anti-national - Page 325
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Communisme, pas mort ! La preuve par Piketty.
En 2015, l'hebdomadaire américain Time magazine, arbitre planétaire des élégances politiques, économiques, sociétales, intellectuelles et artistiques, élevait Thomas Piketty et Marine Le Pen au rang de personnalités françaises les plus influentes.Un rapprochement d'autant plus cohérent que l'actuelle présidente du Rassemblement national n'a jamais caché l'intérêt que lui inspirait l'essayiste d'extrême gauche et que plusieurs de ses proches reconnaissaient en 2017 que ses idées avaient largement contribué à la rédaction du volet économique du projet présidentiel "Bleu marine" tout en "enrichissant" celui de Mélenchon.Après le succès mondial de son pavé "Le Capital au XXIe siècle", Thomas Piketty récidive avec un deuxième livre tout aussi volumineux (1232 pages) dont le titre, "Capital et Idéologie", ne laisse que peu de doutes quant à son orientation.Le propos central de cet essai que célèbre sans vergogne l'ensemble de l'intelligentsia française, sous couvert d'une réflexion panoramique et érudite sur les organisations sociales répartissant les richesses, est la dénonciation de la propriété considérée comme responsable des inégalités.Pour en finir avec le capitalisme et la propriété (l'auteur se contente pudiquement d'appeler à "les dépasser" mais reconnaissait dans un entretien publié début septembre dans l'Obs qu'il s'agit bel et bien de les "remplacer et de les abolir"), Piketty propose toute une série de mesures allant de l'établissement de la cogestion dans les entreprises à la constitutionnalisation du principe de progressivité des impôts — les impôts sur les revenus et sur les succession voyant leurs tranches supérieures relevées jusqu'à 90 % —, de la répartition de la propriété par une dotation en "capital universel" à la transformation de la propriété privée en propriété sociale, le tout complété par toute une série de mesures liberticides, intrusives, bureaucratiques, contraignantes, étatistes de type totalitaire et kafkaïennes concernant l'éducation, la vie politique, l'inquisition fiscale et le contrôle de la population digne des plus lourdes heures brejneviennes.On le voit, selon Thomas Piketty, les 100 millions de mort du communisme, la ruine des économies qui avaient adopté le mode de fonctionnement marxiste, les famines et les destructions induites par ce système pervers, la barbarie opérationnelle des régimes rouges, n'ont pas servi d'exemple. Lui et ses disciples veulent leur revanche sur l'Histoire. Ils y travaillent.Pour Piketty et ses semblables, un seul cri de ralliement : les soviets, vite ! -
ONG en Méditerranée : la propagande immigrationniste ne prend jamais de vacances - première partie
Chronique de Paysan Savoyard
(n°223 – septembre 2019)
Disons quelques mots du feuilleton estival,: les sauvetages en Méditerranée par les bateaux des ONG. L’année dernière l’Aquarius était en vedette, le Sea Watch, l’Open Arms et l’Ocean Viking se la partagent cette fois. Le feuilleton a le même contenu et le même enjeu que ceux des étés précédents : la manipulation et l’enfumage en règle de l’opinion.
- Une opération d’enfumage construite sur le mensonge
Tout est faux en effet, mensonger et manipulatoire dans ces scènes de sauvetages à répétition. Les immigrés recueillis sont présentés, premier point, comme des naufragés sauvés de la noyade. Le lexique des articles et des journaux télévisés est sélectionné pour susciter la compassion. On peut citer par exemple cet article du Monde, remarquable morceau de bravoure où se déploie en une trentaine de lignes tout le registre du pathos : « scène de désespoir », « situation désespérée », « angoisse », « scène de panique », « crise de larmes », « humiliation »… Les images de ces immigrés entassés sur des canots pneumatiques, sans vivres et démunis de tout, accompagnent cette logorrhée compassionnelle.
