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anti-national - Page 762

  • Les francs-maçons aussi très présents dans la sphère patronale

    Loin d’être l’apanage de la fonction publique, comme cela a été le cas dans le passé, la maçonnerie recrute donc désormais dans tous les milieux, y compris dans la sphère patronale. Pour un dirigeant d’entreprise, le passage « sous le bandeau » ouvre les portes de tous les lieux de pouvoir, et des contre-pouvoirs. S’assurer de l’avancement d’une subvention ou d’un permis de construire, repérer le député qui sera prêt à déposer un amendement favorable, obtenir une décoration pour un cadre, prévoir l’évolution de la législation... Dans tous ces actes quotidiens, il est toujours bon d’avoir le bras long. Mais l’appartenance à la franc-maçonnerie présente un autre intérêt, beaucoup moins connu : permettre aux patrons de nouer des contacts à tous les niveaux hiérarchiques de l’entreprise, y compris la base, pour mieux s’informer. Efficace ? Ils le disent. Certains affirment ainsi que le patron du Figaro, Yves de Chaisemartin, a réussi à nouer des liens privilégiés avec les ouvriers du livre grâce à des connexions maçonnes. Difficile à vérifier bien sûr. S’il y a peu de frères à la CGT, ils sont nombreux, traditionnellement, dans tous les métiers du livre. 
    Maints dirigeants maçons finissent par devenir des obsédés du renseignement. Peu avant sa mort, en 1987, l’ancien Grand Maître du Grand Orient, Michel Baroin, patron de la GMF et de la Fnac (sa filiale), y avait engagé Nicolas Crespelle comme directeur financier adjoint. Quelques jours plus tard, Baroin appelle Crespelle pour lui demander d’avoir la gentillesse de prendre dans son équipe le fils d’un de ses amis. Crespelle n’a aucune raison de refuser. Le garçon est plutôt sympathique. Le courant passe. Au bout de quelques jours, il finit par lui expliquer qu’il a été placé là dans le but de le surveiller : régulièrement, il doit faire un rapport sur les personnes qu’il voit, avec qui il déjeune ou téléphone. De tels procédés sont évidemment rarissimes ; en plus d’être maçon, Baroin était, il est vrai policier aux Renseignements Généraux. Mais ils dénotent un état d’esprit
    Nombre de patrons célèbres ont ainsi, un jour, « frappé à la porte du temple », selon l’expression consacré. L’aspect philosophique de la démarche y est sans doute pour beaucoup. Mais pas seulement. Christian Blanc, ex-PDG de la RATP et d’Air France, président de Merrill Lynch France et administrateur de Carrefour ? Francis Mer, PDG d’Usinor [ministre de l’Économie de 2002 à 2004] ? Le fabricant de lunettes Alain Afflelou (qui récuse toute appartenance, menace de procès à l’appui) ? Henri Lachmann, [ancien] président du groupe Schneider, membre du conseil de surveillance d’Axa et de Paribas ? Daniel Dewavrin, l’ancien patron d’Epéda-Bernard Faure, ancien patron de la très puissante fédération patronale, l’Union des industries métallurgiques et minières (UIMM) ? Tous ces « enfants de la veuve » qui ont su se frayer un chemin jusqu’au sommet du pouvoir. Sans oublier Jean Bergougnoux, ex-président de la SNCF, Pierre Eelsen, président d’honneur d’Air Inter ou Jean-Claude Levy, ancien président de Framatome (qui dément), Jean Syrota, président d’honneur de la Cogema (qui dément aussi !). Quant à Bernard Esambert, l’ancien président de la Compagnie financière Edmond de Rothschild, aujourd’hui membre de l’Autorité des marchés financiers, il affirme également qu’il n’appartient à aucune loge*. 
    *Ce dernier a participé à la conférence Bilderberg en 1980 avec Ernest-Antoine Seillère
    Ghislaine Ottenheimer, Renaud Lecadre, Les frères invisibles

  • George Soros à l’assaut du journalisme

    La 11ème édition du Festival International du Journalisme s’est tenue à Pérouse (Perugia, Ombrie, Italie) du 5 au 9 avril 2017. Créé en 2006 à l’initiative d’Arianna Ciccone le festival a reçu près de 600 intervenants venus de 47 pays et organisé plus de 300 conférences, ateliers, débats dans douze salles de la ville de Pérouse. Le Festival a été marqué par une véritable prise en mains de Facebook et Google (à la fois sponsors officiels et participants à de nombreux débats). Un envoyé spécial de l’Ojim était présent, voici le troisième de ses comptes rendus.

