Lundi et mardi, les garde-côtes libyens ont ramené à bon port 611 « migrants » expédiés par les passeurs sur des canots pneumatiques. Parmi eux, 108 clandestins récupérés par le navire italien La Asso 28, un remorqueur travaillant pour les plateformes pétrolières. Pour l’Italie, le navire opérait sous les ordres de la garde côtière libyenne et les candidats à l’immigration illégale en Europe ont été récupérés dans les eaux libyennes. C’est pourquoi ils ont été débarqués dans le port de Tripoli. Mais pour le Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR), une agence de l’ONU, Tripoli n’est pas un port sûr et l’Italie pourrait donc s’être rendu coupable d’une violation du droit international. Le HCR annonce une enquête. L’ONG espagnole Proactiva Open Arms est à l’origine de la délation. Elle affirme que l’équipage de son bateau a écouté les conversations radios entre La Asso 28 et les autorités libyennes et que l’opération de récupération des « migrants » a eu lieu dans les eaux internationales.
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« Migrants » ramenés en Libye : le Haut Commissariat aux Réfugiés (UNHCR) dénonce une violation du droit international
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L’ingérence au nom des droits de l’homme est le comble du racisme
Il y a un autre reproche qui vous est souvent fait, c’est de choisir toujours des causes qui battent en brèche les principes humanistes. Vous avez dit : « Je ne veux pas plaider aux côtés de la Ligue des droits de l’homme, etc. » Alors je vous pose la question : êtes-vous un raciste, au sens où vous privilégiez une autre ? Ne considérez-vous pas que la notion des droits de l’homme soit une notion universelle et acceptable ?
Jacques Vergès : C’est précisément la volonté d’imposer à l’univers entier sa propre conception des droits de l’homme qui est du racisme. Cela suppose que nous, Parisiens ou New-Yorkais, avons atteint le top de la civilisation ; notre conception des droits de l’homme, de la femme, de l’enfant, des animaux, doit s’imposer à l’univers tout entier. Et nous avons même un droit d’ingérence ! Cela me semble le comble du racisme ! Moi, je pense au contraire que l’univers est fait de peuples différents. Heureusement différents ! Et tout aussi respectables les uns que les autres. Chacun de ces peuples a une vision de l’espace, chacun de ces peuples a une vision de l’Histoire, chacun de ces peuples a une vision des arbres dans la nature, des animaux, des rapports sociaux. C’est cela que je demande qu’on respecte, c’est tout. Au nom de quoi M. Mitterrand, qui a été ministre pendant la guerre d’Indochine, ministre pendant la répression à Madagascar, ministre pendant la guerre d’Algérie, irait-il dire aux Chinois ce qu’ils doivent faire ? Les Chinois ont raison de le renvoyer à ses affaires. Je ne vois pas du tout pourquoi on irait reprocher à certains peuples leurs mœurs extrêmement libres, et pourquoi on reprocherait à d’autres leurs mœurs extrêmement sévères. Les uns ont des mœurs sévères, les autres des mœurs libres. Eh bien tant mieux ! -
L'accueil des migrants ? Mais puisqu'on vous dit que tout va bien...
Des nouvelles d’Espagne (Catalogne) : l’intégration des migrants se passe bien, et la police a la situation bien en main. pic.twitter.com/MnGtqYo9NL
— Philippe Vardon (@P_Vardon) 2 août 2018
L'attaque de la garde civile espagnole par 600 migrants à la chaux vive est un signal d'alerte extrêmement grave : il est temps de dire stop à un chaos migratoire de plus en plus violent et de sortir enfin de l’immigration de masse. #Ceuta #PJLAsileImmigrationpic.twitter.com/zkfrRdffev
— Eric Ciotti (@ECiotti) 27 juillet 2018
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Martine Aubry instrumentalise l’accueil de 42 réfugiés triés sur le volet
Vous vous souvenez de l’odyssée de l’Aquarius, ce navire qui, en juin 2018, était resté bloqué en mer pendant plusieurs jours, avec 629 migrants ? L’Italie et Malte avaient refusé qu’il accostât dans leurs ports, avant que l’Espagne ne l’accueillît : belle publicité pour le tout récent Premier ministre socialiste, qui appelait à travailler « pour une nouvelle Europe où les égoïsmes nationaux ne [prévaudraient] pas ». Quant à la France, tout en dénonçant le « cynisme » et l’« irresponsabilité » de Rome, elle avait trouvé mille prétextes pour expliquer que ce n’était pas à elle de gérer cette affaire, acceptant finalement de recevoir quelques dizaines de migrants, qui pourraient prétendre au statut de réfugiés.
