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anti-national - Page 794

  • L’agonie d’un régime

    Bernard Plouvier

    Durant les années 1780 sq., l’on assista en France à la déliquescence de l’État, mal administré par son chef, un excellent homme, cultivé, pieux et bon, mais un être indécis, faible, velléitaire : Louis XVI, trop influencé par une épouse idiote et inculte, futile et dépensière. Leur martyre, débuté en août 1792, et celui, plus ignoble encore, de leurs enfants sont dignes de pitié, mais ne rachètent en rien les erreurs commises, que la Nation française paya au prix fort.

    Un scénario identique fut joué en Russie, lors du règne désastreux d’un tsar imbécile et inculte, marié à une hystérique… là aussi, les malheurs de despotes ineptes ne furent rien en comparaison des souffrances inouïes endurées par le peuple, de 1917 aux années 1990.

    En dépit de la guérilla civile liée au règlement hypocrite, machiavélique, de la question algérienne, où l’une des rares victoires militaires en matière de guerre coloniale fut bradée pour des raisons politiciennes, la Ve République avait une certaine tenue lors des dix premières années de son fonctionnement.

    Le chef de l’État était digne dans sa vie privée, s’il fut toute sa vie effroyablement sectaire, au point de ne jamais tenter d’unir la Nation. Ni en 1944, ni en 1958, ni en 1962, il ne se donna la peine d’esayer : le bon peuple était prié de vénérer le chef infaillible, point-barre. Toutefois, l’époque était favorable : les progrès techniques (en grande partie hérités des années 1940-58) s’accumulaient, tandis que le chômage était nul du fait d’une croissance économique continue.

    Seule la finance cosmopolite tentait de miner l’État, surtout après les commentaires désabusés de son chef en 1967. De Gaulle, pour une fois clairvoyant, avait compris qu’à trop humilier les musulmans en soutenant l’État impérialiste d’Israël, l’on risquait de les pousser à utiliser le pétrole comme d’une arme économique : ce fut vérifié à partir de 1973.

    Entretemps, la France avait durement payé les prophéties de son chef. Dès la fin de 1967, l’on assistait à une sourde offensive contre le Franc, au moyen d’exportations massives de capitaux et de spéculations monétaires. Elles révélèrent pleinement leur nocivité durant le second semestre de 1968, après que l’État gérontocratique ait été secoué par la chienlit du printemps (où l’élément juif fut surreprésenté).

    De 1969 aux années actuelles, l’État français a subi une détérioration et dans la dignité personnelle des chefs démocratiquement élus et dans l’efficacité gouvernementale. Avec Mitterrand, la France fut vendue au grand patronat multinational et l’État ex-gaullien, fier de son indépendance et de son originalité, devint un pion de l’économie globale, un petit élément de la mondialisation de la vie politique et sous-culturelle.

    Si Chirac ne s’est pas associé à la 2e guerre d’Irak, c’est parce que ses compromissions de chef de gouvernement avec Saddam Hussein l’en empêchaient. Fort habilement, la propagande médiatique masqua une corruption par de beaux arguments humanistes, qui faisaient de la France, déjà largement envahie de mahométans, un pays officiellement sensible aux malheurs des Palestiniens… chose fort utile, quand on courtise les émirs du pétrole.

    Depuis les années 1980, l’État est mis en coupe réglée par des coteries qui s’intéressent davantage à leur enrichissement personnel qu’au Bien commun. Et le phénomène atteint de nos jours des sommets.

    Alors que le chômage bat, d’année en année, des records qui ridiculisent par leur ampleur ce que l’on avait connu dans les années trente de funeste mémoire, alors que la France est envahie d’allogènes violents au point que deux milliers de cités de non-droit déshonorent le sol français et que les trafics d’armes et de stupéfiants n’ont jamais été aussi florissants, alors que les Français autochtones souffrent d’insécurité permanente agrémentée d’attentats terroristes plus meurtriers que nos routes et autoroutes en un week-end chargé, nos excellences affichent leurs scandales sexuels et financiers, se bornant, en contrepartie de très hauts revenus puisés dans les caisses de l’État, à mener une politique dictée par les groupes multinationaux.

