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anti-national - Page 761

  • Invasion migratoire : l’Italie sous le choc « d’une action logistique hors du commun »

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    8847-20170422.jpg« Une action logistique hors du commun, quasiment de nature militaire. » C’est ainsi que, d’après le quotidien italien de centre-droit La Stampa, l’on considère au sein du gouvernement italien le « sauvetage » en mer d’environ 8 500 migrants pendant le week-end de Pâques et leur débarquement en Italie.

    Pour les autorités, ce n’est plus un soupçon, c’est désormais une certitude, affirme le journal transalpin. Elles ont analysé les routes empruntées par les canots pneumatiques des immigrants clandestins, leurs points de départ, les horaires et les points de rencontre avec les bateaux des ONG, et elles constatent qu’il s’agissait de toute évidence d’une gigantesque opération planifiée pour les fêtes.

    Derrière cette opération, il y a la criminalité organisée libyenne et aussi sans doute des forces politiques qui veulent miner la position du Premier ministre libyen, Fayez el-Sarraj, après les accords signés entre Rome et son gouvernement d’entente nationale pour stopper l’immigration clandestine. Mais il y a aussi des ONG européennes qui sont accusées de collaborer directement avec les réseaux de passeurs, sous couvert d’action humanitaire, en engageant de gros moyens financés par on ne sait quelles sources.

    Laura Ravetto, du parti de centre-droit Forza Italia (le parti de Silvio Berlusconi), soutient que seuls 50 % des signalements reçus par les ONG proviennent des garde-côtes italiens.

    « Nous sommes en train de créer des corridors humanitaires privés en mer », affirme la député qui est aussi présidente de la Commission Schengen au parlement italien.

    L’adoption définitive par la Chambre des députés, il y a deux semaines, du projet de loi du ministre de l’Intérieur Marco Minniti visant à accélérer l’examen des demandes d’asile et à faciliter les expulsions n’a donc pas l’air de dissuader les candidats à l’immigration illégale. Matteo Salvini, le leader de la Ligue du Nord, demande l’arrestation immédiate de ces passeurs européens déguisés en humanitaires et l’intervention de la marine italienne pour mettre fin à ce service de navette entre la Libye et les côtes italiennes.

    Le ministre de l’Intérieur autrichien, Wolfgang Sobotka, a lui aussi réagi cette semaine, en exigeant que l’UE ferme enfin cette route de la Méditerranée centrale. Malheureusement, si les dénonciations contre ces ONG immigrationnistes se succèdent depuis novembre dernier, y compris de la part de l’agence européenne Frontex, rien n’est fait pour stopper leur trafic.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 22 avril 2017

    https://fr.novopress.info/

  • Attaque terroriste des Champs-Elysées : déclaration à la presse de Marine Le Pen (21/04/2017)

  • Aux urnes, au nom du peuple!

    ayxlqlkhjvzwhch-400x400-nopad-300x300.jpgC’est une confirmation des craintes exprimées par le FN, de l’évidence des mesures prônées par Marine Le Pen dont nous nous serions bien passées. La candidate national rappelait hier soir dans l’émission 15 minutes pour convaincre diffusée sur France 2 et France Inter,  la nécessité impérieuse  d’« expulser les imams étrangers qui prêchent la haine », «  tous les étrangers vivant sur notre territoire et qui ont un lien avec le fondamentalisme islamiste » et « l’intégralité des fichés S étrangers. Pourquoi garder sur notre territoire des bombes potentielles ? ». Elle pointait la mollesse de la réponse des partis au gouvernement dans la lutte « contre l’insécurité et le terrorisme », sujets « absents » du débat et pour lesquels « rien n’a été fait». Au même moment vers 21h, sur les  Champs-Élysées à Paris, un policier était abattu  et deux autres grièvement blessés à l’arme lourde par un islamiste qui a été mortellement touché par des tirs de riposte, agissant au nom de l’Etat Islamique (EI) qui a revendiqué cet attentat.  