C’est fait ! Et l’on veut que ça se sache. Martine Aubry, lors d’une cérémonie officielle à la mairie de Lille, a déclaré devant quarante-deux Soudanais : « Nous savons ce que vous avez vécu […]. Vous êtes ici chez vous, vous êtes des Lillois, et nous sommes extrêmement heureux de vous avoir parmi nous. » Pas sûr que tous les Lillois soient aussi satisfaits qu’elle, mais cette ancienne dirigeante socialiste sur le déclin se devait de donner l’exemple.
Afin de justifier le délai très raccourci pour leur accorder le statut de réfugié – qui leur permettra de recevoir une carte de résident pour dix ans –, le secrétaire général adjoint de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) a précisé que « nous sommes allés au devant de la demande, en Espagne, entendre les demandeurs d’asile qui nous ont fait part des motifs pour lesquels ils avaient quitté leur pays, ce qui a permis de pré-instruire leurs dossiers ». Ils ont bien de la chance d’avoir obtenu un traitement de faveur !
Jusqu’au préfet de la région, qui a cru bon de leur souhaiter la bienvenue en ces termes discutables : « La France qui vous accueille va vous paraître étrange, [face] à ceux qui vous accueillent les bras ouverts, il y a aussi ceux qui vous accueillent à bras fermés, mais la France est ainsi, aimez-la […] et cet amour, la France saura vous le rendre. » On croirait entendre la Conférence des évêques, séparant le bon grain de l’ivraie, les bons des mauvais Français, diront des esprits malintentionnés. Dans cette région où le Rassemblement national fait des scores importants, devinez qui sont les mauvais.
Ce qu’il y a de révoltant, dans cette affaire, c’est son instrumentalisation. Pour des raisons qui ne sont pas toujours désintéressées, on s’édifie en modèle. Vous vous rendez compte, on a accueilli quarante-deux Soudanais, qui ne demandent qu’à s’intégrer ! Peut-être, mais ils ont apparemment été triés sur le volet. L’un d’eux, un étudiant, explique : « Je suis vraiment très heureux, c’est un jour très spécial pour moi. Je remercie tout le monde. Venir en France était mon rêve pour plusieurs raisons, pour l’éducation, le développement du pays, la technologie… » Était-il vraiment en danger dans son pays ?
Quarante-deux réfugiés, qui ne posent pas de problème : cela valait la peine d’être exploité ! C’est facile, c’est pas cher et ça peut rapporter gros en notoriété, dans l’univers du politiquement correct. Les maires des petites bourgades auxquelles on a imposé, sans concertation, d’héberger des clandestins de Calais ne pratiquent sans doute pas une telle autosatisfaction. Car la question de l’immigration ne se réduit pas à quelques poignées de migrants qu’on accueille en grande pompe pour se donner bonne conscience (et donner mauvaise conscience aux autres) : c’est le phénomène d’une immigration incontrôlée contre lequel les autorités publiques, volontairement ou par impéritie, ne font rien, sinon se contenter de belles paroles.
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Un transsexuel devient Miss Espagne. Prochaine étape?
