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anti-national - Page 632

  • Obama sent le vent tourner et dénonce l’instrumentalisation de l’immigration par la « nouvelle élite internationale »

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    Parfois la réalité reprend le dessus, dans ce monde politique qui se drogue à l’utopie, de Merkel à Macron en passant par les Clinton. Barack Obama, lui, sent le vent tourner si l’on s’en tient à ses déclarations mardi en Afrique du Sud lors des 16es Rencontres annuelles « Nelson Mandela ». L’ancien président démocrate – et multiculturaliste incarné – a dénoncé cette « nouvelle élite internationale » confortablement installée à New York, Londres ou Shanghai, devenue, selon son nouveau discours, irresponsable à force d’exploiter « la force de travail à bas coût des migrants » sans se rendre compte de l’impact que ses décisions peuvent avoir sur les travailleurs d’origine. Obama se livrant à la dénonciation de l’instrumentalisation de l’immigration, quelle ironie !

    Obama a certes donné des gages à la bien-pensance occidentalophobe en affirmant que, quoique différente des aristocraties antérieures, cette « nouvelle élite internationale » et « la classe professionnelle qui la soutient » sont « encore majoritairement peuplées des mâles blancs ». Il parlait à Johannesburg devant les caciques du régime de l’ANC, lequel couvre un déchaînement de racisme anti-Blancs. « Un important pourcentage » d’entre ces personnages, a poursuivi Obama, « se qualifient d’hommes de gauche dans leurs engagements politiques » et « modernes et cosmopolites dans leur apparence, libérés de tout chauvinisme, nationalisme, préjugé racial ou fort sentiment religieux ».

    Obama sent le vent tourner et ne se limite pas à expliquer l’élection de Trump par l’intervention de Moscou

    La suite du propos semble montrer qu’Obama, homme issu de la gauche anticapitaliste et égalitariste la plus radicale, sent le vent tourner et ne s’en limite pas, comme le clan Clinton, à faire porter la cause de l’élection de Donald Trump sur les prétendues « manipulations » parties de Moscou. Parmi cette hyperclasse déterritorialisée, « certains ont pour héros Nelson Mandela ; certains ont même soutenu Barack Obama pour son élection à la présidence des Etats-Unis », a ironisé le conférencier, qui reconnaît que, « comme ancien chef d’Etat », il est désormais « membre honoraire du club ». De fait, l’ancien président mène un train de vie opulent depuis son départ de la Maison Blanche. En février 2017 il séjourna aux Iles Vierges en compagnie du milliardaire Richard Branson. Il retrouve Oprah et Bruce Springsteen sur le yacht à 590 millions de dollars du magnat de Hollywood David Geffen en avril de chaque année.

    Apparemment touché par la grâce du principe chrétien de subsidiarité, Obama a dénoncé le fait que « par leurs stratégies d’entreprises, de nombreux géants de l’industrie et de la finance sont de plus en plus détachés de tout pays, local ou national » et qu’ils « vivent de plus en plus isolés des luttes des gens ordinaires de leur pays d’origine ». Leurs décisions de fermer une usine, a-t-il nuancé, ou de profiter « d’une main d’œuvre immigrée à bas coût », sont souvent prises « sans vouloir faire le mal » et ne feraient selon lui que traduire « une réponse rationnelle aux contraintes budgétaires, à celles de leurs actionnaires ou encore de la concurrence ». Mais, objecte Barack Obama, « trop souvent, ces décisions sont prises sans aucune considération pour la solidarité humaine, ni intelligence pratique des conséquences supportées par une population donnée ».

    La nouvelle élite internationale « ne perçoit pas la rancœur du vieil ouvrier » dans sa volonté d’instrumentalisation de l’immigration

    Pour Obama, les membres de cette « nouvelle élite internationale » ne perçoivent souvent pas « depuis leurs séminaires en salles de conférence, la souffrance des travailleurs licenciés » et sont « imperméables à la rancœur d’un vieil ouvrier qui se plaint qu’un nouveau venu ne parle même pas sa langue sur le lieu de travail où il avait travaillé ». Si la globalisation et les technologies « ont ouvert de nouvelles opportunités », a complété Obama, « elles ont aussi chamboulé » les secteurs de l’agriculture et de l’industrie dans de nombreux pays, limité l’emploi de certains types de travailleurs et « brouillé les normes sociales économiques, traditionnelles et religieuses ».

