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anti-national - Page 449

  • Salon de l’Agriculture : la prolongation du grand débat macronien ? – Journal du 25 février 2019

     
     

    Salon de l’Agriculture : la prolongation du grand débat ?

    Comme chaque année, le salon de l’agriculture draine l’essentiel du paysage politique. Dans la lignée du grand débat, Emmanuel Macron s’est prêté à un véritable marathon avec une visite de 14 heures.

    Gilets Jaunes : un acte XV qui tient toujours

    Après une semaine médiatique compliquée, les gilets jaunes ont de nouveau battu le pavé, samedi. Malgré la pluie de critiques, l’acte XV a rassemblé plus de monde et prouve que la motivation reste intacte.

    Venezuela : la guerre des images

    De violents affrontements ont éclaté samedi aux frontières brésilienne et colombienne. En cause l’arrivée de camions humanitaires à destination du Venezuela… un chao entretenu par l’opposant Juan Guaido, plus que jamais soutenu par Washington.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/salon-de-lagriculture-la-prolongation-du-grand-debat-macronien-journal-du-25-fevrier-2019

  • Pacte de Marrakech. Libération reconnaît le rôle de lanceur d’alerte de Polémia

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    Par André Posokhow, consultant ♦ Sur le thème des migrations, le parti immigrationniste a dénoncé la fake news du « délire anti-immigrationniste qui a suivi la signature de l’accord non contraignant par Macron » du pacte de Marrakech. C’est en référence à une investigation d’une agence Netscouade que, dans un article du 14 février dernier, fidèle au tropisme flicard et coercitif de la gauchosphère, Libération journal subventionné par l’Etat, dont un actionnaire de référence est le milliardaire israëlien Drahi, et le directeur de rédaction Laurent Joffrin, s’est livré à une entreprise de mouchardage.

    Netscouade, en effet, a entrepris de reconstituer le trajet des réactions de la droite à ce pacte, qualifiées de fake news. Son point de départ serait un article d’avril 2018, publié dans Polémia et l’aboutissement dans les échanges Facebook et vidéo des gilets jaunes et de leurs leaders.

    Bien entendu, nous sommes flattés qu’une telle réussite soit involontairement soulignée par le camp du bien. En revanche, comme nous allons le voir, la bobardisation de Libé consiste à fermer les yeux sur le contenu du pacte et en occulter les réalités.

    Les déficiences de l’article de Libération

    Libération se plaint que la fake news ait capté l’attention des gilets jaunes, ceux-ci s’informant sur les réseaux sociaux et rejetant les médias traditionnels. L’explication est que ceux-ci sont en réalité subventionnés, à la botte du politiquement correct et de l’immigrationnisme. Rappelons que seulement 25% des Français leur font confiance. Belle réussite !

    L’article donne l’impression d’une action de désinformation organisée, concertée et relayée par la « droite extrême ». Inutile d’imaginer un complot. Tout simplement il s’agit d’une réaction de révolte à l’encontre d’une décision autocratique d’un imposteur illégitime et contesté. Cette décision présente un risque vital pour notre pays mais n’a fait l’objet d’aucun débat même parlementaire contrairement à de nombreux autres pays.
    Sans la réinfosphère, le pacte de Marrakech aurait été ignoré jusqu’au jour de sa signature à l’image du traité d’Aix-la-Chapelle. Ce sont des actes diplomatiques fondamentaux dont le processus en France a été quasi clandestin.

    Libération oublie de préciser que de nombreux pays ont refusé de signer ce traité : USA, Australie, Israël, Pologne, Hongrie, Autriche. Excusez du peu. Quant à la Belgique citée par le journal, celui-ci s’abstient de rappeler que le gouvernement de C.Michel est tombé sur cette question.

    Quant à la droite extrême qui fait gémir Libération, il faut rappeler les prises de positions énergiques sur ce pacte des Ciotti, Wauquiez et Dupont-Aignan qu’il est difficile de confondre avec des brutes fascistes.

