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anti-national - Page 531

  • Immigration sans limite : l’ONU cherche à créer un droit à immigrer clandestinement

    Immigration sans limite : l’ONU cherche à créer un droit à immigrer clandestinement

    De Gabriel Robin dans l’Incorrect :

    La conférence intergouvernementale chargée d’adopter le « Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières » se tiendra les 10 et 11 décembre prochains. Un pacte d’une importance cruciale.

    Ce pacte divise la communauté internationale, opposant la France et l’Allemagne à un groupe de pays réfractaires, menés notamment par les Etats-Unis de Donald Trump. Au sein des Etats, le Pacte dit de Marrakech divise de la même façon, Angela Merkel étant notamment considérée par ses adversaires comme l’instigatrice des mesures ultra-immigrationnistes qui compléteront la Déclaration de New York pour les réfugiés et les migrants.

    Composé de 41 pages consultables sur le site officiel de l’Organisation des Nations Unis, le projet de document final de la conférence a pour objectif de faciliter grandement l’immigration à destination des pays occidentauxPis, il y encourage explicitement. Il faut, dans un premier temps, insister sur le fait que le document ne traite que des « migrants » et non des réfugiés, les distinguant dès le quatrième article de son préambule. Source principale de la synthèse finale, le rapport initial du Secrétaire général Antonio Guterres peut être résumé par son titre : « Rendre les migrations bénéfiques à tous ».D’autres travaux ont probablement joué un rôle, à commencer par le rapport mondial de suivi sur l’éducation de l’Unesco intitulé « Migration, déplacement et éducation : bâtir des ponts, pas des murs », dont le vocabulaire trahit l’idéologie : « L’attitude envers les immigrants est influencée par le niveau d’étude. Il apparaît que les personnes plus instruites sont moins ethnocentriques, qu’elles valorisent davantage la diversité culturelle et qu’elles considèrent les effets économiques de la migration sous un jour plus favorable ». Voilà qui rappellera un peu les discours du Président Macron : si vous êtes contre moi, c’est que vous n’êtes pas suffisamment intelligent pour comprendre. Les peuples sont crétins et doivent laisser les grandes personnes décider à leur place ; experts, technocrates et économistes labellisés « progressistes all inclusive ».

    Bref, revenons-en au « Pacte de Marrakech » tel qu’il devrait être voté dans quelques jours. Ses rédacteurs estiment nécessaire d’améliorer la coopération en matière de migration internationale parce que les migrations auraient « toujours fait partie de l’expérience humaine depuis les débuts de l’Histoire », et, qu’à l’heure de la mondialisation, elles seraient « facteurs de prospérité, d’innovation et de développement durable ». Car, vous l’ignoriez peut-être, mais la majorité des migrants « voyagent, vivent et travaillent dans des conditions sûres, ordonnées et régulières ». Rien que ça ! Une vision si irénique ne peut donc s’accompagner que de propositions pensées pour encourager les candidats à l’exil, pour les aider dans leur voyage et leur future installation. Ici, l’immigré n’a que des droits et aucun devoir. Il est l’Autre, le faible ontologiquement bon, la bonne nouvelle, notre enfant symbolique.

    À l’image de l’Unesco qui estime l’assimilation préjudiciable à « l’identité des migrants », à l’inverse du multiculturalisme, les Etats signataires du futur Pacte de Marrakech s’engageront moralement à donner une image toujours positive de l’immigration et de la « diversité » ; voire à combattre judiciairement les réfractaires, qu’ils soient en politique, professionnels des médias, ou simples citoyens. L’ensemble, comprenant tant des recommandations demandant la protection des migrants à l’intérieur des frontières sur le mode « No Border » que des incitations à faciliter l’évasion des richesses vers les pays « d’origine », ainsi que le suggère aussi l’Unesco, forme un programme complet de remplacement des populations autochtones en Europe, les seules que méconnait l’ONU. Ce texte, s’il n’aura pas de force légale, achèvera de désarmer moralement les Occidentaux face à ce qui est, il faut bien le dire maintenant, une invasion méthodique et planifiée de notre continent. Imaginez donc que dans le « plein respect de la liberté de la presse », les journalistes devront être mieux formés à la question des migrations, c’est-à-dire éduqués à délivrer la doxa inclusive et multiculturaliste mondiale.

