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anti-national - Page 670

  • NON, MONSIEUR BILGER, GÉRARD COLLOMB N’EST PAS UN EXCELLENT MINISTRE DE L’INTÉRIEUR !

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    Notre ministre de l’Intérieur ne maîtrise plus rien du tout et ne propose aucune mesure afin de faire dégonfler le nombre d’individus à surveiller, déchéance de la nationalité pour les binationaux, expulsions des étrangers fichés S, etc.

    Intervenant sur Radio Classique ce mardi 27 mars, Philippe Bilger a déclaré que Gérard Collomb était un excellent ministre de l’Intérieur si on veut s’en référer au fond, qu’il propose d’excellents projets de loi et qu’il est totalement conscient des dangers… Les bras m’en sont tombés !

    Il avait pourtant bien commencé son intervention en indiquant qu’il était possible de rechercher une qualification pénale pour les fichés S et, tout à coup, patatras ! Je ne sais pas ce qui lui a pris de subitement tresser des lauriers à notre ministre de l’Intérieur ! Il ne s’agit pas, pour moi, d’avoir une posture systématique d’opposition à Gérard Collomb, mais de regarder lucidement son action et, surtout, son inaction.

    Vingt attentats ont été déjoués en 2017 et deux depuis le 1erjanvier 2018, selon les déclarations récentes du ministre. Très bien, heureusement que nous obtenons quelques résultats, mais sur combien en préparation ? Ces chiffres sont relatifs. Les événements de Carcassonne sont venus fracasser cette autosatisfaction affichée en mettant en lumière l’échec de la surveillance des fichés S du haut du spectre par la DGSI, submergée par le nombre d’individus à surveiller. Quel aveu d’échec cinglant ! Notre ministre de l’Intérieur ne maîtrise plus rien du tout et ne propose aucune mesure afin de faire dégonfler le nombre d’individus à surveiller, déchéance de la nationalité pour les binationaux, expulsions des étrangers fichés S, etc.

    Qu’a fait Gérard Collomb pour faire arrêter les jeunes du quartier Ozana où résidait Radouane Lakdim, le terroriste de Trèbes, qui ont crié leur soutien au terroriste face aux policiers venus sécuriser le quartier ? Rien. D’une façon plus générale, que fait-il pour reconquérir les zones de non-droit, quartiers où pullulent les trafics, les bandes de délinquants et où s’est imposé un islam radical qui nous mine ? Rien. Le concept de police de sécurité du quotidien censé ramener la sécurité ne fonctionnera pas dans ces conditions. Emmanuel Macron a même précisé que cette réforme « ne consistera pas à remettre en place des postes de police dans les quartiers » Alors ?

    Qu’a fait Gérard Collomb pour réduire les failles juridiques persistantes dans notre dispositif législatif antiterroriste, sur les interceptions de sécurité, les saisies judiciaires, le nécessaire croisement des fichiers judiciaires et de renseignement ? Rien, comme son prédécesseur… Pourtant, ces failles ont été décrites par les chefs de nos services de renseignement lors de leur audition par la commission d’enquête parlementaire sur les moyens mis en œuvre par l’État après le 7 janvier 2015.

    Que fait Gérard Collomb pour faire respecter la laïcité alors que l’état des lieux décrit dans le rapport du préfet Clavreul, paru en février, dresse un constat alarmant de la laïcité en France et du vivre en commun collectif ? Rien, ou plutôt si ! Il rouvre les mosquées salafistes fermées pendant la période de l’état d’urgence. Quand on sait combien il est difficile de savoir ce qui se passe à l’intérieur de celles-ci, les fermetures devraient être définitives. Chassez le naturel, il revient au galop.

    On sait que certains terroristes, qui ont agi notamment au Bataclan, s’étaient infiltrés parmi les « migrants », mais on continue à développer une politique migratoire mortelle pour la France. « La menace terroriste reste très élevée », précise notre ministre, mais il contribue à l’aggraver en ne faisant rien pour interdire le retour de ces djihadistes, et on s’apprêterait même à favoriser leur recueil sur notre territoire, selon M. Castaner. Je m’arrête là faute de place dans ce billet, mais non, Gérard Collomb ne mène pas la guerre intérieure qui nous est déclarée.

