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anti-national - Page 760

  • Stoppons Macron ! #34 avec Didier Maïsto

  • MACRON OU LA FIN PROGRAMMÉE...

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    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

    Editorial du n°45 (Printemps 2017)

    Publié le 25 mars 2017

    Il ne reste plus que quelques semaines avant cette élection présidentielle dont la pré-campagne, et la campagne, nous réservent bien des surprises. Certes, depuis le début de la Ve République, nous savons que les jeux ne sont jamais faits d’avance. Ce qui semble évident six mois avant le scrutin s’avère toujours faux le moment venu. Preuve de la versatilité de notre peuple s’offusqueront les uns ou de l’aveuglement des médias s’exclameront les autres… qu’importe. Il n’y qu’une chose qui est constante, c’est que, de Présidentielle en Présidentielle, le gagnant a toujours été pire que le sortant.

    Cette année, nous sommes devant un cas de figure assez curieux. Soucieux que sont les partis institutionnalisés de vouloir accentuer leur image démocratique et voulant sans doute singer l’Amérique, ceux-ci nous ont imposé, à gauche comme à droite, le spectacle pathétique des « primaires ». Car il n’y a rien de tel qu’une primaire pour introduire les divisions dans un parti politique. Regardez-les, ils se sont tous entretués pendant six mois et, maintenant, les disqualifiés passent leur temps à en savonner la planche de ceux qui ont gagné.

    Des primaires qui tournent au vinaigre

    En plus, c’est hasardeux car dans les deux cas, chez les Républicains comme chez les socialistes, les vainqueurs ne sont pas ceux que le Système aurait voulu. Ni Juppé, ni Sarkozy, ni Valls, ni Montebourg, ces petits valets serviles de l’idéologie dominante n’ont réussit à l’emporter. À chaque fois, c’est un « outsider » qui est arrivé en tête. Benoît Hamon chez les socialistes (mais cela n’a pas beaucoup d’importance vu l’état actuel du PS) et, à « droite », François Fillon, personnage réputé pusillanime qui a été cinq ans Premier ministre de Sarkozy sans que personne ou presque ne s’en souvienne.

    Maudite primaire ! Si les gogos commencent à ne plus faire ce que l’oligarchie leur demande, où va-t-on ?

    Mais, rassurez-vous, le Système avait son joker : Emmanuel Macron évidemment… Un ancien de la Banque Rothschild reconverti dans le « politique buisness attrape tout » qui, avec sa prudence de banquier, avait justement pris soin d’éviter de passer la case risquée des primaires. Il se retrouve donc promu comme étant le candidat chéri des mondialistes de tous bord. Car avec lui, les mondialistes pourront dormir tranquilles. Il est bien dressé, il saura accélérer le processus de désintégration nationale et de reniement identitaire engagé. Il saura défendre les intérêts des multinationales apatrides et ceux de la haute-finance spéculative aux dépens des peuples et des nations.

    Haro sur le Sarthois

    Pour les fins stratèges de l’intelligentsia en place (ceux qui jouaient Clinton gagnante, le refus du Brexit et la chute de Bachar…), le calcul est simple : celui qui se retrouvera en deuxième position au premier tour derrière Marine Le Pen (à condition bien sûr que celle-ci soit en tête) à toutes les chances de l’emporter au second. Comme Fillon, par son côté notable provincial et certaines de ses prises de positions iconoclastes, ne répond pas aux critères de la bien-pensance, tout doit donc être mis en œuvre pour qu’il soit recalé en troisième position. Macron contre Marine Le Pen, c’est forcément Macron qui l’emportera croient-ils. Un duel Fillon-Le Pen, dans lequel Macron serait hors jeu, vous n’y pensez pas… Voilà pourquoi, depuis le début janvier, une campagne de presse reposant sur des abus plus ou moins avérés est lancée afin de déstabiliser Fillon. Je ne prétends pas que le Sarthois soit un modèle de vertu, mais force est de constater que ce qui lui est reproché est somme toute assez banal pour un politicien qui a vécu toute sa vie aux crochets de la République.

