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anti-national - Page 532

  • Dissolution ? Démission ? Référendum ? Non, voici ce que va faire Macron

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    Au fur et à mesure que la crise qui a éclaté avec le mouvement des gilets jaunes s’aggrave, les hommes politiques de tous bords – eux-mêmes dépassés – tentent de proposer une issue institutionnelle à une crise devenue politique.

    Après un nouveau samedi marqué à la fois par une recrudescence des violences parisiennes, que Christophe Castaner ne sait pas maîtriser, et une mobilisation toujours forte en province, plusieurs responsables ont fait leurs propositions. Laurent Wauquiez a lancé l’idée d’un référendum sur la transition écologique ; Jean-Luc Mélenchon veut « un vote démocratique pour sortir de la crise » ; Marine Le Pen avait déjà plaidé pour la dissolution. Pour les manifestants, c’est « Macron démission » qui fait le plus recette.

    Tout ce petit monde s’emballe un petit peu et il est quasiment certain qu’Emmanuel Macron n’aura recours à aucune de ces solutions-là. Tout comme François Hollande, il est tenu par les institutions de la Ve République. Même si elles l’ont laissé, au bout de cinq ans, entièrement lessivé, à 5 %, elles l’ont tenu. Voilà au moins quelque chose de solide et de bien pensé en France : sa Constitution. Merci, grand Charles ! Quant à Emmanuel Macron, il a été élu par 20 millions de Français, quoi qu’on puisse ergoter sur les blancs, les nuls, l’affaire Fillon et l’épouvantail Marine Le Pen. Il a une véritable légitimité démocratique. Idem pour sa majorité parlementaire, quoi qu’on puisse dire, là encore, des conditions de l’élection (une abstention historique de plus de 50 %). On ne voit pas pourquoi le Président renoncerait à ces deux éléments clefs de sa légitimité. Et de stabilité pour le pays. En outre, un référendum est bien trop risqué.

    En revanche, les observateurs ont oublié le levier politique le plus classique de la Ve République qui permet à un Président confronté à une crise sociale et politique de reprendre la main : le changement de Premier ministre. Tout le monde reconnaît qu’Édouard Philippe a été à la fois trop terne et trop ferme, voire fermé. C’était peut-être sa feuille de route. Mais voilà, sous la VeRépublique, le Premier ministre est là pour protéger le Président, encaisser les coups, même quand le Président a la plus grande part de responsabilité. Édouard Philippe va devoir jouer son rôle de fusible.

    Certains remarquaient que les courbes de popularité d’Emmanuel Macron et de François Hollande étaient identiques. Pour tenter de se relancer, François Hollande avait dû renvoyer M. Ayrault, moins de deux ans après sa nomination. C’est un sort identique qui attend Édouard Philippe.

    Mais, alors, qui pour remplacer Édouard Philippe dans le monde d’Emmanuel Macron ?

    Il commettrait une lourde erreur en promouvant l’un de ses lieutenants discrédités par leur attitude durant cette crise : Castaner, Griveaux ou Darmanin. Il ferait encore fausse route en appelant l’un de ces Macron boys tellement aux antipodes de la France des gilets jaunes comme MM. Denormandie ou Guerini. Mais alors, qui ?

    Un homme politique centriste, sage, provincial, qui s’est toujours rêvé en grand réconciliateur des France fracturées. Vous avez tous reconnu son panache grisonnant. Tiens, ne vient-il pas d’adresser ce conseil limpide au Président de ne pas « gouverner contre le peuple » ?

    Et, comme par hasard, Le Monde publie, samedi, un article au titre et au contenu à peine subliminaux : « Philippe et Bayrou, la mésentente cordiale. » Sous-titre : « Entre le Premier ministre et le maire de Pau, piliers du dispositif macronien, les relations se sont envenimées. » Dans la panique, heureusement que Le Monde est encore là pour écrire le storytelling du quinquennat : Bayrou, le recours.

