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anti-national - Page 632

  • Merkel affaiblie après l’accord européen sur l’immigration, par Olivier Bault

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    Le président français Emmanuel Macron s’est sans doute félicité un peu vite de l’accord obtenu à l’arrachée à l’aube vendredi matin au Conseil européen de Bruxelles. Dès le week-end, l’on s’est aperçu que chacun interprétait différemment les termes (vagues) de l’accord. Ainsi, pour les centres contrôlés – nouveau nom donné aux centres de tri, ou hotspots –, qui pourront être ouverts dans différents pays sur la base du volontariat, les Italiens ont eu la mauvaise surprise d’entendre très vite le président français leur expliquer que, la France n’étant pas un pays de première arrivée, il n’y a pas de raison d’ouvrir de tels centres sur son territoire. Autrement dit, tout reste comme avant, et c’est pourquoi les Italiens n’ont pas l’intention de rouvrir leurs ports désormais interdits aux navires des ONG, et c’est tant mieux !

    De la même manière, Angela Merkel avait, semble-t-il, cru comprendre au cours du sommet – peut-être était-ce la fatigue – que quatorze pays européens, dont les quatre de Visegrád, lui avaient promis qu’ils négocieraient avec elle des accords bilatéraux pour reprendre à l’Allemagne les « migrants » passés par leur territoire. C’est en tout cas ce qu’elle a annoncé dans une lettre expliquant les conclusions du dernier Conseil européen aux partenaires de sa coalition : la CSU, parti frère bavarois de son propre parti CDU, et le SPD social-démocrate. Mais dès que l’information a été reprise dans les médias allemands dimanche, les pays « de l’Est » concernés ont apporté un démenti cinglant à la chancelière.

    Le ministre de l’Intérieur allemand Horst Seehofer, chef de la CSU, avait prévenu Mme Merkel il y a deux semaines, lorsque celle-ci s’était opposée à son plan de refoulement systématique aux frontières de l’Allemagne des immigrants déjà enregistrés dans un autre pays de l’UE : si elle ne revenait pas du Conseil européen avec un accord correct, permettant de lutter efficacement contre l’immigration clandestine à l’intérieur de l’UE, il démissionnerait. Après s’être réuni avec son parti dimanche, le ministre a donc annoncé son intention de démissionner, estimant que l’accord vanté par Macron serait « inefficace ».

    Seehofer n’a toutefois pas été suivi par son parti et ce n’est pas non plus la première fois depuis 2015 qu’il menace la CDU de rupture. Lors d’une réunion entre eux lundi, les leaders de la CDU et de la CSU ont réaffirmé leur volonté de gouverner ensemble. S’en est suivie une réunion « de la dernière chance » entre Seehofer et Merkel lundi soir, à l’issue de laquelle un compromis a été annoncé. Les contrôles à la frontière avec l’Autriche seront renforcés, et les immigrants y seront orientés vers des centres fermés en attendant de vérifier leur statut. Ceux qui auront déjà été enregistrés dans un autre pays de l’UE ou déjà déboutés du droit d’asile seront alors renvoyés en Autriche.

    Les politiques européennes ayant échoué, notamment en raison du refus de Berlin et Paris – malgré les appels en ce sens des ex-pays de l’Est et de l’Autriche – de mettre en place de vraies politiques de lutte contre l’immigration illégale comme l’a fait l’Australie depuis 2013, on s’oriente vers des politiques nationales avec des coopérations intergouvernementales dans le style de celles qui ont conduit à la fermeture de la route des Balkans début 2016. Même Mütti Merkel s’y met, pour conserver son poste…

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 3 juillet 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Affaire des « dix membres de l’ultradroite » : la montagne accouche d’une souris

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    Source Contre-info cliquez ici

    C’est désormais officiel, le tapage médiatique qui a duré une demi-semaine pour expliquer au bon peuple que : « tout comme les jihadistes (qui ne sont pas de vrais musulmans), les grands méchants de l’extrême-droite (qui sont de bons Français), peuvent commettre des meurtres de masse au nom d’une l’idéologie mortifère », était un bourrage de crâne journalistico-judiciaire.

    Finalement, on apprend par le procureur que le fameux passage à l’acte violent « demeurait toutefois imprécis à ce stade » (cf France Info). En clair, il n’y avait aucun passage à l’acte de prévu… Et les fameuses craintes de la DGSI ? Du flan…

    Le danger selon le procureur, est que l’AFO « proposait à ses membres des formations, notamment au combat et au secourisme, et des stages de survivalisme »… D’ailleurs la mise en examen des 10 militants pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » est un indice. Ce motif est qualifié de flou par nombre de juristes français (...)