    L’ONU cherche à créer un droit à immigrer clandestinement, riposte directe contre les vieilles nations repliées sur elles-mêmes, comme la Hongrie qui avait refusé de laisser ses frontières violer par des individus indésirables. A l’époque, l’organe chargé de la question migratoire pour l’ONU avait d’ailleurs publié un message sur Twitter indiquant que « franchir une frontière » n’était « pas un crime ». Le professeur de droit international de l’Université Catholique de Louvain Pierre d’Argent juge que le texte est un « instrument politique » qui finira immanquablement par servir d’outil aux avocats défendant des clandestins, et que les juridictions nationales pourraient s’appuyer sur le texte, quand bien même il n’aurait pas force légale. Quelques pays refuseront donc logiquement de céder au chantage des pays du tiers-monde et des globalistes occidentaux, parmi lesquels les Etats-Unis, l’Autriche, la Hongrie, la Pologne, Israël ou l’Australie. Très bientôt, à coup sûr, l’Italie.

    La France, de son côté, devrait signer ce Pacte dans l’indifférence générale, sans qu’aucun média ne l’ait sérieusement évoqué. Par cette signature, Emmanuel Macron donnera son feu vert à l’intensification du processus de changement de peuple et de culture actuellement à l’œuvre dans notre pays. Ces idées délirantes ont déjà contaminé une bonne partie de la population. À titre d’exemple, une jeune femme de trente-trois ans affirmait récemment ne pas aimer les enfants mais vouloir accueillir des « migrants » et des « réfugiés climatiques ». Pour des motifs prétendument écologiques, Gaëlle n’entend pas enfanter une descendance qui « consommera encore et toujours ». Elle n’a en revanche que des mots compatissants pour ces subsahariens au taux de fécondité de cinq enfants par femme qui, une fois parvenus en Europe, deviennent des consommateurs comme les autres, souvent pires. Il faut sauver la France et l’Europe, même contre leur propre volonté…

    https://www.lesalonbeige.fr/immigration-sans-limite-lonu-cherche-a-creer-un-droit-a-immigrer-clandestinement/

  • Les Gilets Jaunes mettent une veste à Edouard Philippe

    Les Gilets Jaunes mettent une veste à Edouard Philippe

    Ce gouvernement n’a plus aucune crédibilité :

    Instant de flottement à l’Elysée. Pour lancer la « grande concertation » de trois mois voulue par Emmanuel Macron, Edouard Philippe devait recevoir ce vendredi 30 novembre une délégation de « gilets jaunes », pour trouver un semblant de terrain d’entente.

    Problème : un seul représentant du mouvement est arrivé à Matignon, sur les coups de 14h30. Avant de repartir, à peine une demi-heure plus tard. Il s’agit de Jason Herbert, jeune Charentais de 26 ans, chargé de communication dans une médiathèque d’Angoulême, selon L’Express. A la sortie de son rendez-vous expédié, le jeune homme s’est expliqué sur BFM TV : « Je souhaitais que les 65 millions de Français puissent entendre nos discussions », a-t-il confié sur le perron de Matignon. « Par courtoisie, j’ai simplement laissé le Premier ministre se présenter, puis je l’ai informé ne pas souhaiter poursuivre la discussion, car il n’était pas possible de filmer l’entretien ». Pour ne pas « trahir » les Français, Jason Herbert a donc préféré ne pas « engager de discussion ».

    https://www.lesalonbeige.fr/les-gilets-jaunes-mettent-une-veste-a-edouard-philippe/

  • L’inévitable dissolution de l’Assemblée nationale

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    Il y a une semaine encore, j’aurais jugé surréaliste l’idée même d’une dissolution de l’Assemblée nationale. Voir le Président se séparer d’une majorité écrasante et aux ordres n’aurait en effet aucun sens.

    Et pourtant, je juge aujourd’hui que cette dissolution est non seulement souhaitable, mais inéluctable.

    Le point de départ de cette crise est, bien évidemment, le mouvement des gilets jaunes, mais ce mouvement n’est, finalement, que la représentation visible d’un état de désespérance qui est bien plus profond.

    Je l’ai souvent dit, Emmanuel Macron a été élu sur un malentendu. Lui-même reconnaît avoir fait le hold-up du siècle. Un Parti socialiste mort après l’exercice catastrophique du pouvoir, un François Fillon pulvérisé par une affaire savamment sortie au bon moment et une Marine Le Pen servant d’épouvantail pour une élection dans un fauteuil. On ne va pas refaire le match.

    Toujours est-il qu’inconsciemment, une partie des Français a l’impression que la dernière élection présidentielle n’a pas eu lieu. Il ne s’agit pas de revanche, mais de déception. En effet, ce Président par défaut a pu susciter des espoirs. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir rappelé qu’il n’était en rien un homme neuf et providentiel, puisqu’il avait activement participé à la politique économique désastreuse de François Hollande qui, et je lui en fais crédit, a néanmoins su calmer ses ardeurs les plus ultralibérales.

