Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anti-national - Page 324

  • Féminicide : histoire d’une mascarade – Journal du vendredi 20 septembre 2019

    Féminicide : histoire d’une mascarade

    Entre culture de l’émotion et surenchère, le “féminicide” envahi l’espace public. Loin de protéger les femmes, cette nouvelle marotte médiatico-politique met une nouvelle fois en exergue les contradictions féministes.

    La Vapoteuse dans le collimateur

    La cigarette électronique est-elle dangereuse pour la santé? L’état de New-York et l’Inde ont interdit sa commercialisation à des fins sanitaires.

    Nigéria : un autre drame de l’immigration

    Chaque année des centaines de milliers d’Africains tentent de rejoindre l’Europe. Parmi eux, de nombreux nigérians qui restent à quai en Libye dans des conditions déplorables. Les plus chanceux rentrent chez eux, mais sont ruinés et parfois même brisés.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/feminicide-histoire-dune-mascarade-journal-du-vendredi-20-septembre-2019

  • Débat sur l’immigration : échange tendu entre Jordan Bardella (RN) et les autres invités sur le plateau de la nouvelle émission de France 2 (Vidéo)

    Lors d’un débat sur l’immigration dans l’émission Vous avez la parole, jeudi 19 septembre, l’eurodéputé Jordan Bardella (RN) débat de l’immigration dans un échange houleux avec les autres invités.

    https://www.tvlibertes.com/actus/

  • Immigration : Macron daigne s'intéresser aux classes populaires…, par Christian Vanneste

    853142317.jpgL’immigration ! Il en a parlé ! Quel courage ! Macron enfourche son nouveau vélo tout neuf pour la seconde partie du quinquennat, celle qui permettra sa réélection face au candidat du Rassemblement National, puisque les Républicains sont dans les choux, et il parle de l’immigration ! Alors, on hésite entre le regret de le voir céder à la lepenénisation des esprits, comme le fait l’aile gauche de Lrem avec Sonia Krimi,  et l’admiration pour une prise de conscience tardive mais lucide qui ne peut que séduire un électorat conservateur déjà tenté pour le macronisme aux municipales.

    En fait, le regret est superflu car Macron en parle, mais il va demeurer sur la ligne qui est la sienne : dans la mondialisation inéluctable, l’expansion démographique africaine exercera une pression sur le continent européen, et sur le plan économique, ce sera une bonne affaire en raison de l’afflux de main d’oeuvre et de la tendance à la stagnation des salaires que cela entraîne. Quant à l’admiration pour l’éclair de clairvoyance, elle ressemble à la joie des croyants entendant un athée citer le nom de Dieu, sans rien changer à son comportement ni à ses convictions profondes. Simplement, à partir du moment où on considère la politique comme un marché, il faut éviter de se contenter d’une clientèle, par définition minoritaire. Macron a conscience d’être le candidat de la bourgeoisie urbaine plus progressiste aujourd’hui qu’hier, qui réclame de la compétence économique, même illusoire, et exige le confort écologique, mais il se dit avec raison qu’une élection présidentielle avec deux candidats en lice au second tour laissera un jour toutes ses chances à celui des « périphériques », lorsque le Front dit « républicain » aura cessé d’agiter les fantômes des heures sombres dont pas un électeur ne se souvient. Il faut donc penser aux classes populaires, celles qui sont rétives à l’immigration parce qu’elles en subissent les conséquences, notamment en termes d’insécurité, alors que les beaux quartiers les ignorent. Ne soyons pas seulement le parti des élites intelligentes, tournons-nous vers les pauvres en esprit, ceux qui écoutent volontiers les sirènes populistes parce qu’ils vivent au quotidien les difficultés que nos électeurs actuels ignorent. Soyons charitables pensons à eux, au moins le temps d’être réélus.