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Petit rappel : Quand Wikipédia masque l'apologie pédophile de "Libération"
Pédophilie[modifier le code]Il y a quelques jours j'ai enlevé la section suivante :"En mai 1977, Libération publie un article faisant explicitement l'apologie de la pédophilie. "Naissance du "front de libération des pédophiles"" est un véritable acte de foi en faveur des pédophiles, qui constituaient une partie des lecteurs de Libération. L'article sera à nouveau publié le 1er mars 19791.Pendant dix-neuf mois, Libération va publier des articles, dessins et photographies à caractère pédophile (entre autre dans l'édition du 5 novembre 19782). Le caractère choquant de ces publications entraînera des poursuites judicières![réf. nécessaire].Cependant, le 1er mars 1979, Libération publie fièrement "Les outrages de Libération"3, article qui relate ses démêlés avec la justice française. Une justice sclérosée et "bourgeoise", qui s'attaque injustement à un journal "novateur". Pour l'occasion, Libération republie une grande partie des articles et autres dessins qui ont défrayé la chronique![réf. nécessaire].En 1981, Libération publie un témoignage, "câlins enfantins", dans son édition du 20 juin. Un homme rapporte ses relations pédophiles avec une enfant, sur une durée de près de trois ans.En 1982, Libération persiste et signe le 20 octobre. Hocquenghem écrit ceci : « La pédophilie n’a jamais été en tant que telle un délit dans le code pénal »4 ; la pédophilie ne serait donc pas répréhensible ?L'histoire ne s'arrête pas là, car le 1er mars 2001, vingt ans après ces prises de position plus que controversées, publie une apologie d'une éducation pédophile5, en soutien à Daniel Cohn-Bendit, pédophile notoire6."↑ Naissance du "front de libération des pédophiles"↑ Dessins (partiellement censurés) paru dans l'édition du 5 novembre 1978↑ Les outrages de Libération↑ Libération du 20 octobre 1982↑ Libération du 1er mars 2001↑ Cohn-Bendit a publié ceci, en 1975, dans Le Grand Bazar: « Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais: "Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas les autres gosses?". Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même ».J'aimerai qu'on discute à plusieurs de la pertinence d'un éventuel paragraphe sur le traitement de la pédophilie dans Libé. En l'état, le paragraphe est un travail original. On ne peut pas dire dans Wikipédia, q'un article de Libé fait l'apologie de la pédophilie mais par contre on peut dire qu'untel (s'il est notable) a déclaré que tel article de Libé était faisait l'apologie de la pédophilie.De plus, faut virer les liens vers des sites qui violent le droit d'auteur.Et bien sûr neutraliser le ton employé pour qualifier Cohn-Bendit. L'article en l'état à un ton journalistique ou d'association de luttre contre la pédophilie (c'est respectable, mais le ton ne convient pas à une encyclopédie ; et les informations doivent être vérifiées pour éviter qu'on ne se fasse manipuler par un groupe de pression.).~Pyb | ✉ 12 juin 2007 à 09:34 (CEST)- Nota : les 4 premières sources viennent du même site (celui-ci) et sont en accès restreint. Je ne lis pas dans la 5è une apologie de la pédophilie (loin de là !), et la 6è références voit son sens honteusement déformé dans l'usage qui en est fait. A mon avis, ce truc est à virer dans le doute, ou à neutraliser, mais le maintenir dans l'article serait se rendre complice de diffamation. Esprit Fugace causer 12 juin 2007 à 09:47 (CEST)
- On ne neutralise pas ce qui est diffamatoire, mais on le supprime. OccultuS (Pogawędzić) 12 juin 2007 à 09:52 (CEST)
- C'est le problème des sources sur WP en général. On supprime les liens externes, mais on laisse les réf. aux articles. (pcp de vérifiabilité). La question est : si personne de notable n'a attaqué Libé là-dessus, doit-on tout effacer ou seulement neutraliser ? voir aussi Histoire de l'activisme pédophile. Peut-être peut-on mettre 2-3 lignes ici et faire un renvoi vers les articles Cohn-bendit et Histoire de l'activisme pédophile ? MaCRoÉ©o bla bla 12 juin 2007 à 11:17 (CEST)
- Le souci est que les articles sont parfaitement lisibles en ligne, sur le site cité plus haut. En tout cas, il est possible de citer, de manière neutre, le fait que Libération a donné la parole à des pédophiles faisant l'apologie de leur propre penchant sexuel, à une époque où la défense de la pédophilie pouvait apparaître "progressiste". C'est sourcé dans cet article, publié en 1970 par... Libération ! Jean-Jacques Georges (d) 28 août 2010 à 11:39 (CEST)
- Je suis très perplexe quant à la remarque précédente ... Ce n'est pas parce que les tenants de cette idéologie s'auto-prétendaient "progressistes" que leurs propos passés doivent être amnistiés, ni que le comportement de Libération doit être oublié (comprendre: supprimé de l'article). Qui a le pouvoir de donner ce label magique "progressiste" amnistiant tout ... si ce n'est les progressistes eux-mêmes? Avec de tels raisonnements malhonnêtes, on pourrait justifier n'importe quelle idéologie, même les plus destructrices.