    Il convient de rappeler qu’avant de devenir membre de cette « nouvelle élite internationale » et d’en adopter les mœurs et les manies, Barack Obama dut comprendre, pour se faire élire, les sentiments de nombreux habitants Américains d’origine des quartiers sud de Chicago. Il leur disait alors que lorsqu’il voyait « des drapeaux mexicains brandis dans des manifestations pro-immigration », il « ressentait parfois une vague de colère patriotique ». De même, quand il devait « utiliser un traducteur pour communiquer avec le gars en train de réparer (sa) voiture », il « éprouvait une certaine exaspération ».

    Obama, élève de Saul Alinsky et tolérant envers Louis Farrakhan, ne fit rien de sérieux contre l’immigration

    Obama, manifeste ainsi un « en même temps » macronien et parfaitement opportuniste. Il fut un admirateur des travaux du gauchiste radical Saul Alinsky et son ouvrage Rules for Radicals. Il soutint l’organisation en 1995 de la « Marche d’un million d’hommes » menée par Louis Farrakhan, le haineux gourou de Nation of Islam. Durant ses huit années de mandat, rien ne fut entrepris de sérieux contre la submersion de main d’œuvre illégale et à bas coût – à forte coloration mafieuse – en provenance d’Amérique centrale. Devenu président, Obama signa la loi « DACA » qui offrait une amnistie temporaire et des permis de travail à des immigrés clandestins appelés à l’époque les « Dreamers » (rêveurs) par la classe bobo qui ne raisonne que par l’émotion immédiate.

    Tout en continuant d’affirmer qu’aux Etats-Unis comme en Afrique du Sud les discriminations raciales « existaient toujours » – sans nommer le racisme anti-Blancs qui ravage ce dernier pays – et en gémissant d’être devenu aussi riche, Barack Obama a décrit le temps présent comme « étrange et plein d’incertitudes ». A l’évidence, les siennes sont devenues flagrantes.

    Matthieu Lenoir

    https://reinformation.tv/obama-instrumentalisation-immigration-nouvelle-elite-internationale-lenoir-86500-2/

  • En France, fêter la victoire voudrait donc dire aussi… agresser les femmes ?

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    Le Point, France Info, BFMTV, Le Parisien, Le JDD, Closermag, le Dauphiné, Madmoizelle, Madame Figaro, l’Obs… la liste des  journaux évoquant cet épineux sujet s’allonge, même si une fois de plus, ce ne sont pas eux qui ont levé le lièvre mais les réseaux sociaux : sur Twitter, pour rassembler les nombreux témoignages livrés ça et là de façon désordonnée, a été lancé le hashtag #MeTooFoot. Vous avez compris.

    Nombre de jeunes femmes qui avaient souhaité se joindre à la foule dimanche soir, dans les bars ou sur les Champs-Élysées ont vite déchanté et rebroussé chemin. Quand elles le pouvaient encore : « La coupe du monde m’a rappelé qu’en tant que femme, je reste parfois une proie », « je me débattais en pleurant », « Je le repousse, il me prend par le cou en me disant :  c’est la victoire, qu’est-ce que tu attends ? » , « Je suis mal, très mal », «j’avais envie de pleurer d’énervement ».

    Voilà. L’écriture inclusive n’y peut rien. L’éradication des cartables roses non plus. Tous les bouquins de Marlène Schiappa encore moins : le premier droit de la femme devrait être celui d’évoluer librement où elle veut, dans la rue, les bars ou les transports en commun, quand elle veut, le matin, dès potron minet ou le soir, entre chien et loup, et si cela lui chante. Mais l’égalité entre homme et femme ne peut se concevoir que si une toute petite chose, purement matérielle, qui fait défaut à cette dernière et que l’on appelle la force physique, n’est pas toute puissante dans l’espace public. Et elle le devient sitôt qu’une société, par laxisme, paralysie, inconscience, idéologie, retourne à la loi de la jungle autrement appelée… celle du plus fort.

