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anti-national - Page 759

  • Migrants : les gauchistes agissent quant les élus FN et LR s’offusquent !

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    L’agriculteur militant Cédric Herrou vient d’être arrêté pour la sixième fois cette année, pour aide au séjour d’étrangers en situation irrégulière.

    D’après Nice Matin, l’agriculteur militant Cédric Herrou vient d’être arrêté pour la sixième fois cette année, pour aide au séjour d’étrangers en situation irrégulière. Il accompagnait 156 migrants pour les emmener à Nice puis Marseille afin de déposer des demandes d’asile. D’après la police : « Il y a eu 156 interpellations le 24 juillet. Une centaine d’individus ont été emmenés en car à Menton, les autres étant sous garde policière en gare de Cannes en milieu de soirée, en attente d’être transférés à leur tour. »

    Ces interpellations ont eu lieu deux jours après la venue de José Bové à Tende, à la frontière franco-italienne. Plus de 200 migrants (des Soudanais, Érythréens, Somaliens et Tchadiens) avaient dû se scinder en deux groupes pour pouvoir prendre le train et rejoindre la plate-forme d’aide aux demandeurs d’asile. Les frais de transport, à hauteur de 1.000 euros, avaient été pris en charge par les membres de Roya citoyenne.

    Voilà où en est la France. Un militant gauchiste reconverti en agriculteur joue les portes ouvertes pour les migrants venant d’Italie et se fout comme de sa première chemise des arrestations et des condamnations car il a derrière lui les élus d’extrême gauche et les médias. Même le New York Times a rédigé un article zélateur. Pourtant, je le rappelle, 62 % des Français sont opposés aux migrants. Herrou peut donc tranquillement continuer son petit bonhomme de chemin, aidé par une centaine de sympathisants et une partie de la Justice, tel le procureur de Nice qui, ayant conclu à ses intentions humanitaires, avait refusé de porter des accusations. De même en janvier 2017, le héros de l’ultra-gauche était placé en garde à vue avec son frère et une autre personne pour avoir fait traverser trois migrants érythréens, mais ils étaient libérés deux jours plus tard sans que des accusations aient été déposées.

    Le problème, Monsieur le Procureur, est que les intentions de ce révolutionnaire, levant le poing au palais de Justice, mélange de Che Guevara avec son béret noir et de Trotski avec ses petites lunettes rondes, ne sont pas humanitaires. Son but, comme celui des communistes il y a cinquante ans face au prolétariat, est d’instrumentaliser les migrants non pas parce qu’ils sont faibles mais parce qu’ils représentent la force capable de déstabiliser notre pays. D’ailleurs, notre passeur a demandé « pourquoi mes clandestins peuvent demander l’asile et pas tous les autres », faisant ainsi chorus à José Bové qui a réclamé à la France « d’ouvrir ses frontières ».

    Il est, par exemple, intolérable que des Tchadiens viennent se réfugier en France pendant que l’armée française se bat au Tchad. Mais Herrou a raison sur un point : il faudrait que les migrants passent par milliers ou dizaine de milliers la frontière pour faire enfin réagir une majorité silencieuse amorphe.

    Nous touchons là le problème essentiel, celui d’une bourgeoisie qui se plaît à voir proliférer son argent mais néglige la prolifération des migrants !

    Elle veut bien voter à droite mais refuse de descendre dans la rue. Quant à la classe populaire, elle veut bien descendre dans la rue mais attend de découvrir ceux qui vont la diriger car l’exemple vient d’en haut. Or, au FN ou chez les Républicains les plus durs, on se scandalise, mais personne pour stopper activement les migrants. Je vais sûrement en chagriner certains, mais aujourd’hui, aucun élu n’a assez d’estomac pour barrer les rues, les voix ferrées ou bloquer les trains et les cars à des gens qui, pourtant, sont dans l’illégalité.

    Seuls les Identitaires des pays d’Europe, avec le bateau Defend Europe, n’ont pas eu peur d’agir, les élus et les responsables FN et LR, eux, ne faisant que s’offusquer.

    http://www.bvoltaire.fr/migrants-gauchistes-agissent-quant-elus-fn-lr-soffusquent/

  • APB et APL : c’est sur les familles que l’Etat se repose

    Chronique de La Manif Pour Tous :

    "Le logiciel informatique d’admission post bac (APB) est utilisé par le ministère de l’Education nationale pour affecter les 853 262 candidats au baccalauréat 2017 en classes prépas, universités, IUT, etc. Malheureusement, aujourd’hui, 65 000 jeunes sont toujours sans affectation, quand celle-ci ne s’est pas faite par tirage au sort. Parallèlement le gouvernement vient d’annoncer qu’il diminue de 60 euros par an le montant de l’aide au logement (APL). Dans le traitement des deux cas, APB, APL, quel message le gouvernement envoie-t-il aux Français dans sa manière d’agir, et plus particulièrement à l’adresse des familles ?