    L’article cite Polémia à deux reprises : un article en avril 2018 et une reprise de video le 29 novembre (?). Si l’on cite des dates soyons précis. En réalité il y a eu dans Polémia – qui a joué avec d’autres sites comme Réinformation TV – un rôle de lanceur d’alerte, deux articles au mois d’avril et quatre autres articles jusqu’au mois de décembre pour finir avec un article de Karl Hubert le 20 décembre dernier. Celui-ci a souligné le rôle de Louise Harbour , successeur de Peter Sutherland, et ancienne présidente de l’International Crisis Group, ONG financée notamment par l’Open Society Institute de Soros. Pouvait-on compter sur Libération pour présenter les informations contenues dans ces articles ?

    Liste des articles publiés par Polémia sur le texte catastrophique qu’est le Pacte de Marrakech :

    Quant à Jean-Yves Le Gallou, il a d’autres titres que d’être ancien frontiste, notamment d’être l’organisateur des Bobards d’Or auxquels Tristan Bertelot, auteur de l’article, est cordialement invité. Polémia serait enchanté de faire sa connaissance. Mais Libé est littéralement obsédé par l’ex Front.

    Lire la suite sur Polémia

  • Acte XV des Gilets jaunes : l’AFP reconnaît une participation en hausse

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     FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Ils étaient 46.000 dans toutes la France, selon les chiffres bien incertains du ministère de l’Intérieur. Et si la plupart des grandes villes de province étaient mobilisées, la palme revient à la ville d’Alain Juppé avec une participation record d’au moins 4000 personnes.

    Peut-on dire que le mouvement se soit assagi samedi dernier, comme l’a laissé sous-entendre le ministre Christophe Castaner ?

    Pas vraiment, la fin de la manifestation a été émaillée de heurts avec les forces de police, notamment au Trocadéro où des pavés ont été enlevés pour être utilisés comme projectiles. La police a répliqué avec des gaz lacrymogènes et des grenades de désencerclement. On dénombre plusieurs blessés dont un « street medic ». A Clermont-Ferrand, des casseurs ont tenté de retirer des planches de protection en bois pour piller des magasins, et à Paris, un policier de la BAC a été surpris en train de viser des manifestants à la tête.

    Et comme chaque samedi, les gardes à vue se sont multipliées ?

    Oui notamment celle de Julien Terrier, porte-parole des Gilets jaunes à Grenoble, pour avoir lancé une opération de péage gratuit sur une autoroute. Mais le phénomène le plus marquant aura été le pique-nique citoyen sur les pelouses du château de Chambord, là où Emmanuel Macron avait fêté son quarantième anniversaire en décembre 2017. Priscillia Ludosky était présente, aux côtés de Charles-Emmanuel de Bourbon Parme, descendant de Louis XIV. Après avoir dénoncé l’enfer fiscal français, il a déclaré que « les Gilets jaunes aiment la France, aiment leur histoire sans être les pillards que nous voyons dans nos villes ».

    https://fr.novopress.info/

  • Menace de dissolution du Bastion social. : Bruno Gollnisch réagit

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    Un communiqué de Bruno Gollnisch :

    Emmanuel Macron était hier soir au très décrié dîner du Crif comme de nombreux membres du gouvernement et de la classe politique, à l’exception de représentants du RN et de LFI. Dans son discours, le président de la république a dit avoir demandé « au ministre de l’Intérieur d’engager des procédures visant à dissoudre des associations ou groupements qui par leur comportement nourrissent la haine, promeuvent la discrimination ou appellent à l’action violente. » Il a notamment cité le cas du Bastion social, dont les antifas et l’ensemble de l’extrême gauche réclamaient violemment la dissolution depuis plusieurs mois. Au nombre des autres annonces, M. Macron a précisé que Laëtitia Avia (LREM) allait déposer une proposition de loi pour lutter contre la haine sur internet « dès le mois de mai », et le lancement par le gouvernement d’un « audit des établissements scolaires touchés par la déscolarisation des enfants de confession juive »… dans les quartiers à forte population musulmane, ce qu’il n’a pas précisé. Le chef de l’Etat était, il y a encore quelques jours, défavorable à toute pénalisation de l’antisionisme, comme cela était proposée notamment par le député LREM Sylvain Maillard. Mais il a semblé moins catégorique hier soir. Comme le rapporte encore Le Figaro, et comme le lui avait expressément demandé le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, « La France (…) avec ses partenaires européens, mettra en œuvre la définition de l’antisémitisme adoptée par l’Alliance internationale pour la mémoire de la Shoah (IHRA) (qui intègre l’antisionisme, NDLR), a-t-il dit, martelant que l’antisionisme est une des formes modernes de l’antisémitisme ». Soit la reprise de la formule qui fut la sienne lors 75e anniversaire de la rafle du Vél d’Hiv en juillet 2017.