    Il n’est pas, Monsieur Bilger, un excellent ministre de l’Intérieur.

    http://www.bvoltaire.fr/non-monsieur-bilger-gerard-collomb-nest-excellent-ministre-de-linterieur/

  • La désinformation par le détail : l’arbre qui cache la forêt

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    Bernard Plouvier

    La sous-culture mondialiste, répandue par les seuls media de masse qui comptent (télévision, radio et blogs du net) est une tyrannie de l’éphémère, envisagé comme l’essence même de la vie contemporaine. Le culte de l’actualité combat victorieusement la réflexion sur les causes et les conséquences des événements. Toute crise génère une formidable émotion, entretenue par les media, puis le soufflé retombe et l’on passe à autre chose, en alternant savamment courts instants de tristesse et longs moments de gaité.

    Rien ne doit perturber l’optimisme des consommateurs. Rien ne doit troubler la quête effrénée des petits instants de bonheur, qui est la traduction comportementale de cette vie consacrée à l’évanescent et que l’on peut définir comme « un nihilisme de la réplétion » (une expression empruntée à Cioran). Contrairement à ce que certains philosophes ont écrit, il ne s’agit pas du règne des abstractions remplaçant les despotismes trop visibles du monde politique dont le XXe siècle a montré tant d’exemples. C’est le triomphe du matérialisme, du sentimentalisme et de l’irréflexion, le règne du néant spirituel et de la sous-intellectualisation.

    Les hasards de l’actualité d’un début de printemps glacial illustrent remarquablement cette dérive. Un énième attentat de mahométan dérangé du cerveau a été l’occasion pour un officier supérieur de gendarmerie de se substituer à une faible femme, otage du fou d’Allah. 

    C’est une occasion inespérée pour nos princes de détourner l’attention de l’opinion publique du vrai problème et de faire monter la pression sentimentale, en orientant les trémolos, les pleurs et les gémissements, par l’organisation d’une grandiose cérémonie. On transforme la hideuse réalité de notre France envahie, meurtrie, salie par des fous furieux, en un grand spectacle où l’héroïsme d’un très honorable citoyen, fonctionnaire d’élite et homme de grand courage, sert d’alibi au silence sur le fond du problème.

    Une fois éteints les lampions de la fête de l’union nationale autour de la personne du héros, on oubliera le véritable danger : celui de l’immigration-invasion de l’Europe occidentale par des extra-européens et le risque ultra-prévisible – quoi qu’en disent de grands experts, nobles universitaires et démographes patentés – de substitution de population dominante d’ici 50 ou 100 ans. Et pour des raisons de simple arithmétique couplée à une triste réalité sociologique.

    En France, la folie furieuse féministe s’abattit après les événements de 1968, dont elle fut un des acquis, apportant la légalisation, puis le remboursement, de l’avortement de complaisance (qui, pratiquement, ne touche que des Françaises de souche européenne), la multiplication des allocations de tous genres aux parasites et aux associations qui prônent les droits des minorités aux dépens de la majorité des citoyens, la non-application des peines prononcées par les magistrats, ce qui définit les régimes de barbarie… on croyait jusqu’alors que le rôle premier d’un magistrat était d’être « au service des victimes », c’est assurément une vieille lubie de « réactionnaire ».

    Saturée de slogans, de romans et de navets cinématographiques lui démontrant que la mère de famille est une « femme exploitée » et que seule la salariée, la commerçante ou la fonctionnaire « s’épanouit », la Française de souche européenne a opté pour la stérilité volontaire ou l’enfant unique - pour les plus prévoyantes : deux rejetons, par l’effet d’une assurance sur le mauvais sort, puisqu’un accident ou une maladie implacable peuvent faire disparaître le premier bambin.

    De façon parallèle, les médecins ont assisté, à partir des années 1980, à une flambée de tabagisme et d’alcoolisme féminins, à une augmentation considérable de la prise de tranquillisants, puis d’antidépresseurs, enfin, dans les années 1990, au recours à la cocaïne chez les femmes hyperactives et d’autant plus angoissées. La femme moderne était née, jouant à l’homme bis, alors qu’elle n’est pas faite pour tenir ce rôle, ni physiquement, ni surtout mentalement. Les couples ont explosé, car madame a prétendu ravir la prééminence à monsieur. De nos jours, un couple français autochtone sur deux explose dans les cinq années qui suivent sa constitution, qu’elle soit officialisée ou non.

    Or, c’est une évidence : sans couple stable sur le long terme, pas de famille possible. Le féminisme a engendré le suicide démographique de l’Europe, sans faire pour autant le « bonheur » de la femme.

