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anti-national - Page 301

  • 3000 migrants arrivent chaque année à Montpellier, selon le maire de la ville

    Lengadoc Info – On sait désormais combien de migrants arrivent chaque année à Montpellier et c’est Philippe Saurel lui même qui l’a révélé il y a quelques jours à l’occasion du festival de cinéma méditerranéen Cinemed.

    3 000 migrants par an à Montpellier

    La 41e édition du Cinemed, qui a débuté le 18 octobre dernier et qui se terminait samedi 26 octobre aura au moins permis de connaître le nombre de migrants que la ville de Montpellier accueille chaque année.

    En effet, à l’occasion de ce festival, présidé cette année par le maire pro-migrants de Palerme, Leoluca Orlando (centre-gauche), le maire de Montpellier Philippe Saurel a été interrogé dimanche dernier par le journal Midi Libre sur la question de l’accueil des migrants dans sa ville. Celui-ci a alors reconnu que Montpellier recevait « environ 3 000 migrants par an ».

    Submersion migratoire en cours à Montpellier ?

    Le chiffre avancé par Philippe Saurel est particulièrement important si on le rapporte à l’évolution démographique de Montpellier. Selon l’INSEE, la population de la métropole de Montpellier (une trentaine de communes) a augmenté de 7 500 habitants par an entre 2011 et 2016.

    Selon les chiffres du dernier recensement, la ville de Montpellier comptait en 2015 une population immigrée (personne née à l’étranger, dont la nationalité d’origine est étrangère, et qui vit en France. Parmi les immigrés sont donc comptabilisés les étrangers et les personnes ayant acquis la nationalité française au cours de leur vie. Source INSEE) de 44 803 habitants soit 16,1 % de la population de la ville contre 9,2 % au niveau national.

    Article paru en premier sur Lengadoc-info

    https://www.tvlibertes.com/actus/3000-migrants-arrivent-chaque-annee-a-montpellier-selon-le-maire-de-la-ville

  • Nouvelle garde à vue pour le militant Cédric Herrou, interpellé à la frontière en compagnie de deux clandestins

    Selon une source policière au Figaro, l’agriculteur et militant pro-migrants Cédric Herrou a été interpellé ce matin à 9h30 à la frontière italienne par des CRS en compagnie de deux personnes présentées comme étant en situation irrégulière au péage de La Turbie (Alpes-Maritimes). Les trois hommes ont été remis à la Police aux frontières (PAF) des Alpes-Maritimes. Cédric Herrou aurait été arrêté pour le motif d’«aide à l’entrée et à la circulation de personnes en situation irrégulière». Les deux personnes qui l’accompagnaient feraient partie des compagnons d’Emmaüs Roya, la communauté paysanne créée par Cédric Herrou cet été.

    Cet agriculteur et militant anarchiste désormais célèbre avait fait abolir le “délit de solidarité” avant d’être relaxé d’un procès pour aide à l’immigration illégale.

    Sur Twitter, plusieurs élus de gauche, LFI et PCF ont dénoncé cette arrestation et demandé sa libération.
  • Mantes-la-Jolie : un guet-apens avec plus de 100 individus, des blessés et… « aucune interpellation » ?

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    Je n’ai aucune compétence judiciaire ou policière. Simple citoyen, je vois défiler, depuis des années, au sujet des violences qui embrasent régulièrement le pays, toujours les mêmes séries de faits, avec exactement les mêmes éléments de langage – et de réalité – dans la presse. Ainsi, pour les féminicides, le conjoint ou l’ex était déjà violent, souvent connu de la police et de la Justice, mais celle-ci n’a pas réussi à le mettre hors d’état d’assassiner sa femme. Pour les attentats, les terroristes radicalisés étaient aussi connus, parfois signalés, parfois fichés S, mais là encore, la Justice n’a pas su, ou voulu, éviter le passage à l’acte meurtrier. Et puis, pour les pièges tendus par des « jeunes » de banlieue aux pompiers et aux policiers, on a, aussi, toujours le même scénario : la voiture qui brûle comme appât, le coup de fil, les pompiers escortés et le guet-apens. À Mantes-la-Jolie, c’est encore ce qui s’est produit, jeudi soir.

