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anti-national - Page 328

  • Zoom – Alain de Peretti : Vigilance Halal en croisade contre l’abattage rituel

    Alain de Peretti, président de l’association Vigilance Halal présente l’actualité de son association et notamment les combats judiciaires menés contre l’abattage rituel islamique.

    https://www.tvlibertes.com/zoom-alain-de-peretti-vigilance-halal-en-croisade-contre-labattage-rituel

  • Emmanuel Macron est un indécent baratineur narcissique faisant une médiocre politique de marketing électoraliste

    Emmanuel Macron est un indécent baratineur narcissique faisant une médiocre politique de marketing électoraliste 

    De Bernard Antony :

    Sans avoir attendu ses dernières déclarations sur l’immigration, on pourrait évidemment observer qu’Emmanuel Macron est surtout un indécent baratineur narcissique faisant une médiocre politique de marketing électoraliste ; s’évertuant à se positionner au mieux par rapport à la concurrence, celle de Marine Le Pen, qu’il croit habile de privilégier, assuré qu’il se croit de pouvoir ainsi remporter un nouveau mandat présidentiel. Comme si le scénario du 14 mai 2017 pouvait fatalement se reproduire.

    Or, depuis son élection, non seulement Macron n’a pas rien fait pour juguler l’immigration, mais il a tout fait pour l’encourager !

    Inutile ici de rappeler dans le détail des chiffres accablants. Citons seulement celui des titres de séjour, légaux, délivrés en 2018 : 255 000 ! Et nul ne sait exactement celui des migrants illégaux, mais bien supérieur à l’évidence.

    Ainsi se développe, de par la responsabilité de ce funeste président de la République, ce que l’écrivain Renaud Camus a appelé »le grand remplacement », phénomène que j’ai pour ma part, dès 1980, (dans la revue Itinéraires) considéré comme une des deux composantes de ce que je désignais alors comme « le génocide français » : avortement + immigration = génocide.

    Sous des dehors d’affabilité mais en fanatique révolutionnaire sociétal du meilleur des mondes, Macron applique en matière tactique les célèbres directives de Lénine à ses cadres bolcheviques : « un pas en arrière, deux en avant » et encore : « user de tous les stratagèmes… user de ruse, celer parfois la vérité… consentir les compromis pratiques, les louvoiements, les zigzags, les manœuvres de conciliation et de retraite » (In « La maladie infantile du communisme – pp 31 et 62).

    Son discours récent sur l’immigration n’a donc pas pour but de faire accepter des mesures visant à la réduire mais d’en dissimuler la continuation, et même l’accélération. 

    Autrement dit, l’art mensonger de dissimuler les actes sous des discours contraires.

    Macron est de fait un activiste complice de toutes les déconstructions : nationales, familiales, sociales, culturelles, religieuses, sexuelles.

    Tout le monde a vu les photos de lui-même et de Brigitte le soir de la fête de la musique à l’Élysée avec leur pote arborant fièrement sur son tee-shirt : « noir et pédé ».

    Macron peut se faire écrire et lire, à des seules fins électorales, les discours les plus contradictoires. Mais ce qu’il sait, c’est que c’est uniquement sur une France toujours plus socialement décomposée qu’il pourra continuer à exercer son pouvoir pour développer la révolution sociétale nihiliste du grand déracinement.

    Puissent les Français ne pas le supporter encore longtemps.

    https://www.lesalonbeige.fr/emmanuel-macron-est-un-indecent-baratineur-narcissique-faisant-une-mediocre-politique-de-marketing-electoraliste/

  • Islam en France : pourquoi le pire n’est peut-être pas certain…

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    Enfin, et il était plus que temps, Emmanuel Macron se rend compte que l’immigration n’est peut-être pas la « chance pour la France » qu’on croyait. Il n’empêche que, tournant autour des mots, il peine à mettre ces mêmes mots sur l’actuelle invasion migratoire ; c’est-à-dire l’islam.

    Car ce mot est devenu magique. « Religion d’amour et de paix », définition irénique pour nigauds. Ou religion méphistophélique voulant que la justification des attentats du 11 septembre 2001 soit dans le Coran, sourates violentes obligent, pour d’autres nigauds plus ou moins bien intentionnés. Cette hérésie chrétienne n’en demandait sûrement pas tant.

    Il n’empêche que l’islam est devenu une réalité française. Rien de nouveau, sachant que jadis, en nos grandes heures coloniales, nous fûmes première puissance musulmane au monde. Mais aujourd’hui ?