    Mais que croyait-on, au juste ? Que des petites frappes alcoolisées et agressives, cognant les passants, défiant les forces de l’ordre, saccageant les voitures, brisant les devantures et pillant les magasins allaient s’incliner, devant les jeunes filles en fleur, comme des gentlemen déférents : « mais après vous, mademoiselle ! ».

    Prise en étau entre une population masculine autochtone biberonnée à l’école libertaire – qui a dérégulé les relations hommes-femmes pour une plus grande fluidité du commerce sexuel (au vieux sens du terme), comme l’école libérale a dérégulé les relations marchandes pour une plus grande fluidité du commerce tout court, conduisant, dans l’un et l’autre cas, à plus de brutalité et moins de protection pour le (la) plus faible -, et une population masculine allochtone dont le regard sur la femme n’est pas culturellement le nôtre – et qui jauge péremptoirement la vertu de celle-ci à l’aune de critères qui nous sont étrangers -, ne pouvant compter, pour plaider sa cause en haut lieu, que sur un bataillons de féministes sourdes et aveugles à cette enclume comme à ce marteau, la femme est parfois, disons-là, bien seulette. Et le soir de la coupe du monde, elle n’était pas à la fête. Comment s’en étonner ?

    Gabrielle Cluzel

    http://www.bvoltaire.fr/en-france-feter-la-victoire-voudrait-donc-dire-aussi-agresser-les-femmes/

  • De quoi Alexandre Benalla est il le nom ?

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    Jean-François Touzé

    membre du Bureau politique du Parti de la France

    Alexandre Benalla est une racaille. Une racaille comme il y en a tant dans les milieux de la sécurité. Une racaille entrée dans la lumière du Président de la République sans, pour autant, quitter l'ombre des basses besognes de la mafia institutionnelle.

    En soixante ans d'existence la Cinquième République nous a habitués à ces «chargés de mission » qui, par la grâce du SAC gaulliste, des réseaux giscardiens, des cellules mitterrandiennes ou des cabinets noirs chiraco-sarkozistes, bénéficiaient, pour les uns de cartes barrées de tricolore, pour les autres de coupe-files officiels, pour tous de l'impunité d’État.

    Savoir, dans ces conditions ce que faisait Benalla le 1er mai place de la Contrescape dans le cinquième arrondissement de Paris, et qui lui a fourni le brassard «police" qu'il arborait fièrement ce jour là en tabassant ce manifestant gauchiste sur les petits bobos duquel il va de soi que nous ne verserons pas de larmes, importe finalement assez peu. Tout comme reste relativement indifférent l'éclairage qui sera donné (ou pas) par la commission des lois transformée avec une étonnante rapidité en Commission d'enquête.

    La question est de savoir combien de temps encore les Français, une nouvelle fois instruits de la réalité de la République pourrie des coquins et des copains, continueront ils à s'en remettre à ce Système dépravé ?

    La question est de savoir combien de temps encore ils accepteront les méthodes et les mœurs de cette classe politicienne moralement dissolue ?

    La question est de savoir combien de temps encore ils reculeront le jour de l'échéance ultime qui permettra l’émergence d'un pouvoir de force et d'autorité ouvertement assumées en se tournant enfin vers la Droite nationale ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/07/20/de-quoi-alexandre-benalla-est-il-le-nom-6067435.html

  • Pénurie de médecins pour pratiquer des avortements

    C'est la bonne nouvelle du changement de génération : croyez-vous que des jeunes se lancent dans des études de médecine pour espérer un jour pratiquer des avortements ? Ce n'est pas vraiment une spécialité enviée... On parle régulièrement, outre du meurtre de l'enfant à naître, du traumatisme pour la mère, un peu moins du traumatisme pour le père (qui l'apprend parfois quelques années plus tard), mais très rarement du traumatisme des médecins qui doivent vérifier si les petits bouts d'homme déchiqueté sont bien complets...