    Ce festival était décidément riche d’enseignements tant par les sponsors (Facebook, Google, Amazon et dans un rôle de figurant le régional de l’étape l’Eni le groupe pétrolier italien), que par les thèmes abordés (nous y reviendrons plus tard) que par certaines tables rondes. Prenons une de celles auxquelles nous avons assisté le jour de l’ouverture le 5 avril, « Liberté de la presse dans le sud-est de l’Europe ».

    L’ombre de Soros

    Le modérateur est un certain Oliver Vujovic secrétaire général du SEEMO. Seemo quèsaco ? Le South East Europe Media Organisation est un des multiples pseudopodes des ONG financées par George Soros directement ou indirectement dans les pays de l’est européen. Le Seemo est une filiale de l’International Press Institute de la même origine et est partenaire du Centre Européen pour la liberté de la presse et des médias situé à Leipzig et financé entre autres par la Commission de l’Union Européenne…en toute indépendance bien entendu.

    Et celle de l’Union Européenne

    Union Européenne que nous allons retrouver avec la seconde intervenante Barbara Fabro du Central European Institute (CEI) financé par la Banque Européenne de Développement et situé en Italie à Trieste. Le but du CEI est de « favoriser l’intégration des pays membres à l’Union Européenne », au moins les choses sont claires.

    De Zrinka Vrabec-Mojces il est difficile de dire quelque chose sinon qu’en dehors d’un nom difficile à prononcer elle est journaliste, Croate et a joué un rôle politique.
    Jeux de passe passe

    Plus intéressants sont les deux derniers profils, celui d’un Albanais et d’une Ukrainienne. Besar Likmeta est un américain d’origine albanaise qui a rejoint son pays d’origine en 2005. Il est le correspondant pour l’Albanie de Balkan Insight (BRIN) financé par des fonds allemands et américains. Balkan Insight est en première ligne pour défendre l’action de George Soros. Une des fondations de Soros (Open Society Foundations) finance une partie du programme de BRIN pour « l’excellence du journalisme ». Likmeta fut le lauréat en 2009 du Prix pour Mérites exceptionnels du journalisme d’investigation délivré par… CEI et SEEMO (voir supra), la boucle est bouclée. Il a aussi été nommé pour le « Global Shining Light Award » en 2010 organisé par le Global Investigative Journalism Network dont le siège est dans le Maryland et dont le premier financement vient de… Open Society Foundations de Soros. En toute liberté bien entendu.

    La dernière intervenante ukrainienne Anna Babinets est du même tabac. Participant à Alliance, un des innombrables médias liés à Soros en Europe de l’est
    Questions dérangeantes

    Un des spectateurs assistant à la session après les propos convenus du panel posa deux questions qui jetèrent un froid.

    Tout d’abord : n’est ce pas un problème alors que les liens de George Soros avec les différents services secrets américains sont fort documentés de travailler avec ses nombreuses filiales en Europe de l’est ? Réponse de Besar Likmeta : « Ces liens n’ont jamais été avérés nous n’en tenons donc pas compte ». Et Soros « ne finance plus rien en Europe de l’est depuis dix ans ».

    Ensuite : comment travailler en toute liberté en étant financé par Soros ? Réponse d’Oliver Vujovic : « il n’y a aucune pression des organisations de Soros. Avec cet argent les médias et les ONG peuvent faire effectivement leur travail » (“there is no pressure from Soros organizations. With this money, media and NGOs can actually do their job”). Sans rire.