    Le véritable crime de ces Français ne serait-il pas d’avoir anticipé les violences ethniques qui risquent d’éclater un jour dans notre pays, en se préparant à se défendre ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Du dérapage verbal d’un Président qui joue un peu trop à l’enfant terrible

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    Bernard Plouvier

    Génial Président Macron – vous savez bien : celui qui est en train de réduire le chômage des Français à la vitesse de l’éclair, celui qui donne des leçons de politique et de courtoisie à Poutine et à Trump, celui à quila notion de populisme donne de l’urticaire – se permet de parler de « Mafia bretonne ».

    Bien sûr, Emmanuel Macron n’a nullement voulu « offenser les Bretons ». On peut toutefois parier que jamais il n’aurait osé parler de Mafia juive qui pourtant existe bien, elle, ni de Mafia tchétchène, qui existe aussi, ni du sectarisme de certaine officine maçonnique… pourtant la notion d’influence politique d’une secte participe du même esprit mafieux : secret et coups fourrés, pouvant aller fort loin dans la canaillerie voire dans l’action directe, utilisation des titulaires de postes publics comme des agents d’influence, virtuosité dans la pratique de la corruption etc.

    Les comportements mafieux avérés, quotidiennement pratiqués dans notre beau pays :  trafics d’objets d’art volés, trafic de stupéfiants, traite des jeunes filles et de femmes vénales, voire d’individus de sexe indéterminable, certaines spéculations mobilières et immobilières, jeux et sports truqués, élimination des adversaires etc., tous ces comportements mafieux ne semblent guère interpeller la conscience de notre Grand Président.

    Non, il est plus simple pour lui de salir auprès d’un pape fin connaisseur – c’est un démagogue d’exception que le jésuite Bergoglio – une partie hautement estimable de la Nation française.

    Mafia bretonne ! Combien de milliardaires chez les agriculteurs bretons ? Combien de riches parrains de la drogue chez les Bretons ? Combien de canailles politiciennes, combien de trafiquants de « chair fraîche », combien de racketteurs, combien de tueurs à gages en Bretagne ?

    Génialissime Président a énormément d’excuses à présenter à la Nation française pour avoir sali à l’étranger une partie de notre Nation et une partie qui a joué un grand rôle dans l’histoire de France. Mais qu’est-ce que peut bien représenter l’Histoire de France pour un globalo-mondialiste ?

    Les marins, les paysans, les soldats, les artisans, les industriels bretons ont joué un plus beau et plus grand rôle dans notre histoire que bien des financiers d’origine cosmopolite au comportement de mafieux, ou que les importateurs de haschisch, cocaïne, morphine, héroïne, ecstasy ou les autres merveilles de la chimie « bizarre », pas vraiment bretonne.

    Génialissime Président ferait bien d’apprendre à se taire lorsqu’il tient absolument à briller en public et surtout à l’étranger. Faire rire aux dépens de la Nation française, même un De Gaulle, général de guerre civile, n’avait pas osé le faire. Ce qui fait rire les courtisans et l’épouse de Super-Macron fait grincer des dents le « Bon Peuple » qui commence à être excédé.

    Si Grand Président veut laisser un nom dans l’histoire de France, c’est en agissant, non en faveur des riches, mais en faveur des nombreux chômeurs autochtones qu’il doit le faire, en luttant contre l’insécurité et le racisme anti-Blancs, mais en aucun cas en continuant d’importer inutilement des laissés pour compte d’autres continents.

    Au lieu de jouer au potache en goguette, qu’il nous montre s’il est capable de diriger le pays. Sinon, qu’il s’en aille.   

  • Terrorisme d’ultra droite : le coup de com’ !

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    Par Fabrice Fanet, colonel (ER) de gendarmerie 

    24 juin 2018, gazouillis digital du ministre de l’Intérieur Gérard Collomb : « Interpellations d’individus liés à l’ultradroite, soupçonnés de passage à l’acte : je salue l’engagement constant de la DGSI qui veille au quotidien à la protection des Français face à toute action violente, d’où qu’elle vienne. » Nous voilà rassurés, les actes sanglants et répétés des terroristes islamistes sur le sol français n’ont pas fait oublier à nos responsables politiques que « la lèpre qui monte » en Europe, « le nationalisme qui renaît »dénoncés récemment par Emmanuel Macron sont un danger menaçant notre sécurité.