    La personnalité de l’assaillant, Karim Cheurfi,  un français de papier né en 1977 à Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis), est emblématique de la dérive islamo-racaille d’une certaine immigration, encouragée de facto par le laxisme criminel d’une justice gauchisante. Il avait été condamné à 20 ans de réclusion criminelle en 2003 devant une cour d’assises, pour trois tentatives d’homicide volontaire dont deux visant des policiers en 2001, à l’issue d’une course-poursuite et deux jours plus tard contre un policier qui le sortait de sa cellule et dont il avait saisi l’arme. Une peine ramenée à 15 ans en février 2005, ce criminel étant décrit par ses soutiens  comme une pauvre victime de la société, de l’exclusion et du racisme. Cheurfi avait été brièvement interpellé et interrogé il y a quelques semaines suite aux menaces de mort contre des policiers dont il s’était rendu coupable… avant d’être libéré rapidement par le parquet selon  certaines sources proches de l’enquête…

    « Je laisserai à mon successeur un pays en bien meilleur état que celui que j’ai trouvé » déclarait sans rire François Hollande hier ,  se vantant de manière ahurissante d’un bilan en tout point désastreux dont Emmanuel Macron porte toute sa part. Ce dernier  affirmait ce matin  sur RTL que « Marine Le Pen n’est pas celle qui pourra protéger nos concitoyens ». Le programme du gourou d’En marche !, qui a avoué de manière bien  pathétique dans cette même émission qu’il n’avait pas de plan pour lutter contre le terrorisme ( !)  est pourtant  aussi anémique que celui  de M Fillon. Ils partagent ainsi le même refus de retrouver nos frontières, de limiter l’immigration, de restaurer le droit du sol, de doter nos forces de l’ordre et nos armées des moyens et des effectifs nécessaires pour parer aux menaces grandissantes.

    D’autant que M. Macron, dans la logique purement anglo-saxonne et mondialiste qui est la sienne,  défend plus ou moins implicitement le développement d’un communautarisme lourd de conséquence pour notre unité nationale, dans une France en voie de babélisation-tiers-mondisation accélérée.  Une drague communautaire qui explique certainement qu’il est refusé d’exclure d’En marche ! Mohamed Saou, « un type bien » a-t-il dit,  son référent dans le Val d’Oise, un proche de Marwan Muhammad. Ce monsieur rappelons-le,  est  le président du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) qui prône le communautarisme et pourfend le « racisme » des  Gaulois,  comme Macron insulte la France et les Français en les accusant d’avoir commis un crime contre l’humanité en Algérie.

     Un CCIF qui a toute sa place dans le projet d’un candidat « qui est allé en Allemagne récemment pour dire toute l’admiration qu’il avait pour l’accueil de 1,5 million de migrants Outre-Rhin »,  « pour justifier l’autoroute migratoire qu’il veut instaurer entre Alger et Paris», comme l’a noté Marine. Un CCIF qui a touché des subsides  de l’Open Society Institute de l’idéologue  immigrationniste  et bruxellois  George Soros. Lequel a été mis en accusation par les autorités italiennes, sur la foi d’un rapport de Frontex,  au moment ou l’Italie est confrontée à une invasion migratoire sans précédent. Medias-presse.info  rapportait  ainsi  que «  les bateaux des ONG qui viennent en aide aux migrants devraient les ramener au port d’escale le plus proche, le long de la côte nord-africaine, mais au lieu de cela, ils les emmènent en Italie. » Les bateaux en question sont «  notamment ceux de Migrants offshore aid station (MOAS). Or, l’une des principales sources de financement de MOAS est Avaaz.org, à hauteur de 500.000 dollars pour ses opérations en Méditerranée. Et Avaaz.org est une émanation de MoveOn.org qui (…) organise des manifestations en faveur de l’accueil des immigrés illégaux. Or MoveOn.org appartient à George Soros. »

    Face à la montée des périls, aux défis migratoires, démographiques, sociaux, économiques  gigantesques auxquels sont confrontés la France , les pays européens affirme Bruno Gollnisch, les Français ont besoin d’une main  ferme à l’Elysée  pour  naviguer dans la tempête, (re)prendre le bon cap,  éviter les écueils.  Nous nous rendrons aux urnes le  23 avril, fête de Saint-Georges. Cet  officier romain mis à mort au IVème siècle pour avoir refusé de rendre un culte aux Dieux de l’Empire, torturé plusieurs fois jusqu’au trépas  mais qui chaque fois  ressuscita et multiplia  les miracles. Saint-Georges, symbole lumineux  du courage du soldat, des vertus martiales, dont la geste puise sa source dans notre plus longue mémoire. Saint-Georges   qui dans « La légende dorée » de Jacques de Voragine,   terrassa le dragon qui exigeait son tribut quotidien de chair fraîche   et empoisonnait de son souffle tous ceux qui se trouvaient à sa portée… Cette élection présidentielle  est en effet « un enjeu de civilisation ». Pas une voix patriote, souverainiste,  national  ne doit manquer à Marine. Tous aux urnes, au nom du peuple !

    https://gollnisch.com/2017/04/21/aux-urnes-nom-peuple/

  • Terrorisme : lourdes menaces sur Marine Le Pen, inconséquence mégalo de Mélenchon

    Chez Mélenchon, la solidarité a des limites. Apprenant de la bouche du ministre de l’Intérieur que les têtes d’affiche à l’élection présidentielle étaient particulièrement visées par la menace terroriste, le patron de La France insoumise a, nous dit-on de télé en radio, « affirmé sa solidarité avec ses adversaires ».

