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anti-national - Page 349

  • Agnès Buzyn : « pour ceux qui auront travaillé toute leur vie, la retraite minimum sera de 1000€ »

     
    Alors que le gouvernement entame sa rentrée politique, Agnès Buzyn était envoyée en première ligne à BFM ce mercredi, pour promouvoir l’épineuse réforme des retraites.
    Entre fausse volonté de dialogue et mépris évident pour les plus précaires, la pilule ne passera pas.
    « Est-ce qu’il y aura une pension minimum ? » : Agnès Buzyn, ministre de la santé invitée sur le plateau de BFM ce mercredi, était interrogée sur la réforme à venir.
    « Oui, répond cette dernière. 1000 euros minimum, c’est prévu. ».
    Peu après, la représentante du gouvernement envoyée au front pour défendre cette réforme sensible fait un ajout qui a son importance : « Pour les gens qui auront travaillé toute leur vie évidemment, si les gens arrêtent de travailler, si les gens ne travaillent pas… »
    Une réforme contre les inégalités ?
    Avec cette réforme des retraites, le gouvernement s’attaque au dossier le plus explosif du quinquennat, dans le contexte d’une crise qui n’a cessé de s’approfondir pour la Macronie, après l’affaire Benalla, les démissions de ministres et surtout, l’irruption des Gilets jaunes sur le devant de la scène politique, sans même parler de De Rugy et son « Homard Gate ».
    C’est pourquoi, marchant sur des œufs, les fervents défenseurs de cette réforme mettent les formes quand il s’agit d’en faire la promotion, privilégiant en apparence la concertation et le débat public.
    Mais les déclarations de Buzyn sur le plateau de BFM n’auront pas l’effet escompté.
    Car qu’est-ce que 1000 euros pour quelqu’un qui aurait travaillé toute sa vie ?
    1000 euros, c’est un revenu qui, à l’heure actuelle, est considéré comme en-deça du seuil de pauvreté. 1000 euros c’est un montant qui ne permet même pas de couvrir les dépenses minimales d’un étudiant en Île-de-France ; on voit mal comment les retraités s’en sortiraient mieux avec cette somme. 1000 euros, c’est une somme ridicule qui n’est pas indexée sur l’inflation et la hausse du coût de la vie.
    C’est une somme qui équivaut à 5 % des 20 000 euros de pension mensuelle estimée que touchera Emmanuel Macron lorsqu’il prendra sa retraite.
    Mais ce qu’implique surtout l’annonce d’Agnès Buzyn, à contre-courant de tout le discours du gouvernement qui vise à défendre la réforme des retraites comme un pas vers plus d’égalité, c’est que la nouvelle loi va considérablement désavantager les carrières courtes ou discontinues. 
    Parce que ce qu’explique en creux la ministre de la Santé, c’est que toutes celles et ceux qui n’auront pas « travaillé toute leur vie » ne pourront même pas être assurés de toucher une pension minimum de 1000 euros. 
    Et les personnes qui sont les plus concernées par les temps partiels et les arrêts longue durée… ce sont notamment les femmes. 
    L’égalité entre les genres, grande cause du quinquennat ?
    La pénibilité du travail, la précarité, le chômage… toutes ces données sont donc effacées d’un coup de baguette magique au travers de cette réforme, qui vise en dernière instance à niveler par le bas les pensions de retraite et acter que celles et ceux qui auront vécu dans la précarité au cours de leur vie seront condamnés à être encore plus pauvres après l’âge de la retraite… s’ils ne sont pas morts avant.
    « Consultation citoyenne » ou poudre aux yeux ?
    L’autre annonce de Buzyn sur ce même plateau télévisé concernait des questions de méthode : « Aujourd’hui nous commençons à travailler avec les partenaires sociaux, Édouard Philippe recevra tous les syndicats les 5 et 6 septembre avec Jean-Paul Delevoye et moi-même. Et puis nous allons également consulter les grands élus et évidemment les citoyens ».
    Une apparente volonté de dialogue, qui pourtant sonne creux, car la ministre était bien en peine d’expliquer les formes concrètes que sont censées prendre ces « consultations citoyennes ».
    Interrogée sur cette initiative, Sibeth Ndiaye, porte-parole du gouvernement, déclarait lors de la conférence de presse post-conseil des ministres que malgré cette « consultation », Macron avait « appelé le gouvernement à de la vigilance […] après le mouvement des Gilets jaunes » et qu’il incitait ses ministres à « avoir beaucoup de détermination à mener les réformes, pour honorer l’engagement qui était le sien au cours de la campagne présidentielle ».
    Des déclarations qui tendent à montrer que le gouvernement compte bien faire passer ses attaques quel que soit le résultat d’une éventuelle consultation, cherchant à remettre en route le rouleau compresseur néolibéral après de nombreux mois d’une intense mobilisation sociale.
    Questionné plus précisément sur la possibilité de modifier des « paramètres clés » de la réforme des retraites après les résultats de la consultation, au cours de la conférence de presse qui marquait la rentrée des ministres, Sibeth Ndiaye déclarait que « des débats ont déjà eu lieu au cours de la campagne présidentielle » et qu’il est « des paramètres sur lesquels nous ne reviendrons pas, qui sont nécessaires ».
    À commencer par le recul de l’âge du départ en retraite.
    Ainsi, et bien que les directions syndicales soient pour l’heure bien utiles au gouvernement en acceptant le jeu du dialogue social, permettant à la Macronie de donner une illusion d’ouverture et de concertation, il est évident que le gouvernement se prépare à faire passer en force ce qui s’annonce comme l’attaque anti-sociale la plus violente du quinquennat.
    Une déclaration de guerre aux plus précaires, qu’il s’agit de combattre dans son ensemble, sans négocier les miettes, et ce dès la rentrée.
    Crédits photos : Capture d’écran BFM TV