    Mais n’allez surtout pas imaginer que je cherche à le défendre. Même si je lui reconnais un certain panache dans le fait qu’il se soit maintenu en vers et contre tous, à commencer ceux de son propre camp, comme candidat des Républicains, la compassion s’arrêtera là. La manière avec laquelle il a snobé récemment certaines personnalités non conformistes de droite (comme Charles Million et Charles Beigbeder par exemple) qui souhaitaient le soutenir est significative de l’état d’esprit du personnage. En bon gaulliste qu’il est, Fillon a peur d’être classé trop à droite. Il espère sans doute se faire une place au soleil au centre ou ailleurs, mais pas de chance Macron l’occupe déjà.

    Et la droite nationale dans tout cela ?

    Paradoxalement, c’est au moment où une partie de plus en plus importante de nos compatriotes commence à ouvrir les yeux et à se rendre compte que tout ce que les nationalistes annonçaient depuis des décennies est en train de s’avérer vrai que la candidate qui est sensée représenter notre famille politique adopte un positionnement de plus en plus « clean ». Ce qui est plutôt regrettable.

    L’obsession de « la dédiabolisation » a conduit le Font national depuis quelques années à aller à l’encontre des aspirations de son électorat. Heureusement pour lui, ceux qui placent leur dernier espoir en Marine Le Pen ne se sont pas encore vraiment rendus compte de la dérive de son mouvement. C’est d ‘ailleurs peut être mieux ainsi.

    Notre peuple, aseptisé par des décennies de culpabilisation et de repentance visant à le rendre honteux de son identité, conditionné par des médias aux ordres champions de la désinformation et accablé par les contraintes d’une existence de plus en plus précaire commence à s’interroger sur l’avenir que lui propose le Système. Il voit dans le FN l’alternative à celui-ci car il ne sait pas que la direction actuelle du FN ne pense qu’à être reconnue par ce Système. On peut toujours rêver…

    Quoiqu’il en soit, nous estimons que le vote Marine (additionné à celui en faveur des autres candidats en marges comme Jean Lassalle ou Nicolas Dupont-Aignan) devra être considéré comme un « vote baromètre » qui prouvera le refus grandissant de cette classe politique usée et ternie. Il montrera que les Français sont à la recherche d’une autre voie que celles, éculées, que veut leur imposer le Système.

    Vous l’avez compris, Synthèse nationale, en tant que revue, ne donnera pas de consigne à ses lecteurs et amis. Nous savons que la candidate « officielle » de la droite nationale est loin de faire l’unanimité dans notre camp. Cependant, nous sommes aussi conscients de l’enjeu de cette présidentielle. L’élection programmée de Macron serait la pire des choses qui puisse arriver à la France car elle scellerait son asservissement total et définitif au parti de la finance, ce qui, en termes clairs, signifierait la fin de son existence. Et cela nous ne pouvons l’accepter. Eliminer Macron dès le premier tour est donc une priorité absolue, un acte de résistance patriotique et identitaire. Chacun saura, en son âme et conscience, ce qu’il lui reste à faire…

    Au-delà de la Présidentielle…

    Quel que soit le gagnant du second tour, même et surtout si c’est Macron, nous devrons continuer notre combat. Plus que jamais la France et les Français auront besoin d’une forces nationaliste digne de ce nom. En ce qui nous concerne, à Synthèse nationale, nous continuerons à œuvrer pour l’émergence d’un véritable pôle de rassemblement, fidèle aux fondamentaux qui font la spécificité de notre famille d’idées, résolument tourné vers l’avenir.

    Pour l’heure, nous vous donnons à tous rendez-vous comme chaque année à Rungis (94) le dimanche 1eroctobre prochain pour notre XIe Journée nationale et identitaire.