    Autrement dit M. Macron pratique l’aumône verbale dans un discours de dame patronnesse. Un peu comme Sarkozy faisant son ouverture à gauche avec le succès que l’on sait. La même démarche, mais en sens inverse pour mettre en avant la lutte pour la sécurité publique et contre l’immigration illégale à travers la fraude au droit d’asile alors que la violence s’accroît partout tandis qu’elle règne déjà dans de nombreux quartiers perdus de la République. Comment croire un seul instant à cette fable alors que sur le plan européen, le Président français est l’allié de ceux qui ouvrent leurs frontières aux débarquements d’illégaux, en Espagne, depuis le retour des socialistes pouvoir et maintenant en Italie, après le changement de coalition parlementaire qui a mis momentanément Salvini dans l’opposition. Cocteau disait qu’en amour, il n’y avait que des preuves d’amour. C’est pareil en politique : les mots ne suffisent pas.

    L’immigration illégale doit être stoppée en amont, par le rétablissement d’un Etat maître de l’ensemble du territoire en Libye comme en Syrie, par le traitement des demandes d’asile dans nos ambassades et nos consulats. Une fois parvenus en France, les demandeurs, pour la plupart, ne repartiront pas, et seront aidés pour rester. Mais c’est l’immigration légale qui doit être endiguée, notamment celle qui est le fruit du regroupement familial. On imagine mal un thuriféraire de l’Europe remettre en cause ce principe suicidaire qui encourage l’incrustation de communautés imperméables culturellement. De même, on ne pense pas que le président issu d’un courant mondialiste du PS, celui d’Attali et consorts, mondialistes avant tout, et contempteurs des vieilles nations et de leur identité, remette en cause le droit du sol, c’est-à-dire la fabrication de Français de papier, non pas seulement indifférents au sort du pays où ils sont installés, mais parfois même hostiles. Pas davantage on ne doit espérer de déchéance de la nationalité pour ceux qui peuplent les prisons alors que leur casier montre amplement que leur « nationalité » française ne les a jamais conduits à obéir aux lois de la République.

    Allons plus loin : le Président veut écouter les Français qui ne vivent pas comme ses électeurs dans les beaux quartiers ? Qu’il leur donne la parole à travers un référendum sur l’immigration et qu’il mette en oeuvre le choix de la majorité des Français. Ce serait nouveau, et à voir l’acharnement des amis de M. Macron pour empêcher les Britanniques de voir leur choix se réaliser, on a déjà une idée de la réponse.  » Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute. Cette leçon vaut un second quinquennat, sans doute… »

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/09/18/immigration-macron-daigne-s-interesser-aux-classes-populaire-6176785.html

  • Camp de migrants de Grande Synthe : Paris déverse ses clandestins afro-musulmans dans le Pays Rennais !

    NEVEZINTIOU (18/09/2019) Si l’opinion bretonne avait besoin d’une preuve supplémentaire pour réaliser que Paris veut faire de la Bretagne une décharge du tiers-monde, la voici.