    Certes, on retrouve toujours les condamnations des ministres, dont l’un, Laurent Nuñez a reconnu que c’était une « attaque extrêmement violente ». Certes, la Justice a ouvert une enquête pour « violences avec guet-apens, arme et en réunion », « participation à un groupement formé en vue de la commission de violences » et « outrages » sur personne dépositaire de l’autorité publique.

    Mais on retrouve aussi, dans le compte rendu de ce « fait divers » par 20 Minutes, la phrase fatidique : « Aucun individu n’a été interpellé. »

    Et le simple citoyen de s’interroger. Pourquoi ? La nuit était trop noire ? Les individus cagoulés ? Et ceux qui sont allés directement aux urgences après leur petite attaque ? Ou bien fallait-il laisser retomber la tension ? Permettre à ces jeunes de retrouver leurs esprits après leur coup de feu ? Par crainte d’un embrasement ? Parce que la Justice avance à son rythme ? Parce que la police, déjà contrainte de battre en retraite, n’aurait pas les moyens de ? Il faudra, un jour, nous le dire. Sinon, le simple citoyen se fera son idée. Mais toutes ces raisons cumulées n’ont rien de rassurant. Surtout quand on sait comment la Justice et la police, par exemple lors de manifestations de gilets jaunes, ont procédé à des interpellations « préventives » en mobilisant des moyens exceptionnels, on s’interroge.

    Et le simple citoyen pourrait se dire, un jour : si la police ne peut pas, alors… Alors qui ? L’armée ? Mais peut-être que les chefs de la police, et les hommes au-dessus d’eux, ceux pour qui ces choses qui se déroulent dans l’espace public sont un petit peu l’affaire quand même, s’interrogent aussi : alors qui ? Alors quand ?

    Frédéric Sirgant

    https://www.bvoltaire.fr/mantes-la-jolie-un-guet-apens-avec-plus-de-100-individus-des-blesses-et-aucune-interpellation/

  • Philippe Pascot sur le référendum ADP: «Tout est fait pour qu’on n’en parle pas»

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    896.000 soutiens au référendum contre la privatisation d’ADP, ont été enregistrés mercredi 23 octobre par le Conseil constitutionnel. Sputnik a interrogé Philippe Pascot, figure des Gilets jaunes et l’un des plus fervents partisans de cette consultation.

    La mobilisation avait débuté sur les chapeaux de roue le jeudi 13 juin. 125.000 soutiens avaient signé dès le premier jour la consultation par Internet en faveur de la tenue d d’un référendum d’initiative partagée (RIP) sur la privatisation du groupe Aéroports de Paris (ADP).

    Ceux-ci déchantent quelques mois plus tard. Car ce 23 octobre, le Conseil constitutionnel annonçait avoir enregistré 896.000 signataires, soit moins de 20% des suffrages requis le 12 mars 2020, c’est-à-dire 4.717.396 noms. Des chiffres globalement corroborés par les compteurs indépendants comme celui de CheckNews ou du site de l’adrip.

    De nombreux partisans du référendum se sont plaints de l’opacité et du manque d’information qui entourent cette consultation. Philippe Pascot, auteur de Mensonges d’État (éd. Max Milo) et Gilet jaune régulier, en fait partie et ne mâche pas ses mots envers le gouvernement. Il a répondu à nos questions.

    Sputnik France: Comment expliquer la maigre mobilisation en faveur du référendum sur la privatisation d’ADP?

    Philippe Pascot: «D’abord, ce n’est pas un maigre résultat. Partout dans le monde, aucun RIP, aucun RIC ne demande plus de 900.000 signatures. Déjà de dépasser le million de signatures, comme on va les dépasser, c’est déjà une victoire. Comme il n’y a aucune transparence sur la façon dont Internet gère les signatures, on s’est aperçu, preuves à l’appui, que des gens qui s’inscrivaient disparaissaient soudainement des chiffres. Aujourd’hui, on ne peut plus faire confiance au Conseil constitutionnel. Quand on voit les décisions qu’il a prises, on se pose vraiment des questions sur son indépendance. Je pèse mes mots sur l’indépendance du Conseil constitutionnel, qui, quelque part, de plus en plus, est à la botte du pouvoir.»