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  • Attention : dimanche soir à 20h, on ne vous donnera pas les noms des deux qualifiés, mais trois voire quatre noms !

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    Attention : dimanche soir à 20h, on ne vous donnera pas les noms des deux qualifiés, mais trois voire quatre noms !

    C’est l’info qui tourne en rond depuis trois jours : attention, dimanche soir à 20 h, on ne vous donnera pas le nom des deux qualifiés, mais trois voire quatre noms ! Les écarts seraient trop faibles, et puis les bureaux ferment maintenant à 19 h, et puis la volatilité est extrême… Certes, à l’heure où les scores se sont de façon assez surprenante resserrés en fin de campagne, et où Macron, Fillon et Marine Le Pen sont donnés entre 21 et 23 % (sondage PrésiTrack réalisé le 21 avril par OpinionWay pour Les Échos), le travail des instituts de sondage s’avère particulièrement délicat. Et leurs résultats encore plus suspects. Mais c’est aussi le résultat de l’élection lui-même, à la fois dimanche soir et pour le second tour, qui est, d’une certaine façon, placé entre leurs mains. En effet, ce sont les mêmes instituts qui, depuis des mois, ont alimenté la campagne de leurs sondages et qui, dimanche 23 avril, délivreront les premières « estimations », estimations qui s’afficheront sur tous les écrans, s’imprimeront dans toutes les têtes et orienteront de façon décisive les choix pour le second tour. Et, donc, pour 20 h, ils nous préparent à nous infliger… du flou, de l’indécis, du coude-à-coude… Cela les aura-t-il dispensés de publier, dès 20 h, de nouveaux sondages pour le second tour à partir de ces estimations très imprécises? Et ce, avant même de savoir les véritables résultats du premier tour, comme ils le font à chaque fois ?

    Or, l’expérience d’il y a cinq ans, au soir du premier tour de la présidentielle, devrait amener les instituts de sondage à faire preuve de la plus grande prudence et à faire un effort de précision et de clarté démocratique. Certes, en 2012, les instituts ne se sont pas trompés sur l’ordre d’arrivée et sur les sélectionnés pour le second tour. Mais certains d’entre eux étaient très approximatifs sur les scores des grands candidats, dans des estimations qui s’affichèrent des heures durant…

    Deux instituts, en particulier, ont pu troubler les spectateurs-électeurs, et avoir une influence sur les choix du second tour : Ipsos pour France Télévisions, Radio France et Le Monde; et CSA pour BFM TV, Canal+ , i>Télé, RMC et 20 Minutes.

    Avec deux scores qui se sont avérés assez éloignés de la réalité des résultats.

    D’une part, l’estimation d’Ipsos pour France Télévisions donna, à 20 h, Marine Le Pen à 20 %, un seuil symbolique que la candidate a été pourtant assez loin d’atteindre, les résultats définitifs du ministère de l’Intérieur lui attribuant 17,9 %. Du coup, cet institut donnait M. Hollande à 28,4 %, ce qui était assez proche du résultat final, mais M. Sarkozy à 25,5 %, ce qui était sous-évalué. Dans l’esprit des Français, trois candidats dépassaient la barre des 20 %, ce qui aurait été historique. Et l’on pouvait imaginer qu’à ce niveau, selon les évolutions de la soirée, l’écart était susceptible de se réduire encore entre M. Sarkozy et Mme Le Pen. La réalité était bien différente puisque près de 10 points séparaient Mme Le Pen de M. Sarkozy…

    D’autre part, l’institut CSA, lui, s’il évalua plus justement le score de Mme Le Pen, à 18,2 %, creusa lui aussi l’écart entre M. Hollande, donné à 29,3 %, et M. Sarkozy, donné à 26 % (au lieu de 27,2 %) : plus de trois points d’écart entre les deux leaders, alors qu’il n’était en réalité que de 1,45 %… soit 500.000 voix seulement, et non pas un million ! 

