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anti-national - Page 532

  • Les gilets jaunes ont déjà gagné car ils ont rendu leur fierté à la France !

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    Ils ont gagné parce qu’ils ont rendu leur fierté à la France.
    Ils ont gagné parce qu’ils prouvent qu’on avait tort de désespérer du peuple.
    Ils ont gagné parce que tout redevient possible et qu’ils nous rendent foi et espoir.

    Ils ont déchiré le voile de la duplicité du pouvoir et de ses affidés : l’indigence des gouvernants, la non-représentativité coupable des intermédiaires sociaux, la futilité des pseudo-« élites », retranchées dans leurs alcôves, se terrant, marginalisées, mais se rendant enfin compte qu’elles sont nues, que leurs discours, pétitions, marches blanches ou violettes ne sont que du vent qui souffle bien au-dessus du pays réel.

    Ils ont gagné parce qu’ils sont soutenus par 80 % du pays réel, et non 18 % comme Macron, et qu’ils ont mis au jour les dessous du système. Les appareils syndicaux sont à la ramasse, juchés sur leurs avantages acquis, voyant passer les immenses cortèges porteurs des revendications qu’ils n’ont pas su porter, et sont réduits à compter sur le système pour les réintroduire dans un deuxième tour de rattrapage pour partenaires sociaux « présentables », à défaut d’être représentatifs.

    Ils ont gagné car l’indigence des dirigeants ne peut plus être masquée. Je ne m’appesantis pas, ici, sur les bassesses des Damartin, Griveaux et autres comparses, ni sur ceux qui pointent aux abonnés absents, ni sur le surnuméraire de Beauvau, réduit à mentir, toujours davantage mentir, sur le nombre des manifestants, la sincérité de la colère, le profil des casseurs… Ni sur ce Macron de pacotille, inconscient de l’abîme de ses délires.

    Tant de bassesses, d’incompétence, tant de morgue plombent définitivement leurs auteurs, désormais acculés.

    Ils ont gagné parce que les autres piliers de l’ancien régime, PS-PC-Verts-Centristes-LR…, qui ont permis aux actuels liquidateurs d’accomplir leurs forfaits en les portant au pouvoir, savent désormais que jouer au Bisounours a un prix. Et qu’ils sont coreponsables du désastre actuel.

    Ils ont gagné parce que Ludovine de La Rochère ici-même, à qui l’on doit la précédente marée humaine, y a vu des convergences.

    Mais, quoi qu’il en soit de ce que le pouvoir pourrait concéder, les gilets jaunes auront complètement gagné s’ils sont capables de transformer l’essai en favorisant le rassemblement de ce qu’il reste, dans ce pays, de forces républicaines, soucieuses de l’intérêt du peuple. Il leur faudra un gigantesque effort de lucidité pour sublimer l’enthousiasme en perspective opérationnelle, c’est-à-dire politique. Qu’ils y prennent toute leur place.

    Tous pourris ? Vraiment ? Ceux qui les ont soutenus dès l’origine ne l’ont pas fait par opportunité. Le peuple des gilets jaunes n’a pas brandi le drapeau de la République comme un gadget, mais pour manifester la conviction que c’est bien sur les valeurs fondamentales de la patrie, qui régissent notre volonté de « vivre ensemble », qu’il faut s’arc-bouter pour en sortir. Cette juste conviction est partagée. Ils ne sont pas seuls.

    Je ne doute pas que c’est la compréhension de cette deuxième partie de l’enjeu qui les fera définitivement gagner !

    Gérard Bailliet

    http://www.bvoltaire.fr/les-gilets-jaunes-ont-deja-gagne-car-ils-ont-rendu-leur-fierte-a-la-france/

  • Merkel, Macron et le pacte migratoire

    6a00d8341c715453ef022ad37dce57200c-320wi.jpgCourant décembre, trois réunions vont orienter la politique de l'Union européenne et conditionner son avenir.

    La conférence dite COP24 se tiendra à Katowice en Pologne. Elle prétendra trancher sur le climat. Elle préoccupe certes notre président préféré et les stratèges politiciens parisiens[1].

    Or nos grands habiles ne sauraient ignorer que deux échéances plus importantes et probablement plus explosives attendent les Européens. On y débattra, en deux temps, du projet tout à fait délirant d'un pacte mondial migratoire. IL consiste à imposer, à quelques pays cibles, considérés comme importateurs de main-d’œuvre, d'accueillir la misère du reste du monde.