    Sputnik France: Appelez-vous le gouvernement à réduire le chiffre requis de 4,7 millions de signatures?

    Philippe Pascot: «Oui, j’appelle à une modification de ce chiffre et à prouver à ces gens-là que ce sont des menteurs en continuant massivement à signer pour ADP. Même si on sait de toute manière que c’est un leurre, si on atteignait quatre millions de signatures, ces gens-là ne respecteraient pas le vote populaire. Depuis quelque temps, ils ne respectent rien de ce que demande le peuple.»

    Sputnik France: Difficile de nier néanmoins que la mobilisation médiatique et populaire n’est pas au rendez-vous?

    Philippe Pascot: «Parce que tout est fait pour qu’on n’en parle pas. Tout est fait pour que les gens n’y aillent pas. Tout est fait, quelque part, pour que la population se détourne de ce problème pour pouvoir dire: “vous voyez, vous vouliez la démocratie, vous ne savez même pas vous en servir”. Le problème, c’est qu’ils ne donnent pas aux gens les moyens de se servir de la démocratie. Donc ils disent “servez-vous de la démocratie”, mais ils font tout pour que les gens ne puissent pas s’en servir. C’est un vrai parcours du combattant de remplir le formulaire ADP.»

    Sputnik France: Les Gilets jaunes ne font plus état de cette mobilisation? Est-ce que vous appelez à une mobilisation sur ce référendum?

    Philippe Pascot: «Ce n’est pas qu’ils n’en parlent plus trop, les Gilets jaunes, c’est qu’on leur a tellement tapé sur la tête, on les a tellement manipulés, on les a tellement montrés comme des terroristes de gauche ou de droite, selon l’humeur gouvernementale, que ces gens-là sont un peu désorientés pour l’instant, mais ne vous inquiétez pas, ça va revenir.

    Des actions, il y en a toutes les semaines, il y a des gens qui, toutes les semaines, descendent dans les marchés pour faire signer les gens. Ils font remplir ça sur papier, parce que sur Internet, c’est un vrai parcours du combattant. Il faut enregistrer les signatures, ils regardent une semaine après si les signatures ont été enregistrées. Et deux semaines après, il y a des signatures qui disparaissent.» 

    Sputnik France: Quel nombre de signatures espérez-vous atteindre avant la mi-mars?

    Philippe Pascot: «On va dépasser le million, quoi qu’ils fassent, malgré le fait qu’ils maquillent les chiffres, nous allons dépasser le million. Rien que le fait de dépasser le million de signatures, c’est une victoire populaire. À mon avis, ils vont annoncer 1,5 million.»

    http://www.citoyens-et-francais.fr/2019/10/philippe-pascot-sur-le-referendum-adp-tout-est-fait-pour-qu-on-n-en-parle-pas.html

  • Les fausses nouvelles contre Donald Trump font pschiiit

    Les fausses nouvelles contre Donald Trump font pschiiit

    9478-20191026.jpgDe Christian Daisug dans Présent :

    Le sensationnel, l’événement, la révélation ne dura que quelques heures : le temps pour les quotidiens de la grosse presse d’étaler sur six colonnes des titres fracassants, le temps pour les chaînes de télévision de remplir leurs journaux du soir en doublant le prix de la minute de publicité. « Trump dans les filets de sa destitution ! » ; « Cette fois, il ne s’en sortira pas ! » ; « Explosif. » ; « Accablant. » ; « Ravageur. » Le plus rageur des tabloïds voulut rester fidèle à sa réputation « coup de poing » en affichant : « Il est cuit. » Adam Schiff, député démocrate, patron du comité des services de renseignement et, à ce titre, maître d’œuvre du processus de destitution contre le président Donald Trump, avait exhibé la veille un témoin qu’il présenta comme définitif. « Il dira tout », souligna-t-il. « Avec lui, Trump n’aura aucune chance de riposter. Il sera confondu par les faits. » On a vu le témoin. On l’a écouté. On a pesé ce qu’il avait dit. Mais rien de spectaculaire ne s’est produit. Le pétard a bien été allumé, mais il était mouillé. Pas de chance. Encore une fake news, une fausse nouvelle – du bluff.