    Aujourd’hui, la France paye les erreurs du passé. Quand son grand patronat importait des travailleurs immigrés par wagons entiers, ce dernier pensait naïvement qu’ils rentreraient gentiment au bled. L’islam d’alors, cet « islam consulaire », fut donc confié à ces capitales d’un Maghreb fraîchement indépendant. Le même grand patronat a ensuite conceptualisé le « regroupement familial », juste histoire que l’immigré consomme ici « français » plutôt que d’envoyer sa paye là-bas. Avec les conséquences démographiques qu’on sait.

    En 2019, la réalité vient frapper à nos portes : au million près, on ne sait plus compter nos compatriotes d’origine maghrébine et de confession musulmane. On ne sait pas plus s’il convient de parler d’intégration ou d’assimilation. D’ailleurs, dans quoi se fondre, pour ces nouveaux arrivants ? À la France de Georges Brassens ou à celle de Cyril Hanouna ? Quant aux autochtones renvoyés en leurs réserves pavillonnaires, si le seul choix qui leur est dévolu consiste à opter entre la Gay Pride et le burkini, autant se pendre…

    Ghaleb Bencheikh, « Monsieur islam » du Jour du Seigneur en nos matinées dominicales, et accessoirement président de cette Fondation pour l’islam, fondée par Jean-Pierre Chevènement, semble avoir pris la mesure des défis à venir. Surtout quand, chargé de faire l’état des lieux, il affirme, à l’occasion d’un entretien accordé à L’Opinion, ce 17 septembre : « Sur l’islam, on muselle l’État français et on accepte l’œil d’Alger ou d’Ankara. »

    Nous y voilà. Faute d’avoir su ou pu organiser un islam en France, l’abandonnant à des capitales étrangères, les gouvernements s’étant succédé aux affaires depuis près d’un demi-siècle ont laissé prospérer une sorte d’État dans l’État. Logique, sachant qu’il n’y a rien de plus efficace pour faire régner l’ordre dans les « quartiers » que le trafic de drogues ou le salafisme, le cumul des mandats, en cette double discipline étant tout, hormis incompatible.

    Ghaleb Bencheikh, quant à lui, pratique un optimisme prudent. Proche de l’imam Tareq Oubrou, recteur de la mosquée de Bordeaux, il sait bien que nous sommes passés d’un islam en France à un islam de France. En attendant un islam français ? C’est-à-dire centré sur le cultuel plus que le culturel : est-il besoin de se déguiser en bédouin pour être un bon musulman ?

    À ce titre, s’il demeure une évidence que l’islam n’est pas forcément une chance pour la France, il n’est pas non plus incongru d’imaginer que la France puisse être une chance pour l’islam. Avec les répercussions mondiales qu’il n’est pas illicite d’imaginer. Après tout, et que ce soit pour le pire ou le meilleur, la France n’a-t-elle pas toujours été à l’avant-garde ?

    Aux hommes de bonne volonté, ces lignes sont dédiées…

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/islam-en-france-pourquoi-le-pire-nest-peut-etre-pas-certain/

  • Elles n'existaient pas "avant" : depuis les scélérats décrets Chirac de 76, les 750 "ZUS"...

    Voici les 751 ZUS, joliment (?) appelées Zones urbaines sensibles, comme on dit "incivilité" pour des coups ou une tentative de viol, comme on dit "emprunter" au lieu de voler un deux roues, comme on dit "jeune(s)" pour ne pas donner un prénom africain/maghrébin etc... etc...

    Il s’agit des quartiers sensibles de France où règnent la délinquance, les revendeurs de drogue, les armes et les islamistes, bref les "zones de non-droit" (joli, là aussi, non ?), répertoriées ville par ville, département par département...

    Et, depuis des décennies, l'Etat et le Système ont gaspillé des milliards dans des plans bidons, allant de la simple (re)peinture des cages d'escalier à des stages dits de formation mais qui n'apportent aucune formation ni aucun emploi...

    Ce sont ces milliards qui manquent aux Pompiers, à la Santé (Urgentistes, infirmier(e)s...), aux Policiers, à tout le monde, à toute la France...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Viktor Orbán : « Nous ne devons jamais accepter l’échange de population »

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    Lors d’un récent discours, le Premier ministre nationaliste hongrois Viktor Orbán a attaqué l’idée que la migration de remplacement ne doit pas être utilisée pour résoudre les problèmes démographiques auquel de nombreux pays occidentaux sont confrontés.