    Au centre hospitalier du Bailleul, dans la Sarthe, il n'a pas été pratiqué d'avortement depuis le début de l'année, en raison du manque de praticiens. Le Dr Abdelhadi Maslho, chef du pôle ACME (Anesthésie Chirurgie et Mère Enfant) explique :

    « il nous manque un praticien, tant que ce poste ne sera pas comblé, nous ne pourrons pas assurer ce service. ».

    Au centre hospitalier, sur cinq gynécologues en poste, trois ont fait valoir leur clause de conscience.

    « La clause de conscience, c'est, pour le médecin, le droit de refuser la réalisation d'un acte médical pourtant autorisé par la loi mais qu'il estimerait contraire à ses propres convictions personnelles, professionnelles ou éthiques ».

    Suite au départ en retraite d'un praticien, il ne reste plus qu'un médecin en mesure de pratiquer l'avortement. Mais l'organisation du service suite à la vacance de ce poste ne le permet plus.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Christine Tasin & Daniel Conversano : Vive L'Europe qui résiste à l'islamisation ! (juillet 2018)

  • Les « invités » sur les radios : la droite nationale discriminée, par Guy Rouvrais

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    On s’en rendait compte en écoutant les émissions d’information, le matin, sur les grandes stations de radio : dans les interviews, les représentants du gouvernement et ses affidés se taillaient la part du lion. L’opposition, et surtout celle de la droite nationale, étant réduite à la portion congrue et, en tout cas, sa présence sur les ondes ne reflétant pas son importance chaque jour plus marquée dans le pays. Ce que l’on ressentait est objectivement confirmé par une étude du site Politiquemedia, publiée dans Le Figaro (18 juillet), l’enquête portant sur les interviews diffusées du 21 août 2017 au 13 juillet 2018.

    Les membres du gouvernement ont eu droit à 592 interventions, ceux qui le soutiennent, les élus de LREM, à 361, il faut leur ajouter les 43 de Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement qui détient, en outre, le record de passages par rapport à toutes les autres personnalités politiques. Au total, donc, les représentants du pouvoir ont vu le micro se tendre vers eux 996 fois, presque 1 000 ! A côté, les Républicains ont bénéficié de 464 invitations, le PS de 330, les Verts de 56, ce qui, pour ces derniers, les écologistes, signe leur influence déclinante dans le pays. Mais, là où gît le scandale, c’est le traitement discriminatoire infligé au Rassemblement national avec 152 prestations seulement, c’est-à-dire deux fois moins qu’un PS agonisant ne représentant plus rien et dont le candidat, Benoît Hamon, a recueilli 6 % des voix à la présidentielle tandis que Marine Le Pen en obtenait 3,5 fois plus, 22,1 % au premier tour, et plus de cinq fois au second avec 34 % des suffrages. Manifestement, les balances des médias sont totalement mais aussi délibérément faussées.

    Mais est-ce étonnant quand on sait que selon une consultation Harris Interactive pour le magazine Médias, 74 % des journalistes votent à gauche ? Ce sondage date de 2012 mais, à l’évidence, rien n’a changé depuis, ou, plutôt, si, mais en s’aggravant, l’ascension du Rassemblement national et le « risque » de son accession au pouvoir, ou même de l’emporter aux élections européennes, leur fait un « devoir » de se mobiliser. Au nom de leur choix partisan ? Pas du tout, vous répliqueront-ils, mais des droits de l’homme, l’alibi permanent de leur sectarisme.

    Quand vous voyez ou entendez quatre journalistes, sachez donc que trois sont de gauche et le quatrième peut être un libéral aligné sur la gauche culturelle comme beaucoup de ceux-là… C’est pourquoi, au-delà même de la sous-représentation des nationaux dans les interviews matinales, et en plus de ce scandale, ces gens-là diffusent du politiquement correct comme M. Jourdain de la prose. Dans leurs journaux radiophoniques, tout en prétendant à une information objective, ils parlent naturellement des « prisonniers politiques » pour désigner les terroristes corses détenus, du « délit de solidarité » pour l’aide apportée aux clandestins, et pour eux il va de soi qu’il faut dire « menace populiste » pour évoquer la montée du sentiment national chez les peuples d’Europe.