    En effet, que ce soit APB ou l’APL, le gouvernement montre son impéritie dans la gestion à long terme. Pour APB, il y a eu 46 000 inscriptions supplémentaires par rapport à 2016. Est-ce à dire que personne au ministère de l’Education nationale ne le savait ? Nous ne pouvons le croire. Le gouvernement et celui qui l’a précédé pratiquent la politique de l’autruche. C’est inconséquent. Pour la baisse des APL, c’est envoyé le message que l’avenir n’appartient pas aux étudiants, débrouillez-vous leur dit le gouvernement. C’est tragique. Il s’agit ni plus ni moins que d’aider à se loger des hommes et des femmes qui sont le futur de notre pays, puisque sur 6,5 millions de bénéficiaires de cette aide, 800 000 sont des étudiants.

    Par ailleurs, sur le plan politique, ces deux mesures mettent en exergue le manque de courage politique de ceux qui sont à la tête de l’Etat. APB a été rendu responsable de ces non-affectations. On en a fait un bouc-émissaire. Mais cela n’a aucun sens. APB n’est qu’un algorithme, une machine programmée qui fait ce qu’on lui dit de faire. La première question est la liberté que l’on veut, ou pas, laisser aux universités de sélectionner leurs étudiants. Liberté honnie par les syndicats étudiants qui n’y voient qu’une source d’inégalité. Aussi, il conviendrait que le gouvernement, a contrario de ses prédécesseurs, ait le courage d’engager une réflexion avec toutes les parties prenantes, et en particulier avec les syndicats étudiants toujours promptes à menacer de faire grève. A l’heure de la compétition mondiale entre les universités et le développement de l’intelligence artificielle qui bouleversent la donne des savoirs et des besoins futurs, cette question est cruciale pour l’avenir de notre pays. Que les universités puissent choisir leurs étudiants sur des critères justes doit être un schéma imaginable. Il semble que d’autres Etats à l’étranger y parviennent. A titre illustratif sachons qu’à l’heure où les universités manquent de moyens, un rapport de France stratégie dévoile que 40% des étudiants se réorientent entre la première et la deuxième année d’études supérieures. Coûts : 500 millions d’euros. Bilan : les universités brûlent leurs cash pour ces « erreurs d’orientations », plutôt que d’investir pour les étudiants motivés par leurs enseignements.

    Quant à la diminution du montant des APL, le gouvernement d’Edouard Philippe n’a pas eu le courage d’assumer cette mesure impopulaire. Il a donc dit que c’était le gouvernement précédent qui avait pris cette mesure – qui dément vivement par la voix de l’ex-secrétaire d’Etat au Budget Christian Eckert. Personne n’en sort grandi. Mais outre que c’est le second coup de rabot, après celui de 2016 fait par François Hollande qui avait déjà diminué ou supprimé ces aides pour 80.000 foyers, celui-ci montre que c’est une politique à la petite semaine qui est faite là, dans l’urgence. Rappelons qu’Emmanuel Macron était ministre des Finances l’an dernier. La situation financière de la France il la connaissait. Où est passé le candidat qui promettait des réformes structurelles ? Aux abonnées absents. Une fois encore la réforme est remise à demain. Cette mesure illustre aussi le manque de préparation des équipes présidentielles.

    Enfin, dans les deux cas, APB et APL, c’est sur les familles que l’Etat se repose. Car qui d’autres que ces dernières va assurer l’année qui vient pour ces étudiants mis à mal par un Etat inconséquent. Que ce soit ceux mal orientés qui s’arrêteront en cours d’année, ou peut être ceux qui n’auront pas de place, ou que ce soit ans la baisse du montant de l’APL qui diminue d’autant leur budget. Dans les deux cas ce sont les familles qui serviront d’amortisseurs. Ce sont elles qui assureront le soutien nécessaire, qu’il soit moral ou financier, l’Etat se défaussant. Officiellement, il dit qu’il aime toutes les familles, mais là n’est pas la question. Ces dernières ont besoin, comme les entreprises au chevet duquel le gouvernement est penché ardemment, d’un cadre stable, d’aides justes et de la solidarité nationale. Et comme en amour, le dire ne suffit pas, il faut des preuves de cette solidarité.