Or la réalité n’a rien à voir avec cette mise en scène. Les naufragés en question n’ont le plus souvent été victimes d’aucun naufrage : ils sont embarqués par des réseaux de passeurs parce qu’ils savent qu’ils ont les plus grandes chances d’être rapidement recueillis par un bateau affrété pour ce faire, relevant d’un gouvernement européen ou d’une ONG. A cette fin les bateaux des ONG s’approchent le plus possible des côtes africaines, leur arrivée largement médiatisée déclenchant les départs des candidats à la traversée. Quelques ratés liés aux aléas météorologiques interviennent parfois dans cette comédie bien huilée : mais les noyades qui se produisent alors ont pour intérêt de renforcer encore la position des ONG et leur image de marque. Cette vidéo récemment diffusée illustre le fait que ces sauvetages sont des mises en scène : on y voit un chalutier qui, après avoir effectué l’essentiel de la traversée, transfère les migrants qu’il transporte sur des canots de sauvetage, une fois parvenu à quelques encablures des côtes européennes…
Mensongers également les articles et commentaires qui présentent les naufragés comme des malheureux fuyant la famine et la guerre. La plupart de ces migrants sont des ressortissants de pays africains qui ne connaissent ni situation de guerre ni famine. Ces pseudo naufragés, le plus souvent des hommes jeunes et en bonne santé, ne fuient pas davantage la misère : ils appartiennent au contraire à la partie de la population africaine qui a les moyens de payer les sommes importantes exigées par les passeurs. Ces « naufragés » sont en réalité des migrants qui ont choisi la voie de la traversée de la Méditerranée faute d’avoir obtenu un visa, nécessaire à l’immigration légale. Les motivations de ces naufragés et des immigrés légaux sont au demeurant identiques. Les uns et les autres sont, dans la plupart des cas, envoyés en Europe par leur communauté de village ou de quartier ou leur communauté ethnique, avec la mission de leur transférer une partie des revenus que leur installation en Europe générera. Une fois installés, ces migrants obtiendront également la possibilité de faire venir une partie de leur entourage grâce au « regroupement familial ».
Mensonges, bien sûr, les explications pseudo juridiques des journalistes et des experts concernant le droit international de la mer, qui, nous explique-t-on pompeusement, impose à tout navire de secourir un naufragé et de le déposer dans un « port sûr ». La notion de port sûr en droit maritime signifie en réalité que la victime d’un naufrage, après avoir été secourue, ne doit pas être débarquée sur une côte inhospitalière ou abandonnée sur une île déserte : la dite notion n’a donc rien à voir avec la situation politique du pays concerné. Les ports tunisiens par exemple sont tout à fait « sûrs » au sens du droit maritime : aucune cargaison de naufragés n’est y pourtant jamais débarquée. D’autre part, contrairement à ce que prétendent le Système et les médias, il n’existe aucune obligation juridique de donner satisfaction à quiconque souhaite immigrer : dans le cas où un Etat accepte de laisser accoster pour des raisons humanitaires un navire rempli de naufragés, aucune règle de droit international ne l’oblige à accepter ensuite leur installation sur son sol.
On notera que les médias utilisent à propos de ces épisodes un vocabulaire fluctuant, évoquant tantôt des naufragés, tantôt des réfugiés, des demandeurs d’asile ou des migrants. Seul ce dernier terme correspond à la réalité : les pseudo naufrages organisés en Méditerranée sont depuis plusieurs années l’une des voies de l’immigration.
Mensonges enfin et surtout sur le rôle véritable des différents acteurs de ces mises en scène. Présentés comme « humanitaires », les « bénévoles » des ONG sont en réalité des militants no border et des professionnels de l’agit-prop, sélectionnés pour jouer un rôle devant les caméras. Ces ONG sont financées par des institutions soit publiques (Europe, Etats, collectivités locales) soit privées, telles que l’emblématique fondation Soros qui mobilise tous les moyens possibles pour accélérer la décomposition de l’Europe. Les juges jouent également, bien entendu, leur rôle d’appui aux initiatives immigrationnistes. Quant aux gouvernements européens, ils font semblant d’être soumis à la pression des ONG et de rechercher dans l’urgence des solutions à la fois fermes, réalistes et humaines, alors qu’ils téléguident et financent les pseudo ONG en question et sont en sous-main les inspirateurs voire les initiateurs de leurs opérations. Tous ces acteurs sont en réalité des comparses, qui se répartissent les rôles dans ces opérations de sauvetage fabriquées de toutes pièces au service du projet immigrationniste de la classe dirigeante européenne. Avec ces opérations médiatico-humanitaires, celle-ci poursuit en effet un triple objectif :
- S’efforcer de déstabiliser les populistes
Il s’agit tout d’abord d’exercer une pression et si possible de déstabiliser le leader populiste italien Salvini, que l’on cherche à pousser à la faute. Soit en l’incitant à commettre une action qu’on exploitera contre lui. L’idéal pour le Système serait par exemple qu’un navire dont l’Italie aurait refusé l’accostage coule ensuite dans une tempête avec ses naufragés : une telle aubaine permettait sans doute de recourir aux grands moyens judiciaires ou diplomatiques pour se débarrasser de Salvini. En organisant ces opérations, le Système peut également espérer que Salvini finisse par céder sous la pression, ce qui le décrédibiliserait aux yeux de son électorat et des populistes.