    Le discours d’Orbán a été prononcé au 3e Sommet démographique de Budapest, qui a eu lieu les 5 et 6 septembre dernier. Pendant le discours, Viktor Orbán a souligné que le problème le plus important auquel fait face actuellement l’ Europe est son déclin démographique, selon le média online hongrois 888.

    « Pourquoi est-ce le cas? Certainement pas à cause d’une maladie de la civilisation chrétienne – après tout, le nombre de chrétiens augmente dans le monde entier. C’est une maladie de l’Europe en général » , a déclaré Orbán.

    Pour le premier ministre hongrois, l’immigration ne doit jamais être considérée comme une solution aux problèmes démographiques.

    « Nous ne devons jamais accepter l’échange de population », a déclaré Orbán.

    Orbán a également noté que son gouvernement travaille actuellement à une forte politique qui accorde la priorité à la famille et à leur inciter d’avoir plus d’enfants.

    Sans les familles et les enfants, la communauté nationale disparaîtra, a-t-il expliqué, « et si une nation disparaît, quelque chose d’irremplaçable disparaîtra du monde », rapporte le journal Hungary Today .

    « Nous ne gagnerons que si nous pouvons construire un système où ceux qui portent des enfants vivent beaucoup mieux que s’ils n’avaient pas fondé de famille », a poursuivi Orbán.

    C’est la façon dont le gouvernement hongrois poursuit sa politique familiale.

    « Nous ne gagnerons que si nous pouvons construire un système où ceux qui portent des enfants vivent beaucoup mieux que s’ils n’avaient pas fondé de famille », a poursuivi Orbán.

    C’est la façon dont le gouvernement hongrois poursuit sa politique familiale.

    https://www.alterinfo.ch/2019/09/17/viktor-orban-nous-ne-devons-jamais-accepter-lechange-de-population/

  • Jean-Yves Le Gallou : « La vraie question, aujourd’hui, est celle du Grand Remplacement, le terme “immigration” est dépassé ! »

     
    À quelques jours du débat à l’Assemblée nationale sur la politique migratoire, Emmanuel Macron appelle les parlementaires de sa majorité à « regarder en face » le sujet de l’immigration.Durcissement de ton dû à une réelle prise de conscience du pouvoir politique ?
    Réaction de Jean-Yves Le Gallou au micro de Boulevard Voltaire
     

    Pendant le pot de rentrée des parlementaires de la majorité, Emmanuel Macron a assuré vouloir regarder en face le sujet de l’immigration.
    Est-ce une bonne nouvelle ?

    C’est surtout de l’enfumage.
    En même temps qu’il dit cela, il explique que la France est un pays d’immigration.
    C’est faux ! En tout cas, s’il y a eu des immigrés, c’était des immigrés d’origine européenne et non pas des gens d’Afrique noire, du Maghreb ou d’ailleurs.
    C’est une première erreur.
    Ensuite, il parle d’asile.
    Le droit d’asile est tout à fait détourné.
    Indépendamment de cela, il y a 260 000 entrées légales chaque année.
    C’est déjà un problème.
    Le terme immigration est aujourd’hui dépassé.
    Nous assistons plutôt à un phénomène d’invasion.
    Si on ne change pas radicalement de politique, le risque est de voir les Européens et les Français de souche devenir très rapidement minoritaires dans leur propre pays.
    Ce n’est évidemment pas Macron qui va changer radicalement de politique.
    Il est là dans une opération d’enfumage comme il a su le faire jusqu’ici.
    Dans les pas de Gérard Collomb, Emmanuel Macron a reconnu que la lutte contre les communautarismes était une priorité.
    Il a même parlé de sécession à l’égard de la République dans certains quartiers.
    C’est une avancée même si on a l’impression qu’ils mettent toujours un quart de siècle avant de se saisir du problème.
    Il n’y a rien de nouveau là-dedans.
    Mais il n’y a surtout aucune volonté de régler le problème.
    La première chose à faire serait de libérer la parole et de supprimer les lois liberticides.
    Or, monsieur Macron veut en rajouter.
    D’ailleurs, il en rajoute déjà une chaque année et on va bientôt avoir la loi Avia.
    Il faudrait ensuite supprimer les subventions aux organismes communautaristes.
    Or, tout ce petit monde vit de subventions publiques, de l’Union européenne, de l’État, des régions, des départements et des communes.
    Si on ne fait pas cela, on ne fait rien ! C’est un leurre.
    On va probablement focaliser le débat sur des questions périphériques et anecdotiques de façon à divertir l’opinion et à lui faire croire qu’on fait quelque chose.
    Il ne peut y avoir de changement dans ce domaine qu’un changement radical de politique, avec un arrêt total de l’immigration, des subventions aux associations immigrationnistes et le rétablissement de la liberté de parole sur ces questions-là.
    Dans son allocution, Emmanuel Macron a très clairement dit que le seul opposant sur le terrain était le Rassemblement national.