    Le président de la République a affirmé que nous assistons à « une résurgence de l’antisémitisme sans doute inédite depuis la Seconde Guerre mondiale. » « À nouveau, depuis plusieurs années, l’antisémitisme tue en France ». Il s’est cependant bien gardé d’évoquer, nous l’avons dit, même de manière allusive, les conséquences désastreuses pour la France de la folle politique migratoire imposée aux Français depuis quarante ans… avec le plein accord et les encouragements du Crif. Manuel Valls sur la même longueur d’onde que M. Macron, revenu spécialement de Barcelone pour assister au raout du Crif, ne disait pas autre chose ce matin sur RTL. Tout juste a-t-il ajouté qu’il aurait fallu interdire des manifestations de Gilets jaunes : « Il fallait frapper fort et dur dès le début. Oui, il aurait fallu interdire des manifestations », « la foule n’a pas toujours raison ».

    Non la raison est bien sûr du côté de cette Caste et de ses phares de la pensée. Il est bien difficile d’établir des différences de fond entre la gauche et la droite européistes, c’est pourquoi une Marlène Schiappa est toujours utile à agiter pour persuader le bobos, les minorités,  que la nouvelle gauche macroniste  est sur les questions sociétales plus avancée sur le chemin du progrès et du bien que M. Wauquiez ou Mme Pécresse. La secrétaire d’État chargé du droit des femmes s’est employée dans les colonnes de Valeurs actuelles, puis sur RTL à amalgamer, tout en s’en défendant mollement en même temps, islamistes et défenseurs de la famille. « Il y a des slogans de la Manif pour tousqui sont lancés dans les banlieues » a-t-elle affirmé, « les slogans et l’agressivité de la Manif pour tous ont nourri la recrudescence de violences homophobes : +64% l’année dernière. » « Je ne mets pas sur le même plan la Manif pour tous et les terroristes islamistes, mais je souligne l’existence d’une convergence idéologique. »

    Dans la même veine, Mme Schiappa, évoquant « une explosion des actes antisémites, mais aussi homophobes », affirme qu’il existe « une alliance entre les gens d’extrême droite et les islamistes qui s’unissent de fait dans ce combat », « de nouvelles alliances contre le droit des femmes entre groupes identitaires, d’extrême droite, et d’autre part les intégristes religieux. Ils se retrouvent dans leur lutte contre le droit des femmes à disposer de leur corps. » En tenant ce genre de propos provocateurs avec l’accord ou sous la dictée des communicants de l’Elysée, Marlène Schiappa se conforme au rôle d’écran de fumée et de chiffon rouge qui lui est assigné au sein du gouvernement. Pendant qu’on parle de ses dernières énormités, voire de l’affaire Benalla, reléve Bruno Gollnisch, on ne parle pas de sujets autrement plus graves, du chômage, de la désindustrialisation, des abandons de souveraineté, des trahisons en cascade de l’intérêt national.

    Exemple parmi d’autres, mais particulièrement emblématique, Pierre Jovanovic évoquait la semaine dernière sur TVL le cas de la liquidation de l’imprimerie Arjowiggins de Jouy-sur-Morin (Seine-et-Marne), en dépit des fausses promesses de Bruno Lemaire. 240 salariés se retrouvent sur le carreau. Une imprimerie pourtant héritière d’un savoir-faire vieux de plus de quatre siècles, qui fabriquait les billets de banque de plusieurs états étrangers mais aussi et surtout, domaine hautement sensible et stratégique, nos cartes grises et nos passeports, dont l’impression sera désormais assurée à l’étranger. Une imprimerie, relevait aussi M. Jovanovic, qui était aussi, demain, en capacité d’imprimer nos nouveaux francs si telle était la décision d’une majorité des électeurs français, ou, en cas d’implosion, de disparition de l’euro, ce qui n’est pas une hypothèse totalement farfelue…

