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anti-national - Page 763

  • Scandaleux : si Marine Le Pen est élue, Hollande séchera la passation de pouvoir !

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    Non seulement ce type est un pignouf de bas étage, mais à l’évidence Valérie Trierweiler disait vrai : il n’a que mépris pour le peuple.

    On le sait tous : si Marine Le Pen est au second tour de la présidentielle, on va basculer dans l’hystérie. Qu’on se souvienne un peu de l’entre-deux-tours 2002… Les lycées et collèges vidés de leurs élèves pour les conduire à la manif entre leurs profs, les « ménagères » emplissant leurs Caddie© par trouille du Grand Soir, tous les politiques faisant allégeance à un Jacques Chirac qu’ils vomissaient la veille, et le Président le plus inutile de la VeRépublique réélu avec un score de maréchal soviétique. Soyons donc sans illusion : si Marine Le Pen est au second tour, on va nous rejouer la même comédie.

    Déjà, d’ailleurs, on s’y prépare. Ce jeudi, les six responsables des diverses obédiences maçonniques donnaient ainsi une conférence de presse commune « sur la présidentielle ».

    Laurent Kupferman en fait un compte rendu hilarant dans 20 Minutes. Il y raconte les grands maîtres, à visage découvert (les Frères seraient-ils désormais pour la transparence ?), qui appellent à voter contre la candidate du Front national, « une décision mûrie depuis plusieurs mois ». Cela au nom du « pacte républicain ».

    Et c’est quoi, le pacte républicain ? Le grand mamamouchi du Grand Orient se lance. « On arrive au bout de trois siècles d’inspiration libérale que tout le monde nous présente comme une fatalité, alors que ce dogme du marché lamine tout sur son passage. On doit imaginer un monde centré sur la prospérité et la fraternité des peuples. On doit penser une nouvelle démocratie éclairée. Quand les électeurs ne font plus confiance à la démocratie française telle qu’elle existe, c’est qu’il faut revoir son mode de fonctionnement.

    Ça passe par se saisir de la question des institutions, ce qu’on appelle la VIe République chez certains, même si là on tombe dans la politique. »

    Conclusion : les frères la gratouille voteront Mélenchon ! D’ailleurs, c’est une coïncidence sans doute : Jean-Luc Mélenchonest le seul candidat à avoir déclaré son appartenance à la franc-maçonnerie. Et il appartient… au Grand Orient. Ah ! Ah ! Ah ! Kolossale finesse !

    Et tout cela, voyez-vous, n’est pas pour rassurer François Hollande, notre Président normal. Déjà qu’il trouve que cette campagne « sent mauvais »… Et sa crainte à lui, c’est de voir un second tour opposer Le Pen et Mélenchon. Il n’en dort plus, notre Flanby. Alors si les francs-macs s’y mettent… Il a pourtant essayé de les amadouer. Fin février, il s’est même rendu ès qualité à leur petite sauterie sur le thème « 300 ans de franc-maçonnerie, 300 ans d’émancipation ». Une première : reçu très officiellement au siège du Grand Orient, rue Cadet, François Hollande y a rencontré les représentants de dix-sept loges d’obédiences diverses.

    Et voilà, patatras, un coup de compas dans le dos. Et cette horrible perspective qui hante maintenant ses nuits : un duel Le Pen-Mélenchon. Et cette crainte qui lui fouaille les entrailles et lui coupe l’appétit (il a un peu maigri, non ?) : la victoire de la grande blonde !

    Alors, dans cette hypothèse funeste, acculé à cette fin de règne qu’il n’aurait jamais osé imaginer, le Président normal voudrait bien pouvoir sortir de la norme. Il se renseigne, pose des questions, consulte les grands sages du protocole.

    Vous avez deviné : dans le cas où Marine Le Pen gagnerait la présidentielle, François Hollande ne veut pas assurer la passation de pouvoir.