    Chaque jour ce dossier s'aggrave. Et, dans certaines nations développées, un conformisme idéologique de plus en plus intolérant proclame une réponse que l'on qualifiera de complaisante.

    Rappelons avant tout que, si le projet onusien apparaît en surface comme ratifié par 190 États, bien peu nombreux se trouvent les pays d'accueil en capacité, en désir ou en capitulation devant l'application du principe.

    Or, le pacte doit être entériné à Marrakech les 10 et 11 décembre. Il doit cependant être dénoncé comme totalement faux de limiter les réticences à deux ou trois mauvais coucheurs. En mettant seulement en avant, le 27 novembre, les craintes de l'Autriche et de la Hongrie, Le Monde reste fidèle à ses habitudes. Il rappelle, mais de façon subliminale, leur défaite en 1918 et le démantèlement de l'Europe centrale.

    Et, certes les discours d'une Merkel, de l'actuelle commission Juncker à Bruxelles, de Macron en France, d'un Trudeau au Canada vont hélas dans le sens du projet et de sa moraline hypocrite.

    Au contraire, les grands pays du monde, dans les faits, ne se préparent pas à accueillir la vague migratoire qui en résulte, et qui se révélerait un tsunami. Les soi-disant experts onusiens manifestent au moins le mérite de nous en révéler la dimension. Leur chiffrage ne se limite pas aux 25 millions de réfugiés vrais ou faux. Il atteint actuellement une projection 9 (neuf) fois plus large soit 225 millions de « chances » pour leurs pays, offertes essentiellement à 400 millions d'Européens et aux Canadiens. Ce chiffre pour commencer…

    Notons qu’ailleurs personne ne s'y consent.

    Ne parlons même pas des pays musulmans riches : les pays du Golfe ou l'Arabie saoudite manifestent une compassion bien limitée envers leurs frères islamiques pauvres.

    Les États-Unis, où les bien-pensants feignent de rappeler qu'ils ont été peuplés d'immigrants, les refoulent activement à la frontière du Mexique. Mais ni la Chine, ni le Japon, ni la Russie, le plus vaste espace sous-peuplé du monde ne leur ouvre vraiment les bras. N'oublions pas que la raison principale de la victoire du Brexit en Angleterre en 2016 vient de ce dossier. L’immense Australie les rejette à la mer : ils n’y viennent plus.

    Le 28 novembre il se confirme que deux pays comme l'Italie[2] ou la Belle Province du Québec[3] se rallient à une opposition significative.

    Et, deux jours avant la conférence de Marrakech des 10 et 11 décembre, en Allemagne, les 7 et 8 décembre, les 1000 délégués de la droite en débattront.

    Ce 21 novembre, au Bundestag, favorable au texte, la chancelière a encore cru pouvoir soutenir que "la question migratoire ne peut être abordée que dans un cadre international, et il ne faut pas croire qu’un pays peut à lui seul affronter cet enjeu".

    En face Jens Spahn, candidat à sa succession et opposant au projet a pu obtenir, le 26 octobre que le congrès se prononce sur le texte. Sa rivale Annegret Kramp-Karrenbauer, au contraire, s’est prononcée sans ambiguïté en faveur du pacte tout en ronchonnant contre la double nationalité, ce qui ne fait, à terme, qu'aggraver le problème.

    Ceci concerne en fait l'ensemble de l'Union européenne puisque son enjeu déterminera le premier et le plus puissant des États-Membres. Hors d'Allemagne l'Union CDU-CSU, est considérée en général comme la représentative de la partie conservatrice de l'opinion. Mais, attelage un peu étrange, elle est composée d'un parti implanté dans l'ensemble des Länder et d'un autre qui domine en Bavière, ceci pratiquement depuis les élections régionales de 1946. Sous l'étiquette chrétienne-sociale, cette CSU constitue sans doute l'une des principales forces authentiquement étiquetées à droite outre-Rhin. Elle ne manque pas de se présenter comme très proche de partis homologues dans l'espace germanique, l'Union du centre en Suisse alémanique et l'ÖVP, parti populaire en Autriche. Une forte résonance fonctionne aussi dans des pays de tradition habsbourgeoise et catholique comme la Hongrie, la Tchéquie, la Slovaquie, la Slovénie et même la Pologne.