À suivre
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Après s’être offert des vacances en jet privé, Obama déclare à Greta: «Toi et moi, on forme une équipe»
Rappel : Cet été, la famille Obama s'est offert des vacances de rêve sur le yacht des Clooney, voyageant également en hélicoptère et en jet privé, d'abord en France, puis en Italie.Très écologique comme chacun peut le deviner. On ne parle ici que des vacances de l'été 2019. Je vous laisse imaginer le reste."Avignon est en émoi ! Hélicoptères, gardes du corps, jet privé…L’ancien président américain Barack Obama et sa famille sont arrivés dans le sud de la France pour des vacances sous le soleil du Midi.""Après le sud de la France, place à l'Italie.La famille Obama s'offre une parenthèse en Italie, où elle a rejoint Amal et George Clooney (en jet privé encore une fois), qui possèdent une villa à Laglio, au bord du lac de Côme.Un cortège de dix voitures parti de l'aéroport de Milan-Malpensa et escorté par la police est arrivé vers 14h30 dans le petit village transalpin, situé non loin de Chiasso."Ou comment un manipulateur nous prend ouvertement pour des imbéciles avec l'aide d'une presse orientée.Pour un individu de gauche, il suffit simplement de s'afficher avec la greluche du moment et de lancer quelques phrases percutantes pour tromper les plus stupides.**********"Personne n'est trop petit pour avoir un impact et changer le monde, alors faites tout ce que vous pouvez", a affirmé la célèbre militante suédoise lors de cette rencontre.Il voit en elle "l'une des plus grandes défenseures de notre planète".L'ancien président des Etats-Unis Barack Obama a annoncé mardi sur Twitter reçu la jeune égérie de la lutte pour le climat Greta Thunberg à Washington, où elle est actuellement en visite après avoir traversé l'Atlantique à bord d'un voilier zéro émission carbone.Rappels concernant les autres "stars" de la gauche :
Après avoir milité pour les migrants, Richard Gere profite de son yacht de luxe, entouré de jolies filles et de champagne
Le prince Harry épinglé pour ses nombreux voyages en jet privé alors qu'il assène sa morale écologique
Canton de Genève : La socialiste Anja Wyden Guelpa a beaucoup coûté en déplacements.
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L’hypocrisie sur la GPA
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Zoom – Alain de Peretti : Vigilance Halal en croisade contre l’abattage rituel
Alain de Peretti, président de l’association Vigilance Halal présente l’actualité de son association et notamment les combats judiciaires menés contre l’abattage rituel islamique.
https://www.tvlibertes.com/zoom-alain-de-peretti-vigilance-halal-en-croisade-contre-labattage-rituel
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Emmanuel Macron est un indécent baratineur narcissique faisant une médiocre politique de marketing électoraliste
De Bernard Antony :
Sans avoir attendu ses dernières déclarations sur l’immigration, on pourrait évidemment observer qu’Emmanuel Macron est surtout un indécent baratineur narcissique faisant une médiocre politique de marketing électoraliste ; s’évertuant à se positionner au mieux par rapport à la concurrence, celle de Marine Le Pen, qu’il croit habile de privilégier, assuré qu’il se croit de pouvoir ainsi remporter un nouveau mandat présidentiel. Comme si le scénario du 14 mai 2017 pouvait fatalement se reproduire.
Or, depuis son élection, non seulement Macron n’a pas rien fait pour juguler l’immigration, mais il a tout fait pour l’encourager !
Inutile ici de rappeler dans le détail des chiffres accablants. Citons seulement celui des titres de séjour, légaux, délivrés en 2018 : 255 000 ! Et nul ne sait exactement celui des migrants illégaux, mais bien supérieur à l’évidence.