  • Ces « réfugiés » qui partent en vacances… dans leur pays d’origine, par Franck Deletraz

    Voilà une affaire hautement révélatrice de la gigantesque escroquerie que recouvre aujourd’hui le statut de « réfugié » dans nombre de pays de l’Union européenne, et notamment en Allemagne. Dénoncé par Die Welt et par Deutsche Welle, le scandale de ces centaines de « réfugiés » syriens qui, bien qu’ayant affirmé être en danger dans leur pays d’origine, n’hésitent pas à retourner régulièrement en vacances en Syrie fait – tout de même ! – un peu grincer des dents outre-Rhin, où le ministre de l’Intérieur Horst Seehofer a menacé de déchoir ces gens de leur droit d’asile. Une affaire qui ne concerne que l’Allemagne, penseront peut-être certains, mais qu’en est-il en France ?

    « Nous devons annuler [leur] statut de réfugiés »

    Rappelons que, depuis 2011, Berlin a accordé l’asile politique à quelque 780 000 Syriens qui prétendaient pour certains fuir le régime d’Assad, pour d’autres les égorgeurs de l’EI, et les deux pour la plupart d’entre eux. Or, il se trouve que, leur statut de « réfugiés » en poche, un certain nombre de ces « persécutés en grand danger » n’ont pas hésité à retourner régulièrement en vacances au « bled », aux frais du contribuable allemand… Autant dire que ces gens, comme l’écrasante majorité des clandestins qui déferlent chaque jour sur notre continent, sont surtout des migrants économiques et non des « réfugiés » ayant droit à l’asile politique. Une nuance capitale dont se moque évidemment la chancelière Merkel qui, comme chacun sait, s’est fixé pour objectif d’accueillir un maximum de clandestins pour pallier la faillite démographique de son pays, mais pas son ministre de l’Intérieur. Très irrité par ce scandale, Horst Seehofer a en effet rappelé avec le plus grand bon sens que « si un réfugié syrien passe régulièrement ses vacances en Syrie, il ne peut pas affirmer sérieusement être persécuté en Syrie » et donc « nous devons annuler son statut de réfugié ». Ce qui, selon le BAMF, l’office allemand des migrations et des réfugiés, aurait déjà été fait pour… 39 806 Syriens !