    Mais faudrait-il encore qu’il existe un ministre de la Famille pour le dire et la défendre. Or il n’en existe pas dans le gouvernement d’Edouard Philippe. Le problème est peut être là. Aucun ministre ne semble se soucier de l’impact de ces deux problèmes qui engagent pourtant la vie de millions de Français. C’est plus que regrettable, c’est inquiétant pour la suite du quinquennat. Les familles n’ont aucun porte-parole au gouvernement. Elles sont donc réduites au silence. Pour le moment."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • « Familles, je vous hais » : la nouvelle devise d’Emmanuel Macron ?

    Montesquieu a fort bien montré comment la démagogie corrompt la démocratie, au risque de la transformer en despotisme. La campagne présidentielle nous en a rappelé la triste réalité. À peine élu, le Président Emmanuel Macron oublie une partie de ses promesses électorales, notamment en matière de politique familiale.

    Dans le domaine sociétal, d’abord. S’il s’est engagé à ouvrir la procréation médicalement assistée (PMA) à toutes les femmes, il assure refuser la GPA. Il annonce même que la France participera à une initiative internationale pour lutter contre les trafics et la marchandisation des femmes.

    Paradoxe ou mensonge ? Il est évident que la généralisation de la PMA entraînera, à terme, l’acceptation de la GPA, au nom de l’égalité entre les hommes et les femmes : quand l’opinion sera prête, le pas sera franchi. Du reste, Emmanuel Macron souhaite que les enfants issus de la GPA nés à l’étranger voient leur filiation reconnue à l’état civil français, selon la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme, dans la ligne de Christiane Taubira.

    Façon hypocrite de légaliser la GPA à l’étranger pour les couples qui en ont les moyens !

    C’est vrai, également, dans le domaine financier. En avril 2017, le candidat prétendait vouloir augmenter le quotient familial, par deux fois diminué lors du quinquennat de François Hollande. À condition, cependant, que « les finances publiques le permettent » : si l’ancien ministre de l’Économie ne savait pas que ce ne serait pas le cas, c’est qu’il était bien mauvais !

    Il déclarait aussi, en avril 2017, que « la force de la France, c’est sa vitalité démographique ». Selon l’INSEE, en 2015, les naissances ont considérablement baissé. Mais rien n’est fait pour y remédier – à moins qu’il ne compte sur les familles d’immigrés pour combler le déficit ?

    Il considérait que c’est un élément de justice d’accompagner les familles, mais ses premières mesures vont dans un sens contraire. Qui sera lésé prioritairement par la baisse uniforme des aides au logement, dès le 1er octobre ? Les familles nombreuses, qui ont plusieurs enfants effectuant des études après le baccalauréat. Pour renflouer les caisses de l’État, on vide les poches des familles : il est facile de faire des économies avec l’argent des autres !

    Les grands-parents auront de moins en moins la capacité d’aider leurs petits-enfants. Ils avaient déjà subi une substantielle hausse d’impôt, avec la fiscalisation de la majoration de retraite pour trois enfants ou plus. Dès 2018, ils seront encore ponctionnés par l’augmentation de la CSG, sans aucune compensation, puisqu’ils ne sont pas salariés et ne bénéficieront pas, pour la plupart, de la suppression de la taxe d’habitation – au demeurant retardée.

    De même, en supprimant partiellement l’ISF pour orienter l’épargne vers l’investissement productif, Emmanuel Macron fera un cadeau aux patrimoines les plus élevés et taxera les familles qui cherchent à conserver, pour leurs enfants, un bien immobilier. Sa politique vise les classes moyennes plus que les actionnaires du CAC 40.

    La République crée ainsi de nouveaux privilèges : les privilèges de l’argent. Dans ces conditions, il y aurait quelque indécence à donner un statut officiel et un budget à celle qui n’est que le conjoint du chef de l’État. À quand une nouvelle nuit du 4 août ?

    http://www.bvoltaire.fr/familles-hais-nouvelle-devise-demmanuel-macron/

  • Le bateau anti-immigration arrêté en Egypte

    Le bateau affrété par les Identitaires européens afin de stopper en Méditerranée le trafic de migrants soutenu par les ONG humanitaristes est, d’après le quotidien britannique The Independent, arrêté au Canal de Suez en Égypte depuis dimanche. Les autorités égyptiennes estiment qu’il manque des documents pour traverser le canal.