Ainsi se développe, de par la responsabilité de ce funeste président de la République, ce que l’écrivain Renaud Camus a appelé »le grand remplacement », phénomène que j’ai pour ma part, dès 1980, (dans la revue Itinéraires) considéré comme une des deux composantes de ce que je désignais alors comme « le génocide français » : avortement + immigration = génocide.
Sous des dehors d’affabilité mais en fanatique révolutionnaire sociétal du meilleur des mondes, Macron applique en matière tactique les célèbres directives de Lénine à ses cadres bolcheviques : « un pas en arrière, deux en avant » et encore : « user de tous les stratagèmes… user de ruse, celer parfois la vérité… consentir les compromis pratiques, les louvoiements, les zigzags, les manœuvres de conciliation et de retraite » (In « La maladie infantile du communisme – pp 31 et 62).
Son discours récent sur l’immigration n’a donc pas pour but de faire accepter des mesures visant à la réduire mais d’en dissimuler la continuation, et même l’accélération.
Autrement dit, l’art mensonger de dissimuler les actes sous des discours contraires.
Macron est de fait un activiste complice de toutes les déconstructions : nationales, familiales, sociales, culturelles, religieuses, sexuelles.
Tout le monde a vu les photos de lui-même et de Brigitte le soir de la fête de la musique à l’Élysée avec leur pote arborant fièrement sur son tee-shirt : « noir et pédé ».
Macron peut se faire écrire et lire, à des seules fins électorales, les discours les plus contradictoires. Mais ce qu’il sait, c’est que c’est uniquement sur une France toujours plus socialement décomposée qu’il pourra continuer à exercer son pouvoir pour développer la révolution sociétale nihiliste du grand déracinement.
Puissent les Français ne pas le supporter encore longtemps.
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Islam en France : pourquoi le pire n’est peut-être pas certain…
Enfin, et il était plus que temps, Emmanuel Macron se rend compte que l’immigration n’est peut-être pas la « chance pour la France » qu’on croyait. Il n’empêche que, tournant autour des mots, il peine à mettre ces mêmes mots sur l’actuelle invasion migratoire ; c’est-à-dire l’islam.
Car ce mot est devenu magique. « Religion d’amour et de paix », définition irénique pour nigauds. Ou religion méphistophélique voulant que la justification des attentats du 11 septembre 2001 soit dans le Coran, sourates violentes obligent, pour d’autres nigauds plus ou moins bien intentionnés. Cette hérésie chrétienne n’en demandait sûrement pas tant.
Il n’empêche que l’islam est devenu une réalité française. Rien de nouveau, sachant que jadis, en nos grandes heures coloniales, nous fûmes première puissance musulmane au monde. Mais aujourd’hui ?
Aujourd’hui, la France paye les erreurs du passé. Quand son grand patronat importait des travailleurs immigrés par wagons entiers, ce dernier pensait naïvement qu’ils rentreraient gentiment au bled. L’islam d’alors, cet « islam consulaire », fut donc confié à ces capitales d’un Maghreb fraîchement indépendant. Le même grand patronat a ensuite conceptualisé le « regroupement familial », juste histoire que l’immigré consomme ici « français » plutôt que d’envoyer sa paye là-bas. Avec les conséquences démographiques qu’on sait.
En 2019, la réalité vient frapper à nos portes : au million près, on ne sait plus compter nos compatriotes d’origine maghrébine et de confession musulmane. On ne sait pas plus s’il convient de parler d’intégration ou d’assimilation. D’ailleurs, dans quoi se fondre, pour ces nouveaux arrivants ? À la France de Georges Brassens ou à celle de Cyril Hanouna ? Quant aux autochtones renvoyés en leurs réserves pavillonnaires, si le seul choix qui leur est dévolu consiste à opter entre la Gay Pride et le burkini, autant se pendre…
Ghaleb Bencheikh, « Monsieur islam » du Jour du Seigneur en nos matinées dominicales, et accessoirement président de cette Fondation pour l’islam, fondée par Jean-Pierre Chevènement, semble avoir pris la mesure des défis à venir. Surtout quand, chargé de faire l’état des lieux, il affirme, à l’occasion d’un entretien accordé à L’Opinion, ce 17 septembre : « Sur l’islam, on muselle l’État français et on accepte l’œil d’Alger ou d’Ankara. »
Nous y voilà. Faute d’avoir su ou pu organiser un islam en France, l’abandonnant à des capitales étrangères, les gouvernements s’étant succédé aux affaires depuis près d’un demi-siècle ont laissé prospérer une sorte d’État dans l’État. Logique, sachant qu’il n’y a rien de plus efficace pour faire régner l’ordre dans les « quartiers » que le trafic de drogues ou le salafisme, le cumul des mandats, en cette double discipline étant tout, hormis incompatible.