    Texte repris du site de : Ojim.com

    https://fr.novopress.info/

  • #LeVraiFillon : Fillon et les migrants | Marine 2017

  • Macron dévisse et son plan B, c’est Mohamed Saou !

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    On savait que, chez Macron, la com’ c’était du creux, mais visiblement, l’éthique, c’est du toc.

    Les signes ne trompent pas. À une semaine du premier tour, le camp Macron panique. La com’ creuse tourne à vide, pilotée par une blondasse stupide chantant « En Marche ! » en lâchant le volant de sa voiture. Au QG, même Le Monde a bien vu que ça commençait à sentir le roussi. Les confidences pessimistes des députés PS macronistes fusent :

    « On est passé en quelques jours du “On peut gagner” à “On peut perdre”, il y a beaucoup de tension. »

    « Il faudrait que le scrutin ait lieu dimanche. Il y a une semaine de trop ! »​‌

    Et c’est vrai qu’il y a de quoi s’inquiéter sérieusement pour tous ces « marchiens » car, selon le sondeur Jérôme Sainte-Marie, « Emmanuel Macron a perdu trois points en une dizaine de jours, soit environ un million de voix ».

    Ce n’est pas rien, quand la tendance est celle-ci… Donc, encore une semaine et M. Macron sera 4e. Et ce ne sera que justice : il endossera le bilan de Hollande et de ce centre libéral-libertaire qui nous a conduits là où nous en sommes. En fait, il a perdu et il ne tient qu’à nous tous, à droite comme à gauche, de bien le lui signifier le 23 avril.

    Il découvre, le naïf, qu’une stratégie d’extrême centre renvoyant gauche et droite dos à dos peut violemment se retourner contre vous et faire monter, à l’heure du choix, et la gauche et la droite : une gauche qui veut vraiment un candidat de gauche (Mélenchon) et une droite qui rejoint calmement la droite sérieuse de Fillon.

    Il est donc intéressant de voir comment notre jeune homme pressé à qui tout a réussi, ce petit génie (ou cet enfant gâté) devant qui toutes les portes les plus difficiles à pousser – chez Rothschild, à l’Élysée, à Bercy – se sont ouvertes comme par enchantement, réagit devant ce qui commence à ressembler à de l’adversité. Pour Fillon, nous avons vu. Et sa résistance n’est pas pour rien dans sa remontée.

    Chez Macron, panique à bord. Les mêmes parlementaires qui se sont confiés au Monde le disent : « Macron affiche l’image du candidat serein, mais je ne crois pas que ce soit le cas, il est noué de l’intérieur. » Noué, crispé… Va-t-il monter davantage dans les aigus pour les derniers meetings ? Nous sortir la grosse artillerie : Mélenchon en dictateur sud-américain ? Marine Le Pen en Enver Hodja ? Et lui-même en Jeanne d’Arc boboïsée ?

    Non, ce vendredi, il a fait plus grossier encore : il est allé sur Beur FM, ce qui est déjà tout un programme, mais (pire), il a lâché, en off bien sûr, « à l’insu de son plein gré », selon l’expression consacrée, un éloge de son référent Mohamed Saou, compromis pour ses accointances avec l’islam radical :

    « C’est un type bien. C’est un type très bien, Mohamed. Et c’est pour ça que je ne l’ai pas viré. […] Il a fait un ou deux trucs un peu plus radicaux, c’est ça qui est compliqué. »

    Mais c’est bien en direct que M. Macron a dit toute son admiration pour ce Mohamed qui s’est signalé par des messages complaisants pour les islamistes :

    « Mohamed Saou est un citoyen plein et entier. C’est un responsable plein et entier. Je le respecte. J’admire le travail qu’il a fait. »

    Et il a renvoyé au « comité d’éthique » de son mouvement le soin de statuer sur le sort de ce responsable contestable et sulfureux ! On savait que, chez Macron, la com’ c’était du creux, mais visiblement, l’éthique, c’est du toc.