    En somme, les « inexactitudes » des instituts de sondage dans leurs estimations du 22 avril 2012 nous donnaient une photo faussée de la réalité : M. Sarkozy nettement distancé par M. Hollande et talonné par Mme Le Pen, avec un schéma : 29,5-25-20, bien loin des 28,6-27,2-18 de la réalité.

    Ces écarts étaient énormes et troublants, alors qu’en 2002, ces mêmes instituts avaient été bien plus performants, et capables d’indiquer bien plus précisément que M. Le Pen était à 17 % (en fait : 16,8) et M. Jospin à 16 % (16,18), soit 200.000 voix d’écart seulement.

    Jamais, à aucune autre élection que ce premier tour de 2012, ces instituts n’ont été aussi approximatifs. C’est d’autant plus regrettable qu’ils disposent d’énormes moyens techniques et financiers. Et, s’ils ont été capables de nous dire il y a 15 ans, dès 20 h, une situation à 20-17-16 %, ils devraient pouvoir nous dire avec la même précision le résultat du 23 avril 2017. Espérons que ces instituts ont affiné leurs méthodes pour ce premier tour de dimanche prochain que l’on nous annonce serré. La confiance des Français dans leurs institutions démocratiques dépend aussi de cette précision à laquelle ils ont droit, non seulement sur l’ordre d’arrivée, mais sur le niveau précis de chaque candidat.

    http://www.bvoltaire.fr/dernier-enfumage-sondages-de-resultats-precis-dimanche-soir-a-20h/

  • Ces milliardaires qui règnent sur les médias

    Source : OJIM – “Ces milliardaires qui règnent sur les médias”

    Avec leur livre Médias, les nouveaux empires (éditions du Moment), les journalistes Amaury de Rochegonde et Richard Sénéjoux se sont intéressés à ces milliardaires grimés en patrons de média qui règnent aujourd’hui sur la presse, la télé et la radio. Le site du Nouvels Obs en publie quelques extraits.

    Ils sont huit. Huit grandes fortunes issues du luxe, de l’industrie ou encore des télécoms, qui se partagent aujourd’hui la quasi-totalité des médias. Patrick Drahi, Arnaud Lagardère, Bernard Arnault, Xavier Niel, Vincent Bolloré… tous participent à la fulgurante concentration des médias que nous vivons actuellement. Quels sont leurs intérêts ? Leur relation avec leurs médias ? Avec le pouvoir ? C’est ce qu’ont tenté de comprendre nos deux journalistes dans ce livre. Rien d’inédit en soi dans l’analyse, mais quelques anecdotes croustillantes.

    « Je vous enregistre »

    Quand Serge Dassault, propriétaire du groupe Le Figaro, encense Manuel Valls en septembre 2012. « Je dois vous dire que nous sommes très heureux de son action. C’est pour ça qu’il a l’appui d’un journal bien connu… (…) Donc bravo Manuel, continue ! », lance alors le sénateur au ministre de l’Intérieur, un poil gêné.

    Quand Martin Bouygues, actionnaire du groupe TF1, profite de la bienveillance du gouvernement socialiste : appui à l’offre de Bouygues sur SFR en 2004 ; soutien de l’Élysée lors de la tentative de Bouygues d’entrer au capital d’Orange..

    Quand Vincent Bolloré, actionnaire du groupe Canal+ et d’Havas, premier groupe publicitaire de France, fait pression sur Le Monde via sa société. Gilles Van Kote, ancien directeur du Monde, affirme avoir subi un véritable « blocus » publicitaire de la part de Havas après qu’une pigiste du Monde ait écrit un article sur le port d’Abidjan, qui aurait fortement déplu à Bolloré.

    Quand Xavier Niel, actionnaire du Monde (avec Pierre Bergé et Matthieu Pigasse) et incarnation du « patron cool », harcèle Mediapart après une enquête déplaisante. « Le seul épisode de pression violente que j’ai eu, c’est notre enquête sur Xavier Niel. La seule personne qui m’a assailli de questions au téléphone, qui m’a dit « je vous enregistre », c’est lui », raconte Edwy Plenel.