    Le départ d’Édouard Philippe n’est plus, maintenant, qu’une question de temps : avant ou après Noël ?

    Frédéric Sirgant

    http://www.bvoltaire.fr/dissolution-demission-referendum-non-voici-ce-que-va-faire-macron/

  • Gilet jaunes, anti-éolien, Manif pour tous, familles : cristallisons les colères !

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    La révolte des gilets jaunes est parfaitement révélatrice du fossé profond qui existe actuellement entre les élites politiques et médiatiques parisiennes et le peuple de France. Ce mouvement spontané et populaire est loin de constituer une saute d’humeur ponctuel et le gouvernement a tort de le traiter par le mépris.

    En réalité, cette révolte est l’expression, par la population, d’une goutte d’eau qui a fait déborder le vase, face à une attitude désinvolte des hommes qui ont acquis le pouvoir, souvent par des manœuvres politiques ou par des manipulations des règles électorales. Si bien que, depuis des années, de très nombreux citoyens ont ouvert les yeux sur le déficit démocratique grandissant existant dans notre pays.

    Le constat est désormais clair : Les élus au pouvoir ne sont plus les représentants du peuple !

    Cette dure réalité a déjà pu être constatée par des citoyens dans un nombre important de combats depuis quelques années, et le mouvement spontané des gilets jaunes n’est, en fait, que le révélateur de ce déficit démocratique qui s’est installé dans notre pays depuis trop longtemps, tant à l’échelle locale dans les municipalités qu’au niveau national.

    C’est pourquoi ce mouvement est profond, et le gouvernement a tort d’espérer son essoufflement.

    Ce déni de démocratie a été parfaitement exprimé lors des Manifs pour tous qui ont montré que des millions de personnes ne souhaitaient pas de changement de civilisation par une marchandisation et une manipulation de l’humain. Il est également relevé dans le cadre des combats contre la multiplication des implantations d’éoliennes en France, imposée par des gens des villes où elles sont inexistantes au détriment des ruraux qui en subissent les conséquences et sont les victimes d’une corruption généralisée des élus. Il a également pu être constaté lors de la mise en œuvre des mesures fiscales confiscatoires des familles privées de leurs allocations familiales et spoliées fiscalement avec la baisse du quotient familial.

    Compteurs Linky imposés, radars multipliés, contrôles techniques renforcés, essence augmentée, paysage dénaturé : à tous les niveaux, les citoyens français en ont assez et l’expriment avec force et détermination.

    Cette colère, aujourd’hui, doit être démultipliée, les bourgeois doivent rejoindre les gens du peuple, les citadins doivent s’allier aux campagnards, les anti-éoliens, les manifestants de la Manif pour tous, les anti-Linky, les familles nombreuses : tout le monde doit s’unir dans un mouvement de résistance face à cette oligarchie mondialiste qui, sous prétexte de transition écologique, veut nous maintenir en esclavage en détruisant notre civilisation et notre environnement.

    C’est pourquoi nous tous qui combattons dans ces différents mouvements et avons depuis des années eu conscience de ces trop nombreux dénis de démocratie, nous devons rapidement nous joindre aux gilets jaunes pour que, par la cristallisation de nos colères, notre force soit démultipliée et que nous, le peuple, retrouvions enfin notre souveraineté perdue.

    Fabien Bouglé

    http://www.bvoltaire.fr/gilet-jaunes-anti-eolien-manif-pour-tous-familles-cristallisons-les-coleres/

  • Macron hué par les Gilets Jaunes à son arrivée avenue Kléber

    Macron hué par les Gilets Jaunes à son arrivée avenue Kléber

  • Mobilisation massive des Gilets Jaunes en Province

    Mobilisation massive des Gilets Jaunes en Province

    Nombreux sont les Gilets Jaunes qui, au pied du mur, ne bouclant plus leur fin de mois, n’ont plus rien à perdre. La morgue des énarques qui nous gouvernent les poussent à se mobiliser. Ce site a tenté de recenser les nombreuses manifestations de province :

