistrat instructeur a traité 22 dossiers en 2018 (deux par mois !) et qui serait maintenu, car la ville serait « gagnable », la population locale ayant voté plus que la moyenne pour M. Macron aux présidentielles. Apparemment, le juge d’instruction de Montluçon finira par sauter, mais sans doute dans une période de creux électoral, loin de toute échéance.

    Mme Belloubet se défend mollement ; elle ne nie pas l’existence de cette note, juste son interprétation. Elle ne souhaite pas, évidemment, assumer le cynisme total que ce document implique.

    Dans le nouveau monde macronien, qui devait tant différer de l’ancien, recevra-t-on des avantages si on vote bien. En revanche, si on choisit des candidats d’opposition, sera-t-on sévèrement sanctionné ? Un des ténors de LREM n’avait-il pas annoncé que les maires qui seraient élus sans le soutien de M. Macron seraient considérés comme des ennemis ? Avons-nous l’illustration de ces propos qui ont fait scandale lorsqu’ils ont été émis ? En 1860, MM. Erckmann et Chatrian, les chantres de l’Alsace française, démontaient les mécanismes qui permettaient à Napoléon III de gagner, sans bourrer les urnes, les différents plébiscites qu’il soumettait aux Français : les villages qui votaient bien avaient droit à de menus avantages comme laisser paître leurs cochons dans les bois de l’État. Sommes-nous revenus à cette époque peu démocratique ? Peut-être.

    Le malaise est en tout cas profond. Les gouvernements précédents n’étaient pas plus vertueux, leurs pratiques s’approchaient de celles qui sont reprochées à Mme Belloubet. Mais elles n’étaient pas revendiquées et assumées sans complexes par un pouvoir qui se pose en modèle de vertu. La première mesure votée par la majorité de M. Macron ne portait-elle pas sur une illusoire moralisation de la vie politique ? Que reste-t-il, au bout de trois ans, de cette prétendue volonté ? Pas grand-chose 

    Christian de Moliner

    https://www.bvoltaire.fr/une-note-lierait-resultats-electoraux-et-suppression-de-postes-de-juges-dinstruction/

  • “Ce sont les immigrés eux-mêmes qui décident de la politique migratoire de la France”

    Extrait de 2mn17 du face à face sur CNews entre Eric Zemmour et le député François Pupponi, ancien maire de Sarcelles, ancien du PS et membre du GOF :

    https://www.lesalonbeige.fr/ce-sont-les-immigres-eux-memes-qui-decident-de-la-politique-migratoire-de-la-france/

  • Étude danoise : « Les musulmans doivent quitter le Danemark »

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    Les résultats d’une nouvelle étude menée au Danemark ont révélé qu’un Danois sur quatre estime que les immigrants musulmans doivent quitter le Danemark.

    L’étude, menée par l’hebdomadaire Mandag Morgen (Monday Morgen) en partenariat avec le professeur Jørgen Goul Andersen, a révélé que les Danois estiment que l’immigration de masse constitue une menace existentielle pour leur identité et leur culture nationales, ce qui n’a jamais été aussi important depuis 30 ans.

    Parmi les Danois interrogés, 28 % étaient d’accord avec l’affirmation « les immigrants musulmans doivent quitter le Danemark ». Un peu moins de la moitié (45 pour cent) ont déclaré qu’ils pensent que les musulmans devraient être autorisés à rester dans le pays. 39 pour cent ont déclaré qu’ils étaient prêts à expulser les immigrants immédiatement s’ils étaient sans emploi, alors que seulement 32 pour cent des Danois étaient en désaccord avec cette position.

    Il est intéressant de noter que l’enquête a également révélé un écart générationnel important dans les attitudes envers l’immigration et l’intégration. Il n’est pas surprenant de constater que les jeunes étaient plus ouverts et positifs à l’égard de l’immigration, alors que les personnes plus âgées n’étaient pas satisfaites de l’immigration.

    Alors que seulement 16 % des moins de 25 ans étaient d’accord avec l’affirmation selon laquelle les musulmans devraient être expulsés du pays, 30 % des Danois âgés de 40 ans et plus étaient d’accord avec la même affirmation.

    Le professeur Jørgen Goul Andersen a été surpris par les résultats de l’étude.

    « C’est un peu effrayant, peu importe comment on l’interprète. L’expulsion des musulmans est contraire à la liberté religieuse inscrite dans la Constitution. Le fait que tant de gens soient encore d’accord avec des positions qui sont généralement considérées comme inacceptables suggère un déclin des valeurs démocratiques qui peut être presque entièrement imputé à l’élite politique. Cela peut avoir déclenché une avalanche, qui peut être difficile à arrêter », a déclaré Jørgen Goul Andersen.