    Ces « matinales » sont suivies par plus de 17 millions de nos concitoyens entre 7 h et 9 h ; même ceux qui ne sont guère attirés par la politique et n’ouvrent leur poste que pour la météo d’abord, sont imprégnés par ce qu’ils saisissent à la volée de propos politiques. On en reparle au bureau, et il y a des reprises dans les autres médias au cours de la journée. C’est dire si ce qui relève de la propagande plus que de l’information à ce degré de distorsion entre les formations installées et la droite nationale bafoue l’équité et piétine la liberté d’expression en restreignant celle des patriotes.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 19 juillet 2018

    https://fr.novopress.info/211626/les-invites-sur-les-radios-la-droite-nationale-discriminee-par-guy-rouvrais/

  • Mesures confiscatoires contre le RN et la Ligue : il y a une vraie panique du système

    6a00d83451619c69e2022ad3824643200d-800wi.pngMarine Le Pen est interrogée dans Valeurs actuelles suite à la confiscation des dotations au parti italien de la Ligue de Matteo Salvini, quelques semaines après la saisie à titre conservatoire de deux millions d'euros par la justice française destiné à son parti :

    "Cette décision m’apparait aussi grave que celle qui frappe le Rassemblement National. Et ce pour deux raisons : la première, c'est que cette décision intervient sur la base d’une condamnation non définitive pour la Ligue. Et en ce qui concerne le Rassemblement National, cette décision intervient à un moment très sensible de pré-campagne européenne. Ces décisions privent la Ligue et le Rassemblement nationale de toute capacité d’activité politique. C'est une très lourde violation du fonctionnement démocratique et de nos Constitutions.

    Selon vous, ces décisions à quelques jours d'intervalle relèvent-t-elles de la coïncidence ?

    Si c’est une coïncidence, alors elle est extraordinaire ! L’intervention de l’arrêt de la Cour de cassation italienne intervient le 4, et notre saisie intervient le 5. Je pense très sincèrement qu’il y a une vraie panique du système, qui voit bien que l’Europe est en un train de basculer politiquement, et de rejeter l’Union Européenne. Tous les moyens sont bons pour tenter d’entraver les mouvements qui sont porteurs d’une révolution démocratique.

    En avez-vous parlé avec Matteo Salvini ? 

    Nous avons eu des échanges par cabinets interposés, et il est aussi scandalisé que je le suis de cette situation à laquelle nous attribuons tous les deux une coloration éminemment politique.

    Sur la saisie « conservatoire » des finances du Rassemblement national, où en êtes-vous ? 

    La souscription nous permet de gagner un mois, à pouvoir payer les salaires et le loyer du Rassemblement National. Mais en l’état, cela ne nous permet pas de tenir au-delà du mois de septembre, sauf si la chambre d’instruction annule la décision de la saisie des deux juges d’instruction.

    Qu’allez-vous faire si la somme vous est réellement confisquée fin août ?

    Je ne peux rien faire ! Aujourd’hui, on en appelle aux Français car, y compris ceux qui ne partagent pas nos opinion politiques, ils sont attachés au pluralisme politique. Et si la chambre d’instruction ne permet pas de mettre fin à cet abus de pouvoir, alors le Rassemblement National sera condamné. Son existence même est en jeu ! Ce qui n’empêchera pas nos idées d’exister, et nous de les défendre d’une autre manière. Ce serait une situation inédite dans une grande démocratie comme la France si le premier parti d’opposition devait disparaitre sur la base d’une décision conservatoire. Ce serait un choc, qui a mon avis dépasserait les frontières de la France et même de l’Europe.

    Imaginez que quelque chose comme ça se passe en Turquie ou en Russie, j’en vois certains qui dénonceraient et tireraient des conclusions sur le caractère totalitaire de tel ou tel régime. [...]"