    Gérard Collomb
     
    @gerardcollomb

    Interpellations d'individus liés à l'ultradroite, soupçonnés de passage à l'acte : je salue l'engagement constant de la DGSI qui veille au quotidien à la protection des Français face à toute action violente, d'où qu'elle vienne.

    Pourtant les bilans de ces dernières années semblent déséquilibrés puisque du côté des fameux terroristes de l’ultradroite aucun mort ne peut être comptabilisé alors que plusieurs centaines de morts et blessés sont imputés aux terroristes islamistes. Qu’à cela ne tienne ! Il faut terrasser la bête immonde dès qu’elle pointe sa gueule hérissée de crocs assoiffés de sang… qui semblent heureusement bien incapables de mordre sérieusement qui que ce soit !

    La diversion face à l’impuissance publique

    En fait, il est bon de faire diversion et cacher que l’on est faible avec les forts en étant fort avec des faibles que l’on présentera comme redoutables, bien entendu ! Ah, ces politiques à la sauce  « Gendarmes de Saint-Tropez », quels maîtres étalons !

    Et au simple citoyen qui, constatant l’impuissance publique, revendiquera la légitime défense de ses valeurs et de sa sécurité, il  lui est rappelé fermement depuis de nombreuses années qu’il n’a pas le droit de toucher aux  prérogatives de l’Etat qui revendique le monopole de l’usage légitime de la force alors qu’il la met mal et insuffisamment en action pour protéger ses citoyens.

    Pourtant les privilèges exorbitants de l’Etat, ses rentes de situation, son efficacité  très contestable et ses coûts exorbitants sont de plus en plus dénoncés. Récemment, la Cour des comptes a appelé l’attention sur le rapport coût/efficacité de la Police et de la Gendarmerie dans son référé n°S20180532 transmis le 13 mars 2018 au premier ministre. La haute juridiction souligne l’accroissement inquiétant des dépenses de la mission Sécurités compte tenu d’une augmentation de la masse salariale alors que la durée du travail se réduit. Là comme ailleurs, on a acheté la paix sociale à coups de mesures corporatives  démagogiques.

    Autre signe de la rouerie de l’Etat dans l’exercice de ses missions régaliennes de protecteur de la sécurité et de la liberté, les autorités interdisent périodiquement  des manifestations  dénonçant sa mollesse et son absence d’efficacité notamment dans le domaine de l’immigration. La puissance publique fonde les interdictions de manifester en arguant de son  impuissance à éviter de possibles troubles provoqués par des contre-manifestants ! Cela revient à se prévaloir sans vergogne de ses propres turpitudes, en l’occurrence son inefficacité, pour se protéger de toutes remises en cause. Sublime !

    Face à l’islamisme, le sacrifice comme seul horizon ?

    Illustrant encore cette dégénérescence de l’Etat, l’aventure tragique du Colonel Arnaud Beltrame offre un condensé éclairant de l’esprit de notre époque et de la dissolution de l’autorité publique.

    Disons le tout de suite, analyser froidement le tragique geste individuel de cet officier de Gendarmerie  est de facto interdit et  vous fait passer pour un affreux  cynique. En effet, alors que « faire pleurer dans les chaumières » est le ressort le plus utilisé pour manipuler l’opinion, c’est évidemment faire preuve de révisionnisme inadmissible que de ne pas souscrire aveuglément à l’histoire officielle édifiante qui nous a été contée. Il est vrai que cet acte avait, sous le coup de l’émotion, un aspect remarquable, un Français de souche serait encore capable de mourir pour ses idées !

    Cependant, on pourrait se demander, mais ce n’est pas l’objet de cet article, ce qui a poussé psychologiquement cet officier expérimenté à prendre de tels risques et à ne pas appliquer  les modes opératoires d’intervention qu’il ne pouvait ignorer et qui reposent évidemment sur un courage exemplaire qu’il possédait mais aussi sur une technicité individuelle et collective éprouvée, un entraînement intensif et l’humble acceptation d’être un simple rouage d’un dispositif tactique complexe.

    En tout état de cause, force est de constater que nous sommes en présence d’un officier qui n’a pas obéi (bien sûr, en toute bonne foi et pour la bonne cause) aux règles professionnelles d’intervention et qui a malheureusement échoué.