- Libération a donné voix à ces gens là, l'article wiki doit en faire mention, que ça plaise ou non.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP78.251.165.121 (discuter), le 29 juillet 2011 à 17:49 (CEST).
- Il semblerait que la version actuelle de l’article ne fasse plus aucunement mention du sujet ; je suis d’accord avec la dernière intervention sur la nécessité de l’évoquer. — SniperMaské (d) 27 février 2012 à 18:40 (CET)
- Le souci est que les articles sont parfaitement lisibles en ligne, sur le site cité plus haut. En tout cas, il est possible de citer, de manière neutre, le fait que Libération a donné la parole à des pédophiles faisant l'apologie de leur propre penchant sexuel, à une époque où la défense de la pédophilie pouvait apparaître "progressiste". C'est sourcé dans cet article, publié en 1970 par... Libération ! Jean-Jacques Georges (d) 28 août 2010 à 11:39 (CEST)
- C'est le problème des sources sur WP en général. On supprime les liens externes, mais on laisse les réf. aux articles. (pcp de vérifiabilité). La question est : si personne de notable n'a attaqué Libé là-dessus, doit-on tout effacer ou seulement neutraliser ? voir aussi Histoire de l'activisme pédophile. Peut-être peut-on mettre 2-3 lignes ici et faire un renvoi vers les articles Cohn-bendit et Histoire de l'activisme pédophile ? MaCRoÉ©o bla bla 12 juin 2007 à 11:17 (CEST)
- On ne neutralise pas ce qui est diffamatoire, mais on le supprime. OccultuS (Pogawędzić) 12 juin 2007 à 09:52 (CEST)
Oui, la pédophilie, le sacrifice enfant, est dénoncé mais elle étouffé par les média http://www.dailymotion.com/video/xox8wf_alain-soral-satanisme-elites-sataniques-09-2011_newsLe message qui précède, non signé, a été déposé par Cengiz Bagci (discuter), le 3 mars 2012 à 18:08 (CET).
sourcehttp://www.oragesdacier.info/2018/08/petit-rappel-quand-wikipedia-masque.html
- Nota : les 4 premières sources viennent du même site (celui-ci) et sont en accès restreint. Je ne lis pas dans la 5è une apologie de la pédophilie (loin de là !), et la 6è références voit son sens honteusement déformé dans l'usage qui en est fait. A mon avis, ce truc est à virer dans le doute, ou à neutraliser, mais le maintenir dans l'article serait se rendre complice de diffamation. Esprit Fugace causer 12 juin 2007 à 09:47 (CEST)
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Calais (62) : des migrants attaquent les habitants dans leurs propres maisons ainsi que dans leurs véhicules, deux femmes blessées (MàJ : condamnations)
30/07/2018
Les riveraines se montrent encore choquées et angoissées par ces violences. « On a eu très peur. On a cru que c’était la fin pour nous », explique la conductrice, au bord des larmes.
Mercredi 25 juillet, peu avant 22 heures, une vingtaine de migrants, très fortement alcoolisés, ont proféré des insultes à l’encontre de plusieurs habitants du quartier du Beau-Marais.
Deux femmes, qui circulaient à bord de leur voiture, rue Guynemer, se sont retrouvées encerclées par un groupe d’une dizaine de réfugiés juste avant le rond-point à l’extrémité de la rue. « Cinq à six d’entre eux se sont mis à taper sur la carrosserie avec des branches et des cailloux », raconte la passagère. La vitre droite cassée, cette dernière a reçu des coups au visage avec un morceau de bois.