    L’enquête sur Drahi mise sous le tapis…

    Ou enfin quand Patrick Drahi, actionnaire de Libération, L’Express, BFMTV, RMC…, passe un « deal » officieux avec François Hollande : sauver Libération en échange d’un appui dans le rachat de SFR. Après son entretien avec Hollande, Drahi a « compris qu’on apprécierait [son aide] » dans le rachat de Libé, éternel soutien des socialistes. Le retour d’ascenseur ne s’est pas fait attendre : lorsque Emmanuel Macron est arrivé à Bercy, l’enquête sur la résidence fiscale du milliardaire israélien, ouverte par son prédécesseur au ministère de l’Économie et des Finances, a été gentiment mise sous le tapis.

    Des exemples parmi tant d’autres, mais qui illustrent bien le danger de cette concentration des médias entre les mains de quelques oligarques, tous intéressés financièrement et idéologiquement par leurs prises médiatiques, et tous main dans la main avec le pouvoir.

    https://fr.novopress.info/

  • Macron est dans la droite ligne des gouvernements successifs de François Hollande depuis la loi Taubira

    Témoignage d'un haut-fonctionnaire à propos des positions de macron sur les questions éthiques et de société (GPA, PMA, euthanasie...) :

    "La position de M. Macron est dans la droite ligne de celle affichée par les gouvernements successifs de M. Hollande depuis la loi Taubira. C'est du progressisme mou qui avance masqué. Cette position consiste à proclamer plus ou moins clairement, suivant les interlocuteurs que l'on veut séduire ou rassurer, que la GPA restera interdite, tout en feignant de ne pas voir qu'elle se met en place dans les faits. C'est exactement ce  qui était annoncé dans la tribune du groupe Cambacérès publiée  en 2013 par Atlantico : comme tout le droit de la filiation est lié au mariage, la loi Taubira ouvre la porte au droit à l'enfant, et donc au trafic d'enfants, bien sûr sans le dire et sous le noble couvert de l'égalité entre les personnes quelle que soit leur orientation sexuelle (...)

    Sur le sujet de la PMA pour les couples de femmes et de la GPA pour les couples d'hommes, M. Bergé a parfaitement raison. Si rien n'est fait, si on évite tout débat, si on laisse faire l'ultralibéralisme sociétal au nom duquel tout est permis, on dira dans 5 ans que le droit doit s'adapter aux faits (ce qui est la négation même du droit...) , et la GPA s'imposera d'elle même. Accessoirement, si M. Bergé n'était pas un milliardaire étiqueté à gauche, ses déclarations sur la location d'un utérus comparable à la location des bras d'un ouvrier auraient été unanimement condamnées, en tout premier lieu par quiconque se prétend un tant soit peu féministe, ou un tant soit peu humaniste. 

    La position, ou plutôt l'absence de position de M. Macron consiste à éviter tout débat sur ces questions parce que le débat serait clivant, et donc, à n'avoir aucun programme qui pourrait être susceptible de fâcher un électeur. Mais n'est-ce pas le propre d'un débat démocratique que d'opposer des points de vue divergents, et de chercher un compromis acceptable?  dans une dictature il n'y a pas de débats. Cette position traduit en première analyse un mépris de la capacité du corps social et de ses représentants à parvenir à des solutions sages sur des questions essentielles.

    Il y a plus grave. Emmanuel Macron estime, dans une interview à La Croix du lundi 13 mars, que les questions éthiques de société "ne sont pas prioritaires sur le plan de l'action politique" (...)

    En réalité, cette position s'explique aisément. Pour M. Macron et plus généralement pour les tenants du progressisme sociétal, il n'y a pas de débat sur ces questions éthiques car le sens de l'Histoire est clair: toujours plus de libéralisme, toujours moins d'encadrement, laissons faire et la société évoluera d'elle même vers un avenir radieux débarrassé des encombrants garde-fous hérités d'un passé révolu. Dans ces conditions, il n'y a pas de position à clarifier, il n'y a qu'une proposition de chèque en blanc (...)" 