    Une solidarité très sélective, toutefois.

    À François Fillon, ce message : « Totale solidarité face à la menace. Que notre campagne en complète opposition soit le meilleur des démentis au programme totalitaire des terroristes. »

    À Emmanuel Macron, celui-ci : « Émotion et complète solidarité personnelle. Que notre campagne et notre opposition républicaine soit (sic) la démonstration de l’échec du projet des violents. »

    Oubliée, Marine Le Pen, pourtant particulièrement visée… avant de rectifier en meeting ! On apprend, en effet, en lisant Le Figaro qu’à la découverte d’une menace imminente, « le ministre de l’Intérieur en personne, Matthias Fekl, prévient François Fillon. L’Unité de coordination et de lutte antiterroriste (Uclat) prend également attache avec le candidat pour lui annoncer qu’il passe en procédure “Uclat 2”, un degré intermédiaire dans l’échelle de la menace antiterroriste définie par ces policiers spécialisés (1 étant le niveau le plus élevé ; 4 le moins).

    Marine Le Pen est au niveau “Uclat 3”, Macron et Mélenchon, “Uclat 4”. »

    Mais cette menace terroriste qui se précise met en lumière une autre facette du personnage Mélenchon, dont les nouveaux airs de « bon papa » et la veste de garde-chasse ont fait oublier un peu vite sa mégalomanie naturelle.

    En effet, pour des raisons évidentes de coût et d’image – louer une salle coûte plus cher que d’occuper l’espace public, et 10.000 personnes sur le Vieux-Port de Marseille sont plus spectaculaires que 10.000 personnes au Zénith –, le candidat Mélenchon a choisi majoritairement les réunions de plein air. Jusqu’à s’offrir, le lundi de Pâques, une descente des canaux et la traversée de Paris en « péniche insoumise ».

    Certes, cela fait de belles images ; ça en met même plein la vue des badauds qui digèrent l’agneau pascal et les chocolats en attendant le « leader charismatique » devant l’Hôtel du Nord. Mais, surtout, cela coûte infiniment plus cher aux contribuables en forces de sécurité mobilisées !

    Comme l’expliquait notamment Alain Bauer dans l’émission « C dans l’air » ce 18 avril, sécuriser des meetings en extérieur, c’est beaucoup plus compliqué et infiniment plus coûteux que des meetings en salle, et « malgré les demandes dissuasives du gouvernement », certains candidats s’en sont donné à cœur joie : essentiellement Mélenchon, qui a privilégié l’extérieur durant toute sa campagne, Hamon dans une moindre mesure, et Fillon au Trocadéro.

    Multiplication des personnels déjà exténués, tireurs d’élite sur les toits… « Je ne suis pas sûr qu’ils se rendent compte de ce que cela représente en termes d’investissement pour ceux qui assurent leur protection, dit Alain Bauer. Que ce soit les policiers ou leur propre service de sécurité, la pression qu’ils leur mettent en faisant un meeting en extérieur plutôt que dans une salle les amène de temps en temps à prendre des décisions de com’ qui prennent assez peu en compte les dures réalités de la sécurisation. »

    Reste, enfin, la question du coût, exorbitant, que semblent totalement ignorer « ceux qui mobilisent des moyens aussi considérables sans vraiment en prendre en compte la portée, comme si le service public était à leur disposition ». Mais peut-être s’en moquent-ils, tout simplement ?

    Après tout, Mélenchon nous a promis une réforme fiscale particulièrement sanglante, alors un peu plus un peu moins… tant que c’est pour sa promotion, pas besoin de compter, on est là pour banquer !

    http://www.bvoltaire.fr/terrorisme-lourdes-menaces-marine-pen-inconsequence-megalo-de-melenchon/

  • Alerte rouge pour les classes moyennes : Macron veut leur mort

    Sous ses allures de jeune premier, Emmanuel Macronn’a pas « un problème avec les classes moyennes », il veut tout simplement leur mort.