    La question qui se pose, et qu’énonce clairement Marion Maréchal dans un éditorial publié sur le site de l’ISSEP, est bien celle « d’un pouvoir devenu totalement illégitime », illégitimité dont la conséquence réside dans la crise politique illustrée par le mouvement des Gilets Jaunes. « Nous avons aujourd’hui le président le plus mal élu de la Ve République, une majorité parlementaire obtenue avec moins de 50% de participation. Nos députés sont moins représentatifs que nos conseillers régionaux élus en 2015 ! L’abstention atteint des records. Ce déficit de représentativité n’est pas nouveau mais atteint son apogée sous la Macronie. » « Le régime et la pratique institutionnelle de la Ve République des années 2000, poursuit-elle, ont favorisé un régime hybride que nous pourrions qualifier d’oligarchie dissimulée. Le jeu électoral a permis la sur-représentation de certains groupes sociaux dans les assemblées, organisé l’alternance des partis traditionnels, marginalisé de grands partis d’opposition, effacé le vote blanc. Si l’on ajoute à cela le décalage entre les programmes de campagne et les actions menées au gouvernement, ce système a assuré la continuité idéologique d’un pouvoir qui pour changer de visage ne changeait jamais de doctrine. » 

    Une « démocratie hypocrite » mais aussi sans scrupules : récupérations communautaires, mensonges, amalgames malsains, grotesques leçons de morale et de maintien, soumission au parti de l’étranger… Ce gouvernement ne recule devant rien pour tenter de sauver le soldat Macron. Mais même avec l’aide des réseaux puissants qui l’ont amené au pouvoir, comment pourra-t-il appliquer la feuille de route bruxelloise jusqu’en 2022, quand bien même la technostructure euromondialiste resterait aux manettes après les élections européennes ? Certes, si la liste LREM /MoDem  se hisse en tète dans les urnes en mai prochain, cette victoire symbolique lui donnera une bouffée d’oxygène. Elle n’effacera pas pour autant  ce constat factuel qui veut qu’une très large majorité de Français est profondément hostile non seulement à la  personne de M. Macron, mais surtout et c’est le plus important, aux orientations idéologiques  qui sont les siennes.

    Source MPI cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/02/24/menace-de-dissolution-du-bastion-social-bruno-gollnisch-reag-6131188.html

  • Macron ou l’imposture présidentielle (Jean-Michel Vernochet)

    Jean-Michel Vernochet revient sur différents aspects d’Emmanuel Macron.

  • Si Marlène Schiappa veut le dialogue, pourquoi refuse-t-elle de rencontrer La Manif Pour Tous ?

    Si Marlène Schiappa veut le dialogue, pourquoi refuse-t-elle de rencontrer La Manif Pour Tous ?

    La Manif Pour Tous prend acte des excuses de Marlène Schiappa :

    La secrétaire d’Etat à l’Egalité entre les femmes et les hommes Marlène Schiappa a évoqué mercredi dernier dans une interview à Valeurs Actuelles “l’existence d’une convergence idéologique” entre la Manif pour tous et “les terroristes islamistes”. Inqualifiables, ses propos ont suscité une vive émotion et un tollé unanime dans l‘opinion publique.

    3 jours après la publication de cette interview, Marlène Schiappa vient de « présenter ses excuses à toutes les personnes qui auraient pu se sentir sincèrement blessées ». Elle indique que son « but en politique n’est jamais de blesser qui que ce soit mais de débattre des idées. »

    Ses excuses doivent donc s’accompagner d’une véritable ouverture nouvelle au dialogue. Bien souvent, linsulte ou le rejet procèdent de lignorance ou de la méconnaissance. La Manif Pour Tous a toujours tendu la main au dialogue, sollicitant une rencontre avec Marlène Schiappa. Elle renouvelle aujourd’hui cette invitation au dialogue avec la Secrétaire d‘Etat à l’Egalité entre les femmes et les hommesEn acceptant de rencontrer La Manif Pour Tous et de parler en vérité, Marlène Schiappa constaterait combien le mouvement social attaché à la famille na rien à voir avec les caricatures et les faux procès dont il est la cible régulière. La mobilisation et l’engagement de La Manif Pour Tous sont sincères et désintéressés ; ne serait-ce qu’à ce titre, elle mérite la considération du gouvernement.

