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anti-national - Page 324

  • La gauche et les médias s’échinent à nous démontrer que le Grand Remplacement est un mythe.

    La gauche et les médias s’échinent à nous démontrer que le Grand Remplacement est un mythe. Même s’il suffit de se promener à Paris pour vérifier dans les faits cette invasion migratoire, l’absence de statistiques facilite la tâche des négationnistes. En revanche, aux Etats-Unis, pas de pudeurs statistiques, on appelle un chat un chat et les chiffres des dernières études ne laissent pas de place au doute.

    Le Public Religion Research Institute, un organisme de recherches à la fois réputé et de gauche vient de publier sous la forme d’un livre une intéressante étude qui conclut à la fin prochaine de l’Amérique européenne et chrétienne. Les chiffres sont sans appel, ils confirment que le Grand Remplacement est imminent: en 1976, les États-Unis comptaient 81% de chrétiens blancs; en 2016, les USA sont 43% de chrétiens blancs.

    Chronique d’une mort annoncée.

    Le paysage religieux américain est en pleine mutation. Les chrétiens européens, qui constituaient jadis le groupe religieux dominant aux États-Unis, représentent désormais moins de la moitié des adultes du pays. Aujourd’hui, moins de la moitié des États sont à majorité chrétienne européenne. En 2007 encore, trente-neuf États comptaient une majorité d’euro-chrétiens.

    Ce sont deux des principales conclusions de ce rapport, qui est basé sur les conclusions du 2016 American Values Atlas réalisé par le PRRI, la plus grande enquête jamais effectuée sur l’identité religieuse et confessionnelle américaine.

    Ce rapport historique est basé sur un échantillon de plus de 101 000 Américains répartis sur l’ensemble du pays comprend des informations détaillées sur leur affiliation religieuse, leurs liens confessionnels, leur affiliation politique et d’autres caractéristiques démographiques importantes.

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  • Bien ! Pas bien ! La grande hypocrisie des journalistes et chroniqueurs !

    Bien ! Pas bien ! La grande hypocrisie des journalistes et chroniqueurs !

    Pas bien : Diffusion par LCI du discours de 30 minutes d’Eric Zemmour (à revoir ici) lors de la convention de la Droite. Vous vous rendez compte : plus de 400 saisines du CSA !

    Tandis que Télérama nazifie Zemmour, le CSA décerne un brevet obligatoire de résistance au PCF [source]

    Bien : Diffusion en direct sur de nombreuses chaînes d’information durant le soi-disant “grand débat” de plus de 30 heures de monologue d’Emmanuel Macron :

    Dans le cadre du Grand débat, Emmanuel Macron a participé à plusieurs séances de questions-réponses avec des maires, certains de plus de six heures, retransmis en intégralité par des chaînes d’informations en continue. Une situation qui irrite plusieurs membres de l’opposition, alors que nous sommes à trois mois d’une échéance électorale importante, avec les Européennes du 26 mai. Mine de rien, Emmanuel Macron n’est-il pas en train de faire campagne au travers du Grand débat ?, s’interrogent-ils en substance (…) Le CSA assure que tout est comptabilisé. [source]

    Pas bien : François Fillon soupçonné d’emplois fictifs concernant Penelope Fillon, son épouse. C’est tout juste si les médias ne souhaitaient pas la suppression de la nationalité française de François Fillon et sa déportation en Guyane…

    Bien : L’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris pour laquelle Jacques Chirac a été condamné (44 emplois fictifs dont 23 retenus). Cela ne dérange visiblement pas les Français qui étaient si prompts à foudroyer François Fillon il y a deux ans…

    https://www.lesalonbeige.fr/bien-pas-bien-la-grande-hypocrisie-des-medias/

  • Rouen, l’une des capitales de l’islam, en France

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    Zineb El Rhazoui, ex-journaliste de l’équipe de Charlie Hebdo, aujourd’hui très mobilisée dans la lutte contre la percée de l’islam en France, nous alertait, ces jours-ci, sur les réseaux sociaux, sur ce qu’il convient d’appeler « une déviance majeure de la laïcité en France ».