    On a déjà connu de ces grands démocrates, tel François Fillon, qui refusent toujours obstinément de serrer la main de la députée Marion Maréchal-Le Pen, mais Hollande franchit un cap : jamais on n’a vu dans notre histoire de ministre et, a fortiori, de chef de l’État refusant de transmettre les clés de la boutique à son successeur démocratiquement élu.

    Non seulement ce type est un grossier personnage, un pignouf de bas étage mais, à l’évidence, Valérie Trierweiler disait vrai : il n’a que mépris pour le peuple.

    http://www.bvoltaire.fr/scandaleux-marine-pen-elue-hollande-sechera-passation-de-pouvoir/

  • #LeVraiFillon : Fillon et les mosquées | Marine 2017

  • Stockholm : les égarements sans fin des Européens face à l’islam, par Louis Brequin

    Une semaine après l’attentat qui a frappé la capitale suédoise, le principal suspect, un Ouzbek de 39 ans débouté du droit d’asile, est passé aux aveux et a confessé ses sympathies islamistes. Les commémorations en hommage aux victimes ont débuté, s’accompagnant d’un discours systématiquement resservi à chaque fois qu’un attentat survient en Europe. Pour le résumer, citons le premier ministre suédois, Stefan Löfven, qui a déclaré : « Le but du terrorisme est de miner la démocratie. Mais ces actes n’arriveront jamais à gagner en Suède, nous le savons. Vous ne pouvez pas nous diviser […]. »

    Le mythe de l’unité du pays

    Cette rengaine sur la volonté supposée des terroristes de diviser la population des pays occidentaux, sous-entendu entre Européens de souche et immigrés, est devenue le leitmotiv de nos dirigeants car elle permet, par une pantalonnade bien culottée, de légitimer leurs politiques suicidaires, celles-là mêmes qui ont conduit à la situation actuelle de balkanisation de l’Europe. L’idée qu’ils cherchent à propager est la suivante : si le but du terrorisme est de nous diviser, alors pour lui faire échec, il faut renforcer les politiques « d’intégration », comprenez davantage d’antiracisme, de mixité contrainte et forcée et de concessions diverses envers les communautés immigrées au détriment des autochtones. Par contraposée, les solutions avancées par la droite identitaire ne constitueraient pas le bon remède à nos maux.

    Sauf que ces brillants esprits ont oublié un détail : pour que ce raisonnement soit valable, encore faudrait-il qu’il n’y ait jamais eu une quelconque unité entre ces deux composantes de la société. Et c’est là que le bât blesse.

    La fraternité ou même la simple cohabitation des Européens de souche et des immigrés n’a jamais été qu’une chimère, une douce illusion dont se bercent nos élites.

    Pour le cas de la France, il suffit pour s’en convaincre de relire les travaux de Michèle Tribalat sur la ségrégation dans les quartiers et les stratégies d’évitement des Français de souche ou de Christophe Guilluy sur l’endogamie des élites blanches et urbaines. Cet entre-soi a pu être constaté de manière éclatante lors des manifestations pourCharlie qui ont rassemblé quasi-exclusivement des citadins blancs, les extra-Européens les ayant délaissées car ils ne se sentaient tout simplement pas concernés. Les photos d’ensemble publiées par la presse à l’époque attestent irréfutablement de cette homogénéité.

    A bien y réfléchir, il n’y a rien de surprenant à ce constat. Comment des populations aux valeurs diamétralement opposées pourraient-elles fraterniser ? Pour le cas des « Charlies » qui se prévalent d’un vivre-ensemble harmonieux, il s’agit de personnes laïques, attachés aux droits des femmes et des minorités sexuelles, prônant l’émancipation hors des communautés d’origine et privilégiant le dialogue et le compromis. Pour ce qui est des jeunes issus de l’immigration, qui habitent souvent les quartiers sensibles et ont en majorité conservé une mentalité de « bledard », on a affaire à des individus misogynes, volontiers homophobes, obnubilés par leurs origines ethniques et religieuses et vouant un culte à la violence et au rapport de force. Il n’y a pour ainsi dire rien qui les rassemble tant elles sont aux antipodes l’une de l’autre.