    Il est vrai que ce geste force l’étonnement et le respect, qu’il rappelle l’exemple chrétien du martyr démontrant « qu’il n’est pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime ». Mais ne peut-on encore mieux donner sa vie en la préservant afin de vivre encore et encore pour la donner tous les jours ? Toutefois la vocation d’un gendarme n’étant pas d’être un martyr, on peut se demander si ce fait d’arme qui s’inscrit dans une tradition bien française de glorification des morts… et des défaites, contribuera à vaincre le terrorisme islamiste, à sauvegarder les valeurs françaises et à convaincre les musulmans  assimilés ou voulant l’être  qu’ils peuvent compter sur la protection de la République contre les terroristes islamistes.

    Mais le politique fait feu de tout bois, surtout quand il est aux abois. Faute de vouloir réellement combattre les causes de ce mal français qui prend naissance avec la résolution hâtive et maladroite de la question algérienne et se poursuit avec les errements de l’idéologie immigrationniste néfaste tant pour les immigrés que pour les populations indigènes, le pouvoir politique sous influence du mondialisme financier et du gauchisme tiers-mondiste a  trouvé dans ce geste spectaculaire un opportun paravent faisant oublier son impuissance et son irrésolution à coups de « com’ » et de clairons. Héros national ! Circulez, il n’y a rien à dire !

    Des coups de com’ pour défendre l’oligarchie

    Car cette « com’ » omniprésente et unidirectionnelle veille à l’endormissement des esprits et à la préservation des intérêts oligarchiques.

    Mais c’est une « com’ » qui échoue. Seulement 25 % des Français pensent que les journalistes résistent aux intérêts politiques et financiers. La crédibilité des médias est au plus bas avec celle des politiques, même si une propagande anesthésiante nourrie par la consommation de masse et l’affaiblissement du sens critique inculqué par l’éducation nationale au service du politiquement correct tente désespérément de sidérer les cerveaux.

    C’est pourquoi la survie de ce piteux Etat, qui fait tout « com’ » au lieu d’agir, ne pourra tenir longtemps face à la pression des réalités et des menaces vitales qui assaillent la France.

    Acta non verba !

    Colonel de gendarmerie (er) Fabrice Fanet 28/06/2018

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Par Domenjod [CC BY-SA 4.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/terrorisme-dultra-droite-le-coup-de-com/

  • Les (vrais) ennemis de l’Europe

    europe-tableau-Delecluze.jpgAngela Merkel a voulu l’immigration torrentielle mais ce choix idéologique s’appuyant sur de fumeuses considérations économiques et démographiques,   est en train de faire imploser la scène politique allemande, fragilisant un des (seuls) piliers de l’Europe bruxelloise. Faute d’avoir obtenu de la chancelière une inflexion très  ferme  de la politique migratoire, les conservateurs de la CSU, alliés aux chrétiens-démocrates de la CDU de Mme Merkel  au sein d’ une brinquebalante coalition  gouvernementale, ont menacé de claquer la porte. Les avancées brandies par Mme Merkel dans la foulée du dernier Conseil européen,  -plateforme de débarquements  des immigrés illégaux sur les côtes africaines  de la Méditerranée dans des pays volontaires , centres d’accueil contrôlés sur le territoire de l’UE- mais aussi l’annonce par la chancelière de l’accord  signé entre  Berlin et  14 pays pour y raccompagner  les immigrés clandestins qui y sont enregistrés,  n’ont pas convaincu   outre mesure.

    Horst Seehofer, dirigeant de la CSU  et ministre de l’Intérieur, en conflit ouvert  avec Angela Merkel depuis son  entrée au gouvernement , a déclaré  dimanche soir  qu’il envisageait   d’abandonner tous ses mandats, signifiant par là qu’il  prenait  la mesure de son incapacité à agir, mais aussi du  ras-le-bol populaire. Une dépêche reuters résume les raisons de cette crise: «La direction de la CSU  qui milite pour un durcissement de la politique migratoire face à la poussée électorale du parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AfD) en prévision des élections régionales du mois d’octobre, se réunissait ce dimanche pour arrêter sa position en la matière. Horst Seehofer a déclaré qu’il ne voyait pas d’autre alternative que de renvoyer certains migrants à la frontière allemande, position qui l’a mis en conflit avec Merkel.»