    Ainsi, le 28 septembre, en France, à la mairie de Rouen, l’Union des musulmans de France tenait une conférence animée par le Frère musulman Otman Iquioussen, « Les Chemins de l’éducation ». Otman Iquioussen est le fils d’Hassan Iquioussen, prédicateur musulman controversé très actif sur Internet, prosélyte musulman porteur des opinions les plus rétrogrades et liberticides pour la société occidentale.

    C’est donc le maire – socialiste – qui permet à un islamiste de prêcher dans ses murs, apparemment en contravention avec la loi de 1905. Peu de citoyens s’inquiètent de ce fait qui semble, pour beaucoup d’entre eux, insignifiant, au nom d’un angélisme pluriculturel souvent primaire et d’une tolérance malsaine à l’islam.

    Mais pour le maire de Rouen, ce n’est pas une première. Depuis de nombreuses années, sa complaisance à l’islam est récurrente, particulièrement depuis 2008, année qui a vu les socialistes arriver à la mairie de Rouen. Par exemple, fait marquant, Hani Ramadan, le prêcheur, frère (musulman) de Tariq Ramadan, s’est investi de nombreuses fois pour offrir aux Rouennais ses idées « progressistes » sur « Le Fondement de la famille », « Les Maladies de l’âme et leur remède » ou encore – c’est sérieux – « Islam, source de liberté ».

    À la Halle aux Toiles de Rouen, propriété de la commune, l’espace municipal laïque est familier de l’accueil des prêcheurs musulmans qui bafouent systématiquement la loi de 1905. Ainsi peut-on lire sur le site de l’UMR (Union des musulmans de Rouen) à propos des « Jeudis du Savoir [qui] sont une approche thématique de l’islam : Ces sessions d’enseignement ont lieu les jeudis de chaque quinzaine à la Halle aux Toiles de Rouen et sont ouvertes à un large public : musulmans, non musulmans, personnes portant un intérêt à l’islam, à toute personne désireuse d’en approfondir la connaissance. »

    Cette « conférence » sur l’éducation qui s’est tenue dans les locaux de la mairie de Rouen, le 28 septembre, autorisée pour des raisons probablement électoralistes et idéologiques, n’est-elle pas le signe d’une intrusion de plus en plus prégnante de l’islam politique dans notre espace public ?

    Mais Rouen n’est pas la seule ville de France à se commettre avec l’islam en prenant des libertés avec les principes de la laïcité. Bien sûr, cela se manifeste le plus souvent – au nom, justement, de la laïcité – par l’autorisation de construire un « centre culturel » ou une mosquée, qui abritent dans la quasi-totalité des cas une mouvance cultuelle. Il en est ainsi des villes de Marseille, Roubaix, Rennes, Lyon, Bordeaux. Soulignons que toutes, pourtant, ne sont pas dirigées par des maires socialistes. À l’approche des élections municipales, qui se tiendront en 2020, il convient d’être de plus en plus vigilant sur les atteintes majeures à la laïcité, en France, portées par ceux-là mêmes qui devraient en être ses plus farouches défenseurs.

    Jean-Louis Chollet

    https://www.bvoltaire.fr/rouen-lune-des-capitales-de-lislam-en-france/

  • Lubrizol : le gouvernement joue avec le feu – Journal du mardi 1er Octobre 2019

    1) Lubrizol : le gouvernement joue avec le feu

    Cinq jours après l’incendie de l’usine Lubrizol à Rouen, le gouvernement multiplie les déclarations pour rassurer la population. Mais la défiance semble prendre le pas et la vérité se fait toujours attendre.

    2) Brexit : Boris Johnson présente un nouveau plan

    En difficulté sur le plan national, le premier ministre britannique Boris Johnson s’engage vers de nouvelles négociations sur le Brexit avec Bruxelles. Un nouveau rendez-vous crucial à moins d’un mois de la date butoir.

    3) Quand les banques mettent au chômage

    Licenciements en pagaille dans le domaine de la banque. Alors que la conjoncture se tend et qu’une nouvelle crise financière est annoncée par de nombreux observateurs, le secteur banquier enchaîne les plans de licenciement. Une tendance qui pourrait avoir des répercussions sur toute l’économie.