    Et en France, combien de faux « réfugiés » ?

    Un scandale qui, de toute évidence, est très loin de ne concerner que l’Allemagne. Quand on connaît l’incroyable incurie des autorités françaises en matière de lutte contre l’immigration, le nombre astronomique de déboutés du droit d’asile qui ne sont jamais expulsés et sont tout bonnement relâchés dans la nature, il ne fait aucun doute que de très nombreux étrangers officiellement « réfugiés » en France doivent régulièrement partir en vacances dans leur pays d’origine sans déranger plus que cela notre gouvernement. Les allées et venues de ces gens sont-elles seulement surveillées ? Evidemment, non. Et il est fort peu probable, hélas, que cette affaire de faux réfugiés qui fait actuellement grand bruit outre-Rhin encourage nos autorités à s’intéresser d’un peu plus près aux agissements des bénéficiaires de l’asile politique dans notre pays.

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 22 août 2019

    https://fr.novopress.info/

  • L’ONU parle officiellement d’immigration de remplacement (Replacement Migration)

    L’ONU parle officiellement d’immigration de remplacement (Replacement Migration)

    Cela ne vous rappelle rien ? On attend avec impatience une réaction des médias dominants français qui nient le Grand remplacement :

    Replacement Migration: Is It a Solution to Declining and Ageing Populations?

    United Nations projections indicate that over the next 50 years, the populations of virtually all countries of Europe as well as Japan will face population decline and population ageing. The new challenges of declining and ageing populations will require comprehensive reassessments of many established policies and programmes, including those relating to international migration.

    Focusing on these two striking and critical population trends, the report considers replacement migration for eight low-fertility countries (France, Germany, Italy, Japan, Republic of Korea, Russian Federation, United Kingdom and United States) and two regions (Europe and the European Union). Replacement migration refers to the international migration that a country would need to offset population decline and population ageing resulting from low fertility and mortality rates.

    https://www.lesalonbeige.fr/lonu-parle-officiellement-dimmigration-de-remplacement-replacement-migration/

  • Navire-taxi « Open Arms » : tout était bidon

    open-arms-ong.jpg

    Commentaire de Gates of Vienna :

    Nouveau bateau de « sauvetage des réfugiés », nouvelle arnaque

    Cette fois, c’est l’Open Arms, dont les propriétaires disent qu’il est rempli d’enfants désespérés et en mauvaise santé. Il s’avère que la situation désespérée est un mensonge, que des mineurs sont majeurs et que la mauvaise santé est un mensonge – une fake news sur toute la ligne.

    ******

    Article du Giornale di Sicilia, 18 août 2019

    N.d.t. : c’était donc avant que les migrants ne soient finalement autorisés à débarquer à Lampedusa pour être transférés vers les pays d’accueil.

    Open Arms, inspection à bord : « Aucune urgence ». Des migrants sautent à la mer.

    D’après ce que nous avons appris sur l’inspection de l’Open Arms ordonnée par le Procureur général d’Agrigente, il n’y avait aucun problème hygiénique ou sanitaire critique de nature à déclencher l’urgence. L’inspection a été effectuée hier [samedi] pour vérifier les conditions d’hygiène et de santé à bord du navire où se trouvaient 107 naufragés.

    Les migrants étaient entassés sur le pont du bateau, dormaient par terre sans matelas, se couvraient de draps et de nappes, et selon l’ONG ils étaient psychologiquement épuisés.

    Selon le rapport des médecins de Cismo (Centre italien d’étude des médecines orientales), il pourrait y avoir des cas de gale, mais pour l’instant, il n’y en a aucune confirmation officielle. Pour les 107 migrants qui sont encore à bord, c’est le 17ème jour sur ce navire encore bloqué au large de Lampedusa, en face de Cala Francese.