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Sondages entre bidouille et manipulation, LCI retire une émission de son site

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie)
    Alors qu’on ne cesse de répéter qu’il faut voter “utile”, les sondages redoublent pour mettre la pression sur les électeurs

    Le site Média Press Info retransmet une émission de la célèbre chaîne LCI, traitant de la grande arnaque des sondages. Cette émission a été supprimée des « rediffusions » tant elle faisait des vagues.

    Les sondages sont en effet loin d’être des mathématiques neutres et froides

    Il suffit de voir les commanditaires de sondages pour comprendre. Même Philippe de Villiers n’hésite plus à expliquer, comment il a acheté des sondages pour ses précédentes campagnes.
    Comme ne cesse de le mettre en exergue l’Ojim, la grande presse est aux mains d’une poignée d’hommes. Patrick Drahi, actionnaire de Libération, L’Express, BFMTV ou RMC est réputé pour être un soutien d’Emmanuel Macron. De même pour Denis Olivenne qui gère Europe 1, Virgin Radio, RFM, Public, Paris Match, France Dimanche ou encore télé 7 jours.

    Cela n’empêche pas la grande presse de continuer à publier des sondages

    Du même acabit, on peut en effet citer Ouest France qui publiait hier un sondage de BVA et Salesforce pour les intentions de vote au 2e tour. Ils se contentent de 480 et 795 réponses effectives…
    Ce sondage défie donc toutes les règles de prudence concernant les statistiques de probabilité.

    Mais à deux jours du premier tour de l’élection présidentielle, la propagande médiatique bat son plein pour tenter d’influencer les derniers indécis

    L’Obs, propriété du trio Niel, Pigasse et Bergé, a apporté publiquement son soutien à Emmanuel Macron via son éditorialiste Matthieu Croissandeau.
    La Dépêche du Midi, propriété de Jean Michel Baylet, actuel ministre de l’aménagement du territoire et qui reçoit 1,6 million d’euros d’argent public a même titré en première page hier, « Pourquoi le projet du FN est nocif ».
    Une preuve supplémentaire de l’instrumentalisation de la presse par le politique.

    https://fr.novopress.info/

  • Cazeneuve : l’assassin était en liberté à cause de SON gouvernement

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    C’est à cause de l’incompétence du gouvernement contre le terrorisme islamiste que cet homme était en liberté sur les Champs, une arme dans les mains !

    Bernard Cazeneuve, Premier ministre, n’a pas fait preuve d’intelligence vendredi, dernier jour de campagne électorale, en s’en prenant aux candidats de droite François Fillon et Marine Le Pen. En les attaquant, il leur a « apporté » de nombreuses voix d’indécis. Surtout en leur reprochant ce que la gauche appelle une « récupération » du dramatique attentat sur les Champs-Élysées… Car seuls les candidats de droite, bien sûr, « récupèrent » les infos qui peuvent leur faire gagner des voix, jamais les candidats de gauche. 

    Sauf que M. Cazeneuve — que pourtant j’appréciais lorsqu’il était ministre de l’Intérieur, pour ses compétences — se garde bien de rappeler que l’assassin du policier avait déjà été condamné à 15 ans de réclusion criminelle en 2005 (donc, sans remise de peine, il n’aurait dû sortir qu’en… 2020 !) et qu’en février dernier, il avait été interpellé, de nouveau, pour menaces contre des policiers mais aussitôt remis en liberté par la justice si « indépendante ».