    In extremis, souligne une dépêche de l’Afp,   « Angela Merkel a finalement réussi à préserver sa coalition en concluant lundi soir à l’arraché  un compromis (avec son ministre de l’Intérieur) restreignant fortement la politique migratoire du pays. Le compromis trouvé prévoit l’instauration de  centres de transit  à la frontière entre l’Allemagne et l’Autriche. C’est là qu’y seront installés à l’avenir les demandeurs d’asile arrivant dans le pays mais déjà enregistrés dans un autre Etat européen – c’est à dire la quasi-totalité d’entre-eux – en attendant leur expulsion vers le pays d’entrée.»

    Cela suffira-t-il  à désamorcer la bombe à retardement que constituent  les centaines de milliers d’ immigrés peu ou pas assimilables qui campent sur le  sol allemand et quid de l’application concrète de cette mesure?  Les Allemands jugeront bientôt de l’efficacité de ce dispositif,  M Seehofer relayant comme l’AfD  le sentiment très répandu (et très réel) selon lequel  l’immigration a engendré outre-Rhin  une explosion de la  criminalité comme en témoigne une accumulation de faits divers sordides – viols à répétition, vols avec violence de personnes âgées ou fragiles,  meurtres…

    Déjà,  en octobre 2015, Horst Seehofer, soucieux de ne pas laisser à l’AfD le monopole de la contestation, avait  dénoncé  la politique d’invasion migratoire de la chancelière allemande  en présence du chef de l’Etat hongrois,  Viktor Orban. Il avait  même menacé de fermer les frontières de son land de  Bavière en cas de poursuite de cette invasion… Mais les lanceurs  d’alerte et autres dirigeants politiques soucieux  de la vox populi sont toujours dans le collimateur de la gauche morale et des grandes consciences bruxelloises. Sur le site euractiv  l’opposant à Viktor Orban  Gergely Karácsony,  qui a lourdement  échoué  aux législatives d'avril dernier,  la coalition de la gauche obtenant seulement  12 % des voix,   vient de demander  à l’UE « de cesser de financer les politiques eurosceptiques et populistes. »

    « Le fait qu’Orbán calomnie l’Union européenne avec de l’argent qui vient de l’UE, et alors que la Hongrie fait partie de l’UE, est frustrant pour l’opposition europhile » « Il faudrait un système où ce ne sont pas les gouvernements nationaux qui décident de l’utilisation des fonds européens, mais l’UE elle-même » explique doctement ce socialiste hongrois.   Cette demande de mise sous tutelle des mal-pensants  n’est pas nouvelle.  Ils se trouvent même de bonnes âmes pour contester la possibilité même d’autoriser  à siéger nationaux, populistes,  eurosceptiques  du fait de leur hostilité à l’euromondialisme. Le socialiste Martin Schulz, ex président  du parlement européen,  un des principaux initiateurs des persécutions judiciaires que subissent toujours  les députés frontistes,  demandait pareillement qu’il n’y ait pas  d’argent pour « les ennemis de l’Europe».

    Eurocrates qui sont  tenaillés par la peur des réactions populaires, des expressions démocratiques  qu’il s’agit encore et toujours de museler ou d’éviter. Rappelons-nous de  Pierre Moscovici, commissaire aux affaires économiques, qui  déclarait en   septembre 2016, trois mois après le Brexit, «qu’un référendum sur l’Europe est une très mauvaise méthode»… Mais est-il encore possible de hurler au fascisme, au retour des heures les plus sombres, de la peste, de  la guerre,  du choléra, de hurler  à l’assassinat de l’idéal de Jean Monnet, René Cassin  et  Simone Veil quand le rafiot bruxellois est déserté, prend l’eau de toute part?

    Peut-on encore dénoncer  de manière hautaine  la subversion démocratique  quand les peuples ont  résolument tourné  le dos ces derniers mois  aux consignes de Bruxelles, d’Attali, de Soros, de Davos?  M. Macron impressionne-t-il grand monde quand il prend son air méprisant  pour fustiger  la   lèpre nationaliste?  Non,  le roi est nu.  Leçons de maintien  et menaces  n’ont pas empêché ces derniers mois nos voisins  de voter  en  faveur du  Brexit, de porter   au pouvoirs  nationaux-conservateurs, nationaux-populistes en Pologne, en Hongrie,  en Slovaquie, en Slovénie, en Autriche, en  Italie, sur fond de montée en Allemagne de la contestation nationale et de  présence de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle.