    Si Marlène Schiappa connaissait La Manif Pour Tous et son travail de fond au service des familles, jamais elle n’aurait tenu de tels propos ni provoqué cette indignation unanimement partagée.

    https://www.lesalonbeige.fr/si-marlene-schiappa-veut-le-dialogue-pourquoi-refuse-t-elle-de-rencontrer-la-manif-pour-tous/

  • Gilets jaunes : après l’acte XV, le bilan, le dépôt de bilan, l’inventaire ?

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    L’acte XV des gilets jaunes a confirmé les intuitions d’un Lucien Paillet ou d’un Pierre Van Ommeslaeghe exprimées sur Boulevard Voltaire. Récupérés par l’extrême gauche, salis par des antifas violents et des radicalisés antisémites, ils se sont coupés de leur élan initial et du soutien des classes moyennes. Et ce ne sont pas les dernières déclarations d’un Maxime Nicolle sur le sionisme qui les sauveront. Damien Rieu pouvait tweeter, hier après-midi : « L’extrême gauche a totalement pris le contrôle des manifestations dans quasiment toutes les métropoles. » Pour l’extrême gauche, ce n’est guère glorieux : elle n’était pas là au départ et elle va tuer le mouvement. Les Français et les gilets jaunes authentiques devront en tirer les conséquences : le salut ne saurait venir de là, pour ceux qui ne le savaient pas encore.

    On en est donc à l’heure du bilan et de l’inventaire. Ce mouvement social long et inédit a révélé bien des choses insoupçonnées, non seulement de la société française, mais surtout du pouvoir.

    D’abord, on a vu que le pouvoir était prêt à aller très loin dans la répression. Ensuite, ce même pouvoir a usé de ficelles de propagande énormes. Enfin, il a eu peur. Emmanuel Macron peut, certes, reprendre sa comédie – ce qu’il a déjà commencé à faire avec sa tournée des maires -, mais, pour beaucoup de Français, ce mouvement des gilets jaunes a montré le pouvoir dans sa nudité, avec ses forces et ses faiblesses.

    Avec ce clap de fin, même si le mouvement peut se prolonger pendant quelques semaines, le pouvoir aurait tort de se croire tiré d’affaire. Le retour au jeu politique normal, dissipant les inquiétudes de l’opinion, pourrait remettre en selle l’opposition de droite, réinstaller les questions sur la stratégie économique du gouvernement et ses résultats. Or, à ce niveau, le pouvoir a laissé des plumes. La sortie d’une période d’inquiétude où l’on s’interrogeait, plus ou moins de bonne foi, sur la solidité des institutions va permettre aussi à ceux qui se serraient derrière le Président, par réflexe, de se montrer un peu plus libres, critiques et de lui demander des comptes. Pas certain que le soutien à Emmanuel Macron et à sa majorité s’en trouve raffermi. Le retour à la raison et au jeu démocratique a du bon.

    Comme après une bataille, les gilets jaunes – s’ils ont quelques stratèges – ou ceux qui rêvent d’influer sur le cours des choses doivent faire le bilan de cette campagne. À l’actif, ils ont montré qu’un mouvement n’est puissant que s’il est long, régulier (les samedis), décentralisé dans toute la France, visible sans être bloquant, de façon à recueillir le soutien de la population. Au passif, ils ont démontré que l’absence de revendications claires, de cadres et de réalisme politique n’étaient un atout qu’un temps.

    Leur échec, à ce niveau, est comparable à celui du Mouvement 5 étoiles en Italie, en perte de vitesse partout, alors que Matteo Salvini, avec son charisme personnel, sa ligne claire, ses objectifs définis et son réalisme politique, est en passe de hisser son parti à la première place de la vie politique du pays.

    Le mouvement des gilets jaunes ne restera pas sans conséquence politique.