    Selon le rapport des médecins de Cismo (Centre italien d’étude des médecines orientales), il pourrait y avoir des cas de gale, mais pour l’instant, il n’y en a aucune confirmation officielle. Pour les 107 migrants qui sont encore à bord, c’est le 17ème jour sur ce navire encore bloqué au large de Lampedusa, en face de Cala Francese.

    Manifestement, la controverse se poursuit. « Des patients imaginaires, des mineurs imaginaires, des urgences sanitaires imaginaires… L’ONG Open Arms et ses complices atteignent le sommet du ridicule ; les Italiens sont bons mais pas idiots », a écrit Matteo Salvini sur Facebook.

    « Jour 17. Misérables. Misérables sont ceux qui prennent en otage 107 êtres humains « sans nom » et des bénévoles pour faire de la propagande xénophobe et raciste. Complices, tous ceux qui le permettent et qui plaisantent sur leur douleur », a répliqué l’ONG sur Twitter.

    Dix-neuf mineurs sur les 27 personnes débarquées de l’Open Arms seront transférés à Porto Empedocle par ferry. Les huit autres, qui ont admis être adultes après leur débarquement, resteront au « hotspot » de l’île et des contrôles médicaux seront effectués pour évaluer leur âge réel.

    « Nous ne pouvons plus contenir le désespoir. Nous ne pouvons plus expliquer. Il n’y a pas de mots. Vous êtes des lâches. #unportosicurosubito [un port sûr tout de suite] », a twitté pour sa part l’ONG espagnole Open Arms, avec une vidéo de quatre migrants qui ont essayé d’atteindre Lampedusa à la nage, après s’être jetés à l’eau avec des gilets de sauvetage. Trois sauveteurs les poursuivent et les ramènent à bord du bateau.

    Article original : Giornale di Sicilia (avec photos)

    Traduction anglaise : Gates of Vienna

    Traduction française Cenator pour LesObservateurs.ch

    https://www.alterinfo.ch/2019/08/22/navire-taxi-open-arms-tout-etait-bidon/

  • Racisme anti-blanc : la réponse cinglante d’un policier au négationisme du député Aurélien Taché

    Le site internet du magazine Le Point vient de publier la tribune libre d’un policier. Celui-ci répond à Aurélien Taché, député LREM du Val-d’Oise et membre du pôle idée de ce parti, qui a diffusé un tweet la semaine dernière niant l’existence du racisme anti-blanc.

    Il faut se souvenir que c’est déjà ce député Taché qui s’était illustré en comparant le voile islamique à un simple serre-tête.

    Le policier qui a rédigé cette tribune publiée par Le Point précise qu’il n’est pas Français de souche.

    Sachez aussi que j’ai bien conscience qu’il est dangereux de s’attaquer à ce sujet. Toutefois, non seulement je suis policier et donc déjà catalogué comme facho par nos détracteurs, mais de plus, comme le prouve ce tweet, je pense que la lutte contre le racisme s’exprime trop fréquemment de manière hystérique et caricaturale. (…)

    J’en ai assez de voir beaucoup trop de nos concitoyens se rejeter cette crainte d’être assimilé comme raciste, telles une patate chaude ou une grenade. Assez de voir ce combat être utilisé comme un faux-semblant, d’autant plus quand le but est de ratisser large. Enfin, même si mon devoir de réserve m’oblige normalement à me taire, ce genre de posture influe beaucoup trop concrètement sur ma vie de citoyen et de policier, ces dernières années, pour que je me taise davantage. (…)

    C’est pourquoi j’en viens enfin à son allusion au « prétendu racisme anti-Blanc », qui pour moi trahi clairement tout le reste de son œuvre. Il est inadmissible de nier ce racisme au même titre que les autres. Je croise des victimes concrètes de ce fléau chaque jour. Il suffit d’aller visiter certains forums ou même certains réseaux sociaux pour vérifier l’ampleur du phénomène. Les Blancs y ont toutes sortes de surnoms. Ça va du petit Babtou au grand Babtou, quand ce n’est pas Gouffa, Kouffar ou simple mécréant. Cependant, généralement, la victime idéale y est tout simplement décrite comme le « céfran », facile à impressionner, facile à dévaliser, facile à humilier.