    • Alpes-Maritimes : opération péage gratuit à Antibes et des rendez-vous prévus également à Nice, Cagnes-sur-Mer, etc.
    • Alsace : des rassemblements ont débuté dès 7h dans le Bas-Rhin. A Strasbourg, des « Gilets Jaunes » se retrouvent devant la Cour européenne des droits de l’homme.
    • Ardennes : à Charleville-Mézières, une partie des manifestants a quitté la préfecture et organise désormais un barrage filtrant au pont des Deux-Villes, l’un des principaux carrefours de la ville
    • Aveyron : le viaduc de Millau est fermé
    • Béarn : au moins cinq stations Total bloquées à Pau
    • Berry : des « Gilets Jaunes » ont rejoint une marche de défense de la maternité du Blanc dans l’Indre
    • Bouches-du-Rhône : les « Gilets Jaunes » se rassemblent sur le vieux port de Marseille, bloquent le rond-point de Saint-Menet, Pertuis et Meyrargues : les manifestants tiennent le péage ouvert, …
    • Bretagne : diverses actions sont prévues dans les trois départements bretons
    • Charente et Charente-Maritime : plusieurs manifestations des « Gilets Jaunes » annoncées
    • Corrèze et Haute-Vienne : de nouveaux barrages filtrants sont en cours
    • Creuse : plusieurs barrages filtrants à Guéret
    • Drôme-Ardèche : plusieurs actions sont menées sur l’ensemble de la région
    • Franche-Comté : une dizaine de rassemblements sont prévus pour ce samedi
    • Gard : barrages filtrants et marche prévus ce samedi notamment à Nîmes
    • Gironde : opérations « péage gratuit », barrages filtrants et manifestation à Bordeaux
    • Hérault : des rassemblements aux sorties de l’autoroute A9 à Lunel, Montpellier, Sète, Agde et Béziers
    • Indre-et-Loire : les « Gilets Jaunes » ont commencé à se rassembler dans plusieurs villes du département
    • Loiret : plusieurs actions des « Gilets Jaunes » en cours
    • Mayenne : les « Gilets Jaunes » préparent notamment une opération escargot à Laval
    • Meurthe-et-Moselle : plusieurs rassemblements en cours
    • Normandie : plusieurs blocages en cours en Seine-Maritime et dans l’Eure. A Caen, les « Gilets Jaunes » chantent la Marseillaise sur la place du Théâtre
    • Pays Basque : les poids-lourds sont bloqués au péage de la Négresse sur l’A63 à Biarritz
    • Picardie : une dizaine de rassemblements des « Gilets Jaunes » sont signalés
    • Poitou : des « Gilets Jaunes » ont passé la nuit autour d’un feu de camp sur le rond-point d’Auchan sud à Poitiers
    • Var : les « Gilets Jaunes » sont partout !
    – La Seyne sur Mer, rond-point de Brégaillon
    – Bandol, péage de A50 dans les 2 sens
    – Bandol, échangeur d’entrée dans Bandol
    – Brignoles, rond-point avant l’autoroute A8
    – Fréjus, rondpoint du Gargalon
    – Le Muy, rond-point d’entrée sur l’autoroute A8
    – Puget sur Argens, sur l’autoroute A8 vers Nice au PK 131
    – Puget Ville, péage de l’autoroute A57 en direction de Toulon
    – Saint Maximin, rond-point avant l’autoroute A8
    • Yonne : les « Gilets Jaunes » sont sur le pont à Sens et à Auxerre

    Deux tracteurs avec remorques et une vingtaine de manifestants se sont présentés devant la permanence du député LREM Emmanuelle Fontaine Domeizel à Manosque. Devant celle-ci, ils ont déversé des tonnes de terre alliée à du purin et des légumes.