Ghaleb Bencheikh, quant à lui, pratique un optimisme prudent. Proche de l’imam Tareq Oubrou, recteur de la mosquée de Bordeaux, il sait bien que nous sommes passés d’un islam en France à un islam de France. En attendant un islam français ? C’est-à-dire centré sur le cultuel plus que le culturel : est-il besoin de se déguiser en bédouin pour être un bon musulman ?
À ce titre, s’il demeure une évidence que l’islam n’est pas forcément une chance pour la France, il n’est pas non plus incongru d’imaginer que la France puisse être une chance pour l’islam. Avec les répercussions mondiales qu’il n’est pas illicite d’imaginer. Après tout, et que ce soit pour le pire ou le meilleur, la France n’a-t-elle pas toujours été à l’avant-garde ?
Aux hommes de bonne volonté, ces lignes sont dédiées…
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Elles n'existaient pas "avant" : depuis les scélérats décrets Chirac de 76, les 750 "ZUS"...
Voici les 751 ZUS, joliment (?) appelées Zones urbaines sensibles, comme on dit "incivilité" pour des coups ou une tentative de viol, comme on dit "emprunter" au lieu de voler un deux roues, comme on dit "jeune(s)" pour ne pas donner un prénom africain/maghrébin etc... etc...
Il s’agit des quartiers sensibles de France où règnent la délinquance, les revendeurs de drogue, les armes et les islamistes, bref les "zones de non-droit" (joli, là aussi, non ?), répertoriées ville par ville, département par département...
Et, depuis des décennies, l'Etat et le Système ont gaspillé des milliards dans des plans bidons, allant de la simple (re)peinture des cages d'escalier à des stages dits de formation mais qui n'apportent aucune formation ni aucun emploi...
Ce sont ces milliards qui manquent aux Pompiers, à la Santé (Urgentistes, infirmier(e)s...), aux Policiers, à tout le monde, à toute la France...
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Viktor Orbán : « Nous ne devons jamais accepter l’échange de population »
Lors d’un récent discours, le Premier ministre nationaliste hongrois Viktor Orbán a attaqué l’idée que la migration de remplacement ne doit pas être utilisée pour résoudre les problèmes démographiques auquel de nombreux pays occidentaux sont confrontés.
Le discours d’Orbán a été prononcé au 3e Sommet démographique de Budapest, qui a eu lieu les 5 et 6 septembre dernier. Pendant le discours, Viktor Orbán a souligné que le problème le plus important auquel fait face actuellement l’ Europe est son déclin démographique, selon le média online hongrois 888.
« Pourquoi est-ce le cas? Certainement pas à cause d’une maladie de la civilisation chrétienne – après tout, le nombre de chrétiens augmente dans le monde entier. C’est une maladie de l’Europe en général » , a déclaré Orbán.
Pour le premier ministre hongrois, l’immigration ne doit jamais être considérée comme une solution aux problèmes démographiques.
« Nous ne devons jamais accepter l’échange de population », a déclaré Orbán.
Orbán a également noté que son gouvernement travaille actuellement à une forte politique qui accorde la priorité à la famille et à leur inciter d’avoir plus d’enfants.
Sans les familles et les enfants, la communauté nationale disparaîtra, a-t-il expliqué, « et si une nation disparaît, quelque chose d’irremplaçable disparaîtra du monde », rapporte le journal Hungary Today .
« Nous ne gagnerons que si nous pouvons construire un système où ceux qui portent des enfants vivent beaucoup mieux que s’ils n’avaient pas fondé de famille », a poursuivi Orbán.
C’est la façon dont le gouvernement hongrois poursuit sa politique familiale.
« Nous ne gagnerons que si nous pouvons construire un système où ceux qui portent des enfants vivent beaucoup mieux que s’ils n’avaient pas fondé de famille », a poursuivi Orbán.
C’est la façon dont le gouvernement hongrois poursuit sa politique familiale.