    Dans beaucoup de quartiers, le petit céfran est non seulement une proie facile, mais aussi une aubaine pour se faire valoir auprès des potes. Il est déjà tellement accablant, en tant que policier, de ne pas pouvoir freiner ce phénomène convenablement et il faudrait en plus, d’après monsieur Taché et d’autres grands esprits, que nous les laissions seuls à la cave. Au nom de quoi devrions-nous nier ces plaies saignantes ?

    Je suis désespéré à cette idée que l’on n’appelle plus un chat, un chat. Ces dissimulations de la vérité ou ces mensonges par omission, peu importe comment on les nomme, sont néfastes quoi que l’on dise. Je prétends même que cette politique décadente est en fait en grande partie responsable de ces amalgames dont notre société souffre. Le rejet de la vérité est un boomerang qui nous reviendra en pleine tronche à un moment ou à un autre. La véracité du terrain est indiscutable. Et non, monsieur Taché et consorts, vous n’arriverez pas à nous convaincre du contraire de ce que nos yeux voient.

    https://www.medias-presse.info/racisme-anti-blanc-la-reponse-cinglante-dun-policier-au-negationisme-du-depute-aurelien-tache/111578/

  • Toulouse : l’article du JDD qui vous dit tout (ou presque) sur l’explosion des trafics

     
    Le JDD est un journal extraordinaire : en une, le visage souriant de Brigitte Macron ; en pages intérieures, un article sur la situation de Toulouse, minée par les trafics de drogue et les règlements de comptes entre leaders du deal, qui ont hissé la Ville rose à la hauteur de Marseille, pour un triste record. La vitrine, et l’arrière-boutique.
    L’accroche de l’article est aussi sans fard : « À Toulouse, une génération de jeunes caïds met la ville à feu et à sang pour le contrôle des points de deal. Leur héros : Mohamed Merah. »
    Pour ceux qui ne connaissent pas encore Toulouse, vous saurez tout sur les quartiers tenus par ces Merah-racailles : Empalot, le Mirail, les Izards, etc. 
    Tout sur l’explosion de la demande, en cannabis, en héroïne et en coke, du fait de l’envolée démographique de la Ville rose et la présence d’une clientèle d’étudiants et de cadres « aisés » qui engraissent ces caïds : 50.000 €/jour pour les plus doués. 
    De quoi méditer, s’il est encore temps, sur l’argent et le bonheur…
    L’article pose quelques bonnes questions : 
    « Comment s’est ­installé ce sentiment d’impunité qui ­désormais les habite ? La faiblesse des effectifs de police à Toulouse, ville nettement sous-dotée par rapport à Bordeaux ou Marseille, faute de poids lourds politiques, n’explique pas tout. Les voyous du cru exploitent une autre faiblesse du dispositif, ces tensions persistantes entre une police confinée au centre-ville et une gendarmerie qui en gère le pourtour, en sus d’une vaste zone rurale ; malins, ils dealent d’un côté de la “frontière” et dorment de l’autre, chez les pandores. Mais il y a autre chose, que pointe ce policier qui les connaît bien : l’effet Merah. Plusieurs de ceux qui sont morts sous les balles (treize règlements de comptes en 2018, cinq depuis le mois de janvier) ont grandi dans la même cage d’escalier que Mohamed Merah. » 
    En pleine préparation des élections municipales, cela devrait peut-être inciter les Toulousains à se réveiller, à faire enfin le deuil des tranquilles années Baudis, un âge d’or révolu, et à se demander s’ils veulent continuer à laisser dériver leur ville avec une municipalité LR inconsistante qui ne rêve que de s’allier avec des LREM tout aussi mous sur ces questions.
    Mais, comme d’habitude avec ce genre d’articles, on est pris d’un doute, et d’une colère : il y a comme un ton fataliste sur l’air du « Oh, zut, on n’a rien vu venir ». 
    Mais si, dans le Sud-Ouest, à Toulouse et dans toutes les petites villes gangrenées par la métropole des trafics, ces bases arrières des gros caïds toulousains (Agen, Albi, Castres, Lavaur, Villeneuve-sur-Lot, etc.), bien sûr que si, on a vu venir ! 
    Et les trafics, et les voitures, et la radicalisation !
    Et le deal jusque sous nos fenêtres ! 
    Avec toute la délinquance afférente. Et on voit depuis des années !
    Le profil soigné de Brigitte Macron sur papier glacé ou en une ne suffit plus à mettre la poussière et la poudre sous le tapis.
    Un jour, il faudra bien éradiquer ces trafics, vu la violence et l’insécurité exponentielles qu’ils entraînent. 
    Il y faudra d’autres moyens que ceux de la police et de la Justice actuelles. 
    Et une vraie volonté politique.
    Et pour cela, on ne fera pas l’impasse sur la question de l’immigration, et sur la fermeture de certaines frontières, quand on lit le rôle que jouent à tous les niveaux ces dealers « blédards » dont parle l’article.
    Le JDD peut préparer d’autres unes pour les années qui viennent. 
    Dominique Monthus