    Les  ennemis de l’Europe, constate Bruno Gollnisch,  ce  sont  pour les technocrates bruxellois et leur  relais  – et c’est un cas emblématique d’inversion accusatoire -,  tous ceux  qui  veulent introduire de vraies règles  de  protections sociales et  économiques dans la mondialisation , qui rappellent le bienfait des frontières, des souverainetés populaires,   qui entendent préserver  l’identité  ethnique , confessionnelle, culturelle des peuples européens. Serions-nous les seuls  sur la planète à avoir honte de ce que nous sommes, à ne pas vouloir le transmettre à nos enfants,  aux générations futures?.  Ce qui ne veut pas  dire   transformer  l’Europe en camp de concentration, la  fermer au monde,  se complaire dans le  repli  frileux, xénophobe  et mortifère,  comme  le disent caricaturalement les démagogues de la Caste européiste.  Notre vision  du devenir de l’Europe,  des patries libres, nos souhaits  nous cataloguent, paraît-il,   comme  des ennemis du genre humain.  Les adversaires  de l’opposition nationale ont cependant  radicalement échoué à convaincre et à prouver aux   européens que  leur  projet s’inscrit  du côté du bien, du bon, du  beau  et du vrai. 

    https://gollnisch.com/2018/07/03/les-vrais-ennemis-de-leurope/

  • Migrants – Marine Le Pen rappelle que “les ONG sont les complices des passeurs”

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    Marine Le Pen était l’invitée de RTL ce mardi 3 juillet 2018.

    Interrogée notamment sur la crise migratoire qui frappe l’Europe, Marine Le Pen a pointé du doigt la complicité des ONG dans ce drame humain :

    Il faut confisquer les bateaux des ONG qui sont clairement les complices des passeurs. Il faut arraisonner les bateaux de migrants qui partent, les mettre en sécurité et les ramener sur les rives de la Syrie ou de la Libye. De là où ils sont partis.

  • LA MANIPULATION MÉDIATIQUE SUR "LA CRISE DES MIGRANTS"

  • Petit rappel : Ces élus de Paris qui bénéficient de logements sociaux !