    Le témoin

    Le fameux témoin, c’est Bill Taylor, 50 ans, ambassadeur des Etats-Unis en Ukraine depuis mai dernier. Les titres des journaux et les flashs des chaînes TV auraient reflété la stricte vérité si Taylor avait confirmé, preuves à l’appui, que Trump menaça le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, d’annuler une aide militaire de 400 millions de dollars à son pays au cas où des poursuites judiciaires ne seraient pas engagées contre son rival électoral, Joseph Biden ex-vice-président et son fils Hunter, tous deux dangereusement mêlés à une affaire de corruption en Ukraine. C’est le nœud de toute cette affaire. Or, Taylor, n’a rien révélé de substantiel. Il n’a pas sorti l’élément irréfutable capable de dissoudre la défense de Trump et de clouer le bec à ses fidèles. Schiff s’en doutait. Il n’était pas dupe du personnage qu’il jetait en pâture aux médias et à l’opinion. Qu’importe ! Même vide de toute charge explosive, Taylor pouvait lui être utile. La preuve par un stratagème diabolique en trois volets qui fonctionna comme un piège à deux victimes : Taylor lui-même à qui on a fait dire ce qu’il n’avait jamais dit ; les Américains qui ont été – une fois de plus – abreuvés de fausses nouvelles.

    Volet 1 de ce stratagème : dans une salle annexe du Congrès, Schiff réunit à huis clos les membres de son comité et, en son centre, place Taylor qui lit son texte et répond aux questions. Volet 2 : Les propos de Taylor sont sortis de leur contexte, tronqués, caviardés et transformés en rafales accusatrices avant de se voir fuiter en direction de CNN, du New York Times, du Washington Post et d’autres organes aux ordres. Volet 3 : le lendemain, les Américains apprennent que les démocrates sont censés avoir marqué un point crucial contre Trump. Ses adversaires exultent ; ses partisans s’attristent. Les deux camps se trouvent grugés par un manipulateur sans scrupule qui s’est donné le temps nécessaire pour désinformer et intoxiquer tout un pays. Le cynique Schiff n’est plus, dans ce domaine, un amateur. Son scénario est même bien rodé. Il a servi à plusieurs reprises dans la mascarade russe. A chaque fois, Schiff a besoin du secret absolu durant quelques heures, une nuit entière de fermentation et surtout de médias indignes car, bien sûr, eux aussi sont dans le coup.

    Indignation

    Mais aussi habile qu’il soit, Schiff n’a pu éviter dans cette affaire quelques adversaires non négligeables : une poignée d’élus républicains et Taylor lui-même. Dans le comité des services de renseignement, les démocrates sont en écrasante majorité puisqu’ils contrôlent la Chambre des représentants, mais les républicains, très minoritaires, y sont tout de même présents. Enfermés comme les autres dans le huis clos, ils furent comme les autres témoins de l’interview de Taylor. Mais à la différence des autres, eux n’ont pas gardé le silence. Ils se sont même indignés à la lecture de la presse du lendemain. « Taylor n’a jamais parlé du troc 400 millions de dollars contre l’inculpation des Biden », a affirmé Lee Zeldin, élu de New York. « Aucune preuve de pression, de chantage ou de marchandage sur l’Ukraine », enchaîne John Ratcliffe, élu du Texas. Quant à Mark Meadows, élu de la Caroline du Nord, il tempête devant de tels procédés en réclamant la publication immédiate et in extenso de ce qui s’est dit à huis clos. Mais de tous, c’est peut-être Taylor lui-même qui est le plus dangereux pour Schiff. Suivons l’ambassadeur dans ses cheminements parallèles. Il est lié à l’Atlantic Council (cellule de réflexion sur la politique étrangère), qui est financée par Burisma (compagnie pétrolière au centre du scandale Biden), qui elle-même côtoie l’US-Ukraine Business Council (organisme dévolu au commerce bilatéral), qui lui-même compte parmi ses conseillers David Kramer, connu pour sa fraternité d’armes avec Taylor et également pour le rôle pivot qu’il joua dans la diffusion de dossiers mensongers contre Trump. Il serait trop long de pister le bonhomme dans ses nauséeuses complicités. Bornons-nous à noter pour terminer ce profil de faux témoin que George Soros, le subversif qui s’est juré de détruire Trump et l’Occident, finance aussi l’Atlantic Council – et donc Taylor. La boucle est bouclée.