    La CDU qui, elle aussi, a le plus souvent dominé les autres Länder cherche aujourd'hui à survivre aux deux grandes erreurs émotionnelles imposées au pays par la chancelière Merkel. Celle-ci, en 2011, avait prétendu rompre avec le modèle dit "multikulti" laissait certes un espace économique social libre à ceux qu'on appelait des Gästarbeiter, des travailleurs hôtes. Mais on ne leur accordant pas ou très difficilement la citoyenneté allemande. L'idée nouvelle consistait à leur imposer une assimilation, comparable à [l'ancien] modèle français, l'apprentissage de la langue allemande, etc. Les immigrés allaient devenir citoyens, et électeurs, beaucoup plus vite, et ceci pour des raisons analogues à celles de la Troisième république en France, ou dans le Bas Empire Romain : la dénatalité. Rappelons que la plupart de nos dirigeants, à commencer par celle qu'on appelle Mutti, n'on pas élevé d'enfants.

    En 2015, faute pratiquement impardonnable aux yeux de la majorité de ses compatriotes, la chancelière allait élargir le champ de cette politique en accueillant massivement les réfugié, son fameux "wir schaffen das" – "nous y parviendrons". Cette nouvelle politique n'a pas seulement produit de graves remises en cause dans le paysage politique de son pays, elle a engendré un déséquilibre et une crise d'identité dans toute l'Europe.

    JG Malliarakis  

    [1] cf. Chronique de L'Insolent du 28 novembre : "L'Écologisme dictatorial persiste dans son mépris"
    [2] cf. "Les députés italiens adoptent la loi anti-migrants souhaitée par Matteo Salvini"
    [3] cf. "Le Québec envisage de réduire l’immigration"

    https://www.insolent.fr/

  • QUE VONT FAIRE LES GILETS JAUNES ? REVENDICATIONS ? (IDÉES)

  • Le prix de l’électricité va augmenter en 2019 et 2020… car le nucléaire ne produit pas assez !

    Le prix de l’électricité va augmenter en 2019 et 2020… car le nucléaire ne produit pas assez !

    Encore une aberration conçue par les politiques qui nous gouvernent. Le coût  de l’électricité a augmenté de 35% en 10 ans et ce n’est pas fini. L’explication est hallucinante à l’heure où l’on veut réduire la part du nucléaire à 50% à l’horizon 2035. Tant pis, les gilets jaunes paieront :

    “La hausse envisagée est de + 2,3 % en 2019 et de + 3,3 % en 2020 selon le journal Aujourd’hui en France. La faute à l’obligation pour EDF de revendre une partie de sa production nucléaire à ses concurrents.

    A l’origine, la loi Nome votée en 2011, visait à éviter toute distorsion de concurrence entre EDF et les autres opérateurs du marché de l’électricité (Direct Energie, Engie, Leclerc, etc.) en les faisant bénéficier eux aussi de la “rente” du nucléaire. Comment ? En créant un prix de 42 €/mégawatheure fixé par les pouvoirs publics, quel que soit le cours de l’électricité sur le marché de gros. Ces opérateurs concurrents peuvent acheter chaque année un quart de la production française d’électricité pour leurs clients.

    Pour la première fois, le volume d’électricité demandé par les concurrents devrait excéder le volume offert. Sept ans après la loi, la production nucléaire ne répond plus à la demande de ces opérateurs et de leurs clients. Impossible, du coup, d’acheter à EDF suffisamment de mégawatts heure au prix de 42 €/MWh. Ils devraient alors se fournir en électricité à la fois avec ce tarif régulé mais aussi sur le marché classique de l’énergie. Le tarif réglementé d’EDF (“tarif bleu”), qui concerne 80 % de ses clients particuliers, pourrait lui aussi être ajusté.”

    https://www.lesalonbeige.fr/le-prix-de-lelectricite-va-augmenter-en-2019-et-2020-car-le-nucleaire-ne-produit-pas-assez/

  • Gilets jaunes : Non, sire Macron, ce n’est pas une révolte, c’est une révolution, par Francis Bergeron