    Ouest-France (source) :
    Etrelles, près de Vitré, en Ille-et-Vilaine, accueille 25 migrants, évacués d’un campement dans le Nord de la France, au sein de l’ancien lycée agricole.
    Le bâtiment était inoccupé. Ils resteront sur place quinze jours.
    Vingt-cinq migrants, évacués ce mardi 17 septembre d’un campement de Grande-Synthe, à proximité de Dunkerque (Nord), sont arrivés cet après-midi à Étrelles, près de Vitré, nous a indiqué la préfecture.
    « Ils sont très fatigués par le voyage. À l’heure où nous parlons, leur état de santé a été contrôlé et tous se portent bien », explique Didier Doré, le sous-préfet de l’arrondissement de Fougères-Vitré.
    « L’objectif est de pouvoir les réorienter en fonction de leur statut. Certains sont demandeurs d’asile, d’autres sont des primo-arrivants, ajoute le sous-préfet. Tout le monde travaille à ce que ces personnes soient en sécurité et en bonne santé. »
    Six préfectures de région, dont la Bretagne, ont été mobilisées pour accueillir 600 personnes (100 par région) issues de ce campement.
    « Dans ce cadre, l’Ille-et-Vilaine accueille vingt-cinq personnes au maximum pour une durée de quinze jours. Elles seront hébergées au sein de l’ancien lycée agricole, situé à Étrelles, propriété du groupe Antoine de Saint-Exupéry qui a accepté de mettre ses locaux à disposition, gracieusement », indiquent les services de l’État.
    Ils ajoutent également que « l’arrondissement de Fougères-Vitré a été choisi pour sa proximité avec Rennes, où sont situés les services préfectoraux en charge du séjour, de l’asile et de l’éloignement ».
    La disponibilité immédiate d’un bâtiment a ensuite conduit à choisir la commune d’Étrelles.
    La maire, Marie-Christine Morice, en a été informée hier.
    « L’encadrement sera assuré par Coallia, opérateur désigné par la préfecture pour gérer le site. Cette association nationale d’aide et d’accompagnement social, sous convention avec le ministère de l’Intérieur, gère notamment des centres d’accueil de demandeurs d’asile partout en France », poursuit la préfecture.
     « Une présence jour et nuit sera effectuée par des agents de sécurité afin de veiller à ce que ces personnes n’aient besoin de rien durant ces quinze jours », conclut le sous-préfet.
    La machine à repeupler la Bretagne par la natalité débordante de l’Afrique mahométane tourne à fond : ce sont les préfectures, bras armé de la République, qui applique cette politique d’anéantissement progressive.

    Le plan est connu, les effets visibles, l’évolution claire pour ceux qui ne se voilent pas – encore – la face.
    breizatao
  • Jean-Yves Le Gallou : « La vraie question, aujourd’hui, est celle du Grand Remplacement, le terme “immigration” est dépassé ! »

    Le-Gallou-Appel-Européens.jpg

    À quelques jours du débat à l’Assemblée nationale sur la politique migratoire, Emmanuel Macron appelle les parlementaires de sa majorité à « regarder en face » le sujet de l’immigration. Durcissement de ton dû à une réelle prise de conscience du pouvoir politique ?

    Voici la réaction de Jean-Yves Le Gallou dans les colonnes de Boulevard Voltaire

    Pendant le pot de rentrée des parlementaires de la majorité, Emmanuel Macron a assuré vouloir regarder en face le sujet de l’immigration.
    Est-ce une bonne nouvelle ?

    C’est surtout de l’enfumage. En même temps qu’il dit cela, il explique que la France est un pays d’immigration. C’est faux ! En tout cas, s’il y a eu des immigrés, c’était des immigrés d’origine européenne et non pas des gens d’Afrique noire, du Maghreb ou d’ailleurs. C’est une première erreur.
    Ensuite, il parle d’asile. Le droit d’asile est tout à fait détourné. Indépendamment de cela, il y a 260 000 entrées légales chaque année. C’est déjà un problème.
    Le terme immigration est aujourd’hui dépassé. Nous assistons plutôt à un phénomène d’invasion. Si on ne change pas radicalement de politique, le risque est de voir les Européens et les Français de souche devenir très rapidement minoritaires dans leur propre pays. Ce n’est évidemment pas Macron qui va changer radicalement de politique. Il est là dans une opération d’enfumage comme il a su le faire jusqu’ici.

    Dans les pas de Gérard Collomb, Emmanuel Macron a reconnu que la lutte contre les communautarismes était une priorité. Il a même parlé de sécession à l’égard de la République dans certains quartiers. C’est une avancée même si on a l’impression qu’ils mettent toujours un quart de siècle avant de se saisir du problème.