    https://www.lesalonbeige.fr/les-fausses-nouvelles-contre-donald-trump-font-pschiiit/

  • L’islam est une idéologie qui repose sur une imposture historique

    Odon Lafontaine était l’invité de Louis Daufresne, dans l’émission “Le Grand Témoin” sur Radio Notre Dame le 22 octobre. Au-delà de quelques considérations banales sur le voile, l’entretien a permis de revenir sur les origines de l’islam :

    https://www.lesalonbeige.fr/lislam-est-une-ideologie-qui-repose-sur-une-imposture-historique/

  • Déchéance de la nationalité : pour une application systématique.

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    L'avis de Jean-François Touzé

    Condamné à quatre ans de prison pour avoir voulu rejoindre les rangs de Daech en Syrie, le "franco-marocain" Fayçal Aïd Messoud vient de se voir retirer la nationalité française.

    Une décision rarissime puisque seulement seize déchéances de la nationalité ont été prononcées en vingt ans, dont treize pour terrorisme. 
    Une goutte d'eau dans l'océan de la dislocation française.
    Rappelons qu'en raison des conventions internationales qui interdisent de "fabriquer" des apatrides, seuls, en théorie, peuvent être déchus de la nationalité les bi nationaux.
    Des conventions que la droite nationale au pouvoir devra formellement dénoncer le jour venu pour retrouver sa liberté d'agir, de déchoir et d'expulser.
    Ce qui sera d'autant plus aisé que si la "Déclaration universelle des droits de l'homme" de 1948 indique bien que "tout individu a droit à une nationalité", il ne s'agit que d'un texte à portée philosophique et non contraignant, et que si la France a signé la convention onusienne de 1961 relative à la réduction des cas d'apatridie et celle du Conseil de l'Europe de 1997, elle ne les a pas ratifiées.
    Nous aurons ainsi toute liberté de prendre les décisions qui s'imposent. Pas seulement dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, mais dans celui, global, de la reconstruction identitaire de notre Pays.
  • Voile islamiste : les petits calculs électoraux d’Emmanuel Macron…

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    Depuis qu’Emmanuel Macron a fini par comprendre qu’un second tour l’opposant à Marine Le Pen, en 2022, serait peut-être autre chose qu’une simple formalité à expédier, ça carbure du neurone, dans les hautes sphères du pouvoir.

    D’où les récentes sorties présidentielles relatives à l’immigration – tiens, ce ne serait donc plus une chance pour la France ? –, sans oublier celles concernant une islamisation de moins en moins rampante, due à cette même immigration de masse. Mais comme le résident de l’Élysée débute dans le populisme, il y a évidemment un peu de retard à l’allumage.

    Ainsi, quand Jean-Michel Blanquer, sa caution droitière, pose la question consistant à savoir si « le port du voile est souhaitable dans l’espace public », Emmanuel ne peut que botter en touche. Ce n’est plus Jupiter mais Ponce Pilate : « Le port du voile dans l’espace public n’est pas mon affaire. C’est ça, la laïcité. » Et d’ajouter : « Le port du voile dans les services publics, à l’école, quand on éduque nos enfants, c’est mon affaire. C’est ça, la laïcité. »