    Au Puy-en-Velay, la préfecture était en état de siège. Plusieurs dizaines de manifestants ont forcé le portail d’honneur de la préfecture. Une centaine de personne se sont ensuite introduites dans la cour du bâtiment et y ont empilé des pneus. Les forces de l’ordre sont intervenues pour évacuer les manifestants et pendant près d’une heure, une trentaine de personnes se sont opposées aux policiers et aux gendarme. Le préfet a trouvé refuge dans ses bureaux. “Si le préfet était venu discuter, on n’en serait pas là”, a témoigné une manifestante. Aux alentours de 16h, des manifestants étaient toujours présents et certains d’entre eux ont allumé un feu devant la préfecture.

    D’abord ciblé sur les réseaux sociaux, Christophe Lejeune, député LREM de Haute-Saône, a été pris à partie jusqu’à la porte de son domicile.

    “Ils étaient une vingtaine à venir sonner et tambouriner pour que je leur ouvre. Eu égard au nombre, aux propos ‘Macron démission’, ‘députés dehors’, j’ai bien sûr immédiatement appelé la gendarmerie et monsieur le préfet”.

    Richard Ferrand, le président de l’Assemblée nationale dénonce

    “Des appels au blocage de députés et de leurs familles, la publication d’adresses personnelles devenant ainsi des cibles d’action sont intolérables”

    https://www.lesalonbeige.fr/mobilisation-massive-des-gilets-jaunes-en-province/

  • Gilets jaunes : Marine Le Pen tient le gouvernement pour responsable de la situation insurrectionnelle à Paris

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    Interrogée par RTL, la présidente du rassemblement national tient gouvernement pour responsable de la violence dans les rues parisiennes :

    « Incontestablement, le gouvernement porte une responsabilité dans l’aggravation de la situation insurrectionnelle dont on peut voir les images ce soir à Paris”.

    Marine Le Pen évoque son “dégoût” d’avoir vu le gouvernement “jeter des gilets jaunes pacifiques contre des uniformes bleu marines de nos forces de l’ordre”. Elle dénonce en outre la présence de casseurs :

    « des casseurs,  toujours les mêmes, des milices quasiment professionnelles de la casse et de l’anarchie. Cela fait des années que nous demandons leur dissolution et leur interdiction. Et ça fait des années que pour des raisons qui nous échappent, aucun dissolution de ces groupuscules violents n’a été décidée. Aujourd’hui ils donnent la pleine mesure de leur capacité de destruction.  “.

    Sur Twitter elle avait appelé plus tôt dans l’après-midi les Gilets jaunes à quitter les Champs Élysées aux mains de ces casseurs.

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  • [vidéo] Pourquoi le pacte sur les migrants pose-t-il problème ?

    Le Pacte mondial sur les migrations devrait être signé à Marrakech les 10 et 11 décembre par 190 pays mais il est de plus en plus contesté par certains pays d’Europe qui refusent de le ratifier.

    L’Autriche reproche notamment au document d’instaurer un droit à l’immigration. Explications.

  • Des gilets jaunes à la dissidence : pour que les Français rompent avec le Système

    Nous l’avons déjà relayé, même s’il ne partage pas, explicitement du moins, la doctrine sociale de l’Église, tant ses considérations sont frappées au coin du bon sens, et témoignent d’une réflexion critique sur l’oligarchie républicaine. L’auditoire délicat se bouchera les oreilles de temps en temps…  

  • Le Samedi Politique S02E13 : Gilets Jaunes : la révolte de « ceux qui ne sont rien » avec Charlotte d’Ornellas

    Extrémistes de gauche, de droite, révolutionnaires, Monsieur ou Madame Toutlemonde qui ne peut plus boucler ses fins de mois… Qui sont vraiment les gilets jaunes ? Quelles sont les raisons de leur colère ? Contre qui ou contre quoi se révoltent-ils ?