    En France, la fécondité de la Française de souche européenne est de 1,6 enfant (ce qui est insuffisant pour renouveler la génération adulte), celle des Maghrébines est de 2,9, celle des Noires africaines de 4,2. Il s’agit de statistiques publiées en 2012, et la seule certitude que l’on aie en 2018 tient à la fécondité autochtone qui reste très basse.    

    De 1995 à 2016 et, en ne tenant compte que des dépistages effectués dans la seule métropole, 4,45 millions d’enfants réputés à risque de drépanocytose ont été dépistés. Étant nés sur le sol français, voilà plus de 4 millions de petits citoyens français non comptabilisés dans la rubrique des « étrangers », alors qu’ils sont issus d’au moins un parent de souche extra-européenne, plus exactement d’origine africaine.

    Pour les naissances de l’année 2016, l’on sait (par le rapport de l’Association Française pour le Dépistage et la Prévention des Handicaps de l’Enfant, consultable sur le Net) que 73,6% des naissances en Île-de-France sont « à risque de drépanocytose ». En Paca-Corse, ce sont 56,4% des naissances qui offrent ce risque. Dans quatre régions (Languedoc-Roussillon, Alsace, Rhône-Alpes et Midi-Pyrénées), le pourcentage est compris entre 34,1 et 40,1. Seules les régions Champagne-Ardenne, Auvergne, Aquitaine, Normandie et Pays-de-Loire sont en-dessous des 20% et la Bretagne des irréductibles Gaulois n’est touchée qu’à hauteur de 9%. Les autres régions ont un pourcentage s’échelonnant de 21,4% (Hauts-de-France) à 26,1% (Centre).

    À l’évidence et sauf à nier les faits, le remplacement de population dominante est pour bientôt aux alentours de Paris, Marseille ou Nice, etc. L’ensemble du pays est menacé, à l’exception d’ilots de résistance au métissage et au brassage de populations.

    Les États multinationaux ne sont que des coexistences fragiles et instables de communautés non miscibles, surtout lorsque s’y mêle le fanatisme religieux. On ne peut les maintenir en survie artificielle que par la dictature ou grâce à une croissance économique durable. À quoi bon faire courir le risque d’un éclatement qui génère morts et destructions, alors qu’il est si simple de faire respecter le sage principe du chacun chez soi, ce qui définit l’État national.

    La réalité, dans son essence et sa matérialité, de l’Europe occidentale contemporaine est plus que triste. Il s’agit beaucoup moins de la fin, au moins temporaire, des États nationaux, broyés et mixés dans des organismes supranationaux, que de la fin programmée de la race européenne, et c’est bien plus grave.

    Le crépuscule de notre Occident est fait de veulerie, de dévirilisation, de soumission à la propagande officielle et aux politiciens collaborateurs de la toute-puissance de l’islamo-pétrodollar.

    Il est évident qu’il faut impérativement multiplier les sources de ré-information pour les moins sots de nos contemporains, de même qu’il faut se tenir prêt, physiquement, mentalement et matériellement, pour répondre à l’insurrection des envahisseurs s’il leur prend la fantaisie de la déclencher, au lieu d’attendre patiemment la conquête démocratique du pouvoir par l’effet du nombre. 

  • Allemagne : une élève est battue parce qu’elle est blonde et chrétienne, le directeur d’école lui conseille le hijab

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    Allemagne – dans une école de Francfort, une élève a été victime de harcèlement par des élèves musulmans parce « qu’elle était blonde, chrétienne et ne portait pas de foulard islamique », le directeur de l’école a suggéré que la victime devait se couvrir d’un hijab pour avoir la paix.

    La mère de l’élève a confié à BILD que sa fille était victime de harcèlement de la part de filles musulmanes à un point tel qu’elle devait «la faire sortir de l’école pour la protéger».