    Il faut confirmer cette opposition, car ce sont les Français qui l’ont choisi.
    Ces propos sont assez peu croyables dans la mesure où c’est Emmanuel Macron qui avait organisé cette confrontation unilatérale entre Nathalie Loiseau et Jordan Bardella.

    Comme si finalement, hors du Rassemblement national, il ne tolérait aucune autre forme d’opposition…
    Je ne sais pas si c’est ce que cela veut dire.
    De plus, Marine Le Pen n’est pas aussi claire qu’elle devrait l’être sur la question de l’immigration. On est aujourd’hui passé à un autre stade.
    La vraie question est celle du grand remplacement.
    On doit réellement nommer le problème.
    Accepte-t-on ou non le grand remplacement ?
    Accepte-t-on ou non d’être remplacé par d’autres gens venus d’autres territoires et d’autres civilisations ?
    Toutes les autres questions et les débats sur le communautarisme sont complètement dépassés.
    Le communautarisme résulte tout simplement du fait que des gens qui viennent de civilisations étrangères et d’autres religions continuent de les pratiquer chez nous.
    Sous les pommiers on trouve des pommes, les Africains africanisent et les musulmans islamisent. C’est la réalité de la question.
    Parler du communautarisme revient à prendre les conséquences au lieu de s’attaquer aux causes.
    Jean-Yves Le Gallou

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/09/jean-yves-le-gallou-la-vraie-question.html

  • L’immigration, pour Emmanuel Macron, c’est l’occasion de draguer les classes populaires !

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    L’immigration ! Il en a parlé ! Quel courage !

    Macron enfourche son nouveau vélo tout neuf pour la seconde partie du quinquennat, celle qui permettra sa réélection face au candidat du Rassemblement national, puisque Les Républicains sont dans les choux, et il parle de l’immigration !

    Alors, on hésite entre le regret de le voir céder à la lepénisation des esprits, comme le fait l’aile gauche de LREM avec Sonia Krimi, et l’admiration pour une prise de conscience tardive mais lucide qui ne peut que séduire un électorat conservateur déjà tenté par le macronisme aux municipales. En fait, le regret est superflu car Macron en parle, mais il va demeurer sur la ligne qui est la sienne : dans la mondialisation inéluctable, l’expansion démographique africaine exercera une pression sur le continent européen et, sur le plan économique, ce sera une bonne affaire en raison de l’afflux de main-d’œuvre et de la tendance à la stagnation des salaires que cela entraîne. Quant à l’admiration pour l’éclair de clairvoyance, elle ressemble à la joie des croyants entendant un athée citer le nom de Dieu, sans rien changer à son comportement ni à ses convictions profondes.

    Macron a conscience d’être le candidat de la bourgeoisie urbaine plus progressiste aujourd’hui qu’hier, qui réclame de la compétence économique, même illusoire, et exige le confort écologique. Mais il se dit avec raison qu’une élection présidentielle avec deux candidats en lice au second tour laissera un jour toutes ses chances à celui des « périphériques ». Il faut donc penser aux classes populaires, celles qui sont rétives à l’immigration parce qu’elles en subissent les conséquences, notamment en termes d’insécurité, alors que les beaux quartiers les ignorent.

    M. Macron pratique l’aumône verbale dans un discours de dame patronnesse. Un peu comme Sarkozy faisant son ouverture à gauche avec le succès que l’on sait. La même démarche, mais en sens inverse, pour mettre en avant la lutte pour la sécurité publique et contre l’immigration illégale à travers la fraude au droit d’asile alors que la violence s’accroît partout, tandis qu’elle règne déjà dans de nombreux quartiers perdus de la République.

    Comment croire un seul instant à cette fable alors que, sur le plan européen, le Président français est l’allié de ceux qui ouvrent leurs frontières aux débarquements d’illégaux, en Espagne, depuis le retour des socialistes au pouvoir, et maintenant en Italie, après le changement de coalition parlementaire qui a mis momentanément Salvini dans l’opposition. Cocteau disait qu’en amour, il n’y avait que des preuves d’amour. C’est pareil en politique : les mots ne suffisent pas.