    Ajoutez notamment à cela la loi en cours d'examen sur les fakes news (actuellement rejetée au Sénat) et vous arrivez à un cocktail de mesures liberticides dignes d'un Etat totalitaire.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Sébastien Meurant : « Il y a un lien entre immigration et délinquance »

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    Rapporteur spécial au Sénat du projet de loi Asile et immigration, Sébastien Meurant, sénateur LR du Val d’Oise, est revenu sur la politique française en matière d’immigration et d’asile.

    Que pensez-vous de la loi Asile et immigration ?

    La loi qui a été votée n’est pas du tout à la hauteur des enjeux.
    Or, ce sont des enjeux majeurs pour l’avenir de la France et de l’Europe. Nous l’avons vu récemment avec les élections successives. Ce qui s’est passé en Italie est également très intéressant. C’est un enjeu qui risque de faire éclater l’Europe.
    Avant tout, si on se place du point de vue français qui m’intéresse en premier lieu, c’est un enjeu civilisationnel. Sur un certain nombre de territoires, la France et les lois de la République ne sont plus respectées. Cet état de fait est directement lié à l’immigration.
    Le texte voté ne répondra à rien de tout cela. Pire, il élargit le regroupement familial. Cette loi favorisera l’envoi de mineurs qui seront exploités. On subventionne tout un tas d’associations dont le fonds de commerce est cette misère humaine. Nous sommes donc aujourd’hui complices du trafic d’êtres humains. C’est dramatique et tragique.
    L’État français est complice de cela. Nous savons très bien qu’en envoyant des signaux forts, comme le disait l’Italie ou comme l’avait proposé un Général italien, en une semaine les flux irréguliers en Méditerranée sont réglés.
    La France qui a une politique ambiguë est complice de cela. On ne veut pas accueillir l’Aquarius, mais on va accueillir les personnes qui sont dans l’Aquarius et qui veulent quitter l’Espagne pour venir en France. Et c’est bien normal qu’ils le veuillent puisque notre modèle social, qui prend l’eau de toutes parts, est une pompe aspirante énorme. C’est humainement compréhensible. En revanche, politiquement c’est suicidaire.
    Demain, l’Afrique doublera sa population. Que fait-on ?
    Devons-nous continuer à nous voiler la face en mettant de l’argent et des moyens qui sont évidemment insuffisants, car la misère dans le monde est grande ? Nous jouissons en France d’un modèle extrêmement généreux. Or, ce modèle-là est déficitaire et la perpétuation de ce système se fait à l’encontre des Français, car il y a un appauvrissement généralisé.
    Ce refus de voir la réalité est politiquement terrible. Je suis allé voir France terre d’asile. Cette association de 35 personnes en 1997 et aujourd’hui à plus de 900 personnes. Ce sont des fonds publics. Le rôle des parlementaires est d’aller voir comment sont utilisés les fonds publics, notamment en matière migratoire.
    La réalité est que l’immigration conduit à un appauvrissement du pays et à une augmentation de la délinquance. Évidemment, l’immigration n’est pas gratuite. Lorsqu’on supprime des classes dans certaines zones rurales, on en crée dans certaines zones périphériques. Évidemment lorsqu’aucun parent ne parle français, c’est plus difficile pour les enseignants. Il faut donc mettre des moyens, mais malheureusement, nous n’avons plus ces moyens actuellement.

    Faites-vous un lien entre immigration est délinquance ?