    Surnommé le C-Star, ce navire a pu être appareillé dans le cadre de la campagne identitaire Defend Europe grâce à une collecte de fond organisée sur le web.

    Le but des identitaires européens à l’origine du projet est d’arriver en Sicile dans le port de Catane où sont basés de nombreux navires des ONG qui s’emploient à organiser le débarquement en Italie de milliers de migrants par jour. L’objectif à plus long terme est d’aider les gardes-côtes libyennes à repousser les bateaux de migrants afin de les empêcher de traverser la Méditerranée. Et de faire cesser les manœuvres des ONG qui, sous couvert de charité humanitariste, favorisent le transfert de migrants en Europe.

    Francesca de Villasmundo

  • L'intox Macron : les Français commencent à comprendre

    Ces courriers des lecteurs au Courrier de l'Ouest du 23 juillet valent la lecture :

    Courrier de l'Ouest Dimanche 23 juillet 2017 Macron Bonne  chance la France

    Courrier de l'Ouest Dimanche 23 juillet 2017 Macron c'est  notre Tintin

    Courrier de l'Ouest Dimanche 23 juillet 2017 Macron et les retraités

    La cote de popularité du président français Emmanuel Macron est en forte baisse en juillet, avec 54% de satisfaits, soit dix points de moins qu’en juin, selon un sondage publié par l’hebdomadaire Le Journal du Dimanche. En juillet 2012, la cote de popularité de François Hollande s'établissait à 56%... Faire moins bien que Hollande, c'est un record. Et cela a refroidi 

    VIDEO :«La baisse de  chez les retraités est inquiétante car ils votent le +. Ca peut être violent pr les prochaines élections» pic.twitter.com/ffYlZ7ksDT 

    VIDEO @JuCorbillon : «Depuis le sondage de ce matin, on n'arrive pas à avoir 1 député ou porte-parole pour venir défendre » pic.twitter.com/RfcqhjmtG7

     

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Des dizaines d’adhérents de La République en Marche dénoncent un manque de démocratie interne

    Une trentaine de militants ont déposé un recours en référé devant le tribunal de grande Instance de Créteil pour obtenir l’annulation du scrutin qui a démarré dimanche et se tient jusqu’au 30 juillet. L’audience de référé est fixée à 13 h 30 mardi.

    Ces militants dénoncent un manque de démocratie interne et estiment surtout que les nouveaux statuts ont été soumis au vote sans tenir compte du délai légal prévu par les propres textes du parti. Ce vice de forme devrait être, à leurs yeux, suffisant pour obtenir en justice le report du vote en décembre.

    « Nous avons alerté les instances du parti à maintes reprises sans jamais obtenir de réponses, hélas ! On se doit d’être exemplaire. » « On est heureux qu’Emmanuel Macron soit arrivé à l’Élysée, et maintenant que c’est fait on a En Marche ! qui décide de changer de statuts. On s’est retrouvé avec des statuts, en quelque sorte, imposés par le QG. On a essayé de les avertir, de leur dire qu’on aimerait débattre, c’est la démocratie, c’est participatif, et on a eu une fin de non-recevoir. »

    Le 8 juillet, lors de la convention nationale du mouvement, certains participants s’étaient étonnés de ne pouvoir consulter un exemplaire intégral des futurs statuts. « Ce manque de démocratie interne est d’autant plus dénoncé que les nouveaux statuts ont été rédigés dans la précipitation, sans consultation approfondie des militants et sont soumis à leur vote au cœur de l’été ».

    Michel Janva

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  • Emmanuel Macron, le petit caporal épinglé

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    Tous les médias, depuis deux semaines, parlent de malaise dans l’armée sans en désigner les données spécifiques, seul Paris Matcha tenté d’approfondir celles-ci. Voici, pour moi, les cinq maux qui touchent aujourd’hui la Défense.

    1) Coupe dans le budget et départ du général Pierre de Villiers. Mercredi 19 juillet, en fin d’après-midi, de très longs applaudissements du personnel de l’état-major saluaient, à Balard, le départ du CEMA. Ce n’est pas simplement ses subordonnés qui lui rendaient hommage, derrière, c’est toute l’armée qui honorait ce général pour son geste courageux. Il est peu fréquent, dans le milieu militaire, qu’un chef mette ses actes en conformité avec ses idées, créant ainsi un vaste élan de reconnaissance.