    Il n’y a rien de nouveau là-dedans. Mais il n’y a surtout aucune volonté de régler le problème. La première chose à faire serait de libérer la parole et de supprimer les lois liberticides. Or, monsieur Macron veut en rajouter. D’ailleurs, il en rajoute déjà une chaque année et on va bientôt avoir la loi Avia.
    Il faudrait ensuite supprimer les subventions aux organismes communautaristes. Or, tout ce petit monde vit de subventions publiques, de l’Union européenne, de l’État, des régions, des départements et des communes. Si on ne fait pas cela, on ne fait rien ! C’est un leurre.
    On va probablement focaliser le débat sur des questions périphériques et anecdotiques de façon à divertir l’opinion et à lui faire croire qu’on fait quelque chose. Il ne peut y avoir de changement dans ce domaine qu’un changement radical de politique, avec un arrêt total de l’immigration, des subventions aux associations immigrationnistes et le rétablissement de la liberté de parole sur ces questions-là.

    Dans son allocution, Emmanuel Macron a très clairement dit que le seul opposant sur le terrain était le Rassemblement national. Il faut confirmer cette opposition, car ce sont les Français qui l’ont choisi.
    Ces propos sont assez peu croyables dans la mesure où c’est Emmanuel Macron qui avait organisé cette confrontation unilatérale entre Nathalie Loiseau et Jordan Bardella. Comme si finalement, hors du Rassemblement national, il ne tolérait aucune autre forme d’opposition…

    Je ne sais pas si c’est ce que cela veut dire. De plus, Marine Le Pen n’est pas aussi claire qu’elle devrait l’être sur la question de l’immigration. On est aujourd’hui passé à un autre stade. La vraie question est celle du grand remplacement.
    On doit réellement nommer le problème. Accepte-t-on ou non le grand remplacement ? Accepte-t-on ou non d’être remplacé par d’autres gens venus d’autres territoires et d’autres civilisations ?
    Toutes les autres questions et les débats sur le communautarisme sont complètement dépassés.
    Le communautarisme résulte tout simplement du fait que des gens qui viennent de civilisations étrangères et d’autres religions continuent de les pratiquer chez nous.
    Sous les pommiers on trouve des pommes, les Africains africanisent et les musulmans islamisent. C’est la réalité de la question. Parler du communautarisme revient à prendre les conséquences au lieu de s’attaquer aux causes.

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/215542/jean-yves-le-gallou-la-vraie-question-aujourdhui-est-celle-du-grand-remplacement-le-terme-immigration-est-depasse/#more-215542

  • Panique sur les carburants : la hausse des prix annoncée aura bien lieu

    Après l’attaque d’installations pétrolières en Arabie Saoudite le week-end dernier, les prix à la pompe devraient augmenter de quatre ou cinq centimes le litre. Une mauvaise nouvelle ayant provoqué un branle bas de combat gouvernemental face au risque de voir les gilets jaunes revenir sur le devant de la scène.

    Les installations pétrolières saoudiennes flambent, les prix à la pompe aussi

    Selon les prévisions de l’union française des industries pétrolières, les attaques des réserves de pétrole en Arabie Saoudite devraient rapidement avoir des conséquences sur notre quotidien. En effet, la production n’étant plus assurée à 100%, le cours du pétrole a bondi de 11%. De quoi faire craindre une nouvelle augmentation à la station service. Une crainte qui paraît absolument inéluctable l’Arabie Saoudite étant le quatrième fournisseur de pétrole de la France. 

    Une hausse de 4 à 5 centimes dans les prochains jours

    Les prix à la pompe devraient augmenter de 4 à 5 centimes le litre dans les prochains jours. Une information qui n’est pas passée inaperçue du côté des gilets jaunes, dont la fronde avait débuté il y a un peu moins d’un an contre les prix trop élevés du carburant à la pompe. Mardi, le collectif « gilets jaunes citoyens » a pris les devants réclamant un gel immédiat des prix et lancé une pétition de soutien à son initiative visant à freiner les effets de la flambée des cours du pétrole.

    Dans son communiqué, le collectif cofondé par Thierry Paul Valette estime que “dans un contexte social compliqué, Emmanuel Macron ne doit surtout pas laisser la situation se compliquer ». Une pression mise sur le chef de l’état sous peine de voir les manifestations de l’hiver dernier renaître de leurs cendres. D’ailleurs, de nombreux internautes affiliés, pour certains, au mouvement des gilets jaunes l’ont clairement fait comprendre et veulent croire que ce nouveau coup dur pour le pouvoir d’achat sera le point de départ d’une mobilisation d’ampleur et ce dès samedi 21 septembre.