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  • « FICHES « S » ? LA METHODE ROOSEVELT !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat 

    Longue est la liste des crimes commis par les adeptes de Dae’ch dans notre pays : deux gendarmettes abattues en 2012 dans le Var, un chef d’entreprise décapité, la tuerie de « Charlie Hebdo » et de l’hyper cacher de la Porte de Vincennes, deux policiers assassinés devant leur enfant, à leur domicile dans les Yvelines, deux jeunes filles égorgées à la Gare Saint-Charles de Marseille, un policier tué sur les Champs Elysées, sans oublier, bien sûr, les massacres du Bataclan et de Nice, les crimes de Mérah à Toulouse. Et dans l’Aude, la furie islamiste a encore frappé la semaine dernière. Et c’est dans ce contexte que Macron a supprimé l’état d’urgence qui permettait, un peu, de semer la crainte dans les milieux djihadistes en France et facilitait, surtout, la tâche des forces de l’ordre, pour perquisitionner les domiciles des suspects.

    On nous dit, à la louche, qu’il y aurait une vingtaine de milliers de suspects fichés « S » qui se baladent dans la nature, plus ou moins surveillés par nos services de sécurité et de renseignement. Sachant qu’il faut, au minimum, une dizaine d’agents pour effectuer la surveillance d’un terroriste potentiel 24 h sur 24, on mesure là, l’impossibilité matérielle qu’il y a à assurer une totale sûreté à nos concitoyens.

    Expulser les suspects étrangers, supprimer la double nationalité

    D’efficaces mesures pourraient, pourtant, être prises rapidement. D’abord expulser tous les suspects étrangers dans leur pays d’origine, retirer la citoyenneté française à ceux qui ont une double nationalité, - on ne peut être à la fois de Sparte et d’Athènes, de Rome et de Florence !-, refuser le retour des familles de « repentis » des théâtres d’opération de l’Etat islamique, supprimer toutes les aides sociales à ces suspects. Et, bien sûr, n’accorder de visa aux ressortissants des pays touchés par l’islamisme militant, qu’au compte-goutte.

    Roosevelt n’avait pas fait dans le détail !

    Le 7 décembre 1941, une attaque aéronavale japonaise commandée par l’amiral Tojo, en deux vagues successives d’un total de 400 avions, avaient détruit 188 appareils US, tué 2043 Américains et blessé 1178 autres à Pearl Harbour, dans l’ile d’Oahu, archipel des îles Hawaï. La réaction ne se fit pas attendre. Le 19 février 1942, soit deux mois après, le Président des Etats-Unis Roosevelt, signait l’ordre d’incarcération des quelques 110 000 Japonais et Américano-japonais résidant aux USA. Dans le cadre du War relocation centers, ils étaient internés : hommes, femmes, vieillards et enfants, dans des baraquements dressés en toute hâte dans les Etats de Californie, de Washington et d’Oregon, sur la côte Ouest. Après expulsion des indésirables du territoire français, les autorités françaises devraient interner ou mettre en résidence forcée tous les autres « fichés S ». De Gaulle le fit à l’encontre des patriotes « Algérie française », hélas une référence ! Cela nécessiterait, certes, une logistique importante. Mais l’armée, la gendarmerie et leurs réservistes sont là : camps de toile et Algécos feraient l’affaire. Demandons la recette à l’ancien Shérif Arpaio du comté de Phoenix, en Arizona, où il est candidat républicain aux sénatoriales, il connait son affaire ! Et rien n’empêcherait ceux à qui le goût de la semoule viendrait à manquer d’aller demander l’asile dans un pays du Maghreb ou du golfe par exemple !

    Un héros français

    Le sacrifice suprême du colonel Arnaud Beltrane qui a offert sa vie pour sauver un otage, est la marque d’un homme d’honneur. Combien de ces étoilés et autres politiciens présents à la cérémonie des Invalides seraient capables d’un tel geste ? Qui d’entre nous ? Soyons honnêtes, fort peu. C’est d’autant plus écœurant que cet hommage rendu à l’héroïque officier, avait comme une odeur de récupération par un pouvoir qui, s’il ose, enfin, désigner l’ennemi, n’a pas, - pas encore ? -, choisi tous les moyens, TOUS les moyens mis à sa disposition pour éradiquer ce mal qu’est l’islamisation rampante de notre patrie avec, surtout, son volet fondamentaliste.

    Islamophobie ?