    2) L’inexistence de l’actuel ministre de la Défense. Je suis sûr que vous n’avez pas retenu son nom : Florence Parly est la patronne de la Défense – patronne est un bien grand mot. Cette énarque, successivement secrétaire d’État au Budget puis, en 2016, directrice générale de SNCF Voyageurs n’a rien dans son CV pour rassurer les personnels de la Défense. Pour elle, le domaine militaire, c’est le néant et son silence est là pour le confirmer. Silence doublé d’une absence inqualifiable lors de la passation de pouvoir entre les deux chefs d’état-major des armées à l’hôtel de Brienne. 

    3) Le général François Lecointre, homme du Président. Cet ancien de la « Coloniale », qui a commandé le 3e régiment d’infanterie de marine (RIMa) de Vannes, a été présenté par les journalistes comme un héros. Pourtant, il n’a pas laissé une image aussi unanime après son dernier passage à Matignon où il était, depuis 2016, le chef de cabinet militaire de Valls. On le dit proche de Macron et de l’actuel Premier ministre Édouard Philippe. Il l’est moins de différentes personnalités, figures reconnues de l’institution militaire. Loin d’éteindre la grogne, la nomination du général Lecointre exacerbe les tensions. Les trois chefs d’état-major Jean-Pierre Bosser (Terre), Christophe Prazuck (Mer) et André Lanata (Air), pour ne citer qu’eux, pourraient réserver un accueil glacial au nouveau CEMA. « Confiance rompue »« institution militaire choquée, stupéfaite » : l’ancien général de l’armée de terre Vincent Desportes n’a pas mâché ses mots contre l’État sur Europe 1. D’ailleurs, des officiers auraient été approchés et auraient refusé, par loyauté, de prendre la place du général de Villiers. Ce serait peut-être même le cas du général Bosser, para avéré, qui fit une grande partie de sa carrière au 8e RPIMa.

    4) Emmanuel Macron n’a rien de militaire. Le chef de l’État a géré cette crise seul, sans écouter ses conseillers. Ses interventions successives contre le général de Villiers et sa nomination de Lecointre dénotent un ego surdimensionné. Notre caméléon de vestiaire a cru qu’il allait amadouer l’armée en s’habillant tantôt en sous-marinier de la « Royale » tantôt en combinaison Top Gun de l’armée de l’air. C’est l’inverse qui se produit, les cadres qui ont pu l’approcher se gaussent de ce Président qui n’a jamais servi dans un corps militaire mais qui aime jouer au petit soldat. Surtout, ils se méfient d’un chef qui, inféodé à Merkel et au 3 % de déficit de l’Union européenne, n’a pas son libre arbitre et aime manipuler ses interlocuteurs en expliquant tout et son contraire.

    5) Enfin, sur le terrain, la situation se détériore. Ainsi dans le Sahel, où l’essentiel de nos forces est mobilisé, des pans entiers du territoire malien sont laissés à la coalition terroriste menée par le chef touareg Iyad Ag Ghali. Des raids meurtriers et une embuscade ont été menés ces derniers jours contre l’armée malienne, obligeant les militaires de l’opération Barkhane à gérer une nouvelle fois en urgence une situation d’autant plus difficile que notre matériel est à bout de souffle.

    Macron se prend pour le « petit caporal ». Un petit caporal qui ne tardera pas d’être épinglé par les Français…

    http://www.bvoltaire.fr/emmanuel-macron-petit-caporal-epingle/

  • La vérité sur le Nazisme et l’extrême droite de nos jours. Une escroquerie dénoncée !!!

  • Démission de Pierre de Villiers : l’honneur d’un général, par Caroline Parmentier

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    Général-Pierre-de-villiers-234x350.jpgIl s’en va. Avec dignité et dans l’honneur. Après un bras de fer courageux contre le président Macron. « Je ne pourrai plus regarder mes gars dans les yeux si on réduit encore nos moyens », avait-il déclaré.