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/lubrizol-le-gouvernement-joue-avec-le-feu-journal-du-mardi-1er-octobre-2019

  • Faut-il réformer l’Aide médicale d’État ?

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    Objet récurrent de désirs de réforme, l’Aide médicale d’État (AME), qui permet aux migrants sans-papiers de se soigner, est à nouveau dans le collimateur. Bonne ou mauvaise idée ?

    Selon les derniers chiffres connus, on compterait 311 000 bénéficiaires de l’Aide médicale d’État (AME). / Jan Schmidt-Whitley/Le Pictorium/MaxPPP

    Le ministère de la santé n’est pas pour, mais le ministère de l’intérieur, si. Et Emmanuel Macron, qui avait pourtant promis pendant sa campagne qu’il ne toucherait pas à l’Aide médicale d’État (AME), serait gagné par l’idée, indiquent plusieurs sources. La volonté de réformer cette prestation, qui permet aux étrangers en situation irrégulière d’être soignés gratuitement, semble se confirmer, à l’approche du débat sur l’immigration au Parlement, attendu le 30 septembre.

    L’Aide médicale d’État à nouveau dans le collimateur

    Premier argument des pro-réforme : le coût. Alors que l’AME représentait moins de 500 millions d’euros par an avant 2010, « le dernier chiffre budgété, c’est 930 millions pour 2019, et on va sans doute dépasser le milliard », relève Pierre-Henri Dumont, député Les Républicains. Une hausse qui s’explique par la forte augmentation du nombre de migrants sans titre, deux tiers des demandeurs d’asile étant déboutés. Selon les derniers chiffres connus, on compterait 311 000 bénéficiaires de l’AME.

    Une question de santé publique

    « Globalement, ce sont des gens en précarité extrême, explique Delphine Fanget, responsable de plaidoyer à Médecins du monde. On estime que le taux de non-recours à l’AME, c’est-à-dire des gens qui y auraient droit mais n’en bénéficient pas, est de 88 %. 56 % des migrants dans nos centres de soins souffrent de pathologies chroniques (diabète, hépatite, hypertension…). 83 % nécessitent un suivi, et 50 % arrivent chez nous en retard de soins. D’autres études ont montré une prépondérance des infections respiratoires, de la gale et de certains épisodes épidémiques, comme la rougeole, la varicelle et la grippe. »

    Le rapport Goasguen-Sirugue, publié en 2015, estimait de son côté que 70 % des coûts résultaient de frais hospitaliers et mentionnait la tuberculose, le VIH, l’accouchement et l’hémodialyse comme principaux motifs de soinsDans ces conditions, reprend Delphine Fanget, « restreindre l’AME aurait des conséquences non seulement sur les patients mais aussi en termes de santé publique ».

    Néanmoins, le gouvernement semble estimer qu’il est difficilement soutenable de demander aux citoyens de cotiser à la Sécurité sociale tout en laissant filer des dépenses aux profits de patients clandestins. La piste de la création d’un ticket modérateur, comme cela avait été le cas entre 2011 et 2012 avec la mise en place d’un timbre de 30 €, ne semble plus envisagée.

    Réduire le panier de soins ?

    En revanche, la réduction du panier de soins couverts tient la corde. La droite propose régulièrement « un panier de soins limité aux risques de contamination de maladies graves ou aux soins urgents ou vitaux », résume Pierre-Henri Dumont. « Mais est-ce que ça veut dire qu’on refuse la prise en charge d’une bronchite ou d’une hypertension grave ? Est-ce que, après la tuerie de Villeurbanne, on va restreindre les soins psychiatriques ? », interroge Aurélien Taché, député LREM défavorable à une remise en cause de l’AME. « Globalement, sur le terrain, on voit plus de gens qui manquent de soins que de gens qui abusent », ajoute-t-il, estimant cependant qu’« on peut regarder les dérives, même si je trouve qu’il y a à ce sujet beaucoup de légendes urbaines ».