    Certains diront que l’on ne peut stigmatiser un segment de la population et, qu’en aucun cas, il ne faut pratiquer l’amalgame. C’est vrai que beaucoup de nos compatriotes musulmans vivent sous le règne de l’omerta, et qu’ils ne sont, ni de près, ni de loin, des adeptes du terrorisme islamiste. Mais force est de constater que les « territoires perdus de la République » et autres « zones de non droit », sont les taches noires de la triste peau de léopard qu’est devenu l’hexagone, et que ce ne sont ni des Lapons, ni des Esquimaux, encore moins des bushmen qui les peuplent. Et c’est là que se pratiquent de juteux trafics divers et variés. Les autorités militaires, en tout cas, en sont bien conscientes, puisqu’elles entrainent leur infanterie dans des « Cenzub », ou Centre de combat en zones urbaines. Et mon petit doigt me dit que des officiers israéliens nourris des expériences au Sud-Liban et dans la bande de Gaza, doivent inspirer nos penseurs militaires ! Car, un jour, à défaut d’un inacceptable consentement d’une partition du pays, il faudra bien reconquérir tous ces quartiers, toutes ces cités sans âme, où le terrorisme islamiste trouve un fertile terreau en dépit des milliards déversés depuis des années dans le cadre de l’inefficace « politique de la ville ». En un mot comme en cent, « il faudra prendre le taureau par les cornes », si je puis dire !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/03/28/fiches-s-la-methode-roosevelt-6038552.html

  • Les actes antisémites proférés par des musulmans sont passés sous silence en raison de la doxa antiraciste

    Que se passe-t-il ce soir sur BFM TV ?

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les syndicats sont financés par l Europe et cachent son influence politique

    Les syndicats français (CGT,CFDT,FO,CFTC,UNSA) sont financés par l’Europe et cachent aux français les vrais coupables de la destruction des acquis sociaux et du droit du travail.

    https://www.patriote.info/videos/union-europeenne/les-syndicats-sont-finances-par-l-europe-et-cachent-son-influence-politique/

  • En finir avec le terrorisme islamiste

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    Nous sommes en guerre contre le terrorisme », ne cessent de répéter les porte-paroles de l’oligarchie. Mais au-delà de ces propos incantatoires, rien n’est fait qui soit à la hauteur de cet enjeu guerrier. Pour Ligne droite il convient de commencer par stopper toute nouvelle immigration, de contenir l’islam hors de l’espace public et de retrouver la fierté de ce que nous sommes. Ce n’est que sous ces trois conditions que toutes les mesures répressives qui sont à amplifier considérablement pourront produire pleinement leurs effets bénéfiques et ramener la paix dans notre pays.
    Prendre la mesure de l’enjeu

    Les attentats islamistes se multiplient. Variant les méthodes, les cibles et les lieux, ils reviennent maintenant de façon lancinante dans l’actualité au point d’introduire la peur et l’horreur au cœur de la vie quotidienne des Français. Face à ce fléau, les dirigeants de notre pays semblent chercher avant tout à éviter les amalgames, à occulter la dimension islamique du problème et à laisser croire qu’ils agissent efficacement.
    Nous sommes en guerre contre le terrorisme, répètent-ils à l’envi, comme si cette affirmation pouvait suffire à écarter la menace. Mais la formule est révélatrice par elle-même de la crainte du système d’affronter la réalité, car c’est à un ennemi qu’on fait la guerre, pas à une méthode de combat. En 1940, les Britanniques faisaient la guerre aux Allemands, pas aux bombardements. En refusant ainsi de désigner clairement l’ennemi, la classe politique et médiatique s’interdit de prendre la juste mesure de la menace et de définir les meilleurs moyens de la contrer.

    Désigner l’ennemi

    Ligne droite estime donc nécessaire d’affirmer clairement qu’une fraction du monde musulman, qu’on peut qualifier d’islamiste, mène contre nous une guerre sans merci avec l’arme du terrorisme. Aussi, les djihadistes ne sont-ils pas, comme on le répète souvent aux Français, des cas marginaux, pathologiques, voire psychiatriques. Quel que soit leur niveau d’éducation, ce sont des hommes de conviction, déterminés à se battre pour leurs croyances et, ce qui n’est pas rien, à mourir pour elles. Il est donc absurde de penser qu’on pourra les déradicaliser avec quelques cours sur le vivre ensemble ou les droits de l’homme.

    Par ailleurs, ces combattants ne sont pas des individus isolés. Ils vivent au sein de la population islamique installée sur notre sol et s’y trouvent, tels les révolutionnaires de Mao Tsé-toung, comme des poissons dans l’eau. Certaines études indiquent en effet qu’environ un tiers des musulmans présents en France partagent leurs convictions islamistes. Et si l’écrasante majorité d’entre eux n’est pas prête à passer à l’acte, certains n’hésitent pas à aider les djihadistes, à les équiper et à les protéger.
    Dès lors, le problème prend toute sa dimension : la France doit faire face à une population de plus de deux millions de personnes qui engendre et protège des individus prêts à commettre des actes barbares contre son peuple.