    Plus que jamais, la politique française affiche une corruption diffuse, non seulement à Paris mais aussi en province, dans les partis de gouvernement comme dans la haute administration.

    Inefficacité, inaptitude à gouverner, corruption et comportement de débauché(e)s, la Ve République agonise dans la pourriture et l’ineptie. Le régime se meurt, à l’instar des monarchies française ou tsariste, des satrapies communistes et des dictatures du Tiers-Monde. Aux Français d’en tirer les conclusions logiques.       

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Immigration, prudence politique et bien commun

    Le dernier numéro de L'Homme Nouveau revient sur le livre de Laurent Dandrieu sur l'Eglise et l'immigration, avec un passionnant débat entre l'auteur et l'abbé Vénard, aumônier militaire. Philippe Maxence revient ensuite sur l'enseignement du catéchisme concernant ce sujet. Extrait :

    6a00d83451619c69e201b7c8df8c26970b-250wi.jpg"[...] Il est certain que dans l’ordre individuel, le commandement du Christ à propos de l’accueil de l’étranger (Mt 25, 35) oblige toujours et l’Église en a même fait une oeuvre de miséricorde. Mais l’immigration déplace l’accueil des étrangers au plan politique. Il ne s’agit plus seulement de recevoir celui qui frappe à ma porte et que je ne connais pas, mais de permettre à un nombre important d’étrangers de vivre et de s’installer sur le sol d’une autre nation que la leur.

    Face à ce problème politique soulevé par l’immigration de masse, l’autorité politique ne peut agir qu’en fonction du bien commun dont elle est la garante et qui est sa fin. Le Catéchisme de l’Église catholique indique bien l’obligation d’accueil dans son n. 2241. Mais celui-ci ne précise pas cependant que cet accueil doit être définitif, ni non plus qu’il ne doit pas s’effectuer au regard de certains critères. Surtout, le même numéro contient cette incise : « autant que faire se peut ». Il ne s’agit pas seulement d’une clause de style, mais d’une indication liée au jugement prudentiel que doit exercer le détenteur de l’autorité politique. Si les conditions ne sont pas réunies, cette obligation de l’accueil des étrangers peut donc être suspendue ou limitée. Selon quel critère ? Le Catéchisme l’indique dans la suite du n. 2241 :

    « Les autorités politiques peuvent en vue du bien commun dont elles ont la charge subordonner l’exercice du droit d’immigration à diverses conditions juridiques, notamment du respect des devoirs des migrants à l’égard du pays d’adoption. L’immigré est tenu de respecter avec reconnaissance le patrimoine matériel et spirituel de son pays d’accueil, d’obéir à ses lois et de contribuer à ses charges. »

    Le problème soulevé par le discours ecclésiastique contemporain ne réside pas seulement dans l’oubli de ces éléments doctrinaux, mais dans l’oubli constant de la primauté du bien commun au profit d’un droit absolu des personnes dont on constate qu’il va en définitive contre le bien des pays et des personnes elles-mêmes."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Marine Le Pen accuse BFMTV de soutenir Macron « de manière éhontée »

    Source : OJIM – Marine Le Pen accuse BFMTV de soutenir Macron « de manière éhontée »

    Invitée sur BFMTV le 5 mars dernier, Marine Le Pen a accusé directement la chaîne d’information en continu de soutenir Emmanuel Macron.

    Parfois surnommée « BFMacron » sur les réseaux sociaux, la chaîne détenue par le milliardaire franco-israélien Patrick Drahi est souvent accusée de favoriser le candidat d’« En Marche ». Ainsi dernièrement l’hebdomadaire Marianne avait-il mis en évidence la surexposition de Macron sur BFM TV par rapport aux autres candidats. En effet, depuis sa déclaration de candidature, l’ancien ministre de François Hollande a vu tous ses meetings diffusés en intégralité sur la chaîne info, cumulant 440 minutes d’antenne, soit plus que François Fillon, Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon et Benoît Hamon réunis !