    Un an et demi après son élection, l’échec d’Emmanuel Macron est objectivement patent. Arriver à se retrouver face à un mouvement qui obtient l’approbation des Français à 85 % est inédit. On peut juger que certains slogans comme « Macron démission » sont farfelus ou excessifs, mais la colère est là, et elle ne s’arrêtera plus. Bien sûr, les quelques milliers de gilets jaunes rentreront chez eux à un moment donné, car tout mouvement est amené à s’essouffler. Mais comme, idéologiquement et structurellement, le gouvernement ne changera rien pour modifier le quotidien de ces Français désespérés, la mèche se rallumera.

    Et elle se rallumera plus tôt que prévu. Dès février, lorsque les salaires se verront amputés du prélèvement de l’impôt à la source, lorsque le prix de l’électricité augmentera, tout comme les mutuelles, le gaz, etc.

    Le Président est nu face aux Français. La faute à un Premier ministre entêté, suffisant et finalement bien transparent. Comme Emmanuel Macron s’est employé méthodiquement à dégommer les corps intermédiaires ainsi que l’opposition, il n’a plus de paratonnerre.

    La seule façon de prendre la hauteur jupitérienne qu’il aime tant, la seule façon d’avoir les avantages du pouvoir et de la fonction sans les inconvénients, c’est de procéder à la dissolution de l’Assemblée nationale. Il se trouvera très probablement en cohabitation, mais une cohabitation qu’il aura choisie. Les Français, déçus de l’absence de changement, auront eu l’impression de changer quelque chose, et le Président pourra enfin présider, laissant un gouvernement et une Assemblée qui verraient le retour de vrais hommes politiques d’expérience s’occuper des tâches ingrates. C’est gagnant-gagnant et c’est pour ça qu’Emmanuel Macron va dissoudre, ce n’est plus qu’une question de temps.

    Jean Ronet

    http://www.bvoltaire.fr/linevitable-dissolution-de-lassemblee-nationale/

  • Révolte des Gilets Jaunes à Bruxelles : véhicules de police en feu

    Belgique – Les Gilets Jaunes manifestent à Bruxelles ce vendredi. Il faut se souvenir que si le mouvement des Gilets Jaunes est né en France, il s’est rapidement étendu en Belgique.

    Dans une certaine confusion, un appel à manifester à Bruxelles ce vendredi avait été lancé sur les réseaux sociaux par un individu qui avait ensuite fait marche arrière et annulé son appel. Mais l’idée lancée, d’autres Gilets Jaunes avaient rapidement fait savoir qu’ils avaient bien l’intention de se rendre malgré tout à Bruxelles.

    Depuis ce vendredi matin, quelques centaines de Gilets Jaunes avaient entamé des actions de blocage aux abords de la rue de la Loi, lieu du pouvoir fédéral belge. A midi, la police annonçait quelques 60 arrestations sans signaler le moindre incident.

    Mais cet après-midi, les Gilets Jaunes sont revenus avec détermination vers le barrage de police fixant la zone infranchissable. Les affrontements sont devenus de plus en plus violents. Les autopompes de la police ont copieusement aspergé les Gilets Jaunes. Et plusieurs véhicules de police ont été renversés et/ou incendiés. Depuis 16h, la police a fait savoir que tout porteur de gilet jaune dans les rues du centre de Bruxelles  sera potentiellement mis en état d’arrestation.

  • Récupération : le "Gilet jaune" chéri de Matignon n'était qu'un infiltré de la CFDT...

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    Jason Herbert le "Gilet Jaune" reçu par Edouard Philippe est en fait un représentant syndical des journalistes de la CFDT. Tout cela ressemble fort à une grosse manipulation...

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/12/01/le-gilet-jaune-de-matignon-n-etait-qu-un-infiltre-de-la-cfdt-6109481.html

  • Ardisson sur Macron et le Système : critique dure, critique juste !

    En direct sur RMC [émission du 17 novembre 2018] Thierry Ardisson s'exprime sans mâcher ses mots sur les gilets jaunes Macron et le Système. Ici, tout est juste, fort, lucide, intelligent et politique. À écouter d'office !  LFAR 

  • Le Samedi Politique S02E12 Gilets Jaunes et écologie punitive avec Michèle Rivasi

    Matraquage fiscal, écologie punitive ou nécessaire transition énergétique, quoi qu’on en pense, la hausse de la fiscalité sur les carburants (6,5 centimes sur le diesel et 2,9 sur l’essence) a mis le feu aux poudres. Depuis une semaine, les gilets jaunes sont mobilisés partout en France face à Emmanuel Macron.

    Colère légitime ou aveuglement face aux impératifs environnementaux ? Pourquoi l’écologie apparaît-elle toujours punitive ?
    Michèle Rivasi, députée européen Europe Ecologie et spécialiste des questions d’environnement, revient sur les réformes de la transition écologique qui pénalisent souvent les classes moyennes de plus en plus étranglées…

    https://www.tvlibertes.com/gilets-jaunes-et-ecologie-punitive-avec-michele-rivasi

  • Pacte migratoire de l’ONU – Pour Nicolas Bay, on cherche à aboutir “à la consécration d’un prétendu droit à la migration”

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    Si le gouvernement français soutient le pacte migratoire de l’ONU, le Rassemblement national s’y oppose logiquement, voyant dans ce texte la porte ouverte à de nouveaux mouvements migratoires.