    Passons sur cette laïcité à géographie variable, sachant que si la rue est un espace public, l’école l’est tout autant. Passons aussi sur la nature du voile, « signe religieux » à l’en croire, alors qu’il s’agit d’un signe éminemment politique. La preuve en est que Tareq Oubrou, recteur de la mosquée de Bordeaux, confiait récemment à ses ouailles, sous les yeux de l’auteur de ces lignes, que si « les femmes musulmanes tiennent absolument à masquer leurs cheveux, un carré de soie à la Grace Kelly, un turban à l’Arletty ou un canotier à la Maurice Chevalier emplissent parfaitement cette fonction » et qu’il n’est « nul besoin de se déguiser en bédouine du VIIe siècle pour être une bonne musulmane », sachant que « cet accoutrement ne peut qu’à juste raison crisper des Français se sentant de plus en plus étrangers en leur propre pays ».

    Le gag, car c’est bien d’un gag électoraliste qu’il s’agit, c’est qu’un Emmanuel Macron n’en finit plus de piller l’argumentaire lepéniste en reconnaissant : « Le voile, aujourd’hui, est utilisé dans certains quartiers, dans certaines circonstances et par certains – qui ne sont pas majoritaires [parfaitement exact, mais ne sont-ce pas les minorités agissantes qui finissent par prendre le pas sur les majorités silencieuses ? NDLR] mais qui en font un élément de revendication et un des instruments ou des signaux d’une forme de séparatisme dans la République. Ce qu’on appelle le communautarisme. »

    En revanche, il y a là comme une sorte de hiatus dialectique consistant à toujours se prévaloir des « valeurs de la République » alors qu’il serait autrement plus simple d’invoquer les mœurs françaises. Et le Président de s’égarer en évoquant le comportement de certains islamistes refusant, au nom de la religion, de continuer à adhérer aux « valeurs de la République ».

    Soyons honnêtes, voilà qui ne regarde pas que les islamistes. Allez demander aux catholiques de conviction s’ils font plus confiance aux lois de la République qu’à celles de l’ordre naturel quant au mariage homosexuel, à la PMA et la GPA…

    Pareillement, si certains musulmans posent problème en France, c’est aussi et avant tout parce qu’ils sont issus de l’immigration. Pour ne citer que le seul exemple russe, si la présence d’une forte minorité islamique n’est pas un problème là-bas, c’est, à en croire Vladimir Poutine, que les musulmans russes sont russes avant d’être musulmans, étant nés en Russie il y a déjà un paquet de siècles.

    Mais remettre en cause la politique migratoire n’est pas dans le viatique des puissants sponsors ayant amené Emmanuel Macron au pouvoir. Lesquels ont, sans cesse, besoin de nouveaux immigrés, que ce soit pour le BTP, son premier employeur ; mais également pour les EHPAD, histoire de soigner leurs parents, et dans l’uberisation galopante de notre société afin de livrer, à toute heure, pizzas et sushis à leurs enfants.

    D’où l’impuissance structurelle du Président sur le sujet, nonobstant sa coutumière habileté manœuvrière.

    D’où, encore, la montée en puissance sondagière d’une Marine Le Pen reprenant à la fois couleurs et espoir et inquiétant Emmanuel Macron en vue de 2022.

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/voile-islamiste-les-petits-calculs-electoraux-demmanuel-macron/

  • Angleterre. « Bâtards de Blancs » : des paysagistes attaqués à la hache par un gang extra-européen

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    Une nouvelle affaire de violence extra-européenne sur fond de haine des Blancs a fait l’actualité judiciaire ces derniers jours en Angleterre.

    Angleterre : Habibur Rahman était sur « son territoire »

    Une simple altercation de la route qui vire au cauchemar pour un paysagiste.
    Voici la trame de ce qui s’est déroulé dans une rue de Rochdale, ville du nord-ouest de l’Angleterre située non loin de Manchester, en cet après-midi du 17 octobre 2017.
    Le gérant d’un restaurant local, un certain Habibur Rahman, alors âgé de 27 ans et visiblement agacé par la conduite d’une vieille dame au volant, a couvert d’insultes cette dernière.
    Une scène à laquelle ont assisté des paysagistes travaillant dans la rue.
    L’un d’entre eux demandera au conducteur de se calmer.
    Ce qui sera considéré comme une véritable offense pour Habibur Rahman, menaçant les hommes de revenir avec des renforts pour les attaquer.