    Profitant de sa présence sur le plateau de BFM Politique, la présidente du Front National a donc accusé plusieurs médias, dont BFMTV et RMC, d’être des « soutiens de M. Macron ». Face aux protestations du journaliste, celle-ci a tout d’abord évoqué le passage de Bernard Mourad de la branche médias d’Altice (multinationale fondée par Patrick Drahi) à l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron. Qui plus est, le rachat de SFR par Altice, refusé dans un premier temps par Arnaud Montebourg, a ensuite été autorisé lors de l’arrivée de l’ancien banquier d’affaires au ministère de l’Économie. « Tout le monde sait que les médias de Patrick Drahi, dont BFMTV, soutiennent Emmanuel Macron de manière éhontée », a-t-elle ajouté avant de sortir quelques chiffres pour le prouver.

    « Il ne faut pas prendre les Français pour des idiots. Ils voient bien aujourd’hui la tonalité qui fait que M. Macron est le chouchou des médias », a-t-elle poursuivi.

    http://fr.novopress.info/

  • Düsseldorf : encore un « maboul » ?

    8818-20170311.jpgL’« épidémie » de mabouls, de déséquilibrés, d’agités du bocal, de fêlés, de malades mentaux, n’en finit plus de faire des victimes. Que ce soit en France ou dans un autre pays de leur Europe si accueillante, pas une semaine où presque sans qu’un « perturbé » du mental ne fasse parler de lui. Jeudi soir, c’est une nouvelle fois l’Allemagne de « maman » Merkel qui a eu droit à son « fait divers », comme ils disent, perpétré par un homme atteint de « troubles psychiatriques ».

    Le « fait divers » en question s’est déroulé en gare centrale de Düsseldorf. Aux alentours de 21 heures, un homme est descendu d’un train de banlieue avec à la main, non pas un attaché-case, mais une hache. L’individu, un homme de 36 ans originaire d’ex-Yougoslavie, s’en est alors pris aux voyageurs présents dans la gare. Tel bûcheron déboussolé, il frappe au hasard parmi les usagers se trouvant sur son passage. Bilan : « sept blessés dont trois graves et quatre légers ». Après avoir pris la fuite et s’être grièvement blessé en sautant d’un pont, l’homme, présenté comme souffrant « apparemment de troubles mentaux », est interpellé par la police mais ne sera pas en état d’être interrogé dans l’immédiat, précisent les autorités.

    Peter Altmaier, chef de la chancellerie et proche conseiller d’Angela Merkel, a aussitôt réagi en apportant son soutien aux victimes du fou furieux. « Quoi qu’il se soit passé à la gare centrale de Düsseldorf, notre compassion et nos pensées vont aux personnes innocentes blessées. » Même compassion pour Thomas Geisel, maire de la ville dont les « pensées vont aux victimes et à leurs proches ». Des pensées qui, on s’en doute, font une belle jambe aux victimes et à leurs proches, tout comme au peuple allemand.

    Un peuple allemand de plus en plus sous le choc et sur le qui-vive à force d’être confronté à des « mabouls » et à une menace djihadiste qui pèse sur le pays, notamment depuis l’attentat terroriste au camion bélier – revendiqué par les barbus du groupe Etat islamique – en décembre dernier à Berlin.

    Pierre Malpouge

    Article paru dans Présent daté du 11 janvier 2017

    http://fr.novopress.info/

  • Marine Le Pen hostile à la dernière loi sur le « délit d’entrave numérique » à l'avortement

    Extrait de l'entretien donné par Marine Le Pen dans Famille chrétienne :

    "Les questions de société et de bioéthique ne font pas partie des maîtres mots de votre campagne. Est-ce que cela veut dire que ce n’est pas une priorité pour vous ?

    Je n’ai pas de nouvelles choses à annoncer parce que j’ai toujours été d’une clarté absolument totale. Je n’ai jamais varié, à la différence d’autres candidats, qui font de ces sujets un élément essentiel de leur image, mais qui dans leur projet, ne changent rien de ce qui a été mis en œuvre par les socialistes ! J’ai toujours été claire : je suis radicalement opposée à la gestation pour autrui (GPA), et je ne veux pas de mesure visant à rendre valides les GPA effectuées à l’étranger, comme le propose M. Macron. On ne peut pas mettre le peuple français devant le fait accompli, la loi française est la loi française ! Elle n’a pas à se soumettre à ces tentatives de détournement. Je souhaite également continuer de réserver la procréation médicalement assistée (PMA) comme réponse médicale aux problèmes de stérilité, et donc ne pas l’accorder aux célibataires. Enfin, comme je l’ai toujours dit, je veux créer une union civile (Pacs amélioré) qui viendra remplacer les dispositions de la loi Taubira, afin que les couples de même sexe bénéficient de facilités patrimoniales.