    Stopper l’immigration

    Or l’islamisme est le produit naturel de l’islam et la présence envahissante de ce dernier est la conséquence directe d’une immigration massive et incontrôlée qui se développe depuis plusieurs décennies sur notre territoire. Une immigration plus active que jamais qui apparait maintenant comme l’une des principale cause de la montée du terrorisme islamique. Aussi Ligne droite considère-t-elle comme essentiel de prendre une mesure de sauvegarde à la hauteur de la menace et de stopper toute nouvelle immigration, principalement en provenance des pays musulmans.

    Retrouver la force et la fierté

    Pour autant, il ne suffit pas d’empêcher le danger de se développer, il faut également traiter le djihadisme déjà présent sur notre sol. Un djihadisme qui se nourrit d’abord du mépris que ressentent les islamistes à l’égard de la France et des Français qu’ils jugent faibles et décadents. Aussi un renouveau de notre pays changerait-il la donne. Si les Français célébraient à nouveau leurs valeurs, s’ils retrouvaient la fierté de ce qu’ils sont et la force de défendre leurs intérêts, ils inspireraient à nouveau le respect et beaucoup d’immigrés chercheraient à s’assimiler plutôt qu’à haïr la France. Le retour à une nation forte et fière, enracinée dans son identité, est pour Ligne droite la deuxième condition de la victoire contre les islamistes.

    Contenir et respecter l’islam

    La troisième concerne la légitimité de notre pays à combattre l’islamisme dans les pays musulmans. S’il s’agit d’y défendre nos intérêts on peut la justifier au nom de la real Politik, mais, le plus souvent, l’ingérence moralisatrice de la France se retourne contre elle. D’autant que la propension des pays occidentaux à vouloir imposer partout leur modèle de société constitue, par son arrogance, une puissante explication de la haine que suscite notre pays. Aussi Ligne droite estime-t-elle nécessaire de revoir entièrement les relations de la France avec le monde musulman en les fondant sur deux principes simples. Exiger de l’islam en France l’observation stricte de toutes nos règles de civilisation, mais afficher en retour un grand respect pour la civilisation musulmane en terre d’islam, en reconnaissant l’indépendance des pays islamiques et en s’abstenant de toute ingérence quel que soit le régime dont ils se dotent.

    Réprimer et prévenir

    La mise en application de ces trois principes fondamentaux créerait les conditions d’une victoire contre l’islamisme en France et en Europe.
    Encore faudrait-il dans le court terme engager réellement l’action répressive à l’encontre des islamistes en commençant par s’en donner les moyens. Pour cela, il est indispensable d’augmenter les effectifs et les équipements des services de renseignement qui accomplissent d’ores et déjà un excellent travail. Il faut renforcer les forces de l’ordre et donner à la garde nationale embryonnaire la dimension d’un vaste corps de volontaires nombreux, motivés et facilement mobilisables.
    Fort de ces moyens renforcés, il convient d’engager une action de harcèlement contre les islamistes visant à réduire leurs appuis sur notre sol. Il importe ainsi de procéder à l’expulsion systématique des étrangers fichés S et de placer les nationaux en rétention. Puisque la plupart des djihadistes sont des repris de justice, il est également nécessaire de procéder à l’expulsion de tous les délinquants étrangers ainsi que des clandestins. Quant aux djihadistes français partis combattre à l’étranger, il faut les empêcher définitivement de revenir sur le territoire national. Il convient par ailleurs de fermer les mosquées suspectées de promouvoir le djihad, d’expulser les imams radicaux, de démanteler les organisations islamisantes et de reprendre le contrôle des zones de non droit. Enfin, sur le plan de l’action psychologique, il est indispensable d’en finir avec l’obsession pathologique du refus de l’amalgame et de demander aux musulmans et à leurs représentants de condamner les islamistes sans ambiguïté, ce qu’ils ne font que très rarement.
    Le terrorisme islamique n’est que la partie émergée du problème colossal que pose à notre pays l’immigration massive de musulmans qui ne s’assimilent pas. Pour venir à bout de ce fléau, Ligne droite considère en conclusion qu’il faut apporter enfin une vraie solution au problème de l’immigration.
    Tout le reste n’est que faux-semblant.