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    Le président Macron a la tête bien faite. Il a un plan rationnel pour le redressement de la France, qui passe par des étapes précises : d’abord le retour dans le vert des comptes des entreprises. Nous y sommes à peu près. Puis la réforme de l’appareil d’Etat. Elle est annoncée, avec une réduction du nombre de fonctionnaires, et une simplification des procédures administratives. Cette étape sera atteinte à la fin de son quinquennat. Nous entrerons alors dans une troisième étape, qui correspondra à son second quinquennat : la marche vers le plein emploi, l’augmentation du pouvoir d’achat. Il est à craindre (pour lui) qu’il ne voie jamais cette troisième étape. Et même la deuxième étape est déjà en train de se gripper. L’exécutif est tellement affaibli que la macronie pourrait tomber dans l’apathie hollandaise. Mais rien n’exclut non plus que la tête de Macron ne finisse au bout d’une pique.

    Depuis deux siècles on berce notre imaginaire avec la colère du peuple, qui finit bien, quand elle se termine en révolution. La révolte est partie d’une fiscalité punitive sur les carburants, pénalisant d’abord ceux qui travaillent, ceux qui vivent en banlieue et en province, ceux qui se lèvent tôt, comme disait Sarkozy. Une fiscalité pour supporter aussi notre part de charges migratoires, le coût d’une transition énergétique, née de l’idéologie écologique, le coût d’un Etat obèse, les coûts de la Communauté européenne, et alors même que la croissance, dans le monde, se ralentit, et qu’à l’heure des comptes chacun découvre que son pouvoir d’achat a chuté ces dernières années.

    Pour éviter que la révolte ne se transforme en révolution, il faudrait que Macron baisse les pouces sur les carburants. Un Sarkozy, un Mitterrand, un Chirac, et même peut-être un Hollande, l’auraient compris, car ce sont des animaux politiques. Mais Macron ? Il n’en prend pas le chemin ? Tant pis pour lui. Car avec les Gilets jaunes, il est fort possible que nous assistions à un événement d’une portée inédite, qui pourrait bel et bien renverser la table.

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 27 novembre 2018

    https://fr.novopress.info/212797/gilets-jaunes-non-sire-macron-ce-nest-pas-une-revolte-cest-une-revolution-par-francis-bergeron/

  • J’étais avec 40 Gilets jaunes quand Macron a parlé : qu’est-ce qu’il a pris !

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    Pierre Cassen Riposte laïque cliquez ici

    Je n’avais pas prévu d’écrire ce texte. J’avais pensé en faire une vidéo. Et puis, rien ne marche comme je veux, ce jour. C’est une mauvaise série. Après la suppression de ma vidéo Shadoks qui m’a obligé à aller sur la chaîne 2 de Riposte Laïque, ce qui nous pénalise de milliers de connexions quotidiennes (les vidéos tournaient entre 10 000 et 15 000 par jour, nous sommes tombés entre 1 000 et 2 000), c’est mon téléphone portable qui me fait des misères. Cinq enregistrements interrompus par un message m’expliquant que je n’avais plus assez de mémoire. Et j’avais beau faire de la place, le message revenait tout le temps. Grrrr !

    Alors, Christine m’a filmé et j’ai mis la vidéo sur une chaîne. Mais pas la bonne ! Je craque, donc, et je vais vous raconter ce que j’ai à peu près dit sur la vidéo. Sauf que je vais en dire davantage et dépasser le temps que je m’impose (4 minutes) sur mon enregistrement quotidien.

    Ce matin, vers 11 heures, j’étais au milieu d’une quarantaine de Gilets Jaunes qui, tous les jours, sont présents à un carrefour d’une petite ville de province. Je précise, pour ne pas m’attribuer un rôle que je n’ai pas, que depuis le début du mouvement, je passe environ deux heures par jour, pas davantage, à cet endroit, ayant nombre d’autres questions militantes à assumer par ailleurs. Donc, Macron a commencé à parler. Un poste de radio diffusait son discours. Les copains attendaient simplement une chose : que le  président de la République leur annonce clairement combien ils allaient payer le litre de super, d’essence ou de gasoil le 1erjanvier puis le 1er février. C’était uniquement pour cela qu’ils étaient mobilisés, des heures durant, dans le froid et sous la pluie, depuis dix jours. C’était pour cela que la majorité des automobilistes et camionneurs les soutenaient en affichant un gilet jaune, en klaxonnant ou en donnant de l’argent ou de la nourriture. Ce que les journalistes ne signalent jamais, même si j’ai apprécié, comme Christine, d’avoir eu droit (sans que le journaliste de CNews ne  connaisse notre identité) à un reportage de quelques secondes, hier, dans le journal télévisé animé par Laurence Ferrari (au bout de 23 minutes) cliquez ici.