    Nommé ministre des Finances le 26 août 2014, il avait commencé fort : moins de quatre mois après, le temps de préparer la loi de financement de la Sécurité sociale, il leur sucrait les prestations familiales. C’est-à-dire qu’il les modulait en fonction du revenu et les supprimait au-dessus d’un certain seuil. Au point que certains ont pu dire qu’elles étaient désormais réservées aux populations immigrées (les populations indigènes à faible revenu n’ayant, hélas, plus guère d’enfants). Le plafond du quotient familial avait déjà été baissé par Ayrault. Pour la première fois depuis la Libération, qui avait mis en place notre système d’allocations familiales, longtemps tenu pour un modèle, les Français n’y avaient plus tous droit. L’État a ainsi économisé un milliard. Ce projet avait déjà été agité par Juppé puis Jospin mais, jusque-là, il s’était heurté à la résistance du mouvement familial. Fatigue face à des assauts répétés ? Cette fois, il est passé sans difficulté. Il est vrai qu’il s’agissait d’une proposition parlementaire mais on sait que, en ces matières, le Parlement ne peut rien faire sans l’accord de Bercy. Derrière le quarteron de députées féministes qui avaient pris cette initiative, il y avait bien sûr Macron.

    Son programme comporte deux allègement fiscaux majeurs : la suppression de l’ISF (pour les patrimoines financiers seulement) et celui de la taxe d’habitation, que presque tout le monde paye, mais qui, pour une moitié de la population qui ne paye pas l’impôt sur le revenu, est le seul impôt.

    Par quoi remplacer ces allègements ? Cela n’est pas dit dans le programme qui a un caractère démagogique, mais on le sait par ailleurs : par un alourdissement de la taxe foncière, soit directe (il faudrait alors la doubler), soit sous la forme d’un loyer fictif venant s’ajouter au revenu imposable. Inutile de dire que cet alourdissement serait prohibitif pour certains foyers, dont beaucoup de retraités ayant laborieusement acquis leur petit pavillon tout au long de leur vie et qui sont déjà si lourdement imposés dans certaines communes qu’ils doivent consacrer à l’impôt foncier trois ou quatre mois de leur retraite. Cela ne gêne pas les promoteurs d’un tel projet, notamment Jean Pisani-Ferry, issu de France Stratégie, boîte à idées du candidat : c‘est délibérément qu’on veut, par là, obliger les Français à se détourner de l’immobilier pour les orienter vers les placements financiers

    Les retraités évoqués devront donc vendre leur pavillon, redevenir locataires et acheter des actions. Il leur faudra « bouger ». En marche ! Il s’agit, en théorie, de réorienter l’épargne vers la production mais est-ce bien utile dans un pays comme la France qui regorge d’épargne ? L’autre grande forme de patrimoine populaire est l’assurance-vie. Là aussi, le candidat Macron se propose d’en abroger les avantages fiscaux pour l’imposer au taux unique de 30 %.

    Exonérations aux deux extrémités de l’échelle sociale, alourdissement au milieu, ce sont bien les classes moyennes qui sont visées par le candidat Macron. La définition des classes moyennes a évolué avec le temps. Nous proposons d’y inclure tous les Français ayant un patrimoine, fût-il modeste, composé principalement d’immobilier (en général, la maison d’habitation). Cela représente environ 58 % de la population, dont une partie de la classe ouvrière, la majorité des natifs et, de fait, très peu d’immigrés. Tous ceux qui travaillent ou ont travaillé, excluant ceux qui sont assez riches pour ne pas avoir à le faire ou ceux qui vivent d’assistance. Comme dans la réduction des allocations familiales, on voit bien de quel côté penche Macron.

    Déjà la loi Macron, transposant des directives européennes dont la philosophie est analogue, commençait à laminer les professions à statut (notaires, huissiers, en attendant les pharmaciens) qui, dans bien des banlieues, assurent encore un encadrement social minimum.

    Il y a là plus qu’un choix politique ou social, il y a un choix de civilisation. Macron s’en prend à tous ceux, comme disait Brassens, « qui sont nés quelque part » (le chanteur en faisait partie !). À ceux qui ont une attache territoriale, un héritage reçu et à transmettre. Par derrière, le projet d’une société telle qu’en rêvent les élites mondialisées : des individus mobiles, sans culture, sans patrie, sans repères, sans attaches, « en marche » certes mais, comme les enfants qu’entraînait le joueur de flûte de Hamelin, en marche vers l’abîme.

    Il vaut mieux que tous les gens de droite (et même de gauche) appartenant à la classe moyenne et qui envisagent de voter Macron aient cela à l’esprit.

    http://www.bvoltaire.fr/alerte-rouge-classes-moyennes-macron-veut-mort/

  • Attentat : une élection sous haute tension - Journal du mercredi 19 avril 2017

  • Roland Hureaux : D'une crise à l'autre : l'euro la mondilisation la France l'Allemagne

  • Zoom avec le Professeur Henri Joyeux et Thierry Fournier - Ecole : Il faut dégraisser le mammouth !