    Entre mépris, déni, et incompréhension, les politiques semblent hors jeu face à ce mouvement inédit.

    Charlotte d’Ornellas, journaliste pour l’hebdomadaire Valeurs Actuelles, et éditorialiste sur CNews nous propose ses clés de lecture.

    https://www.tvlibertes.com/le-samedi-politique-s02e13-gilets-jaunes-la-revolte-de-ceux-qui-ne-sont-rien-avec-charlotte-dornellas

  • L’inévitable dissolution de l’Assemblée nationale

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    Il y a une semaine encore, j’aurais jugé surréaliste l’idée même d’une dissolution de l’Assemblée nationale. Voir le Président se séparer d’une majorité écrasante et aux ordres n’aurait en effet aucun sens.

    Et pourtant, je juge aujourd’hui que cette dissolution est non seulement souhaitable, mais inéluctable.

    Le point de départ de cette crise est, bien évidemment, le mouvement des gilets jaunes, mais ce mouvement n’est, finalement, que la représentation visible d’un état de désespérance qui est bien plus profond.

    Je l’ai souvent dit, Emmanuel Macron a été élu sur un malentendu. Lui-même reconnaît avoir fait le hold-up du siècle. Un Parti socialiste mort après l’exercice catastrophique du pouvoir, un François Fillon pulvérisé par une affaire savamment sortie au bon moment et une Marine Le Pen servant d’épouvantail pour une élection dans un fauteuil. On ne va pas refaire le match.

    Toujours est-il qu’inconsciemment, une partie des Français a l’impression que la dernière élection présidentielle n’a pas eu lieu. Il ne s’agit pas de revanche, mais de déception. En effet, ce Président par défaut a pu susciter des espoirs. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir rappelé qu’il n’était en rien un homme neuf et providentiel, puisqu’il avait activement participé à la politique économique désastreuse de François Hollande qui, et je lui en fais crédit, a néanmoins su calmer ses ardeurs les plus ultralibérales.

    Un an et demi après son élection, l’échec d’Emmanuel Macron est objectivement patent. Arriver à se retrouver face à un mouvement qui obtient l’approbation des Français à 85 % est inédit. On peut juger que certains slogans comme « Macron démission » sont farfelus ou excessifs, mais la colère est là, et elle ne s’arrêtera plus. Bien sûr, les quelques milliers de gilets jaunes rentreront chez eux à un moment donné, car tout mouvement est amené à s’essouffler. Mais comme, idéologiquement et structurellement, le gouvernement ne changera rien pour modifier le quotidien de ces Français désespérés, la mèche se rallumera.

    Et elle se rallumera plus tôt que prévu. Dès février, lorsque les salaires se verront amputés du prélèvement de l’impôt à la source, lorsque le prix de l’électricité augmentera, tout comme les mutuelles, le gaz, etc.

    Le Président est nu face aux Français. La faute à un Premier ministre entêté, suffisant et finalement bien transparent. Comme Emmanuel Macron s’est employé méthodiquement à dégommer les corps intermédiaires ainsi que l’opposition, il n’a plus de paratonnerre.

    La seule façon de prendre la hauteur jupitérienne qu’il aime tant, la seule façon d’avoir les avantages du pouvoir et de la fonction sans les inconvénients, c’est de procéder à la dissolution de l’Assemblée nationale. Il se trouvera très probablement en cohabitation, mais une cohabitation qu’il aura choisie. Les Français, déçus de l’absence de changement, auront eu l’impression de changer quelque chose, et le Président pourra enfin présider, laissant un gouvernement et une Assemblée qui verraient le retour de vrais hommes politiques d’expérience s’occuper des tâches ingrates. C’est gagnant-gagnant et c’est pour ça qu’Emmanuel Macron va dissoudre, ce n’est plus qu’une question de temps.

    Jean Ronet

    http://www.bvoltaire.fr/linevitable-dissolution-de-lassemblee-nationale/