  • Open Arms: Pour Eric Ciotti, Emmanuel Macron « trahit les Français » en acceptant les clandestins

    Open Arms.jpgÉric Ciotti refuse l’ouverture des ports français aux clandestins de l’Open Arms « aucun bateau ne doit accoster en France. Emmanuel Macron trahit les Français en acceptant que des clandestins soient répartis sur notre sol sans aucune concertation parlementaire et populaire. »
    L’équipage illégal de l’Open Arms a débarqué dans la nuit de mardi à mercredi sur l’île de Lampedusa avec, à son bord, plusieurs clandestins.
    Au nom de la France Emmanuel Macron, tout comme cinq autres pays européens, s’est engagé à les accueillir alors même que la crise migratoire frappe l’Europe depuis plusieurs années. Cette position de pseudo solidarité est irresponsable et trahit les Français qui refusent cette immigration massive pour laquelle ils n’ont jamais été consultés. C’est cette fausse générosité qui est à l’origine de tels drames alors que seule la fermeté peut être gage d’humanité. Le rôle des États est de sauver des vies mais pas de se faire les complices répétés et aveugles des passeurs.
    Un an après le chantage de l’Aquarius le problème reste entier : des clandestins sont accueillis en Europe alors que nos capacités d’intégration sont largement saturés et sans aucun consentement populaire et parlementaire. Je regrette que le projet de hotspots promis par Emmanuel Macron pour étudier les demandes d’asiles dans les pays d’origines soit toujours lettre morte.
    Les associations d’extrême gauche qui réclament que les maires des villes portuaires ouvrent leurs ports aux migrants font preuve d’une irresponsabilité confinant à l’inconscience. Les ports français ne doivent pas devenir de nouveaux Lampedusa. Je m’y refuse. Ce sont en priorité les ports d’Afrique du Nord qui doivent accueillir ces clandestins. Ceux qui se félicitent de l’arrivée en Europe de clandestins sont les complices des passeurs.
    Cet édito est à titre informatif seulement. Les points de vue exposés dans ce texte représentent uniquement l'opinion de l'auteur et nullement la rédaction de peupledefrance.com 

  • Aude Mirkovic : « Si nous ne voulons pas du business de la fabrication des bébés, il faut dire NON à ce projet. »

    Boulevard Voltaire vient de publier un entretien intéressant avec Aude Mirkovic qui dénonce le projet de remboursement de la PMA – par la Sécurité sociale – à toutes les femmes.