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    Habibur Rahman. Source : Manchester Evening News
    Ce qu’il va faire peu après.
    C’est alors une vingtaine d’individus qui va s’en prendre aux paysagistes.
    Lesquels ont eu la mauvaise idée de lui avoir « manqué de respect » sur « son territoire ».
    Tandis que les ouvriers tentent de quitter rapidement la propriété où ils travaillaient pour échapper aux représailles, l’agresseur de 27 ans leur bloque la sortie avec son véhicule.
    C’est alors que, pris au piège, les hommes vont subir un véritable assaut de violence
    « Bâtards de Blancs »
    Par la suite, l’un des paysagiste, âgé de 18 ans, se fera couper la main avec une hache par l’un des assaillants.
    D’autres portaient des couteaux, des machettes, un marteau et un poignard.
    Le propriétaire de la hache, un dénommé Mohammed Awais Sajid, a par ailleurs frappé l’un des paysagistes à la poitrine, lui brisant les côtes et provoquant un affaissement pulmonaire.
    Selon le témoignage de la victime, le coup de hache visait initialement sa tête…
    Il faudra attendre que l’un des ouvriers parvienne à démarrer une tronçonneuse pour que les agresseurs prennent enfin la fuite.
     
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    La main de la victime après les coups de hache. Source : Manchester Evening News
    Par ailleurs, lors de l’audience au tribunal de Manchester Minshull Street Crown, le caractère raciste de certaines insultes a bien été confirmé.
    « Bâtards de Blancs »« vous êtes dans mon pays », a proféré Habibur Rahman au moment des menaces.
    En leur précisant qu’ils allaient « se faire poignarder ».
    Le verdict, rendu il y a quelques jours, a vu Mohammed Awais Sajid être étrangement acquitté de tentative de meurtre et n’être condamné qu’à 18 ans d’emprisonnement après avoir été reconnu coupable des blessures commises.
    Quant à Habibur Rahman, il n’a été condamné qu’à quatre ans et demi de prison pour avoir été reconnu coupable d’avoir cassé le nez de l’une des victimes avec un poignard.
    Enfin, sur les 12 individus arrêtés en janvier 2018 dans le cadre de l’enquête, neuf ont été libérés sans inculpation.
    De son côté, le juge Potter a déclaré qu’aucun membre du groupe n’avait manifesté « une once de remords » tout au long des procédures, refusant de témoigner lors de deux procès.
    La vie suit donc son cours dans le « paradis » multiculturel britannique. 
    AK
    Crédit photo : Publicdomainpictures.net (CC0/Petr Kratochvil)
    [cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine – V
  • La polémique sur le voile masque la progresion de l’islamisme

    La polémique sur le voile masque la progresion de l’islamisme

    Pendant que les musulmans et autres dhimmis défendent le droit de porter le voile islamiste dans l’espace public, Zineb El Rhazoui, menacée de mort pour avoir osé défendre la laïcitédénonce la persécution musulmane en France :

    « ceux qui volent au secours de la hijabiste du Conseil régional se taisent sur ce que je vis. Un silence qui en dit long sur les dégâts de la terreur islamique sur l’inconscient collectif français ».

    Lundi soir en la basilique Saint-Epvre à Nancy, l’office a été perturbé par deux individus, dont l’un a crié : « Allah Akbar ».

    Très rapidement, une patrouille de la police municipale interpellait les deux hommes en état d’ébriété. Sur l’un d’eux était trouvé une matraque télescopique. Les deux suspects âgés de 26 et 32 ans ont été placés en garde à vue dans le cadre d’une enquête pouvant relever du port d’arme et d’apologie du terrorisme.

    La petite provocation musulmane dans un conseil régional fait plus de bruit que tous les morts et blessés causés par l’islam en France, que la pression subie par ces femmes qui ne veulent pas se conformer à la charia en France, ou par ces provocations jusque dans les églises.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-polemique-sur-le-voile-masque-la-progresion-de-lislamisme/