    Selon Marine Le Pen, ce texte “exprime un immigrationnisme radical qui non seulement engage tous les pays à faire la promotion de cette immigration sans limite, mais fait disparaître le concept de clandestinité.”

    Nicolas Bay ajoute : “C’est toujours la même manière de procéder. On va aboutir à la consécration d’un prétendu droit à la migration présenté comme un nouveau droit de l’homme“.

    Diverses pétitions fleurissent sur le Net pour dénoncer ce projet de l’ONU. Exemple avec celle-ci : “Non au Pacte mondial sur les migrations qui met en danger la France et l’Europe

    Le Scan Politique
    @Le_Scan

    Pacte migratoire de l'ONU : RN et LR dénoncent l'avènement d'un «droit à l'immigration» http://www.lefigaro.fr/politique/2018/11/28/01002-20181128ARTFIG00296-rn-et-lr-denoncent-l-avenement-d-un-droit-a-l-immigration.php?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1543432072 

    Pacte migratoire de l'ONU : RN et LR dénoncent l'avènement d'un «droit à l'immigration»

    Le parti de Marine Le Pen a lancé une pétition contre la signature du pacte par la France.

    lefigaro.fr 
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  • Macron-Gilets jaunes, deux logiques irréconciliables

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    Le gouvernement et les Gilets jaunes sont dans des logiques irréconciliables. D’un côté un pouvoir entièrement formaté par le capitalisme, de l’autre, une population qui refuse la gestion purement comptable de son destin. Ces Gilets jaunes – c’est-à-dire une large majorité de Français de souche - sont les premiers à payer la note des ajustements structurels du capitalisme dont ils sont les sempiternels perdants. Cette révolte est symptomatique d’un état du monde où le capitalisme est en train de détruire tout ce qui constitue le socle de nos cultures et de notre civilisation. Car le capitalisme est un terrorisme qui gave une minorité au détriment de la majorité.  Le capitalisme a réduit toute l’activité humaine à une pure marchandise où seul compte la loi du marché et dont l’unique but est d’accroître encore et toujours le capital.

    Or, le capital n’est autre que l’argent en tant qu’il se produit lui-même. Il se définit aussi par cette automatisation du processus de production qui ne cherche que sa propre croissance. La figure de l’homme n’est plus seulement celle du Travailleur, c’est aussi et surtout celle du consommateur. L’homme en est réduit à n’être plus qu’une machine à produire de l’argent. Le Gilet jaune est la version moderne de l’esclave au service de son maître : le capital. L’huile de coude a été remplacée par la machine, raison pour laquelle on peut aussi parler de techno-capitalisme qui est aussi l’autre figure du totalitarisme.

    Emmanuel Macron n’a donc rien compris au film qui est en train de se dérouler sous ses yeux. Le capital l’aveugle. Les Gilets jaunes veulent le retour à une authentique justice sociale et militent donc pour un pouvoir qui sait redistribuer la richesse et non l’accaparer au profit d’une minorité.

    Il est par ailleurs révélateur que la révolte des Gilets jaunes soit un mouvement bien Gaulois, Français de souche si l’on préfère, vu que les immigrés sont trop heureux de bénéficier des avantages sociaux et des trafics divers et variés que notre « démocratie » autorise pour acheter la paix sociale. Notamment celle des banlieues. A ce sujet, on remarquera que les baroques politiques de la ville qu’on nous vend depuis des décennies ont bénéficié massivement à ces banlieues au détriment du rééquilibrage des territoires. Or, ces fameuses politiques de la ville se sont révélés être un échec cuisant. L’association du capital et de la démocratie, c’est la dépense qui consiste essentiellement à déminer les conflits et à protéger le capital. C’est donc une impasse.

    Aujourd’hui, nous en sommes arrivés à une telle dégradation de nos démocraties que celles-ci sont désormais aux mains du seul capital. D’où cette réaction populiste  que l’on constate dans toute l’Europe qui n’est autre que le refus par l’homme de n’être qu’une variable d’ajustement du capital et de son corollaire, le marché. La révolte des Gueux que nous sommes ou des "ploucs émissaires" comme l'écrit François Bousquet* !

    (*) François Bousquet est le rédacteur en chef de la revue Eléments.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • 24 NOVEMBRE - J'ÉTAIS AVEC LES GILETS JAUNES SUR LES CHAMPS-ÉLYSÉES