    "Je souhaite qu'aucun conseiller de Paris ne soit locataire d'un logement attribué par la Ville ou un de ses bailleurs", tweetait Anne Hidalgo en décembre 2013. Quelques heures plus tôt, Mediapart révélait que cinq adjoints de Bertrand Delanoë occupaient un logement socialSix mois plus tard, rien n'a changé ou presque. Des élus de Paris, à l'image d'Antoinette Guhl, adjointe EELV à l'économie solidaire, continuent de bénéficier des mêmes avantages. À une différence près : Anne Hidalgo a fait du logement sa grande priorité. Pas plus tard que lundi 23 juin, la maire présentait sa nouvelle politique du logement. Parmi les mesures phares ? Un nouveau système d'attribution des logements sociaux. Son but ? Rendre "plus fiable, juste, transparente et lisible" l'attribution des logements. 
    Obtenir un logement social à Paris relève de l'exploit. Et pour cause, il faut compter en moyenne 42 mois d'attente. En 2013, 148 000 Parisiens ont déposé un dossier en vue de l'attribution d'un logement socialselon la DRIHL (Direction régionale et interdépartementale de l'hébergement et du logement)Seuls 12 000 d'entre eux ont obtenu une réponse favorableUn faible taux qui n'empêche pas certains privilégiés de continuer à profiter de ces logements trop rares. Précision importante, à l'exception de Raphaëlle Primet, les élus incriminés sont tous locataires de logements sociaux financés par un prêt locatif intermédiaire, dit PLI. Une catégorie réservée aux familles dont le revenu annuel est compris entre 41 434 euros et 118 782 euros. 
    113 mètres carrés pour 1 900 euros, une affaire en or 
    Antoinette Guhl, adjointe à mairie de Paris et conseillère générale, occupe un appartement géré par la Régie immobilière de la Ville de Paris (RIVP) dans le 20e arrondissement. Dans cette résidence, calme et arborée, située à deux pas de Ménilmontant, elle bénéficie de l'un des plus grands appartements, à en croire ses voisins. Mais l'élue a bonne conscience. Selon les informations du Point.fr, c'est son mari qui a obtenu en 2001 ce logement en tant que fonctionnaire au ministère de l'Agriculture. L'appartement faisant partie du contingent préfectoral réservé à ces mêmes fonctionnaires. Le cumul des avantages ? Et des scandales... Contactée, Antoinette Guhl n'a pas donné suite à nos sollicitations. 
    Pas plus bavard, Didier Guillot, conseiller municipal PS du 18e arrondissement, n'a pas jugé utile de répondre à nos questions. Déjà épinglé par Mediapart (article payant) en 2013, cet élu vit depuis 2000 dans un appartement de 113 mètres carrés, géré par la RIVP, loué 1 900 eurosDans le privé, il lui en coûterait au minimum 2 500 euros. Chose aggravante, il s'agit là de son deuxième logement social. Didier Guillot avait obtenu le premier en 1997 alors qu'il était salarié du conseil régional d'Ile-de-France. 
    Conseillère de Paris déléguée à la petite enfance et à l'innovation citoyenne, Anne-Christine Lang bénéficie d'un logement social dans le 13e arrondissement parisien. Obtenu en 1999, lorsqu'elle n'exerçait aucun mandat, cet appartement de 110 mètres carrés serait là encore loué à un prix inférieur à celui du marché"Vous arrivez trop tard. Je suis déjà dans mes cartons", ironise-t-elle. Anne-Christine Lang a en effet prévu de quitter les lieux en juillet 2014. Une décision motivée par le départ du foyer familial de ses trois enfants et par sa nouvelle fonction de parlementaire. L'élue du 13e arrondissement ayant hérité en mai 2014 du siège de Jean-Marie Le Guen à l'Assemblée nationale, nommé dans le gouvernement de Manuel Valls. 
    La précarité d'un mandat politique 
    Mais tous ne sont pas aussi pressés de quitter leur logement. Conseillère Front de gauche de Paris et conseillère générale, Raphaëlle Primet occupe un appartement HLM "de base" dans le 20e arrondissement de Paris. Contactée par Le Point.fr, elle s'en défend : "Ma situation est très particulière. Mon mari est chômeur de longue durée. Je dois bientôt passer devant une commission. Il se peut que je sois contrainte de payer un surloyer", se justifie-t-elle. Mais Raphaëlle Primet n'est pas prête à quitter cet appartement obtenu au bout de dix longues années d'attente. Partir reviendrait à trahir ses électeurs"Cette mesure (voulue par Anne Hidalgo, NDLR) est injuste et populiste", conclut-elle. 
    Les élus de gauche ne sont pas les seuls à bénéficier de logements sociaux. Dans l'opposition municipale, Nathalie Fanfant, élue UMP du 20e arrondissement, bénéficie elle aussi d'un logement géré par la RIVP dans le 19e arrondissement. Jointe par Le Point.fr, elle indique être à la recherche d'un bien dans le privé. Mais pour l'heure, elle n'a pas dégoté la perle rare. La faute aux loyers prohibitifs. "Me priver de mon appartement reviendrait à interdire la politique à toutes les personnes gagnant moins de 10 000 euros par mois", réplique-t-elle. Avant de raccrocher, Nathalie Fanfant tient à rappeler "la précarité d'un élu pour qui une réélection n'est jamais assurée"Une précarité politique à 4 186 euros bruts par mois. 
    Du côté de l'Hôtel de Ville, tout est fait pour minimiser la situation : "Dès le premier conseil de Paris de cette mandature, nous avons fait voter une charte de déontologie très claire en la matière. Les élus ont quatre mois pour la signer. Dès l'été, une commission de déontologie va étudier au cas par cas les situations des conseillers de Paris. Elle sera saisie en priorité de la situation de ces élus. Nous leur demandons de lui fournir toutes les explications nécessaires. Si une irrégularité est constatée, il leur sera demandé de se mettre sans délai en conformité." Mais rien ne les obligera à faire leurs bagages. Ces élus ont obtenu leur appartement en toute légalité. Si bien qu'ils ne semblent pas réaliser l'ampleur du conflit d'intérêts dont ils se rendent coupables aux yeux des électeursC'est à croire que la Mairie de Paris est aveugle.
    Source

  • Le sacre de l'avortement

    6a00d83451619c69e2022ad357832b200c-800wi.jpgCe matin au Panthéon, Emmanuel Macron a chanté les louanges de Simone Veil en évoquant le crime abominable de l'avortement :

    "Pour les femmes meurtries dans leur chair, dans leur âme, par les faiseuses d'anges, pour les femmes qui devaient cacher leur détresse ou la honte, et qu'elle arracha à leur souffrance en portant avec une force admirable le projet de loi sur l'interruption volontaire de grossesse, à la demande du président Valéry GISCARD D’ESTAING et avec le soutien du Premier ministre Jacques CHIRAC."