    C’est à cause de l’incompétence du gouvernement Cazeneuve en matière de lutte contre le terrorisme islamiste que cet homme était, jeudi soir, en liberté sur les Champs, une arme dans les mains ! La gauche privilégie la défense (avec forces de l’ordre en protection de la population) au détriment de l’offensive, comprenant, entre autres, les contrôles aléatoires par l’armée ou par la police. Des contrôles permettant de relever les identités et de fouiller les véhicules, comme du temps du terrorisme FLN ou contre… l’OAS ! Dispositif qui aurait — peut-être — dissuadé ou permis d’arrêter cet assassin avant qu’il ne passe à l’acte. Tout comme les tireurs du Bataclan circulant en voiture avec un arsenal impressionnant en toute impunité.

    Et notre sacro-sainte liberté, rétorqueront les bien-pensants ? Comme l’a expliqué un commentateur, au lendemain de l’assassinat du policier : « Le risque de mourir lors d’un attentat est faible, plus faible que lors d’un accident de voiture… » Donc, pourquoi vouloir lutter contre le terrorisme, surtout islamiste ? Pour certains — à gauche —, la mort d’un policier est statistiquement négligeable…

    Si la droite (que ce soit avec François Fillon ou avec Marine Le Pen) avait été au pouvoir, il est à peu près certain que cet assassin (pardon « présumé » assassin, puisqu’il n’a pas eu « la chance » d’être jugé) aurait été toujours sous les verrous en ce tragique soir du 20 avril 2017 ! Et ce policier aurait retrouvé sa famille sain et sauf… La droite n’aurait alors rien eu à « récupérer »… Et cela aurait été « tant mieux », et bienheureux pour ce policier.

    En outre, et accessoirement, cela aurait évité à M. Hollande de terminer son quinquennat si « hautement sécuritaire » par des funérailles nationales.

    http://www.bvoltaire.fr/cazeneuve-lassassin-etait-liberte-a-cause-de-gouvernement/

  • « Au fil du temps‏... » | Par Francis Cousin

    Billet de Francis Cousin du 26 Août 2014 suite au remaniement du gouvernement Valls...

    Côté pile…

    « …La moindre réforme financière échouait devant l'influence des banquiers, telle, par exemple, la réforme postale. Rothschild protesta, l'État avait-il le droit d'amoindrir des sources de revenu qui lui servaient à payer les intérêts de sa dette sans cesse croissante ? Pendant que l'aristocratie financière dictait les lois, dirigeait la gestion de l'État, disposait de tous les pouvoirs publics constitués, dominait l'opinion publique par la force des faits et par la presse, dans toutes les sphères, depuis la cour jusqu'au café borgne se reproduisait la même prostitution, la même tromperie éhontée, la même soif de s'enrichir, non point par la production, mais par l'escamotage de la richesse d'autrui déjà existante. C'est notamment aux sommets de la société bourgeoise que l'assouvissement des convoitises les plus malsaines et les plus déréglées se déchaînait, et entrait à chaque instant en conflit avec les lois bourgeoises elles-mêmes, car c'est là où la jouissance devient crapuleuse, là où l'or, la boue et le sang s'entremêlent que tout naturellement la richesse provenant du jeu cherche sa satisfaction. L'aristocratie financière, dans son mode de gain comme dans ses jouissances, n'est pas autre chose que la résurrection du lumpenprolétariat dans les sommets de la société bourgeoise. » 
    - Karl Marx. Les luttes de classes en France (1850)

    Côté face…

    Emmanuel Macron, né le 21 décembre 1977 à Amiens, est un banquier, haut fonctionnaire et homme politique français du crétinisme absolu de la marchandise triomphante.
    Banquier d'affaires du spectacle d’insignifiance des signes du chimérique totalitaire chez Rothschild de 2008 à 2012, il occupe de mai 2012 à juin 2014 les fonctions de secrétaire général adjoint de la présidence de la République de la soumission à l’ordre américain cosmopolite.
    Depuis le 26 août 2014, il est le ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique dans le gouvernement Manuel Valls II de la décomposition accélérée vers la grande explosion finale…

    https://www.leretourauxsources.com/blog/au-fil-du-temps-par-francis-cousin-n1352