    1) Le ministre de la Santé Agnès Buzyn a confirmé, fin juin, que la PMA, qui sera ouverte à toutes les femmes, serait remboursée à toutes. Les députés Valérie Boyer et Pierre-Henri Dumont (LR) dénoncent un dévoiement des principes de la Sécurité sociale. Partagez-vous leur avis ?

    Tout à fait. Le but de l’assurance maladie est de permettre aux assurés de faire face à des maladies, des pathologies. Déjà, parmi les soins pris en charge, il est nécessaire d’opérer une hiérarchisation des dépenses en raison de la croissance des dépenses et du déficit récurrent : on assiste à une baisse tous azimuts de l’offre de soins au fil des années. Demandez, par exemple, aux parents des enfants autistes s’ils ont de quoi payer l’ergothérapie dont leurs enfants ont besoin, aux personnes âgées qui n’ont pas de mutuelle complémentaire si elles peuvent remplacer leurs lunettes, et à de nombreuses personnes pourquoi elles ne remplacent pas les dents qui leur manquent. Autant de soins que l’assurance maladie ne prend pas ou peu en charge, faute de moyens. En dernier lieu, la fin du remboursement de l’homéopathie vient d’être décidée au motif que l’efficacité thérapeutique de l’homéopathie ne serait pas prouvée. Je ne me prononce pas sur le point de savoir si l’homéopathie est efficace ou pas, ce n’est pas de ma compétence. En revanche, chacun peut percevoir l’injustice qu’il y a à dérembourser des médicaments au motif que leur efficacité thérapeutique n’est pas prouvée, tout en prévoyant le remboursement total de PMA qui ne s’inscrivent dans aucune démarche thérapeutique, ni prouvée ni même alléguée, puisque les intéressés ne souffrent pas d’infertilité.

    2) Le remboursement de la PMA à toutes les femmes susciterait-il d’autres problèmes que cette dérive de la fonction de la Sécurité sociale ?

    Il y aurait, notamment, un détournement du rôle de la médecine, dénoncé par plus de 1.700 médecins dans une tribune en ce sens (https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Ethique/petition-contre-PMA-signee-1-700-medecins-2018-06-01-1200943665). Les médecins deviennent des prestataires de service, sans compter qu’inséminer une femme fertile par un donneur fertile ne requiert aucune compétence médicale : la blouse blanche ne suffit pas à donner un caractère médical à une prestation devenue un business. Et cela ne concerne pas seulement les femmes seules ou en couple de femmes : le projet de loi offre la PMA non seulement à toutes mais à tous, y compris les couples fertiles qui pourront recourir à la PMA et au don de gamètes dans une branche ou les deux si tel est leur choix. La PMA pour les femmes est l’arbre qui cache la forêt : le projet est celui de la « procréation sans sexe pour tous », comme le dit explicitement le rapport parlementaire du député Jean-Louis Touraine. Le but est d’organiser la production industrielle de l’humain avec, bien entendu, programmation et sélection des enfants pour réaliser le projet du ou des adultes en désir d’enfant. En effet, si un couple fertile recourt à la PMA, ce n’est pas pour avoir un enfant sans plus – ce qu’ils peuvent faire tout seuls. C’est pour avoir tel enfant qui correspond à tel projet. Si nous ne voulons pas du business de la fabrication des bébés, il faut dire NON à ce projet.

    3) Une manifestation nationale unitaire contre le projet de loi bioéthique est prévue, le 6 octobre 2019, à Paris. Pensez-vous que cette mobilisation puisse contribuer à enrayer le mouvement « progressiste » qui nous entraîne aujourd’hui vers la PMA pour toutes remboursée par la Sécurité sociale, demain vers la GPA ?