    Il suffit d’ouvrir les yeux et les oreilles et de visiter les prisons. Évidemment, on peut faire un lien entre immigration, délinquance et pauvreté. On peut également faire un lien avec les attentats terroristes islamistes. Évidemment qu’il y a un lien. Je rappelle simplement ce que monsieur Valls avait déclaré en octobre 2015. Il déclarait que nous ne faisions pas de tri entre migrants. Et peu de temps après, en novembre, il déclarait que des terroristes s’étaient glissés parmi les migrants.
    La réalité qui n’est autre que celle-ci, même si elle déplaît à certaines personnes. Croyez-vous que cela va s’améliorer si on ne change rien ?
    Cette question-là est majeure pour l’Europe, un continent vieillissant qui subit une immigration de masse. Ce qui se passe en Italie et en Allemagne est très intéressant.
    L’échec de Merkel en 2015, et de l’Europe, est d’avoir annoncé que nous allions accueillir 1 million de personnes sans demander aux pays membres. Or, une fois entrées dans l’espace Schengen, ces personnes vont où elles veulent. Et actuellement, l’Europe n’assure pas la sécurité des peuples européens. Nous avons confié à la Turquie l’essence même de ce que peut faire l’Europe, la sécurité, avec 6 milliards d’euros pour assurer la gestion des flux.
    La raison d’être de l’Etat est d’assurer la sécurité intérieure et extérieure du pays. Les deux sont liées. On voit que des personnes venant de l’extérieur peuvent perpétrer des meurtres de masse. Il suffit de revenir 20 ou 30 ans en arrière, c’était inenvisageable. On ne peut pas continuer comme cela. On ne peut pas continuer à accueillir comme cela des gens de l’extérieur qui veulent nous imposer leur façon de vivre, avec une vision de la femme incroyable et une religion qui pour certains est une religion du pré-Moyen-âge.
    Les questions de l’identité, de la religion, de la sécurité sont des questions majeures et essentielles.
    La loi immigration qui vient d’être votée ne changera rien. Elle peut apparaître avec la complicité des médias et de la gauche comme trop restrictive alors qu’en réalité, elle est plus permissive que ce qui existe. On est dans la communication et le » en même temps ». On essaie de séduire un peu la gauche et un peu la droite. Il ne faut pas prendre les Français pour des gogos.

  • Affaire Benalla : un sbire de Macron pris la main dans le SAC ? – JT TVL 19 juillet 2018

    1) Politique / Affaire Benalla : un sbire de Macron pris la main dans le SAC ?

    Alexandre Benalla, un membre de la garde rapprochée d’Emmanuel Macron, est accusé de violences en marge des manifestations du 1er mai. Le parquet de Paris a annoncé l’ouverture d’une enquête préliminaire ce jeudi, plus de deux mois et demi après les faits.

    2) Politique-media / Loi contre les Fake-News : un rejet de plus  

    Le projet de loi contre les fake news s’est fait un nouvel ennemi. Mercredi, la commission des loi du Sénat a rejeté les deux propositions de texte et dénonce un danger pour la liberté d’expression.

    3) Economie / Bruxelles s’attaque à Google

    4) L’actualité en bref

    Pour ceux qui n’arrivent pas à lire cette vidéo, regardez là sur RuTube (juste en dessous)

    Vidéo RuTube :
    https://www.tvlibertes.com/2018/07/19/24407/affaire-benalla-sbire-de-macron-pris-main-sac-jt-tvl-19-juillet-2018

  • Une taupe démasquée au Camp Jeune Nation…vigilance !

    Ce tweet a été publié le 16 juillet à 12 h 34  sur le compte de Yann Benedetti :

    « Une salope de journaleux de TV Presse Prod infiltrée au Camp Jeune Nation pour un reportage pré-vendu à C8, débusqué et chassé avec tout son attirail de James Bond, dont 2 montres et 3 stylos caméras ! C’est la même équipe qui avait dupé les identitaires niçois du Front National. »

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    Il ne faut pas oublier que Civitas a aussi été victime de ce genre de tentatives d’infiltrations. J’avais dit alors ce qu’il y avait à dire sur le sujet. Vigilance, vigilance et encore vigilance. La pratique d’infiltration va revenir en masse depuis que de plus en plus de gens de nos milieux refusent de donner la moindre interview aux torchons que sont, en vrac, ViceBuzzfeed (aujourd’hui défuncté) et autre Streetpress ou Slate. Partis, écoles, églises, associations, personne n’est à l’abri. C’est pour cela que les informations doivent être échangées afin d’éviter que les taupes n’aillent creuser leur galerie ailleurs…

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/une-taupe-demasquee-au-camp-jeune-nationvigilance/95045/