Les deux prévenus ont été reconnus coupables des faits qui leur étaient reprochés. Jemal Ebro et Yared Hagos écopent respectivement de 18 mois de prison ferme et d’un an de prison ferme ; tous deux assortis d’un mandat de dépôt.
26/07/2018
Des échauffourées ont éclaté mercredi soir à Calais, avenue Guynemer dans le quartier du Beau-Marais. Les forces de l’ordre et les pompiers sont intervenus.
Une vingtaine de réfugiés très fortement alcoolisés ont proféré des insultes, tapé aux portes et jeté des projectiles sur des habitations de l’avenue Guyemer, dans le quartier du Beau-Marais. Des riverains sont intervenus pour les calmer. Intervention également des forces de l’ordre et des pompiers pour les disperser. Les migrants ont brisé les vitres de véhicules dont certains étaient en circulation. Deux migrants ont été interpellés. Deux femmes, blessées légèrement, suite aux éclats de verre ont été prises en charge et transportées à l’hôpital. Un migrant de nationalité érythréenne a également été transporté.
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Meurtre d'Adrien Perez : " l’Etat a peur de cette minorité de personnes ultra-violentes qui terrorisent la majorité des pauvres gens"
Ses parents s'expriment après la mort de ce jeune homme de 26 ans, poignardé alors qu'il volait au secours de son meilleur ami agressé par des racailles armées.
"Dans une interview accordée au Dauphiné Libéré, les parents d’Adrien Perez - le jeune homme de 26 ans tué d’un coup de couteau dimanche matin à Meylan - évoquent longuement la mémoire de leur fils et se disent révoltés par ce drame. « Il y a eu Grégory [Baharizadeh] à Échirolles, il y a mon fils aujourd’hui. On pourra toujours organiser des marches blanches pour tenter de mobiliser l’opinion, cela ne servira à rien. Car il y aura encore d’autres victimes : une jeune fille demain, une grand-mère ensuite. Et cela ne s’arrêtera jamais. Le niveau de violence dans l’agglomération grenobloise est inadmissible. La police et les gendarmes font tout ce qu’ils peuvent, mais la vérité, c’est que l’Etat a peur de cette minorité de personnes ultra-violentes qui terrorisent la majorité des pauvres gens dans les quartiers », estime notamment Bruno Perez, le père d’Adrien.
« Mon fils a tenté de venir au secours d’un couple d’amis qui était pris à partie par les agresseurs. C’est en venant les aider qu’il a été tué. Il a fait preuve d’héroïsme. Ni lui ni ses copains n’étaient évidemment armés, alors que les autres avaient des couteaux. Mais comment est-il possible que des gens puissent entrer dans une discothèque en étant armés ? », s’interroge, effondrée, la mère d’Adrien, Patricia" (suite).
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Face à la violence des migrants, l’Europe ne doit plus subir mais agir !
Par Anthony Grange, contributeur pour Les Identitaires ♦
Les images sont choquantes. Le 26 juillet, des centaines de migrants africains montent à l’assaut de la frontière espagnole, à Ceuta. Le terme « assaut » est bien celui qui convient, car les clandestins sont entrés par la violence, en agressant les gardes civils espagnols au moyen d’armes chimiques artisanales.
Ils avaient des pierres et des bâtons, qu’ils n’ont pas hésiter à utiliser dans leur attaque. Ils ont même jeté des récipients d’excréments pour favoriser leur progression. Ils ont balancé de la chaux vive au visage des gardes civils espagnols, ce qui peut provoquer de graves lésions, notamment aux yeux. Ils ont employé des sprays enflammés, s’en servant comme des lance-flammes artisanaux.
Cet assaut, son organisation, les armes employées, font que nous ne sommes plus dans le registre de l’immigration clandestine ou de la délinquance. Il s’agissait d’une violation claire et caractérisée de la souveraineté de l’État espagnol par l’usage de la violence contre ses représentants.
Bref, d’un acte de guerre.
Qu’il n’y ait pas d’État ou d’entité juridique derrière cet assaut ne change rien à l’affaire. Les attentats du 11 septembre n’étaient pas le fait d’un État, ils ont pourtant été unanimement reconnus comme étant des actes de guerre.