    Au cours de ses commentaires, le professeur Andersen a mentionné le nouveau parti de droite du Danemark, Stram Kurs (Hard Line), qui aimerait que l’islam soit entièrement retiré du Danemark, que la citoyenneté de tous les non-Européens soit annulée et que tous les réfugiés soient déportés.

    L’étude fait suite à une autre enquête récente qui a révélé que près de la moitié des immigrants de deuxième génération croient que les critiques à l’égard de la religion devraient être carrément interdites, ce qui laisse entendre que les immigrants musulmans ne s’assimileront jamais à la culture occidentale.

    Dans l’état actuel des choses, l’islam représente la religion de la plus grande minorité religieuse du Danemark. On estime que les musulmans représentent un peu plus de cinq pour cent de la population danoise.

    © Christian Larnet pour Dreuz.info.

    Photo couverture: © Getty Images

    https://www.alterinfo.ch/2019/10/24/etude-danoise-les-musulmans-doivent-quitter-le-danemark/

  • Des musulmans donnent une leçon à Macron sur le port du voile !

    Quand Macron, lors de son déplacement à Mayotte, le 22 octobre, esquive la question du port du voile, estimant que « la priorité du moment, c’est de lutter contre la radicalisation et de renforcer notre politique de lutte contre ce qu’on appelle le communautarisme », il fait mine de ne pas comprendre que le voile est, précisément, en France métropolitaine, le signe d’un communautarisme et d’une radicalisation qui s’étendent.
    Rares étaient, jusqu’à présent, les musulmans qui condamnaient le voile.
    Mais voici que, pour répondre à la tribune intitulée « Jusqu’où laisserons-nous passer la haine des musulmans ? », publiée dans Le Monde, 101 personnalités françaises « de culture ou de confession musulmane, humanistes, progressistes et féministes » dénoncent, dans l’hebdomadaire Marianne, le port du voile, qu’elles qualifient de « sexiste » et d’« obscurantiste ».
    Leurs propos résonnent comme une leçon à notre Président. Citons-en les extraits les plus significatifs.
    « Notre pays se déchire depuis trente ans au sujet du port du voile de certaines Françaises de confession musulmane. Ces femmes sont de plus en plus nombreuses, tant l’influence des prédicateurs extrémistes est très forte […]. Le port du voile est le signe ostentatoire d’une compréhension rétrograde, obscurantiste et sexiste du Coran. Voiler les femmes, c’est stigmatiser leur présence dans l’espace public […]. LES musulmanes ne portent pas le voile, sachez-le bien. Ce sont DES musulmanes qui le portent. DES musulmanes qui font une lecture patriarcale et faussement littéraliste du texte coranique. DES musulmanes et DES musulmans qui refusent l’intelligence de la foi, qui refusent d’allier la foi avec l’exercice de la Raison critique. »
    Bien sûr, les auteurs de ce manifeste sont des personnes libérées de l’emprise islamique.
    On aimerait qu’elles fussent encore plus nombreuses pour éclairer les consciences.
    On entend trop de commentateurs justifier, au nom de la liberté d’opinion et du droit à la différence, l’expression de pratiques communautaires.
    Ce matin encore, à « L’Heure des pros », sur CNews, un intervenant disait préférer, au témoignage d’une signataire, celui d’une femme voilée qui, la veille, assumait le port de son voile, déclarant : « C’est le fruit d’un cheminement personnel, c’est une démarche religieuse, c’est un respect pour Dieu, donc j’en profite pour dire que ce n’est pas un signe de soumission. »
    C’est peut-être vrai dans des cas exceptionnels, bien qu’on puisse se demander si cette rhétorique n’est pas une façon de faire accepter le voile.
    Qu’on le veuille ou non, quelles qu’en soient les raisons historiques, le port du voile est, de nos jours, le signe qu’on veut se mettre à part et qu’on revendique l’islamisation d’une partie de la société. Même dans des quartiers qui ne sont pas réputés sensibles, des femmes qui ne portaient pas, autrefois, le voile le portent aujourd’hui.
    On pourrait écouter, pour mieux comprendre ce que signifie le voile, la conférence prononcée, le 17 août 2015, par Souâd Ayada, inspectrice générale de philosophie, spécialiste de spiritualité et philosophie islamique, intitulée « Les divisions de l’islam : sur la question du voile et du jihâd ».
    On peut se réjouir que des esprits lucides, y compris de confession musulmane, donnent tort à Macron, qui n’a pas le courage de prendre position sur la question du voile.
    Ils sont plus soucieux de l’unité de la France que notre Président mondialiste !

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/des-musulmans-donnent-une-lecon-a-macron-sur-le-port-du-voile/