    La véritable signification des « amalgames »

    Cet argument de la division ressassé par la classe politique est le corollaire logique de l’analyse qu’elle nous livre sur le phénomène terroriste qui voudrait que « 99 % des musulmans soient des gens pacifiques, horrifiés par le terrorisme ». L’avantage du terrorisme par rapport à d’autres formes de violence engendrées par l’immigration (délinquance, émeutes…) est sa dimension marginale qui permet au pouvoir d’absoudre l’entièreté des communautés d’immigrés musulmans, en renvoyant le terrorisme à un problème d’individualités. Présentée dans les médias comme une grille de lecture éclairée et nuancée face à l’assertion simpliste des beaufs (« tous les musulmans sont des terroristes »), elle trouve hélas de l’écho chez certains Français qui se pensent sans doute très intelligent de la rabâcher comme des perroquets.

    Mais la réalité est sans doute plus complexe que cela et obéit à une logique de cercles concentriques. Sans se hasarder à avancer des chiffres, on peut affirmer sans trop prendre de risques qu’au-delà des militants actifs prêts à se sacrifier, il est aussi des islamistes convaincus qui soutiennent le terrorisme et passeraient à l’acte s’ils n’avaient pas peur de mourir ou de passer le restant de leurs jours en prison. Ils le feront du reste le jour où les forces de l’ordre perdront pied. D’autres encore plus nombreux se réjouissent des actes terroristes, juste par haine et sans forcément adhérer à l’idéologie djihadiste, comme l’ont montré certaines réactions d’élèves dans les établissements scolaires sensibles. Il y a enfin la masse de ceux que la violence terroriste indiffère royalement tant qu’elle touche des Européens de souche.

    Prétendre que le problème du terrorisme n’a pas de dimension communautaire est donc un mensonge. Car si les terroristes kamikazes sont le fer de lance de la conquête islamiste en Europe, ils bénéficient d’un solide réseau de solidarités familiales, claniques ou religieuses sur lesquelles s’appuyer. Comment expliquer sinon que Salah Abdeslam ait pu se cacher trois mois à Molenbeek sans éveiller les soupçons ?

    Par ailleurs, même si nous n’en sommes pas encore à ce stade, dans certains quartiers mis en coupe réglée par les salafistes, les menaces et le chantage leur suffiront à obtenir l’appui de leurs coreligionnaires. C’est déjà ainsi que procédaient les islamistes en Algérie dans les années 1990.

    Pire, en cas de raidissement brutal de la situation, les non-militants, inquiets pour leur intégrité, s’en remettront de leur plein gré aux plus extrémistes et aux plus déterminés parmi les leurs. Ce sont là des mécaniques bien connues observées lors des guerres civiles (Irak et Syrie notamment).

    Tout cela ne veut bien évidemment pas dire que tout musulman porte une responsabilité quant au terrorisme, ni que « les musulmans devraient s’excuser pour le terrorisme » (exigence grotesque), mais que tant qu’il aura une telle présence musulmane en Europe, le risque terroriste, et plus largement insurrectionnel, existera malgré tous les efforts politiques et sociaux déployés.Les médias se plaisent à vilipender ceux qui se rendraient coupable « d’amalgames », mais personne un tant soit peu sensé ne pense réellement qu’en chaque musulman sommeille un terroriste.

    En revanche, beaucoup pensent que, comme les auteurs d’attentat sont indéniablement issus des rangs de la communauté musulmane, il est difficile de déceler par anticipation les passages à l’acte tant le phénomène islamiste devient massif et qu’il est quand même ici question de la préservation de la paix civile dans nos patries. Il serait peut-être temps d’arrêter les frais.

    Louis Brequin

    https://fr.novopress.info/

  • Macron a menti sur sa déclaration de patrimoine 500 000 euros oubliés !