    Le gouvernement souhaite éviter une nouvelle vague de contestation

    Déjà pris en étau par les nombreuses mobilisations contre la réforme des retraites, la marche de la colère organisée par les policiers le 2 octobre et les manifestations anti-PMA, le gouvernement souhaite à tout prix éviter de rajouter la pierre jaune à l’édifice de la contestation sociale.  

    En réaction, les autorités ont donc tenté de faire baisser la pression et l’exécutif, par le biais du secrétaire d’État aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari, a demandé mardi aux pétroliers une certaine modération quant à la possible hausse des prix, tout en assurant qu’il n’y aura pas de problème d’approvisionnement. 

    Preuve de l’inquiétude montante, le ministre de l’Economie et des finances, Bruno Le Maire, a reçu tous les acteurs de la filière carburant pour faire un point sur l’évolution du prix du pétrole. Par ces manœuvres, la majorité veut éviter de voir une hausse importante de la note payée par les consommateurs alimenter la grogne sociale, comme ce fut le cas l’an dernier… à quelques mois des scrutins municipaux les troupes présidentielles voudraient aussi éviter de se mettre en danger électoralement.

    De son côté, l’enseigne Intermarché a annoncé qu’elle vendrait durant l’intégralité du mois d’octobre son carburant à prix coûtant. Reste à savoir si cette opération commerciale suffira à apaiser la colère de millions de Français qui ont le sentiment que rien n’a changé depuis le fameux 17 novembre 2018.

    https://www.tvlibertes.com/actus/panique-sur-les-carburants-la-hausse-des-prix-etait-annoncee-et-aura-bien-lieu

  • "Emmanuel Macron est surtout un indécent baratineur narcissique faisant une médiocre politique de marketing électoraliste"

    electro-elysee-macron-defaite-musique-588x330-2100x1200.jpg

    Par Bernard Antony :

    Sans avoir attendu ses dernières déclarations sur l’immigration, on pourrait évidemment observer qu’Emmanuel Macron est surtout un indécent baratineur narcissique faisant une médiocre politique de marketing électoraliste ; s’évertuant à se positionner au mieux par rapport à la concurrence, celle de Marine Le Pen, qu’il croit habile de privilégier, assuré qu’il se croit de pouvoir ainsi remporter un nouveau mandat présidentiel. Comme si le scénario du 14 mai 2017 pouvait fatalement se reproduire.

    Or, depuis son élection, non seulement Macron n’a pas rien fait pour juguler l’immigration, mais il a tout fait pour l’encourager !

    Inutile ici de rappeler dans le détail des chiffres accablants. Citons seulement celui des titres de séjour, légaux, délivrés en 2018 : 255 000 ! Et nul ne sait exactement celui des migrants illégaux, mais bien supérieur à l’évidence. 

    Ainsi se développe, de par la responsabilité de ce funeste président de la République, ce que l’écrivain Renaud Camus a appelé »le grand remplacement », phénomène que j’ai pour ma part, dès 1980, (dans la revue Itinéraires) considéré comme une des deux composantes de ce que je désignais alors comme « le génocide français » : avortement + immigration = génocide.

    Sous des dehors d’affabilité mais en fanatique révolutionnaire sociétal du meilleur des mondes, Macron applique en matière tactique les célèbres directives de Lénine à ses cadres bolcheviques : « un pas en arrière, deux en avant » et encore : « user de tous les stratagèmes… user de ruse, celer parfois la vérité… consentir les compromis pratiques, les louvoiements, les zigzags, les manœuvres de conciliation et de retraite » (In « La maladie infantile du communisme – pp 31 et 62).

    Son discours récent sur l’immigration n’a donc pas pour but de faire accepter des mesures visant à la réduire mais d’en dissimuler la continuation, et même l’accélération. 