    « Il est indéniable qu’il existe des filières qui organisent la venue en France de patients qui viennent chercher des soins gratuits, estime-t-on à l’inverse, en haut lieu. On voit arriver des personnes avec des visas de tourisme et qui, une fois sur le territoire, demandent des soins et les obtiennent. »

    Les pays de l’Est sont cités. « Depuis quelques années, nous constatons l’afflux de patients réfugiés (Ukraine, Géorgie, Albanie, etc.) qui, amenés par des passeurs, arrivent dans nos services d’urgence en situation très précaire, nécessitant par exemple des séances de dialyse immédiate et désirant rapidement s’inscrire sur nos listes » de greffe du rein, s’alarme aussi la Société francophone de transplantation, dans une lettre au Comité consultatif national d’éthique. « Peut-être que des abus existent, reprend Aurélien Taché, mais est-ce qu’on va remettre en cause le cœur d’un dispositif utile pour régler quelque chose qui relève plutôt de la lutte contre les passeurs ? »

    ————————

    Les conditions d’accès de l’aide médicale d’État

    L’aide médicale d’État (AME) est accessible aux étrangers sans titre de séjour ni récépissé de demande (ce qui exclut les demandeurs d’asile), résidant en France depuis plus de trois mois (sauf pour les mineurs) et percevant moins de 8 951 € par an (pour une personne seule).

    L’admission se fait sur demande, renouvelée tous les ans.

    En dehors de ces critères, l’AME peut être accordée, exceptionnellement, « à titre humanitaire ».

    Les soins couverts

    Pour la personne et ses ayants droit, l’AME prend en charge, à 100 % mais dans les limites des tarifs de Sécurité sociale, les soins de médecine générale et spéciale, les frais dentaires, les médicaments remboursés à 100 %, 65 % ou 30 %, les frais d’analyses, d’hospitalisation et d’intervention chirurgicale, les frais afférents à certains dépistages et vaccinations, ceux liés à la contraception, à l’IVG.

    Nathalie Birchem

    Source : La Croix

    Merci à Jean Philippe Gaia

    https://www.alterinfo.ch/2019/09/12/faut-il-reformer-laide-medicale-detat/

  • Destitution de Donald Trump ? Les Démocrates se sont fait piéger

    Destitution de Donald Trump ? Les Démocrates se sont fait piéger

    Les Démocrates sont en panique : Donald Trump remonte aux sources ukrainienne, australienne et anglaise de la machination du gang d’Obama contre sa campagne de 2016 et son équipe. Le dossier et l’enquête de Mueller, ancien directeur du FBI, sont discrédités depuis que l’on sait que rien des accusations de collusion portées contre Trump ne s’est avéré exact. Devant l’imminence du rapport de l’Inspecteur Général qui s’annonce dévastateur sur l’espionnage illégal par mandats FISA par les anciennes et corrompues équipes Obama, le Deep State démocrate n’a pas le choix : retarder et minimiser le scandale. Pour cela, les Démocrates mobilisent tout le vivier partisan encore bien présent dans les administrations américaines après 2 mandats d’Obama, pour torpiller Donald Trump. Les Américains découvrent peu à peu un Parti Démocrate fascisant, près à tout pour couvrir toutes les magouilles, les scandales et les malfaisances des Obama, Clinton et autre Biden. Donald Trump remonte peu à peu toutes les innombrables pistes criminelles laissées par les Démocrates pour le piéger lui et sa campagne de 2016.

    Christian Daisug analyse dans Présent :

    […] En début de semaine dernière, Nancy Pelosi, speaker de la Chambre des représentants, réunissait à la hâte les correspondants de presse du Congrès pour annoncer le démarrage officiel d’un processus de destitution contre le président Donald Trump. Dans les rangs démocrates, la joie le disputa à la confiance, la rage d’en découdre à l’espoir de détruire. On avait attendu si longtemps. Enfin, la bataille allait commencer : du sang ! Du sang !

    Mais, au soir de cette journée partisane et rayonnante, Kevin McCarthy, chef de la minorité républicaine à la Chambre, fit remarquer que le procédé était illégal. Une destitution commence toujours par un vote préliminaire et non par une simple déclaration. « Qu’à cela ne tienne », s’écrièrent d’une seule voix enthousiaste les députés démocrates. « Eh bien, votons, puisque c’est la règle. » On vota. Il y eut huit abstentions. Les 231 démocrates à leurs bancs dirent oui à la destitution tandis que les 193 républicains à leurs postes répondirent non. Deux blocs antagonistes. De part et d’autre, aucun transfuge. La gauche face à la droite. La gauche exultait. N’avait-elle pas obtenu ce qu’elle cherchait depuis trois ans ? C’est alors qu’un vent de panique commença à souffler dans les rangs démocrates.