    Il y a une omission grave dans la déclaration de Monsieur Macron, tant d’ailleurs dans celle du 24 octobre 2014 que dans celle déposée le 16 mars 2017 ès qualités de candidat à l’élection présidentielle. Pour l’IREF, c’est une omission de plus des trois quarts du patrimoine. Il serait temps que la justice s’en occupe avec la même célérité que pour d’autres candidats. 
    Monsieur Macron a gagné 2 748 065 € chez Rothschild entre 2010 et 2012. Lors de l’entrée en vigueur de la loi sur la transparence, il déclare, le 24 octobre 2014, à la Haute Autorité un patrimoine net de moins de 156 160€.
    Mensonges et faiblesses dans sa déclaration de patrimoine 
    Questionné par le journal La Croix du 12 mars 2017 sur la faiblesse de ce patrimoine après avoir gagné tant d’argent, l’ancien ministre répond : « Comme banquier d’affaires, j’avais le statut d’indépendant. J’ai donc payé, sur le montant brut de ma rémunération, des cotisations sociales patronales, salariales, puis l’impôt sur le revenu. Ces cotisations ont augmenté et frappé mon dernier revenu de référence, au point que je ne gagnais plus assez pour payer mes impôts ». Il signe là un double aveu : 
    • de mensonge d’abord car le revenu indiqué n’est pas un revenu brut, avant cotisations, mais un revenu net imposable. Il n’a donc pas eu à imputer le revenu indiqué de cotisations qui en ont déjà été soustraites pour déclarer son revenu imposable ; 
    • de faiblesse ensuite car s’il ne sait pas prévoir le paiement de ses impôts, comment peut-on lui confier la direction de la France ? Et s’il ne parvient pas à vivre sans emprunter alors qu’il se situe dans le 0,1% des Français qui ont les plus hauts revenus, quelle impéritie dans sa gestion personnelle ! 
    • « Par ailleurs, ajoute-t-il encore en réponse au journal La Croix, j’ai procédé à des travaux dans la maison de famille de mon épouse, partiellement financés par des emprunts bancaires qui ont tous été déclarés, en 2011 et 2012. » Lesdits travaux auraient donc représenté des montants de l’ordre, selon les informations délivrées par ailleurs, d’au moins 500 000€. Il y a donc là une omission grave dans la déclaration de Monsieur Macron, tant d’ailleurs dans celle du 24 octobre 2014 que dans celle déposée le 16 mars 2017 ès qualités de candidat à l’élection présidentielle. 
    En effet, si Monsieur Macron a réalisé des travaux dans la maison de sa femme, soit il a été convenu avec celle-ci qu’il devenait copropriétaire de ladite maison, soit il est resté propriétaire des améliorations apportées à celle-ci, soit encore il a conservé une créance sur son épouse à due concurrence. Cette dernière hypothèse est la plus probable, mais dans tous les cas il aurait dû déclarer le montant des travaux payés par lui dans son patrimoine. 
    Il a pu encore donner cette somme à sa femme, mais non seulement ce n’est pas ce qu’il a déclaré, mais en sus, contrairement aux successions, les donations entre époux sont assujetties aux droits d’enregistrement au-delà d’un abattement de 80 724€. L’ancien ministre de l’économie devait savoir ça et il n’a pas payé de droits de donation. 
    La loi est pourtant très claire. Elle dresse la liste des biens devant figurer dans la déclaration : immeubles bâtis et non bâtis, valeurs mobilières, assurances-vie, comptes bancaires courants ou d’épargne, livrets et autres produits d’épargne, biens mobiliers divers d’une valeur supérieure à un montant fixé par voie réglementaire, véhicules terrestres à moteur, bateaux et avions, fonds de commerce ou clientèles, charges et offices, biens mobiliers, immobiliers, comptes détenus à l’étranger, passif. La loi prévoit que « d’autres biens » devront être inclus dans la déclaration de patrimoine, c’est-à-dire tous les éléments du patrimoine d’une valeur substantielle. 
    C’est une omission de plus des trois quarts du patrimoine ! 
    Le déclarant n’a pas à inclure dans sa déclaration les biens de son époux, mais il doit bien entendu y inscrire les créances sur son époux (se). Et une somme d’au moins 500 000€ est loin d’être négligeable. A défaut, il serait trop facile de virer l’argent de ses comptes sur ceux du conjoint (e) avant de procéder à sa déclaration à la Haute Autorité pour ne pas avoir à la déclarer. 
     L’article 26 de de la Loi n°2013-907 du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique dispose que « Le fait, […], de ne pas déposer l’une des déclarations prévues à ces mêmes articles, d’omettre de déclarer une partie substantielle de son patrimoine ou de ses intérêts ou de fournir une évaluation mensongère de son patrimoine est puni d’une peine de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende. Peuvent être prononcées, à titre complémentaire, l’interdiction des droits civiques, selon les modalités prévues aux articles 131-26 et 131-26-1 du code pénal, ainsi que l’interdiction d’exercer une fonction publique, selon les modalités prévues à l’article 131-27 du même code ». 
    Il ne fait pas de doute qu’un élément caché de patrimoine de 500 000€ est « une partie substantielle » d’un patrimoine qui représenterait ainsi, avec celui officiellement déclaré de 156 160€, une valeur globale de 656 160€. C’est une omission de plus des trois quarts du patrimoine. 
    Sur cette simple constatation, Monsieur Macron est passible d’une interdiction d’exercer une fonction publique, indépendamment de ce qui peut par ailleurs lui être reproché au titre de ses dépenses somptuaires au ministère et de l’utilisation des crédits de celui-ci pour engager sa campagne. Il serait temps que la justice s’en occupe avec la même célérité que pour d’autres candidats.