    Vous voulez interdire la PMA aux célibataires, mais voulez-vous également le faire pour les couples de femmes ?

    La PMA restera réservée en cas de problème médical. Comprenez qu’un couple qui a un souci de fertilité doit pouvoir y avoir recours.

    En revenant sur le « mariage pour tous » instauré par la loi Taubira, revenez-vous aussi sur la filiation ?

    Je suis contre l’adoption par les couples de même sexe. Un enfant qui est adopté démarre avec un certain nombre de difficultés dans la vie, et donc il faut lui donner la chance de grandir avec un papa et une maman.

    Votre électorat est divisé sur cette question, comme sur celle de l’euthanasie ou du suicide assisté. Une grande partie y est favorable. Quelle est votre position ?

    Je suis pour ne pas aller au-delà de la loi Leonetti. Je pense que les soins palliatifs sont un vrai chantier qui n’a pas encore pris la plénitude de ce qu’il devrait être en France. La gestion de la souffrance, de manière générale, n’est pas au niveau d’un grand pays avancé et attaché à l’humain que devrait être la France.

    Vos positions sur l’IVG sont connues. Le programme du FN a changé en conséquence…

    Assez peu ! De mémoire, en 1987, quand il y avait 35 députés du FN à l’Assemblée nationale, il n’était pas question de revenir sur l’avortement.

    Certes. Mais il semble pour beaucoup de catholiques que votre mouvement est divisé sur cette question, ou qu’il entretient le flou.

    Il n’y a pas de flou. Aujourd’hui, parmi les dirigeants du FN, personne n’est pour une restriction de l’accès à l’IVG. Il a pu y avoir des sensibilités différentes qui se sont exprimées sur la question du remboursement illimité, mais j’ai tranché cette question. Par conséquent, je ne toucherais pas à l’IVG, ni à ses conditions de remboursement. C’est clair. En revanche, je suis opposée à la dernière loi sur le « délit d’entrave numérique ». Le gouvernement a créé les conditions d’un effondrement de la liberté d’expression. Il ne peut pas décider des sujets dont on a le droit de parler, et de ne pas parler. On a le droit d’être contre l’accès à l’IVG, et de le dire. S’ensuivrait une dérive qui interdirait de critiquer le fondamentalisme islamiste ou l’immigration. Et pourquoi pas de rétablir le délit de blasphème !

    Mais l’avortement reste un problème de santé publique. Que proposez-vous pour en faire baisser le nombre et aider les femmes enceintes en détresse ?

    Je crois qu’il faut évidemment demander au Planning familial de faire un effort tout particulier, pour offrir aux femmes qui le souhaiteraient un support et un soutien pour conserver leur enfant si elles le souhaitent. Il est vrai qu’aujourd’hui, beaucoup de femmes doivent renoncer à un enfant pour des raisons économiques. De plus, elles sont souvent seules quand cette nouvelle arrive. Les familles monoparentales ont subi de plein fouet la crise et les choix économiques. Il faut que la nation apporte un soutien à ces femmes qui souhaitent garder leur enfant. Mais j’ai aussi évolué sur un certain nombre de choses. J’étais favorable à l’adoption prénatale. Je vois bien aujourd’hui qu’elle sera utilisée aujourd’hui pour détourner l’interdiction de la GPA, et j’y suis désormais opposée. [...]"

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/03/marine-le-pen-hostile-%C3%A0-la-derni%C3%A8re-loi-sur-le-d%C3%A9lit-dentrave-num%C3%A9rique-%C3%A0-lavortement.html