    Frédéric Sirgant

    http://www.bvoltaire.fr/gilets-jaunes-apres-lacte-xv-le-bilan-le-depot-de-bilan-linventaire/

  • Le coût de 40 000 migrants mineurs isolés aurait permis de sauver 40 000 paysans

    Capture.pngÀ l’heure où s’ouvre le Salon de l’agriculture, à la fois la plus grande ferme de France et  la manifestation la plus fréquentée par les politiques, faisons un tour d’horizon du monde paysan, auquel 85 % des Français sont très attachés.
    4 000 animaux et 360 races seront présentés par 1 050 exposants. (Figaro)
    Pendant cette 56e fête de l’agriculture, on va célébrer l’excellence de l’élevage français et faire l’éloge d’un savoir-faire unique au monde. Une réputation largement méritée.
    Les plus belles stars de nos élevages vont être bichonnées, lustrées, brossées comme un sou neuf, telles des mannequins de haute couture, pour se pavaner devant le public et les photographes. La star du salon, c’est « Imminence ».
    Dans chaque stand, chacun pourra goûter ce qui se fait de meilleur comme produits du terroir pour satisfaire son palais. Éleveurs, maraîchers, céréaliers, vignerons, tous passionnés par leur métier, feront honneur à la réputation de notre production agroalimentaire.
    Les Français aiment leurs agriculteurs. Ils les jugent sympathiques, passionnés, courageux et surtout utiles.
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    En effet, un paysan nourrit 60 personnes en 2019, contre 15 il y a 40 ans.
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    Le nombre d’exploitations s’est effondré. Le secteur agricole ne représente plus que 3,6 % de la population active.
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    Il reste 474 000 exploitations générant un chiffre d’affaires de 75 milliards d’euros.
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    Pour la 3e année consécutive, le modèle agricole français a été promu « le plus durable au monde » par The Economist, loin devant l’Espagne (19e) ou les USA (26e).
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    Mais au-delà de cette belle fête, à laquelle participeront les principales figures politiques, et au-delà des beaux discours, des éloges et des sourires de circonstance, c’est un monde en grande difficulté que ce monde rural, soumis à une concurrence mondiale et une réglementation européenne toujours plus dures.
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    Quand nos paysans produisent et vendent à perte, parce que les intermédiaires et la grande distribution sont toujours plus voraces, quand les prix au consommateur ne tiennent aucun compte des prix à la production, il ne faut pas s’étonner de la grande détresse qui gagne nos campagnes.
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    Selon la Mutuelle agricole, 40 % de nos paysans gagnent moins de 360 euros par mois.
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    En 10 ans, un tiers des exploitations a disparu.
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    Un agriculteur se suicide tous les deux jours dans l’indifférence générale, incapable de faire face à ses échéances de crédit.
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    25 000 agriculteurs sont en situation de quasi-faillite.
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    Les emprunts contractés pour les mises aux normes environnementales et sanitaires, exigées par Bruxelles, les ruinent et les pénalisent sur le marché mondial, où règne une concurrence déloyale.
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    Nos paysans sont aussi accusés injustement de pollution ou de maltraitance envers les animaux par des ayatollahs de l’écologie ou de la condition animale.
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    Il font face au véganisme et à un agribashing permanent qui n’arrangent rien.
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    Quant à la solitude qui les frappe, c’est un véritable fléau qui les mine. 25 % d’entre eux sont célibataires, soit le double de la moyenne nationale.
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    Dans son discours devant de jeunes agriculteurs européens, Emmanuel Macron veut « réinventer la Pac ».
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    Emmanuel Macron‏Compte certifié @EmmanuelMacron
    « Le danger pour notre agriculture n’est pas la concurrence des fruits espagnols. C’est le fait que notre bétail soit nourri au soja OGM importé et que le prix de nos volailles en dépende. Le danger n’est pas en Europe mais dans notre dépendance à l’égard d’autres puissances. »
    Du vent que tout cela. Jamais la Pac ne sauvera nos paysans. Elle est insuffisante. Le carcan des règles imposées par l’UE les asphyxie.
    Avec Macron, nos paysans doivent se contenter de promesses sans lendemain. Tout part dans l’accueil des migrants pour lesquels rien n’est trop beau.
    Le coût des 40 000 mineurs isoles accueillis en 2018, plus de 2 milliards, aurait permis de sauver 40 000 paysans en difficulté, en leur accordant une aide 50 000 euros chacun !
    Combien de suicides évités si des dizaines de milliards n’étaient pas engloutis chaque année dans une immigration de miséreux incultes, totalement inutiles à une économie numérique ?
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    Il en arrive 400 par jour dans la clandestinité, allant s’entasser dans les bidonvilles qui fleurissent partout et détruisent le quotidien des riverains.
    Sans parler de l’immigration légale qui explose chaque année en distribuant les visas sans compter.
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    Macron espère redresser la France en 3 ans. Il va la couler définitivement au nom du vivre-ensemble.
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    Jacques Guillemain pour ripostelaique.com