    http://www.bvoltaire.fr/macron-devisse-plan-b-cest-mohamed-saou/

  • La quinzaine de la haine commence avant le 1er tour cette année

    On retrouve Gérard Larcher et NKM, soutiens de François Fillon, aux côtés des LGBT Caroline Mécary et Caroline Fourest, de Jean-Christophe Cambadélis, soutien de Benoît Hamon, et l'inénarrable BHL, qui vient d'annoncer son soutien à Emmanuel Macron

    CCx5CKgd

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Nouvelles lois anti-Soros en Hongrie

    8843-20170415.jpgLe président hongrois, Janos Ader, a signé lundi la nouvelle loi hongroise sur l’éducation supérieure. Pour qu’une université étrangère puisse avoir un campus et délivrer des diplômes en Hongrie, il faudra à partir du 1er janvier 2018 qu’elle ait aussi un campus dans son pays d’origine et qu’elle fasse l’objet d’un accord intergouvernemental.

    Cette loi est accusée de viser tout particulièrement l’université d’Europe centrale (Central European University, CEU) fondée en 1991 à Budapest à l’initiative du financier américain d’origine juive hongroise George Soros. La CEU, toujours financée par le progressiste libéral-libertaire Soros, est une université anglophone accueillant plus de 1 500 étudiants d’une centaine de pays différents et dont l’objectif est de promouvoir les Droits de l’homme, la bonne gouvernance et l’Etat de droit tels que les conçoit le milliardaire américain dont Viktor Orban dénonce régulièrement l’influence néfaste et le rôle dans l’invasion migratoire actuelle.

    Le département d’Etat américain s’est dit inquiet de l’impact de cette nouvelle législation sur une université dont il vante les compétences et les mérites tandis que la Commission européenne a annoncé vouloir s’assurer que la nouvelle loi n’est pas contraire aux valeurs fondamentales de l’UE. Malgré les manifestations qui se déroulent depuis quelques semaines en Hongrie, un sondage publié le 13 avril par le groupe de réflexion Szazadveg montre que 70 % environ des Hongrois sont favorables à la nouvelle loi.

    Parallèlement, le gouvernement hongrois a adopté un autre projet de loi pour obliger les ONG financées depuis l’étranger de déclarer ce fait aux autorités et de l’indiquer sur leur site internet et leurs publications.

    Olivier Bault

    Article publié dans Présent daté du 15 avril 2017

    https://fr.novopress.info/

     
  • Les francs-maçons s’inquiètent du développement de Civitas et des propos antimaçonniques d’Alain Escada

    Il y a quelques jours, nous signalions à nos lecteurs l’entretien accordé par Alain Escada, président de Civitas, au site d’information La Pravda.ch, entretien dont le contenu antimaçonnique n’est pas passé inaperçu. En témoigne cette note publiée sur Hiram.be, l’un des plus importants sites francophones de la franc-maçonnerie. Un véritable hommage du vice à la vertu.

    CIVITAS ET ESCADA CONFIRMENT LEUR INTÉGRISME

    Par Géplu dans Anti-maçonnerie

    Le site d’extrême-droite LaPravda.ch publie une interview décapante d’Alain Escada, le patron de l’organisation ultra catho Civitas, proche de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X et de Jean-Marie le Pen, et qui s’est transformée l’an dernier en parti politique, afin de bénéficier d’avantages fiscaux non négligeables (déductibilité des dons).

    Dès les premiers mots de l’entretien, les choses sont claires : L’association Civitas est devenue un parti politique depuis avril 2016. Dans son programme, figure notamment la fin de la laïcité. En effet, celle-ci est considérée par le mouvement comme la religion de la république maçonnique qui s’oppose à la France catholique.

    Si je publie cette info, et invite les Frères et les Sœurs à lire cette interview, ce n’est pas pour faire l’apologie du sieur Escada, mais bien au contraire pour que tous voient et sachent qui il est et ce qu’il propose. Ce n’est pas en faisant l’autruche que l’on se protège de ceux qui souhaitent la disparition de la franc-maçonnerie…

    http://www.medias-presse.info/les-francs-macons-sinquietent-du-developpement-de-civitas-et-des-propos-antimaconniques-dalain-escada/72305/

  • Sécurité / Stade de Lyon : les supporters turcs sèment la panique