    Texte repris du site Ligne droite

    https://fr.novopress.info/210177/en-finir-avec-le-terrorisme-islamiste/#more-210177

  • AME : la corne d’abondance

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    En 2002 paraissait un ouvrage intitulé Le chiffre de la Vie de Gregory Benichou. Ce chercheur s’était intéressé notamment à la PMA et était allé voir « comment cela se passait ». Il raconte avoir discuté avec une Algérienne qui était venue quatre fois de son pays pour se faire avorter à Marseille parce que « c’était mal vu dans son village ». Comme elle en était devenue stérile, elle aura recours à la fécondation in vitro au-delà des quatre tentatives autorisées par le code de la santé. L’auteur critiquait à la fois la PMA et cet incroyable laxisme dont le coût pour la Sécurité Sociale était astronomique. Comme disait De Gaulle : « C’est grand, c’est généreux, la France ».Un de mes confrères parisiens me signalait que sa salle d’attente servait de salon à des immigrés ; lesquels ne souffraient que d’affections plus ou moins fantaisistes. De plus après une paperasserie invraisemblable il ne touchait ses honoraires qu’une fois sur deux.

    Ces personnes étrangères bénéficient de l’AME ou aide médicale d’État qui remplaçait la CMU ou couverture médicale universelle. Elle a été créée en 2.000 par Aubry et Kouchner. Elle sera élargie sous Hollande à toute personne se situant sur le territoire français. Inutile de dire que notamment du Maghreb et d’Afrique, de nombreux immigrés plus ou moins clandestins se précipitent  pour se faire opérer ou soigner dans notre pays. C’est la situation que vit Mayotte où les Comoriens arrivent en masse : désormais le tiers de la population est dans l’illégalité.

    Le cas des femmes enceintes est particulièrement intéressant. Le « droit du sol » a été élargi en 2016 sous Hollande à tous ceux qui sont sur le territoire « depuis l’âge de six ans et ayant suivi leur scolarité obligatoire en France lorsqu’elles ont un frère ou une sœur ayant acquis la nationalité française. » En pratique, tout enfant né en France a droit à la nationalité française. On ne peut  séparer le nouveau-né de sa mère qui fera venir son mari ; lequel fera venir ses autres femmes et enfants au nom du rapprochement familial. De plus tous les immigrants en situation irrégulière bénéficient des mêmes droits à l’AME. C’est la clé du Grand Remplacement, établi avec le temps par les gouvernements précédents.

    Ainsi, n’importe quel étranger sans papier peut se faire soigner ad vitam aeternam aux frais des Français. Il suffit de se balader dans les hôpitaux des grandes villes  pour se rendre compte de cette situation. Un de mes petits enfants a été admis en soins d’urgence à Lille. Les noms des patients hospitalisés sont affichés à la porte. La totalité de ceux-ci était d’origine maghrébine (lui excepté).

    Il est évident que si un immigré clandestin se présente en occlusion intestinale ou en défaillance cardiaque, le serment d’Hippocrate oblige le médecin à donner les soins nécessaires. C’est évident !

    Mais le député du Vaucluse Julien Aubert du parti Républicain vient de poser les bonnes questions dans le Quotidien du Médecin du 22 mars dernier. La première est de type constitutionnel et concerne l’égalité. Pourquoi des personnes dans l’illégalité bénéficient du « tout gratuit » alors que le petit vieux qui a tenu un commerce ou a été agriculteur reçoit une retraite minable ? il est alors obligé de payer son sirop pour la toux et le « ticket modérateur » (partie non remboursée).

    Le député critique le ministre de la santé Agnès Buzyn qui ramène le problème des immigrés à la question du sida et de la tuberculose, maladies que l’on est bien obligé de soigner pour éviter les contagions ici et ailleurs. C’est une part minime des soins aux immigrés. Des professeurs et des médecins mettent de plus en plus souvent en garde contre le « tourisme médical » de gens qui viennent en France uniquement pour se faire opérer ou soigner. Or quand il n’y a plus de bornes, il n’y a plus de limites.

    Le député souligne que les principaux pays d’Europe (y compris la Grande-Bretagne) ont précisément mis des limites : n’y sont pris en charge que les urgences, la maternité et les soins aux enfants…Dans ces pays, on a compris que « la générosité menait à la dérive » (selon ses paroles). Vers quoi ? mathématiquement vers la disparition de la Nation Française.