  • Des crimes contre l’humanité chimiquement politiques !

    La chronique de Philippe Randa

    Le crime contre l’humanité du mois serait un bombardement aux armes chimiques du gouvernement syrien contre ses ennemis… suivi d’un bombardement punitif des USA contre celui-ci.

    Le crime, depuis la nuit des temps, est inséparable de l’histoire de l’Humanité. Ce ne sont pas les grands titres réguliers de l’actualité qui démentiront ce constat, aussi affligeant soit-il.

    Et donc, la question qui revient, lancinante, est, qu’on le veuille ou non : « À qui profit le crime ? »

    Quel intérêt a Bachar Al-Assad – redevenu interlocuteur incontournable d’une future paix au Moyen-Orient – à utiliser des armes chimiques qui le rejette automatiquement au ban des nations ? Aucun !

    Quel intérêt Donald Trump a-t-il, lui, à faire bombarder une base syrienne, au mépris de ses promesses électorales d’un désengagement des États-Unis d’Amérique dans les conflits militaires extérieurs ? Peut-être faire oublier le récent échec de son projet de réforme du système de santé et le revers de son décret migratoire, non ? Et pourquoi pas !

    Au fait, bilan de la supposée attaque à l’arme chimique de Bachar al-Assad : 72 morts, dont 20 enfants ; bilan de la « punition » yankee : 9 morts parmi les civils et 13 femmes et enfants blessés dans le village voisin d'Al-Chaayrate.

    Source EuroLibertés

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La repentance au secour de la République?

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    A propos de la rafle du Vel d’Hiv Au «Grand Jury» RTL-LCI-Le Figaro, interrogée sur ce crime et la décision de Jacques Chirac de reconnaître en juillet 1995 la responsabilité de la France, Marine Le Pen a répondu simplement que la France n’était pas coupable, ce qui se comprend fort bien, en tant que Nation historique, vaincue militairement et occupée par un ennemi impitoyable.
    Il n’en fallut pas plus pour que toutes les bonnes consciences (inconscientes) se déchirent les vêtements en s’écriant, « qu’avons nous besoin de témoins ?», « Le crime de révisionnisme est consommé », « nous vous l’avions dit », « chassez le naturel » etc…

    Pourtant, quand la pantalonnade de Chirac avait été relayée dans les médias complaisants, nombreux étaient les anciens de la France libre qui s’étaient levés pour dénoncer une nouvelle trahison. Font-ils partie de « la France moisie aux idées nauséabondes » ? Pour reprendre le vocabulaire des maitres à penser chargés de nous dicter le bien et le mal.
    Car enfin, comme le précise la candidate aux présidentielles, il faut choisir où était la France légitime ? A Londres ou à Vichy ? Jean Moulin ou Pierre Laval ?