    Le général Pierre de Villiers (frère de Philippe) a remis sa démission en signe de protestation contre la coupe budgétaire annoncée de 850 millions d’euros pour l’armée en 2017. Signe éloquent : sur le compte twitter officiel de l’état-major des armées, une vidéo émouvante montre la haie d’honneur de centaines de militaires de tous grades et les longs applaudissements de ses hommes le jour du départ du général de Villiers. Même les flics qui assurent la sécurité des lieux l’applaudissent à tout rompre. La révolte gronderait-elle ? C’est le premier gros couac en tout cas de la présidence Macron. Une première. Jamais un chef d’état-major des armées n’avait démissionné sous la Ve République.

    Emmanuel Macron, qui aime à montrer qu’il se rend dans les hôpitaux militaires, roule des mécaniques sur les théâtres d’opération et passe la main dans le dos des troufions, assène le coup de grâce à une armée française sur la paille et dont les casernements n’ont parfois rien à envier aux camps de migrants. « Un militaire de haut rang, ça parle peu, mais quand ça parle, mieux vaut l’écouter » résume avec sa verve à la Audiard, Jacques Guillemain, sur Riposte Laïque. C’est exactement ça.

    Emmanuel Macron a réagi en jeune coq se dressant sur ses ergots au grave avertissement que lui adressait le chef d’état-major des armées, général cinq étoiles. Une décision qui n’a pas dû enchanter Jean-Yves Le Drian, le ministre des Affaires étrangères de Macron, qui avait soutenu le général de Villiers alors qu’il était ministre de la Défense en 2014 dans sa guérilla contre Michel Sapin sur le même sujet déjà. Allez, un peu de courage Le Drian, démissionne aussi ! Et avec, tout le quarteron de généraux félons (ah ! si seulement) qui pensent que Villiers a totalement raison mais qui ne sortent jamais des rangs.

    Après les attentats islamistes de 2015, plus que jamais, le général de Villiers a martelé qu’il était suicidaire de baisser la garde : « On ne gagne pas une guerre sans effort de guerre. » Alors qu’elle a 30 000 militaires déployés combattant le djihadisme, au Sahel, au Levant mais aussi sur le territoire national avec le dispositif « Sentinelle » de 10 000 hommes mis en place en quelques jours en janvier 2015, l’armée française est à l’os. Emmanuel Macron n’a toujours pas pris la mesure de l’importance de son rôle face à la menace islamiste.

    Une pensée pour le successeur du général de Villiers, le général Lecointre : la place n’est pas un cadeau. A peine nommé, cet ancien chef du cabinet militaire de Valls, Cazeneuve et Edouard Philippe passe pour une serpillière. Avec lui, peu de risque de coup d’éclat.

    Caroline Parmentier

    Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 21 juillet 2017
    (titre original : « L’honneur d’un général »)

  • Et maintenant, ils squattent les piscines…

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    Les millions de litres d’eau déversés dans les rues de nos quartiers ne leur ont donc pas suffi.

    Après avoir ouvert les précieuses bornes à incendie, les jeunes – enfin, les « djeunes » -, les désœuvrés de nos villes mais aussi de nos villages, ceux à qui la France et leurs parents n’ont pas su apporter le minimum d’éducation, s’en sont pris aux piscines.

    Les piscines municipales, d’abord, dans lesquelles ils trouvent un malin plaisir à se soulager, polluant l’eau déjà passablement impropre et où sévit parfois, avec la complicité des maires, quelques modes musulmanes fort peu hygiéniques. Un exemple parmi des dizaines d’autres : la piscine de Sanvignes, en Saône-et-Loire. Squattée par des dizaines d’ados et jeunes adultes mâles déjà bien bronzés et qui plongent, replongent en hurlant au point que les riverains ont porté plainte sans résultat. Le Journal de Saône-et-Loire a recueilli ce témoignage d’un voisin : « On appelle le commissariat, mais ils disent qu’ils ne peuvent rien faire, qu’ils ne sont pas assez nombreux. C’est tout juste si on ne les dérange pas à les appeler… La piscine de Sanvignes devient une zone de non-droit. »

    Il y a pire ! C’est l’invasion des piscines privées, de villas ou de résidences. BFM TV, dont on sait combien les journalistes sont politiquement corrects, a toutefois réalisé un court reportage sur le viol de ces piscines à Toulouse. Là aussi, les policiers sont sollicités. Ils reçoivent une centaine d’appels par semaine, et plus, même, lorsque le thermomètre grimpe.

    Comme le chantait le regretté Éric Charden dans un autre siècle, l’été s’ra chaud. Et pas seulement dans les T-shirts et les maillots…

    http://www.bvoltaire.fr/et-maintenant-ils-squattent-les-piscines/