    Autrement dit, l’art mensonger de dissimuler les actes sous des discours contraires. 

    Macron est de fait un activiste complice de toutes les déconstructions : nationales, familiales, sociales, culturelles, religieuses, sexuelles.

    Tout le monde a vu les photos de lui-même et de Brigitte le soir de la fête de la musique à l’Élysée avec leur pote arborant fièrement sur son tee-shirt : « noir et pédé ».

    Macron peut se faire écrire et lire, à des seules fins électorales, les discours les plus contradictoires. Mais ce qu’il sait, c’est que c’est uniquement sur une France toujours plus socialement décomposée qu’il pourra continuer à exercer son pouvoir pour développer la révolution sociétale nihiliste du grand déracinement. 

    Puissent les Français ne pas le supporter encore longtemps.

    2019 13 JNI 2.jpg

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/19/emmanuel-macron-est-surtout-un-indecent-baratineur-narcissiq-6176976.html

  • Racisme? Vous voulez vraiment qu’on en parle?, par Guillaume de Thieulloy

    Lilian Thuram

    Voici des années que, dans ces colonnes, nous nous opposons aux lois liberticides issues de la funeste loi Pleven de 1972 – et, depuis, maintes fois aggravée, y compris abondamment sous l’actuel gouvernement.

    Je conteste résolument que toute «discrimination» soit nécessairement de la «haine».

    Je conteste résolument que le fait d’observer des différences entre les hommes soit nécessairement du racisme – au sens de l’idéologie (profondément de gauche, je vais y revenir) d’une hiérarchisation des races.

    Et je conteste résolument que le parlement soit en mesure de fixer les canons du débat public, en disant le vrai et le faux, ou en prétendant lutter, comme la récente loi Avia, contre une «cyber­haine» jamais définie.

    Il est insupportable que la droi­te traditionnelle qui, par ses racines chrétiennes en particulier, a toujours défendu la thèse d’une unité de l’humanité soit en permanence soupçonnée, par les idéologues de l’anti-racisme, de mépriser «l’autre».

    C’est d’autant plus paradoxal que l’accusateur est souvent issu de la gauche qui promut naguère, sous couvert d’évolutionnisme plus ou moins scientiste et progressiste, le racisme proprement dit – c’est-à-dire la hiérarchisation des races et l’abolition de toute différence de nature entre l’homme et les primates (le Noir se trouvant chez Voltaire, Darwin et quelques autres mentors du merveilleux monde moderne, à mi-chemin entre le chimpanzé et le Blanc).

    Mon opposition radicale, tout à la fois au racisme et à l’idéologie anti-raciste, est l’une des raisons de mon soutien à l’action de l’AGRIF (Alliance Générale contre le Racisme et pour le respect de l’Identité Française et chrétienne) – parmi d’autres raisons comme la nécessité de lutter dans les prétoires contre le racisme anti-français et les actes anti-chrétiens qui font l’objet, de la part de caste politico-médiatique d’une étrange indulgence.

    C’est assez dire que j’ai savouré cette ahurissante déclaration de Liliam Thuram, footballeur reconverti dans l’anti-racisme: «Il y a du racisme dans la culture italienne, française, européenne et plus généralement dans la culture blanche. Il est nécessaire d’avoir le courage de dire que les Blancs pensent être supérieurs et qu’ils croient l’être. C’est quelque chose qui dure malheureusement depuis des siècles.»

    D’abord, j’ignore ce qu’est la «culture blanche». Je connais une culture européenne, une culture française, ou une culture arabe (car, que je sache, les Arabes sont blancs!); pas de culture blanche.

    Même la très gauchiste Licra a toussé en se plaignant, au nom de «l’universalisme républicain», de «l’essentialisation» (quel jargon délectable!) d’un groupe humain.

    Quand Thuram dit que les Blancs pensent être supérieurs, il entretient, volontairement ou non, une confusion néfaste.

    Il parle vraisemblablement du racisme moderne. Or celui-ci ne dure pas depuis des siècles, mais simplement depuis l’évacuation brutale du christianisme hors de l’espace public par les «Grands ancêtres» de la gauche.