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Jean-Yves Le Gallou : « La vraie question, aujourd’hui, est celle du Grand Remplacement, le terme “immigration” est dépassé ! »
À quelques jours du débat à l’Assemblée nationale sur la politique migratoire, Emmanuel Macron appelle les parlementaires de sa majorité à « regarder en face » le sujet de l’immigration.Durcissement de ton dû à une réelle prise de conscience du pouvoir politique ?
Réaction de Jean-Yves Le Gallou au micro de Boulevard Voltaire
Pendant le pot de rentrée des parlementaires de la majorité, Emmanuel Macron a assuré vouloir regarder en face le sujet de l’immigration.
Est-ce une bonne nouvelle ?
C’est surtout de l’enfumage.
En même temps qu’il dit cela, il explique que la France est un pays d’immigration.
C’est faux ! En tout cas, s’il y a eu des immigrés, c’était des immigrés d’origine européenne et non pas des gens d’Afrique noire, du Maghreb ou d’ailleurs.
C’est une première erreur.
Ensuite, il parle d’asile.
Le droit d’asile est tout à fait détourné.
Indépendamment de cela, il y a 260 000 entrées légales chaque année.
C’est déjà un problème.
Le terme immigration est aujourd’hui dépassé.
Nous assistons plutôt à un phénomène d’invasion.
Si on ne change pas radicalement de politique, le risque est de voir les Européens et les Français de souche devenir très rapidement minoritaires dans leur propre pays.
Ce n’est évidemment pas Macron qui va changer radicalement de politique.
Il est là dans une opération d’enfumage comme il a su le faire jusqu’ici.
Dans les pas de Gérard Collomb, Emmanuel Macron a reconnu que la lutte contre les communautarismes était une priorité.
Il a même parlé de sécession à l’égard de la République dans certains quartiers.
C’est une avancée même si on a l’impression qu’ils mettent toujours un quart de siècle avant de se saisir du problème.
Il n’y a rien de nouveau là-dedans.
Mais il n’y a surtout aucune volonté de régler le problème.
La première chose à faire serait de libérer la parole et de supprimer les lois liberticides.
Or, monsieur Macron veut en rajouter.
D’ailleurs, il en rajoute déjà une chaque année et on va bientôt avoir la loi Avia.
Il faudrait ensuite supprimer les subventions aux organismes communautaristes.
Or, tout ce petit monde vit de subventions publiques, de l’Union européenne, de l’État, des régions, des départements et des communes.
Si on ne fait pas cela, on ne fait rien ! C’est un leurre.
On va probablement focaliser le débat sur des questions périphériques et anecdotiques de façon à divertir l’opinion et à lui faire croire qu’on fait quelque chose.
Il ne peut y avoir de changement dans ce domaine qu’un changement radical de politique, avec un arrêt total de l’immigration, des subventions aux associations immigrationnistes et le rétablissement de la liberté de parole sur ces questions-là.
Dans son allocution, Emmanuel Macron a très clairement dit que le seul opposant sur le terrain était le Rassemblement national.
Il faut confirmer cette opposition, car ce sont les Français qui l’ont choisi.
Ces propos sont assez peu croyables dans la mesure où c’est Emmanuel Macron qui avait organisé cette confrontation unilatérale entre Nathalie Loiseau et Jordan Bardella.
Comme si finalement, hors du Rassemblement national, il ne tolérait aucune autre forme d’opposition…
Je ne sais pas si c’est ce que cela veut dire.
De plus, Marine Le Pen n’est pas aussi claire qu’elle devrait l’être sur la question de l’immigration. On est aujourd’hui passé à un autre stade.
La vraie question est celle du grand remplacement.
On doit réellement nommer le problème.
Accepte-t-on ou non le grand remplacement ?
Accepte-t-on ou non d’être remplacé par d’autres gens venus d’autres territoires et d’autres civilisations ?
Toutes les autres questions et les débats sur le communautarisme sont complètement dépassés.
Le communautarisme résulte tout simplement du fait que des gens qui viennent de civilisations étrangères et d’autres religions continuent de les pratiquer chez nous.
Sous les pommiers on trouve des pommes, les Africains africanisent et les musulmans islamisent. C’est la réalité de la question.
Parler du communautarisme revient à prendre les conséquences au lieu de s’attaquer aux causes.
Jean-Yves Le Gallouhttp://by-jipp.blogspot.com/2019/09/jean-yves-le-gallou-la-vraie-question.html