    Piégés !

    En partant d’une analyse qui faisait seulement référence à un règlement interne de l’institution législative, McCarthy avait obtenu deux résultats avec une seule pierre.

    D’une part, en forçant la Chambre à voter, il la fit entrer dans la légalité et, en même temps, lui offrit formellement le procédé menant à une destitution. Cadeau empoisonné car, d’autre part, en nourrissant chez les démocrates une euphorie aussi spontanée que naïve, il ouvrit devant eux la mise aux voix de cette destitution – un piège dans lequel ils sont tous tombés. Désormais, la situation est très claire. Tous les démocrates sont d’accord pour éjecter Trump de la Maison-Blanche par un procédé humiliant pour lui au lieu d’attendre le verdict des urnes en novembre 2020. Aucun démocrate ne pourra contester le choix qu’il vient de faire – le pire pour l’avenir immédiat de son parti, le meilleur pour les intérêts des républicains et de Trump. Les 231 démocrates ont opté, sans en prendre totalement conscience, pour un referendum aux législatives et à la présidentielle de l’an prochain. Pour ou contre Trump. Pour la Maison-Blanche, c’est l’échiquier idéal. Le président bénéficie de 53 % d’opinions favorables et 57 % d’Américains demeurent hostiles à sa destitution.

    Un scénario catastrophe

    Chez les démocrates, le vent de panique se mua très vite en ouragan lorsqu’ils se penchèrent sur les chiffres. Certes, ils ont à l’heure actuelle 231 voix pour conduire une destitution alors que les règlements n’en exigent que 218. Une marge de 13 voix. Jouable en temps normal, mais nous ne sommes plus dans un scénario normal. Pourquoi ? Parmi les circonscriptions détenues actuellement par les démocrates et qui sont à renouveler l’an prochain, 31 se situent dans des Etats remportés par Trump en novembre 2016. Et dans 13 d’entre elles, Trump s’est même offert un carton en battant Hillary Clinton par plus de six points. On peut deviner le degré de vulnérabilité de ces mal élus de la gauche qui auront à affronter des électeurs dont le plus mordant des reproches sera l’aval sans nuances et sans conditions donné à la plus brutale, la plus indigne des solutions pour se débarrasser d’un président.

    Un libéral modéré et dépourvu de sectarisme votant par tradition pour un démocrate pourrait en effet avoir le cœur soulevé à l’idée de punir Trump comme un valet indélicat. Ce choc multiplié par vingt ou trente aurait des conséquences électorales considérables. Les démocrates risqueraient de ne pas atteindre les 218 voix lors de l’indispensable deuxième vote de la Chambre après la publication des articles accusateurs. Pour certains observateurs, même leur contrôle de la Chambre est en jeu. Il manque 19 voix seulement aux républicains pour la reconquérir.

    La panique démocrate s’amplifia encore devant trois éléments annexes de cet ahurissant spectacle.

    1. – Le coup d’audace de Pelosi, qui entra par effraction dans le processus de destitution alors qu’elle lui était hostile, ne fut, en réalité, qu’une lâche soumission aux diktats de la frange la plus extrémiste du parti démocrate. Cette tentative d’éviction de Trump restera l’œuvre des gauchistes. Les Américains s’en souviendront.

    2. – Devant leurs électeurs, les démocrates ne pourront même pas afficher quelques victoires législatives : elles n’existent pas. Rien sur l’assurance santé, le prix des médicaments, le contrôle des armes, les grands travaux. Tout sur la destitution.