    Au bout de cinq minutes, pratiquement plus personne n’était à l’écoute. Spectaculaire et incroyable ! Les uns après les autres, les quarante Gilets jaunes s’étaient éloignés de la table en proférant, pour certains, des injures qu’il vaut mieux que les journalistes de BFM TV n’aient pas entendues, sinon on se prenait une campagne hostile pour homophobie.

    Ils croyaient qu’ils auraient affaire à un président de la République, ils eurent à subir un vulgaire conférencier de la Cop21, un propagandiste écologique, un fanatique de la prétendue transition énergétique. Un mec hors-sol…

    La conclusion de Macron était donc prévisible. Il fallait sauver la planète et protéger les Français des graves maladies imputées au diesel et autres énergies nuisibles. Et comme l’avenir de nos enfants était en jeu… Fini le nucléaire, grâce auquel, par une technologie française qui est la meilleure au monde, nos compatriotes ont l’électricité la moins chère du monde. Cinquante ans que les écolos nous prévoient un Tchernobyl français, toujours rien mais principe de précaution obligatoire. Place aux éoliennes et tant pis pour la beauté de nos paysages et pour notre porte-monnaie. Finies les voitures à essence et place aux voitures électriques, même si on ne sait pas quoi faire des batteries et s’il faut les recharger régulièrement. Fini l’individualisme de ces automobilistes français pauvres qui osent vouloir utiliser leur voiture pour eux seuls, au nom de leur liberté individuelle, place au covoiturage et, surtout, aux voitures électriques. Finies les chaudières au fuel, place au voltaïque ! Du soviétisme pur sucre proféré par des fanatiques utilisant l’alibi écologique pour faire gagner du fric aux petits copains écolos et mettre les Français au pas.

    Qu’est-ce qu’ils doivent se marrer, les Chinois et les Américains, quand ils voient Macron faire chier son peuple, foutre en l’air des secteurs entiers de notre industrie et de notre énergie, et tout cela pour rien, pour la propagande !

    En effet, c’est François Gervais, spécialiste des questions climatiques et des matières premières, qui lève le lièvre. Et ce qu’il nous dit en une phrase met à bas toute la propagande de Macron. Voilà un homme, déjà auteur de cinq ouvrages en la matière, qui nous dit que la France émettant 0,9 % de CO2 sur la planète, si nous arrivions (ce qu’il ne croit pas possible) à réduire nos émissions de 20 %, nous obtiendrions une baisse de température de 0,001 degré. Et pour un millième de degré, le fanatique écolo Macron veut imposer aux Français une révolution dans leur mode de vie, qu’il entend, bien sûr, leur faire payer, car si les Français ne la paient pas, qui la paiera ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • GILETS JAUNES: feu de paille ou révolution?

  • Budget 2019 : 4,5 milliards d’euros consacrés à l’immigration

    Budget 2019 : 4,5 milliards d’euros consacrés à l’immigration

    Après le budget consacré à l’Union européenne en hausse de 5,9%, voici une autre piste d’économie sur laquelle les gilets jaunes devraient réfléchir. Le budget 2019 consacré à l’immigration est en hausse avec un total de 4,5 milliards d’euros. Et Nadine Morano n’évoque pas dans cette vidéo le coût au quotidien de l’immigration non comptabilisé comme tel dans le budget (logements sociaux, éducation nationale, allocations familiales, population carcérale, délinquance, dégradations dans les banlieues etc…). Ce coût est estimé entre 24 et 164 milliards par an en fonction en fonction des sources et des méthodes. On pourra notamment lire cette étude d’André Posokhow qui date de 2013 et qui estimait le coût à 84 milliards.