    L’immigration illégale doit être stoppée en amont, par le rétablissement d’un État maître de l’ensemble du territoire en Libye comme en Syrie, par le traitement des demandes d’asile dans nos ambassades et nos consulats. Une fois parvenus en France, les demandeurs, pour la plupart, ne repartiront pas et seront aidés pour rester.

    Mais c’est l’immigration légale qui doit être endiguée, notamment celle qui est le fruit du regroupement familial.

    Allons plus loin : le Président veut écouter les Français qui ne vivent pas comme ses électeurs dans les beaux quartiers ? Qu’il leur donne la parole à travers un référendum sur l’immigration et qu’il mette en œuvre le choix de la majorité des Français. Ce serait nouveau, et à voir l’acharnement des amis de M. Macron pour empêcher les Britanniques de voir leur choix se réaliser, on a déjà une idée de la réponse. « Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute. Cette leçon vaut un second quinquennat, sans doute… »

    Christian Vanneste

    https://www.bvoltaire.fr/limmigration-pour-emmanuel-macron-cest-loccasion-de-draguer-les-classes-populaires/

  • Marche contre la PMA et la GPA du 6 octobre : non aux profits sur le ventre des femmes !

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    « Marchons, enfants ! », contre la PMA sans père et la GPA ! Le collectif La Manif pour tous, qui fut le fer de lance de la lutte et des manifestations contre le mariage homosexuel en 2013, ainsi que nombre d’intellectuels, de militants politiques ou de simples citoyens l’avaient annoncé : le mariage dit « pour tous » allait ouvrir de fait la PMA « pour toutes les femmes ». A l’époque, le camp dit « progressiste », de centre droit comme de centre gauche, qui ne voit plus de bien commun ni de droit « de » ou de devoir « de », pas plus que de limites naturelles, mais des « droits à » (tout ce que veut la moindre minorité), l’affirmait la main sur le cœur : le mariage homosexuel ne provoquerait pas l’extension de la PMA. Comme prévu, le camp dit « progressiste », prompt à tout marchander, y compris les corps, a fait ce qu’il fait le mieux : mentir. Un mensonge d’importance et dont l’écho résonne maintenant que le gouvernement s’apprête à légiférer : c’est contre cette PMA qui ne concernera pas les couples infertiles mais des femmes qui n’en ont pas besoin sur le plan de la nature que se prépare la manifestation du 6 octobre, manifestation dont on pourra lire l’appel sur le site de LMPT.

    Viendra ? Ne viendra pas ?

    C’est d’égoïsme qu’il s’agit, ce que note Gilbert Collard qui a décidé de participer à la manifestation à Paris. Egoïsme des femmes homosexuelles refusant la simple nature. Egoïsme des politiques progressistes au pouvoir et de leurs amis des lobbys marchands soucieux de profits non plus sur le dos mais sur le ventre des humains.

    Collard n’est pas la seule personnalité à avoir le courage d’annoncer sa présence. Il en faut, du courage, en effet, dans une société politique et médiatique où le candidat Bellamy a été matraqué pour avoir participé aux manifestations de 2013 et où un Fillon a pu être l’objet de vindictes du fait de son christianisme affiché. La France est le pays des droits de l’homme et de la liberté d’expression, ce pays qui autorise toutes les expressions sauf celles qui ne vont pas dans le sens du vent – ou du ventre, dans le cas présent.

    Viendront ? Ne viendront pas ? Marine Le Pen ne sera pas présente lors de la manifestation, même si les membres du RN restent libres de marcher ou non à titre personnel. François-Xavier Bellamy qui est, ne l’oublions pas, avant tout philosophe, sera présent, conscient que la prochaine loi bioéthique vise à autoriser le dépassement de « toutes les limites ». L’ancien candidat LR aux européennes indique que la PMA puis la GPA seront humainement « notre malédiction ». La PMA « pour toutes » ne vient en effet pas seule, contrairement à ce qu’affirment les nouveaux mensonges progressistes ; elle annonce la GPA pour les couples homosexuels masculins et donc la marchandisation accrue des ventres de la pauvreté. Qui d’autre ? Pour l’instant, Nicolas Bay qui évoque une « régression majeure ». Sa présence est un signe fort, auquel il convient d’ajouter Marion Maréchal, déjà dans la rue en 2013, et qui a depuis longtemps annoncé qu’elle manifestera par refus qu’un enfant soit transformé « en produit de consommation ».