    3. – Les stratèges subversifs ont tenté de transformer en « scandale Trump » une affaire de corruption impliquant en Ukraine Joe Biden, ex-vice-président, et son fils Hunter. Trump n’a jamais demandé au président de l’Ukraine de neutraliser Biden, un rival, en frappant son fils. Les preuves existent. Les démocrates s’en moquent. Comme ils se sont moqués du rapport Mueller et de Mueller lui-même. Comme ils se moquent de tous les faits qui ne les servent pas. Cette destitution vicieusement engagée est en train de devenir pour eux une bombe à retardement.

    https://www.lesalonbeige.fr/destitution-de-donald-trump-les-democrates-se-sont-fait-pieger/

  • PMA et écologisme, pour oublier le peuple, par Ivan Rioufol

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    Ils disent : respectons la nature et ses limites ! Les macroniens ne jurent plus que par l’écologisme, ce mondialisme qu’ils croient plus présentable. Mais les mêmes s’enflamment pour défendre la procréation médicalement assistée (PMA) pour les couples de femmes et les femmes seules. Transgresser la nature serait donc interdit… mais autorisé. La contradiction montre la fragilité de la conversion d’Emmanuel Macron à l’idéologie verte, cet universalisme de substitution. Les plus cohérents des écolos sont ceux qui, comme José Bové, refusent toute manipulation du vivant, qu’il soit végétal, animal ou humain.

    Le projet de PMA pour toutes, examiné par les députés depuis mardi, viendra bouleverser la condition humaine. Celle-ci sera dégagée du fait qu’un enfant était jusqu’alors, sauf pour les couples hétérosexuels infertiles, le fruit d’une rencontre charnelle entre une femme et un homme. Désormais, la technique autorise l’homme-dieu à devenir son propre créateur. Dès lors, tout est envisageable. L’homme transgenre pourra même être mère. Bienvenue chez les apprentis sorciers.

    Les minorités homosexuelles militantes, qui attendrissent les progressistes, sont en train de bouleverser la procréation au nom de l’égalitarisme et de leur bon plaisir. Elles arguent de leur douleur à ne pouvoir enfanter. Du coup, les lobbies en sont à justifier l’homme enceint. Ainsi, dans Libération, Cléo Carastro, historienne et anthropologue, a pu écrire mardi, dans la logique d’une PMA ouverte aux femmes devenues hommes (les “trans”) : “(…) C’est pour tou-te-s qu’il faut penser (la PMA pour toutes), pour les hommes et les femmes souhaitant engendrer (…) Deux hommes peuvent engendrer en mobilisant leurs seules forces procréatrices, et deux femmes le peuvent également (…).” Ces déconstructeurs ont perdu toute décence. Ils sont devenus mabouls. S’ébauche Le Meilleur des mondes d’Aldous Huxley : un univers totalitaire où les bébés fonctionnels sortent de laboratoires.

    Rien n’est plus dangereux que les courbettes du pouvoir devant ces groupuscules despotiques et capricieux, qu’il prend pour l’air du temps.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 27 septembre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/215646/pma-et-ecologisme-pour-oublier-le-peuple-par-ivan-rioufol/

  • Jean-Paul Gourévitch : « Ce qui frappe, dans le traitement de l’immigration, ce sont les omissions »

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    Le Président Macron ayant programmé un débat sans vote sur l’immigration à l’Assemblée nationale le 30 septembre et au Sénat le 2 octobre, l’hebdomadaire L’Express de cette semaine a opportunément fait sa une sur un dossier intitulé « Immigration : vérités et balivernes » et sous-titré : « Les chiffres qui cadrent le débat. » Jean-Paul Gourévitch, consultant international sur l’Afrique et les migrations, et auteur du récent Le Grand Remplacement : réalité ou intox ? (Pierre-Guillaume de Roux, 2019), réagit. Pour lui, les vérités sont moins nombreuses que les balivernes.

    Le magazine L’Express vient de publier un dossier sur l’immigration. Pour vous, les chiffres et les affirmations que l’on y trouve sont très contestables. Pouvez-vous nous expliquer ?

    Le terme de « dossier » est inadéquat. Réalisé sous la direction d’Agnès Laurent, il se réduit à cinq articles, soit treize pages du magazine sur 103. C’est peu – mais on a vu pire. Les thématiques évoquées – les motivations des demandeurs d’asile, le retour au pays, les conflits entre démographes, la situation à l’étranger – ne sont pas traitées en profondeur. Et, surtout, les chiffres censés « cadrer le débat » sont (volontairement ?) truqués. Deux exemples de cet enfumage.