  • Allemagne : des policiers berlinois coopèrent avec des clans criminels arabes

    « Nous supposons qu’au moins six collègues, si ce n’est pas plus d’une dizaine, ont et maintiendront continuellement des liens d’informations avec le milieu des clans criminels arabes« , a déclaré Thomas Wüppesahl, lui-même détective et porte-parole de l’Association fédérale des policiers critiques.

    Jusqu’à présent, la lutte contre la criminalité clanique s’était principalement concentrée sur les grandes familles arabes. À la mi-janvier, la police a notamment arrêté les frères Arafat et Yasser Abou-Chaker. Ils sont soupçonnés d’avoir projeté l’enlèvement des enfants du rappeur Bushido. Il est toutefois très difficile pour les enquêteurs de connaître les structures et l’organisation internes de ces clans et il est presque impossible d’y infiltrer des enquêteurs.

    Un autre problème a été identifié: des policiers de Berlin sont manifestement en contact avec les membres des clans familiaux arabes et ils leur fournissent des informations.

    En effet, les relations familiales sont "plus importantes que celles de l’État de droit". Cela vaut également pour de nombreux "Allemands de souche", a déclaré M. Wüppesahl. Les policiers en question n’ont heureusement pas toujours un accès immédiat à l’information qui pourrait être importante pour eux. «Toutes les fouilles, descentes ou arrestations ne sont pas révélées à l’avance.»

    Dans l’ensemble, Wüppesahl est très critique à l’égard de la police de Berlin. Lui-même a été policier pendant 30 ans et parle de "transformation profonde", dûe à la formation et à la sélection du personnel. A Berlin, le niveau de recrutement aurait été considérablement réduit. «Beaucoup de ceux qui suivent actuellement une formation de policier n’auraient jamais été acceptés il y a 20 ou 30 ans de cela.»

    Welt

    Merci à Nick

    http://www.fdesouche.com/1164651-allemagne-des-policiers-de-berlin-cooperent-avec-des-clans-criminels-arabes
  • "Ils" veulent dissoudre le Bastion social... Sommes-nous chez les fous...

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    Un communiqué de Thomas Joly

    Secrétaire général du Parti de la France

    Parfois, on se demande si on n’est pas chez les fous. Mercredi soir, au dîner du CRIF, Emmanuel Macron évoquait « une résurgence de l’antisémitisme sans doute inédite depuis la Seconde Guerre mondiale ». S’il le dit. La veille, Gilles-William Goldnadel déclarait : « Depuis 1945, toute goutte de sang juif qui a coulé en France vient de l’islamisme, personne d’autre », et l’avant-veille, la journaliste Judith Waintraub soulignait qu’« aujourd’hui, l’antisémitisme qui tue et qui a tué depuis 2003, ce sont des crimes qui ont été perpétrés par des arabo-musulmans, ce n’est pas l’extrême droite ».

    Alors, sans doute un peu naïf, on imagine qu’Ils vont taper un grand coup. Par exemple, fermer quelques salles de prière où l’on prêche – pas en latin – la haine de la France, des croisés, des juifs, expulser quelques imams étrangers. Mais non, pas du tout. Le Président annonce qu’il a demandé au ministre de l’Intérieur d’engager la procédure pour dissoudre trois groupuscules d’extrême droite, dont le Bastion social. « Une annonce d’opportunité », affirme Mediapart, révélant que la décision était dans les tuyaux du ministère de l’Intérieur depuis plus de deux mois. Dans opportunité, il y a opportunisme, que voulez-vous… Et, toujours selon Mediapart, le motif de dissolution du Bastion social ne serait pas l’antisémitisme mais son incitation à la constitution d’un groupe armé...

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/02/23/sommes-nous-chez-les-fous-6130980.html