  • Leur priorité (anti)nationale

    Ils osent décidément tout et s’il était nécessaire d’avoir une énième preuve de l’acharnement de l’institution bruxelloise contre ceux qui ne pensent pas dans les clous de l’euromondialisme béat, laïque et obligatoire, le Parlement européen (PE) vient de la donner. L’avocat pénaliste Français du PE, Patrick Maisonneuve, a choisi BFMTV, la chaîne détenue par le très europhile et soutien d’Emmauel Macron, le milliardaire israélien Patrick Drahi,  pour annoncer que « le Parlement européen s’est constitué partie civile » dans la cabale menée contre le FN dans l’affaire dite des assistants parlementaires. «Car, dit Me Maisonnneuve , il (le Parlement, NDLR) ne peut pas rester inactif et absent de cette information judiciaire. Pour une simple raison, c’est qu’il s’agit de l’argent du contribuable européen et d’ailleurs du contribuable français. Cet argent appartient aux contribuables européens, donc aussi aux contribuables français. Pour nous, le but est de le récupérer » (sic). Cet argent, nerf de la guerre, c’est en tout cas  ce que comprennent parfaitement beaucoup de Français, citoyens d’un pays qui est contributeur net à l’UE, est aussi employé par les députés frontistes pour travailler en confiance avec des assistants qui mènent, sous leur direction, la résistance contre les oukases  bruxelloises et pour la sauvegarde de l’Europe des patries libres.

    Et c’est cela le vrai fond de l’affaire:  les eurofédérastes  ont toujours considéré que la présence d’ élus patriotes, nationaux dans les murs des instances européennes était un crime de lèse-majesté,  une aberration. Le refrain est connu,  pas de liberté pour les ennemis de la liberté, fusse-t-elle celle du renard dans le poulailler entraînant la paupérisation , voire la destruction de nos patries charnelles européennes.

    Présent hier à Bruxelles dans le cadre de l’élection du président du Conseil Européen – l’euroatlantiste Donald Tusk a été nommé sans surprise- François Hollande n’a pas oublié les obligations de sa tournée anti FN élevée au rang de priorité (anti)nationale.  Actualité oblige,  il s’est fait le relais des partisans de l’Open society (Société ouverte), criant au scandale au motif que le cimentier franco-suisse LafargeHolcim, pourrait répondre à un appel d’offre du gouvernement américain. «  Il y a des marchés sur lesquels il faut être prudent avant de déclarer sa candidature »  a averti le plus impopulaire des présidents de la République, réagissant à l’éventuelle contribution de ce groupe à l’érection du mur visant à lutter contre l’immigration clandestine le long de la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique. Une frontière qui joue son rôle, alternativement ouverte et fermée selon les besoins et les intérêts d’un pays souverain, c’est en effet la définition même de l’horreur pour certains  …

    Avec la même logique, il a de nouveau conspué les Français partisans d’une alternance patriotique au chaos euromondialiste. Pour empêcher ladite alternance, pourquoi ne pas soutenir le candidat chouchou de la Caste, Emmanuel Macron ?  lui ont demandé les journalistes. « Ça, c’est la réponse en terme électoral qui peut être évoquée mais ce n’est pas ce que je veux souligner en ce moment », a-t-il expliqué. « La réponse qu’il faut faire, c’est une réponse politique au sens d’aller jusqu’au bout dans la dénonciation des propositions du Front National ». « Est-ce qu’il y a de l’inquiétude (vis-à-vis des intentions de vote élevées en faveur de Marine) ? Oui, mais il y a de l’inquiétude parce qu’il y a présence de l’extrême droite partout en Europe à des niveaux élevés, en France en particulier depuis longtemps. Et il ne s’agit pas simplement de déplorer, de s’inquiéter, il faut participer au débat public », a conclu M. Hollande.

    Il est révélateur constate Bruno Gollnisch, que le président socialiste  fustige les Français qui veulent aller voter parce qu’ils entrevoient une alternative à un monde politicien à bout de souffle, et ne déplore jamais son caractère anti-démocratique. Fin février, une enquête Ipsos confirmait que seuls 17 % de nos compatriotes jugent que le système démocratique fonctionne plutôt bien en France et que leurs idées sont bien représentées. Plus d’un Français sur dix en âge de voter n’est pas inscrit sur les listes électorales ( 11,4 %, contre 3,8 % en 1981, 5,5 % en 1988, 7,5 % en 1995 ), soit presque 5,9 millions de personnes. Quant à l’Ifop, cet institut indique qu’actuellement plus d’un Français sur trois (35%) envisagerait de s’abstenir à l’élection présidentielle. Et ça, ce serait  une très bonne nouvelle si elle se confirmait dans quelques semaines, pour les tenants du statu quo que sont les principaux adversaires du FN.

    https://gollnisch.com/2017/03/10/leur-priorite-antinationale/

  • EOLIENNES UN SCANDALE D'ETAT, LE LIVRE RÉQUISITOIRE D'ALBAN D'ARGUIN EST SORTI : COMMANDEZ-LE, DIFFUSEZ-LE !