    Sur le nombre d’immigrés en France, la rédactrice a frappé à la bonne porte, celle de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII). Elle en conclut qu’il intègre « les personnes nées en France mais avec un ou deux parents immigrés, soit 7,3 millions de personnes (11 % de la population) ». Ce n’est pas ce qu’a écrit son directeur, Didier Leschi (Migrations : la France singulière, Fondapol, octobre 2018). « Aux alentours de 11 % de la population résidente est immigrée au sens de l’INSEE, c’est-à-dire composée de personnes nées étrangères à l’étranger… Si l’on ajoute les enfants d’immigrés nés sur le territoire français, c’est près du quart de la population française qui a un lien direct avec l’étranger. » De 11 % à 25 %, il y a plus qu’une marge.

    Ces chiffres sont confirmés par les statistiques de l’INSEE. Sur 758.000 enfants nés en 2018, 125.347 avaient deux parents nés à l’étranger et 116.670 un parent né en France et l’autre à l’étranger, soit 24 à 32 % de naissances d’origine étrangère selon qu’un enfant d’un couple mixte est considéré comme d’origine étrangère à 50 % ou à 100 %.

    Sur le calcul du solde migratoire par l’INSEE (58.000 personnes en 2018), le magazine s’est planté. Selon lui, il s’agit d’une « opération complexe qui consiste à déduire le solde naturel (naissances moins décès) de l’évolution totale de la population pour obtenir un solde lié aux migrations ». La réalité est plus crue, comme nous l’avons montré en 2015.

    L’INSEE calcule mathématiquement le solde migratoire en comptabilisant les entrées (de migrants pour la quasi-totalité) et en retranchant les sorties (essentiellement d’autochtones). L’approche scientifique serait de calculer séparément le solde migratoire de l’immigration (migrants entrants moins migrants repartis) et le solde migratoire de l’expatriation (expatriés partis moins expatriés revenus). Avec des résultats très différents.

    En 2018, la France a délivré 255.956 visas de long séjour, auxquels il faut ajouter 123.625 demandes d’asile reçues à l’OFPRA, environ 20.000 migrants entrés irrégulièrement sans demander l’asile, 43.000 « mineurs » non accompagnés (MNA) et 14.700 « étrangers malades » acceptés (mais seulement 4.187 encartés), soit un total de 457.281 entrées. Les trois dernières catégories sont ignorées par le magazine.

    Faute de registres de populations, il est plus difficile de décompter les sorties. L’INSEE s’est contenté de reprendre les chiffres de 2017. Mais si l’on part de son estimation 2013 en pourcentage, on obtient environ 103.000 départs de migrants en 2018, auxquelles il faut ajouter 30.276 retours « forcés » ou « aidés », plus environ 40.000 migrants irréguliers ou MNA. Total : plus de 173.000 sorties. Le solde migratoire de l’immigration 2018 est donc positif d’environ 284.000 personnes, soit 0,4 % de la population résidente et près de cinq fois les chiffres de l’INSEE.

    Présenter un dossier « objectif » (guillemets indispensables) sur les chiffres de l’immigration est un long chemin de croix. Encore un effort, Madame la rédactrice !

    Ce dossier est-il représentatif, selon vous, du traitement général du sujet de l’immigration par la presse?

    Il est aussi tendancieux que ceux de l’ensemble de la presse mainstream. Les divergences entre démographes y sont réduites au match Hervé Le Bras-Michèle Tribalat, arbitré par François Héran et Stéphane Smith. Les autres sont ignorés, Gérard-François Dumont ou André Posokhow, parce qu’ils rouleraient trop à droite, votre serviteur parce qu’il ne roule pour personne. Au vrai, ce qui frappe, dans le traitement de l’immigration, ce sont les omissions.

    Ainsi, on débat des quotas, qui ne concernent au mieux que l’immigration de travail ou les réfugiés politiques (moins d’un quart des flux migratoires). Chacun est invité à se mobiliser sur l’accueil des migrants au nom des valeurs de l’Église ou de la République mais pas sur leur parcours ultérieur. Les enquêtes menées par l’OCDE et l’OFII sont décourageantes en matière d’accès à l’emploi. Dans l’article de L’Express, on découvre qu’un quart des personnes arrivées en Allemagne en 2015 ont trouvé du travail. Qui paye pour les 75 % restants ? Devinez !