    Peut-être aussi parle-t-il de l’esclavage. Mais, alors, il «amalgam» indûment les «Blancs» chrétiens qui, lentement mais sûrement, s’opposèrent à l’esclavage, et les «Blancs» musulmans dont certains le légitiment encore au nom d’une lecture littérale du Coran.

    Est-il besoin d’ajouter que cette insistance sur le racisme blanc permet opportunément d’oublier le racisme anti-blanc?

    La mort de Robert Mugabe, le dictateur du Zimbabwe, responsable de la ruine de son pays, notamment par sa chasse sanglante aux fermiers blancs, aurait pourtant été une bonne occasion d’y réfléchir!

    Guillaume de Thieulloy

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/

  • ONG en Méditerranée : la propagande immigrationniste ne prend jamais de vacances - Fin

    • Accoutumer l’opinion à l’idée que la poursuite de l’immigration est inévitable

    Le deuxième objectif des opérations organisées par les ONG est de conduire la population de souche à accepter l’idée que l’immigration est de toute façon un phénomène irrépressible.

    Les médias et les politiques répètent les éléments de langage : « Il faut lutter plus efficacement contre les passeurs et contribuer davantage au développement des pays africains. Mais en attendant que des solutions pérennes soient trouvées pour tarir les flux, il convient d’accueillir dignement ces immigrés et de répartir la charge de façon juste entre les différents pays européens, qui partagent les mêmes valeurs humanistes ».

    Ces éléments de langage intègrent désormais un argument supplémentaire, l’écologie, instrumentalisée pour justifier la poursuite et l’accentuation de l’immigration : l’Europe se devra d’accueillir, nous annonce-t-on, les flux inévitables de réfugiés climatiques.

    Le Monde, vecteur de référence de la propagande du Système, délivre doctement les principaux messages. Citons cet éditorial de 2016 : « L’Europe se reconstruira sur ce défi : (…) l’intégration d’une partie du grand flux migratoire qui va marquer ce siècle (…). L’Etat providence devra s’adapter à cette belle et difficile mission qu’est l’intégration (…). Calais illustre ce qui attend les Européens et que leurs responsables politiques pusillanimes se refusent à leur dire : l’immigration ne va pas cesser, elle commence ».

    Les idéologues et militants les plus radicaux du Système vont plus loin encore et poussent leurs pions, afin de préparer l’opinion aux étapes suivantes. On parle de faire sortir de terre, dans les campagnes vides, des villes nouvelles pour y intégrer les migrants (Sophie Wahnich, universitaire). De repeupler grâce aux migrants les villages français désertés (Esther Benbassa, sénatrice). Et même d’avoir moins d’enfants dans les pays riches afin de pouvoir mieux accueillir les migrants (Yves Cochet, ancien député et ancien ministre).

    On voit par là qu’il s’agit moins de convaincre l’opinion que de lui montrer qu’elle devra de toute façon se plier à la poursuite de l’immigration. C’est pourquoi ces opérations de sauvetage comportent une dimension importante de provocation : on nous parle ainsi de naufragés qui fuient la guerre et la famine… et l’on voit débarquer par centaines des hommes jeunes, en pleine santé, souriant à pleines dents. C’est que le Système ne cherche pas à convaincre et à rester crédible. Par la grossièreté même des mensonges, des invraisemblances et des provocations auxquelles il se livre, il vise à tétaniser la population de souche, à lui saper le moral, à lui faire prendre pleinement conscience qu’elle n’a aucune chance d’échapper au remplacement, ni aucun soutien à attendre des dirigeants. Bien loin de chercher à la protéger, la classe dirigeante est l’organisatrice même de l’invasion : lorsqu’elle en aura enfin pleinement conscience, la population de souche aura définitivement versé dans la dépression, la passivité et la résignation. Tel est le sens de ces opérations de sauvetage bidon : contribuer à démoraliser les Français de souche et briser leurs dernières résistances psychologiques.