    Bien sûr qu’elle le peut ! Ce projet va à l’encontre de la justice en privant légalement certains enfants de père, et de la dignité humaine par la programmation et sélection des enfants en fonction du projet parental qu’ils sont sommés de satisfaire ou de telle ou telle préférence personnelle recherchée par les adultes. Il est encore possible de contribuer à une prise de conscience, encore faut-il que chacun s’y mette : il est possible, par exemple, de commander gratuitement un petit livret explicatif sur le site www.pmagpa.fr. À chacun de le lire et de le donner ensuite à quelqu’un. C’est à la portée de tous ! Et offrir ne serait-ce qu’un seul livret à une seule personne sera plus efficace que des heures de lamentations !

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Youtube veut faire taire la Dissidence française

    Communiqué de la Dissidence Française 

    Le 14 août dernier, nous avons été informé de la suspension de notre chaîne YouTube. Sans avertissement préalable ni justification claire, YouTube a ainsi délibérément fait le choix de censurer la chaîne officielle de la Dissidence Française qui comptait plusieurs milliers d’abonnés et des dizaines de vidéos auxquelles nous n’avons désormais plus accès.

    Les motifs invoqués par YouTube pour justifier cette décision sont flous et mensongers : en aucun cas la Dissidence Française n’a publié un contenu qui « encourage ou glorifie la violence ou la haine contre une personne ou un groupe de personnes ». D’ailleurs, notre organisation n’a jamais fait l’objet de poursuites ou de condamnations pour ces faits, ni pour aucun autre.

    Ces dérives témoignent des ingérences de plus en plus nombreuses des multinationales étrangères dans la vie politique des États souverains. Il s’agit donc là d’atteintes graves aux libertés constitutionnelles d’expression et d’opinion.

    En effet, au nom de quoi une entreprise privée – a fortiori une entreprise étrangère – s’arroge-t-elle le droit de décider si un parti politique français officiel et déclaré, qui représente plusieurs milliers d’électeurs et siège au sein d’assemblées locales, a le droit de s’exprimer ou non ? Au nom de quoi une entreprise privée s’arroge-t-elle le droit de mettre une oeuvre une discrimination pour des motifs politiques, et faire ainsi le choix de favoriser un courant d’idée plutôt qu’un autre ?

    La décision de YouTube est inique, mais elle est aussi illégale à plusieurs titres :

    • Les dispositions légales relatives au financement des partis politiques indiquent clairement qu’une entreprise privée n’a pas le droit d’intervenir dans le financement d’un parti politique ou d’une campagne électorale, soit directement soit en nature (Art. 11-4 de la loi du 11 mars 1988). Or, en empêchant la Dissidence Française d’utiliser sa plate-forme, YouTube favorise de fait l’audience des autres partis politiques, ce qui s’apparente un financement illégal de partis politiques.
    • L’article 225-1 du Code Pénal, régissant les relations entre personnes morales, précise qu’une entreprise n’a pas le droit d’opérer une discrimination sur le fondement des opinions ou orientations politiques.

    Nous avons fait appel de cette suspension, et n’avons reçu pour le moment aucune réponse de la part de YouTube. En l’absence de réponse et conformément à la Loi, la Dissidence Française se réserve donc le droit d’ester en justice et de poursuivre YouTube au titre des articles pré-cités.

    Nous appelons tous nos militants et sympathisants, et de manière générale tous les Français attachés à la liberté d’expression et au pluralisme démocratique, à nous soutenir en signant la pétition que nous avons mis en ligne

    Afin de nous prémunir contre d’autres tentatives de déstabilisation et de censure, nous vous invitons également à nous suivre sur Telegram et à vous inscrire à notre newsletter.

    On ne lâche rien !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/08/21/youtube-veut-faire-taire-la-dissidence-francaise-6171177.html

  • Donald Trump souhaite que la détention des mineurs migrants soit illimitée dans le temps

    Donald Trump Onu

    Le président américain Donald Trump veut s’attaquer à une décision judiciaire dite “loi Flores” : les mineurs qui passent la frontière des États-Unis pourraient être mis en détention pour une durée illimitée.

    https://fr.novopress.info/