    Jean-Pierre Dickès

    http://www.medias-presse.info/ame-la-corne-dabondance/89411/

  • La France a perdu sa souveraineté au profit des USA, dénonce un ex-DGSE

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    Encore une conséquence dramatique de la vente du géant industriel français Alstom aux Américains, par la faute de Macron. «

    « On ne peut plus faire de sous-marin atomique en France sans autorisation américaine, » a déclaré devant une commission de l’Assemblée nationale Alain Juillet, ancien membre du Service Action (SA) et directeur du renseignement de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE).

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  • LA FRANCE ET L’EUROPE CONTRE POUTINE : AVEUGLEMENT OU FANFARONNADE ?

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    Après l’expulsion, en Angleterre, de vingt-trois diplomates et, aux États-Unis, de soixante ressortissants russes, présentés comme des espions, les États membres de l’Union européenne, réunis à Bruxelles, ont décidé de rappeler leur ambassadeur en Russie pour « consultations ». Ils envisagent aussi de chasser des diplomates russes : suivisme ou incapacité de mener une politique propre ?

    La diplomatie semble la pire des hypocrisies. Après l’empoisonnement de l’ex-espion Sergueï Skripal en Angleterre, Donald Trump a voulu montrer sa solidarité avec Theresa May : les dirigeants européens ont suivi.

    C’est sans doute, en langage diplomatique, ce qu’on appelle l’indépendance. De quoi rendre gaulliste le plus antigaulliste : le général de Gaulle, lui, au moins, était sourcilleux de la souveraineté française.

    « Les dirigeants de l’Union européenne se sont entendus pour considérer, avec le gouvernement britannique, que la Russie est très probablement derrière l’attaque de Salisbury et qu’il n’y a pas d’autre explication possible », a écrit Donald Tusk, le président du Conseil européen, sur son compte Twitter.

    Que penser d’une politique qui se décide sur des convictions intimes et non des réalités objectives ? Les relations internationales se limitent-elles à un jeu de rôle ?

    Empoisonner un ex-espion russe qui a vendu des secrets à un gouvernement étranger n’est pas une conduite recommandable. Mais, si l’on en croit de nombreux films et romans d’espionnage, les Britanniques n’ont jamais été les derniers à utiliser des moyens peu orthodoxes pour se débarrasser d’ennemis encombrants. Ne parlons pas des Américains, qui ont toujours les droits de l’homme à la bouche… et ne manquent pas de les bafouer quand il y va de leurs intérêts. Quant à François Hollande, il aurait personnellement ordonné l’élimination, par la DGSE, d’une quarantaine d’individus dangereux pour l’État. Flanby donnant le permis de tuer, ça étonne et ça détonne !

    Il faut donc expliquer autrement que par la réprobation morale les mesures prises à l’encontre de la Russie ; contre Poutine, devrait-on dire plutôt. Qu’il ait ou non, de près ou de loin, trempé dans cette affaire de poisons, il vient d’être réélu triomphalement : même les médias n’ont pas osé contester sa victoire, qu’ils ont expliquée par la « désinformation du peuple » (de quoi rire, quand on observe la façon dont la pensée unique tend à s’imposer en France).

    Sa politique internationale, sa mainmise sur la Crimée, son alliance avec la Syrie, son autorité même déplaisent aux occidentaux : au lieu de dialoguer avec ce grand pays et d’essayer de le rapprocher du camp européen, ils font tout pour le rendre infréquentable aux yeux de l’opinion, au risque de le rejeter vers la Chine. Vont-ils, en juin et juillet, boycotter la Coupe du monde de football pour humilier Poutine ? Theresa May a déjà annoncé que la famille royale ne s’y rendrait pas. Sûr que Poutine doit se faire du mouron !

    Il est paradoxal que la France critique plus Poutine que les dictateurs islamiques qui apportent un soutien plus ou moins direct aux terroristes. Si elle ne donnait pas à ses voisins l’exemple d’une politique de rapprochement avec la Russie, elle confirmerait qu’elle est redevenue le valet des États-Unis – ou de la finance, ce qui est un pléonasme – et qu’elle a renoncé à sa vocation de grande puissance indépendante.

    http://www.bvoltaire.fr/france-leurope-contre-poutine-aveuglement-fanfaronnade/