    • Focaliser l’attention sur la Méditerranée afin d’occulter l’immigration légale et les naissances

    Le troisième objectif du feuilleton des ONG est de focaliser l’attention sur les quelques milliers d’immigrés qui arrivent en Europe par la Méditerranée. Pendant ce temps il n’est pas question de l’immigration légale, qui se poursuit et augmente encore : plus de 250.000 immigrés légaux supplémentaires s’installent en métropole chaque année. Mieux encore, il n’est jamais question des naissances, alors que c’est là que se situe la principe voie du remplacement : 300.000 naissances issues de l’immigration non européenne viennent chaque année s’ajouter au stock (voir cette chronique).

    Les médias, experts et commentateurs des forums téléguidés par le Système, tous présentent les naufrages comme s’il s’agissait en matière d’immigration du problème majeur et presque unique. Or la population de souche n’ignore pas qu’il existe également une immigration légale, notamment liée au regroupement familial. De même elle se doute bien que les naissances issues de l’immigration sont massives. L’occultation de ces phénomènes et la focalisation sur la Méditerranée sont l’un des éléments de la politique de provocation et de mensonge grossier visant à démoraliser la population de souche et à l’entretenir dans son état d’aveuglement volontaire, d’abattement et de résignation.

    Un autre récent éditorial du Monde mérite d’être cité. Après avoir affirmé que le sauvetage en mer était un impératif et procédé à l’invocation rituelle aux « valeurs européennes », Le Monde conclue son édito avec une mauvaise foi parfaitement assumée : « un ensemble de plus de 500 millions de citoyens, vivant dans une zone de prospérité sans équivalent dans le monde, ne peut pas se sentir menacé par l’arrivée d’une quarantaine de réfugiés ayant fui un pays en guerre à bord d’un bateau pneumatique ».

    Comme si tous les Européens étaient prospères… Comme s’il n’y avait qu’un bateau… Comme si les naufragés recueillis par les bateaux des ONG étaient les seuls immigrés arrivant en Europe… Comme si l’Europe n’en comptait pas déjà des dizaines de millions…

    **

    Comme nous l’avons déjà signalé à plusieurs reprises, la radicalité et la mauvaise foi de la propagande qu’il alimente sans un jour de répit sont des indices, parmi de nombreux autres, de ce que le Système mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire est un totalitarisme. Il ne reculera devant rien pour poursuivre et mener à bien sa politique de submersion et de dilution de l’Europe et des Européens dans le grand flux migratoire qu’il organise.

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/2019/09/01/ong-en-mediterranee-la-propagande-immigrationniste-ne-prend-jamais-de-vacances/

  • Emmanuel Macron veut que l’UE impose aux Etats des quotas de migrants

    Emmanuel Macron veut que l’UE impose aux Etats des quotas de migrants

    C’est ainsi qu’il faut comprendre le tweet d’Emmanuel Macron :

    Emmanuel Macron
    @EmmanuelMacron

    Sur le sujet migratoire, je crois que nous pourrons, avec la nouvelle Commission européenne, défendre une position commune pour que tous les pays membres de l'Union participent à la solidarité en la matière ou soient, le cas échéant, pénalisés financièrement.

    817 personnes parlent à ce sujet

    C’est pourquoi ses coups de menton sur le sujet de l’immigration ne trompent personne.

    Si Emmanuel Macron a fait exprès d’aller sur l’immigration maintenant (les élections municipales étant dans plus de 6 mois -les dates sont fixées aux dimanches 15 et 22 mars- il aurait pu attendre le 1er trimestre 2020) c’est pour détourner l’attention à l’approche de la manifestation du 6 octobre. Son idée est de faire croire aux gens de droite qu’il s’en préoccupe pour faire passer la pilule sur la bioéthique, l’immigration inquiétant beaucoup cet électorat.

    https://www.lesalonbeige.fr/emmanuel-macron-veut-que-lue-impose-aux-etats-des-quotas-de-migrants/