    La question des coûts, si sensible, est en général évacuée. La grande presse s’était gobergée, en 2010, d’une étude conduite par Xavier Chojnicki, auquel on faisait dire que l’immigration rapportait annuellement 12 milliards d’euros à la France. Las ! l’auteur, dans un ouvrage de 2012, ramenait ce chiffre à 3,9 milliards et, dans un ouvrage collectif publié – en anglais – par le CEPII en 2018, il admet que la contribution de l’immigration « est négative pour toute la période de 1979 à 2011 ». Aveu ignoré par la grande presse qui l’avait encensé. Aucun expert de droite ou de gauche n’avance, aujourd’hui, que l’immigration, en France, a un bilan financier positif. Question de bon sens. Un immigré qui travaille dans l’économie formelle (10 à 18 % des migrants) rapporte plus qu’il ne coûte. Un immigré qui travaille dans l’économie informelle ou qui ne travaille pas coûte plus qu’il ne rapporte. Une vérité qui n’est pas bonne à dire.

    Les récentes déclarations en la matière d’Emmanuel Macron n’ont-elles pas, pourtant, libéré la parole ? 

    Macron est, sans conteste, un homme de parole(s). Ce que l’opinion attend, ce sont des actes forts, sur les abus de l’AME, sur les reconduites, sur l’intégration. L’Express titre qu’il est « seul contre les siens ». C’est justement la grandeur de la fonction présidentielle de ne pas céder au courant dans lequel la pensée dominante croit se rafraîchir.

    https://www.bvoltaire.fr/jean-paul-gourevitch-ce-qui-frappe-dans-le-traitement-de-limmigration-ce-sont-les-omissions/

  • 108 des 166 conseillers municipaux du PS à Bruxelles sont issus de l’immigration

    Les changements au sein du parti socialiste bruxellois peuvent avoir de lourdes conséquences. Il est préférable que les partis flamands suivent cette métamorphose de près.

    (…) Et les chiffres ne mentent pas. Sur la base des noms de famille, 108 des 166 conseillers municipaux du PS à Bruxelles sont issus de l’immigration. Sur les 202 771 suffrages exprimés lors des dernières élections au PS, 140 423 ont été attribués à des candidats d’origine immigrée. Ce qui représente au moins 71,29% des voix, a calculé Hermanus. Et cela rend les anciens combattants du PS très mal à l’aise. Ils parlent, ouvertement ou non, d’une prise de pouvoir par les électeurs immigrants qui ont maintenu le PS de Bruxelles à flot avec leurs votes en bloc.

    tijd.be

    http://www.fdesouche.com/1269487-108-des-166-conseillers-municipaux-du-ps-a-bruxelles-sont-issus-de-limmigration

  • (Video) Un journaliste RT France matraqué par des membres des forces de l’ordre à Toulouse

    crs.JPGPrésent ce 28 septembre lors de l'acte 46 des Gilets jaunes à Toulouse, notre reporter a été victime de coups de matraque infligés par des membres de forces de l’ordre au cours d'une opération de dispersion.

    Frédéric Aigouy, journaliste du site web de RT France, a été pris pour cible le 28 septembre par deux
    policiers alors qu’il filmait une opération de dispersion lors de l’acte 46 des Gilets jaunes durant laquelle des observateurs de la Ligue des droits de l'homme (LDH) ont été violemment bousculés dans une rue du centre-ville de Toulouse vide de manifestants. 
    Dans une vidéo publiée sur Twitter par notre reporter, on peut voir un premier policier le percuter avec son bouclier avant de lui asséner un coup de matraque alors même qu'il portait son brassard presse et qu'il a indiqué, à plusieurs reprises, travailler pour la presse. S'en suit très vite un autre épisode tout aussi violent ou il reçoit un second coup de matraque porté par un autre policier. Comme le montrent les images, notre journaliste se tenait pourtant à distance des forces de l'ordre et ne gênait pas leur intervention.  
    [...]
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