    L'ACPERVIE-SOS-Maternité rappelle :

    "La cérémonie qui aura lieu au Panthéon, le 1er Juillet, a une signification plus grande qu’un jugement (très positif et très officiel) sur une personne. Elle est l’inscription dans le marbre d’une « vérité » issue d’une manipulation monumentale de l’opinion publique.

    Cette « vérité » est aujourd’hui prise comme telle par une immense majorité de personnes de bonne foi. Néanmoins, les Protestants et Évangéliques se souviennent, à l’évocation de cette manipulation (encore utilisée récemment en Irlande), de la parole de l’Écriture Sainte: «  Malheur à ceux qui appellent le mal, bien et le bien, mal/ Qui changent les ténèbres en lumière et la lumière en ténèbres/Qui changent l’amertume en douceur et la douceur en amertume » Esaie 5,20.

    Dans les années 1970, on avait un lobby, le Club de Rome. Dans sa vision: « croissance économique zéro, croissance démographique zéro », le démantèlement de l’industrie et la promotion du chômage n’étaient pas seuls (appuyés ou non par des considérations « écologiques »), il y avait malheureusement l’avortement, qui a été promu dans divers pays par des campagnes médiatiques intenses financées par des prédécesseurs de Soros (Rockefeller en tête de file). Ces campagnes livraient au public des chiffres fabuleux d’avortements par an, avec des femmes mortes par dizaines de milliers. Dans un but humanitaire, il fallait légaliser la « Santé reproductive », ce qui a multiplié le nombre réel des avortements par 5 à 7.

    Ainsi, en France, on avait parlé de 200 000 voire 2 millions d’avortements, avec 20 000 mortes.

    Voici textuellement ce qui était enseigné en Médecine Légale en 1966: " La seule statistique valable est due au juge d'instruction GOLETI qui avait relevé toutes les informations judiciaires qui s'étaient succédées entre 1947 et 1953,  relatives aux avortement criminels. Elle fait état de 350 à 492 informations par an, avec un nombre d'avorteurs inculpés variant suivant les ans entre 150 et 276. La même statistique en 1954 fait état de 460 avortements dont 45 mortels.

    Dans la Revue du Praticien du 11 Février 1974, on lit, sous la plume de E.Hervet, (p 639): "Aux entretiens de Bichat 1973, Monrozies fit un exposé, fortement nourri de statistiques, sur la mortalité et la morbidité comparative des avortements clandestins et des avortements légaux. Il plongea dans la stupéfaction et dans le désarroi les nombreux journalistes présents dans la salle, en indiquant des chiffres sensiblement voisins.

    "A ces journalistes qui demandaient, à l'issue de la conférence, des explications, il a été facile de dire qu'ils s'étaient laissés abuser pendant des années sur la gravité réelle de l'avortement clandestin. Ils avaient préféré entendre les voix qui dénonçaient cet avortement comme un fléau national avec son cortège de 6000 à 10 000 morts chaque année. Ils n'avaient pas entendu les voix, à vrai dire moins retentissantes, qui contestaient la réalité de ce massacre, et fixaient à quelques dizaine de morts les avortées, chaque année, c'est à dire à un chiffre cent fois moindre »."

    Michel Janva

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  • Merkel submergée par la vague migratoire – JT TVL 2 juillet 2018

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    1) Union Européenne / Merkel submergée par la vague migratoire

    La crise migratoire va-t-elle avoir raison d’Angela Merkel ? Après avoir été la tête de la politique des quotas de migrants à Bruxelles, la chancelière allemande est bousculée au gouvernement. La coalition ne tient plus qu’à un fil.

    2) Société / Limitation à 80km/h : En marche vers le racket

    Depuis dimanche 1er juillet, la limitation à 80km/h est effective. Une mesure dont l’impact sur la sécurité routière devrait être infime. En revanche, les contraventions vont pleuvoir.

    3) International / Mexique : la gauche prend le pouvoir

    Tremblement de terre politique au Mexique. Pour la première fois, le pays va être dirigé par un parti de gauche. Après deux tentatives échouées, Andres Manuel Lopez Obrador s’est imposé à la tête du pays.

    4) Société / Volontourisme : l’humanitaire égocentré

    5) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/2018/07/02/23949/merkel-submergee-vague-migratoire-jt-tvl-2-juillet-2018