    Cette nouvelle affaire, n’a en outre pas été déclenchée par Marine Le Pen, mais bien par les journalistes venus l’interroger sur ce vieux sujet de la dernière guerre mondiale. Quelle pertinence avec la campagne présidentielle 2017 ? C’est donc qu’ils cherchaient ou tout du moins espéraient une réponse qui ferait la une de la presse, le buzz comme on dit en bon Français. Que cela hérisse le poil du CRIF ou de l’Etat d’Israël, qui ne sont pas identifiés comme des organisations patriotiques françaises, cela ne nous surprend pas. Mais, que la droite et la gauche, ou ce qu’il en reste, suivies par les médias toujours consensuels à sens unique, emboîtent le pas sur le registre si facile de l’émotion appelle quelques remarques.

    En premier lieu, il fallait, à quinze jours des élections, relancer la diabolisation du FN, ce qui laisse supposer en passant que les sondages de tassement des intentions de votes patriotiques ne reflètent pas la réalité et que les gens bien informés le savent, d’où cette tentative in extremis (il y en aura sans doute d’autres).

    La suite

    https://www.actionfrancaise.net/2017/04/13/repentance-secour-de-republique/

  • Marine Le Pen réclame l'interdiction du rassemblement des islamistes radicaux de l'UOIF

  • Sept obédiences maçonniques appellent à voter contre Marine Le Pen

    Au nom de la séparation de l'Etat et de la franc-maçonnerie, sans doute. Piteux et petit pour des gens que personne n'écoute :

    "Sept obédiences rassemblant la moitié des francs-maçons français ont lancé jeudi un appel unitaire à voter "de manière éclairée" à la présidentielle, opposant à "la haine de l'autre" la "volonté de bâtir des ponts", en invitant à faire barrage au Front national.
    Cet "appel républicain" est signé par le Grand Orient de France (GODF), la Fédération française du Droit humain (FFDH), la Grande Loge féminine de France (GLFF), la Grande Loge féminine de Memphis Misraïm (GLFMM), la Grande Loge mixte universelle (GLMU), la Grande Loge mixte de France (GLMF) et la Grande Loge des cultures et de la spiritualité (GLCS)".

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 17 393 inscrits au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation terroriste

    Les chiffres du Sénat sont actualisés à la date du 1er mars 2017 ; ils prennent en compte les individus signalés par les services et le Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (CNAPR), qui gère la plateforme téléphonique nationale de signalement, ainsi que les « objectifs » créés par les services spécialisés.

    Au total, 17 393 individus étaient inscrits au fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT) FSPRT, dont :

    • 7 400 individus signalés par les préfectures via les États-Majors de Sécurité (EMS) ;
    • 5 346 individus signalés par le public via le CNAPR ;
    • 5 799 objectifs inscrits par des services de police ou gendarmerie.

    Tous ces individus ne sont pas nécessairement contrôlés en permanence. Un certain nombre d’entre eux sont dits « clôturés » : les services estiment qu’ils ne nécessitent plus de surveillance, mais ils demeurent au FSPRT du fait des signes de radicalisation ayant été constatés. D’autres encore sont dits « en veille » : ils ne nécessitent plus de suivi actif mais restent néanmoins attribués à un service.

    Par ailleurs, 2 046 individus ont été formellement identifiés sur une zone de combat en Syrie et en Irak et 249 individus présumés décédés ont été recensés.

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/04/17-393-inscrits-au-fichier-des-signalements-pour-la-pr%C3%A9vention-de-la-radicalisation-terroriste.html