    Vidéo intégrée
    Pierre Sautarel@FrDesouche

    Nadine Morano rappelle que si les Français sont matraqués fiscalement, Macron trouve des milliards pour l'immigration  

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  • Brigitte Bardot, Michel Polnareff : les deux nouveaux soutiens des gilets jaunes

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    Après une période d’hibernation précoce, la planète people semble s’éveiller à la cause des gilets jaunes. Gabrielle Cluzel évoquait ici même les trois premiers téméraires à s’être montrés quelque peu solidaires avec la détresse des bloqueurs de ronds-points, à savoir Franck Dubosc, Arnaud Ducret et Patrick Sébastien. Inventaire épuisant qui valut à Gabrielle un arrêt de travail de 24 heures. Mais, déjà, le boulot doit reprendre avec l’arrivée de Michel Polnareff, qui déclare : « Je suis très respectueux de leur cause. Je suis ça avec tristesse et frustration. » Et de quatre ! On avance à pas de géant.

    Hors compétition, Brigitte Bardot a posté une photo la montrant vêtue du fameux gilet ainsi que l’un des deux chiens présents à ses côté. Pouces en l’air, Brigitte ne tourne pas autour du pot. Elle en est. Le deuxième chien devrait se rallier d’un instant à l’autre… Sa maîtresse y travaille. Donc, quatre + Brigitte + le chien que nous pouvons considérer « people », compte tenu de sa promiscuité avec l’icône internationale : six ! Le reste de la troupe est en salle de réveil. Les Goldman, Kad Merad, Mimie Mathy, Patrick Bruel et autres piliers des Restos du cœur tentent d’émerger du coma. En attente météo de la direction du vent. Au-delà de 98 % des Français en accord avec la lutte, ils pourraient s’ébrouer. Dubosc l’a précisé dans son tweet : « J’en parle aux copains. » Un effet de spontanéité à retardement pourrait voir le jour… Nous ne sommes pas à l’abri d’un concert vers les années 2025.

    À tous les recalés de l’âge et du chômage / Les privés du gâteau, les exclus du partage / Si nous pensons à vous, c’est en fait égoïste / Demain, nos noms, peut-être, grossiront la liste.

    Les paroles de la chanson générique des « Enfoirés » résonnent dans le vide. Les privés du gâteau, les exclus du partage. À condition qu’ils ne fassent pas trop de bruit. « Surtout ne fâchons personne » est le mot d’ordre du show-biz. Dans sa chanson Lèche-bottes blues, Eddy Mitchell a résumé l’affaire par ces mots :

    J’aime les impôts, leur clairvoyance 
    Leurs multi-talents, leur polyvalence 
    Oui, j’les aime, j’les aime, j’aime, j’aime, j’aime 
    J’aime les visites des huissiers 
    Êtes-vous bien sûr de n’avoir rien oublié ? 
    Oh, oui, j’les aime, j’les aime, oh, j’aime, j’aime, j’aime 
    J’aime aussi ma maison d’disques 
    L’attachée de presse, la standardiste 
    Je les aime ! Oh oui, je les aime ! 
    Sans oublier ma petite SACEM
    Qui sait, ô combien, combien je l’aime
    J’en rajoute pas, j’en fais pas des tonnes 
    Mais j’espère surtout que je n’oublie personne 
    Lèche-bottes blues, je fais le lèche-bottes blues.

    Passer des bottes aux gilets demande du temps. À quand un concert au profit des gentils people en lutte contre l’anesthésie générale ?

    Dernière minute : Gilbert Montagné s’engage pour les gilets jaunes. Sept !

    Jany Leroy

  • Le Bastion social soutient la mobilisation populaire de samedi prochain

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    Communiqué du Bastion social :

    N'en déplaise aux énarques qui nous gouvernent, ni les tentatives d'instrumentalisation par de prétendues "délégations officielles des gilets jaunes" ne représentant rien ni personne d'autre que ceux qui les composent, ni les quelques miettes de festin jettées ne suffiront à apaiser la colère du peuple français et à enrayer le mouvement de protestation -ou plutôt de révolte- en cours comme elles suffisent généralement à stopper les mobilisations encadrées par des organisations syndicales à la botte d'intérêts étrangers à ceux de notre peuple.

    Les Français n'ont besoin de personne pour parler à leur place et n'ont que faire de vos concessions qui ne sont que l'arbre cachant la forêt. Samedi, tous à Paris.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/11/29/l-bastion-social-soutient-la-mobilisation-populaire-de-samed-6109019.html