L’assaut du 26 juillet, quoi qu’extrêmement différent dans ses moyens et ses conséquences, n’en relève pas moins d’un acte de guerre mené contre un État souverain.
La frontière de Ceuta ne peut donc plus relever du droit commun, ni de la police.
La Guardia Civil et les policiers espagnols ont pour mission d’appréhender criminels et délinquants, ils ne sont pas dans l’état actuel des choses en mesure de lutter contre des groupes de centaines de migrants clandestins qui utilisent des armes chimiques pour forcer les frontières.
De nombreux moyens de force intermédiaire, non létaux mais plus puissants que ce qu’une démocratie peut mettre à disposition de sa police, peuvent être utilisés par les militaires pour faire face à pareils assauts. De tels moyens sont déjà employés par les forces armées de démocraties occidentales pour faire face aux situations de crise. Il faut donc renforcer la militarisation des frontières extérieures de l’Europe et donner à ceux qui en ont la charge les moyens d’effectuer efficacement leur mission.
Cela passe aussi par une évolution du cadre légal car face à un acte de guerre comme l’était l’assaut du 26 juillet, le droit commun n’est plus adapté. Un droit d’exception apparait aujourd’hui plus que jamais nécessaire. Il faut que les clandestins qui s’introduisent de force à Ceuta ne puissent plus, en aucun cas, déposer de demande d’asile. La violence employée, en plus du reste, les disqualifie d’office de toute prétention d’accueil sur le territoire espagnol ou européen.
Il est totalement inacceptable qu’après avoir agressé et blessé des gardes-frontière espagnols, les clandestins paradent triomphalement dans les rues de Ceuta.
Ceuta, au même titre que Melilla, que la Grèce, ou que Lampedusa, ne doit pas être considéré comme un problème strictement espagnol. Les clandestins qui ont forcé les frontières espagnoles ne cherchent pas spécifiquement à s’implanter dans la péninsule ibérique : ce qu’ils visent, c’est bien l’Europe. Il y a fort à parier qu’un grand nombre d’entre eux chercheront à s’installer en France, en Allemagne, ou en Suède, voire tenteront de rentrer en Angleterre et se retrouveront bloqués à Calais où la violence ne cesse d’augmenter.
Il ne faut donc pas que seule l’Espagne ait à prendre en charge les frais inhérents à la défense de cette frontière. Les États européens devraient proposer leur aide au gouvernement espagnol, qu’elle soit financière, matérielle, voire même par l’envoi d’hommes.
Si ces mesures de bon sens, tout à fait applicables par une démocratie respectueuse des droits et libertés de ses citoyens, ne sont pas mises en œuvre, il est à craindre que l’assaut du 26 juillet ne soit que le prélude à une montée de la violence. Il est probable que, dans les camps de migrants qui entourent Ceuta et Melilla, le résultat de l’assaut du 26 juillet soit connu et qu’il en encourage déjà d’autres à retenter l’expérience.
Les migrants savent dorénavant qu’ils peuvent faire usage de la violence contre les gardes civils. Ils savent qu’ils peuvent agresser, casser, brûler même des policiers espagnols, et que cela restera sans conséquence. Ils savent que, quels que soient les moyens mis en œuvre, leur intégrité physique ne sera jamais réellement menacée. Ils savent que, peu importe la violence dont ils font preuve, ils seront de fait acceptés en Europe, et jamais expulsés.
Ils savent, en fait, que la violence et la casse sont récompensées.
Il est urgent que cela change.
Anthony Grange 02/08/2018
Source : Les-Identitaires.com
Crédit photo : Capture Youtube
https://www.polemia.com/face-a-la-violence-des-migrants-leurope-ne-doit-plus-subir-mais-agir/
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Le Monde change son titre : « L’inquiétante radicalité des jeunes musulmans » devient « L’inquiétante radicalité d’une minorité de jeunes »
Le titre d’un article publié ce matin, « L’inquiétante radicalité des jeunes musulmans » (encore visible dans l’url de l’article, dans Google et Google News) est devenu « L’inquiétante radicalité d’une minorité de jeunes »