    L’échec (relatif) de La Manif pour tous en 2013, les divisions du camp antiprogressiste, celles des droites, tout laisse à penser que le 6 octobre pourrait ne pas être un moment historique. Chiche ? Et si l’heure était au contraire venue de ce grand mouvement conservateur et populiste que les droites appellent de leurs vœux ?

    Paul Vermeulen

    Article paru dans Présent daté du 17 septembre 2019

    https://fr.novopress.info/215516/marche-contre-la-pma-et-la-gpa-du-6-octobre-non-aux-profits-sur-le-ventre-des-femmes/

  • A propos de Macron, Onfray parle - comme Tocqueville - de "dictature douce"...

    Le philosophe dénonce la dictature macronienne comme une dictature douce.

    '' La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s'évader. Un système d'esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l'amour de leur servitude ...'' (de Aldous Huxley, dans Le Meilleur Des Mondes)

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/09/16/a-propos-de-macron-onfray-parle-comme-tocqueville-de-dictatu-6175602.html

  • Massacre d’Olivier Quenault : immigration massive et laxisme judiciaire, par Franck Deletraz

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    Olivier Quenault avait 47 ans et menait une existence des plus paisibles. Cuisinier de profession et amateur de fléchettes à ses heures, cet homme très apprécié de son entourage n’avait jamais fait parler de lui ni au commissariat ni au palais de justice. Jusqu’à ce que, dans la nuit du 9 au 10 septembre dernier, son chemin croise celui de « jeunes » d’origine ivoirienne, qui l’ont battu à mort sans mobile apparent et ont abandonné son corps après l’avoir affreusement mutilé dans le jardin de l’Hôtel-de-Ville de Rouen. Un crime d’une barbarie effroyable, dont les grands médias nationaux se sont évidemment bien gardés de parler. Parce qu’il est emblématique à plus d’un titre de l’ensauvagement croissant de notre pays sous les effets conjugués de l’immigration massive et du laxisme judiciaire.

    Le corps sans vie d’Olivier avait été découvert par un employé municipal au matin du 10 septembre. Il gisait dans son sang, entièrement nu, couvert d’hématomes, et portait d’affreuses mutilations, notamment au visage. Selon l’autopsie, Olivier est mort de « très nombreux coups consécutifs », ayant causé de multiples fractures au niveau du visage et du corps. Bref, la victime avait été littéralement massacrée. Avant d’être mutilée, comme lors d’un meurtre tribal…

    Dès le lendemain, les policiers du SRPJ de Rouen interpellaient un mineur âgé de 17 ans, mis en examen et écroué depuis pour « homicide volontaire aggravé ». Puis deux autres mineurs le week-end dernier : l’un âgé de 15 ans et le second de 17 ans. Trois jeunes d’origine ivoirienne, tous bien connus de la police et de la justice, notamment pour des faits de violences. Des informations que les grands médias, soucieux de cacher à nos compatriotes le lien flagrant existant entre immigration et criminalité, ont presque tous passées sous silence.

    Mais il y a pire : outre le fait que l’un des suspects faisait l’objet d’un placement en foyer et n’avait donc rien à faire en liberté ce soir-là, il est apparu au cours de l’enquête que les trois individus avaient déjà été interpellés en flagrant délit par les policiers de la BAC dans la nuit du 21 au 22 juin dernier, alors qu’ils étaient en train de passer à tabac un couple de Rouennais. Une agression au cours de laquelle l’homme avait eu le nez fracturé, et sa compagne avait été blessée à la main. Malgré tout, et notamment le fait, selon la police, que d’autres violences commises cette même nuit avec un mode opératoire similaire « pourraient aussi être imputées à ces trois jeunes gens », le parquet avait alors ordonné… un classement sans suite de l’affaire et la remise en liberté des trois suspects ! Une décision totalement irresponsable et criminelle qui a bien du mal à passer du côté du commissariat, où certains policiers, sous couvert de l’anonymat, pointent du doigt l’incroyable laxisme de la justice qui a ici encore, comme dans tant d’autres affaires, coûté la vie à un innocent.

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 17 septembre 2019

    https://fr.novopress.info/215511/massacre-dolivier-quenault-immigration-massive-et-laxisme-judiciaire-par-franck-deletraz/