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  • Si Le Pen est élue, l’ambassadeur de France au Japon quittera ses fonctions

    Thierry Dana déclare qu’il quittera ses fonctions diplomatiques si l’aventure électorale d’avril et mai devait se conclure par l’élection de Marine le Pen.

    Dans une tribune publiée par Le Monde en date du 7 mars 2017, Thierry Dana, actuel ambassadeur de France au Japon, déclare qu’il quitterait ses fonctions diplomatiques si l’aventure électorale d’avril et mai prochains devait se conclure par l’élection de Marine Le Pen. Cette prise de parole publique de la part d’un membre du corps diplomatique en exercice soulève quelques réflexions.
     
    Quel est le rôle d’une pareille tribune ? Contrairement à ce qu’en dit la fable, on ne s’exprime pas dans la presse pour simplement informer le lectorat de ce qu’on a à dire, mais bien pour le convaincre de rejoindre notre combat lorsque c’en est un ou, à défaut, nos idées, nos principes, d’une manière générale notre avis. Quant au journal qui publie la tribune en question, il fait lui aussi œuvre de propagande. C’est de bonne guerre, la question n’est pas celle-là. Le fait est qu’un diplomate a décidé de faire peser sa parole, en usant du poids de la fonction au nom de laquelle il s’exprime, dans une campagne électorale présidentielle, évidemment dans l’espoir que sa parole ait une influence. Elle n’en aura pas auprès de la masse des électeurs, qui n’est sans doute pas le cœur de cible de l’auteur qui s’adresse, ici, plutôt à ses confrères et aux hauts fonctionnaires en général, en utilisant le support médiatique grand public comme pour les mettre au pied du mur et les inciter à prendre position à leur tour.
     
    Thierry Dana, dans son billet, redit son amour de la France et évoque le pincement au cœur qu’il ressent lorsque « La Marseillaise » retentit. Il parle de la beauté du métier de diplomate qui voue sa vie à représenter son pays et, surtout, à en défendre les intérêts.

    Toutefois, lorsqu’il motive son projet de démission par son refus de « représenter » Marine Le Pen, il laisse le militant prendre le dessus sur le diplomate. S’il a réellement à cœur de servir son pays, il doit considérer que c’est un honneur de le faire, quelle qu’en soit la personne à sa tête. Les Présidents passent, disparaissent au gré des humeurs électorales, le pays reste et doit sa solidité, en partie, au travail des diplomates. Dans les périodes troublées de changements répétés de régimes, des serviteurs du pays ont continué de le servir malgré le défilé des chefs. Ainsi un Talleyrand a-t-il servi sous l’Ancien Régime, aux États généraux, sous le Directoire, le Consulat, le Premier Empire, la Restauration et la monarchie de Juillet.
     
    La fidélité du diplomate ne doit pas aller à un homme ni à un parti – sinon, c’est préfet ou député qu’il faut être -, ni à une idéologie politique ; elle doit aller à ce qui leur est supérieurement important, supérieurement préférable : elle doit aller à la France. Sinon, c’est se condamner à servir le gland plutôt que le chêne, et ce n’est pas faire honneur à son métier.
     
    Libre à monsieur l’ambassadeur de présenter sa démission en temps voulu si sa conscience le lui commande. Au moins a-t-il l’honnêteté d’associer ses actes à ses pensées. Qu’il fasse de son état de conscience et du projet qui en découle un moment médiatique est, toutefois, révélateur d’une certaine tendance, de plus en plus partagée chez « les élites » qui s’affolent devant la perspective d’un score historique de leur ennemie préférée, qui ne devrait pas manquer d’inquiéter ou de réjouir selon qu’on est adversaire ou électeur de Marine Le Pen.

    http://www.bvoltaire.fr/jonathansturel/pen-elue-lambassadeur-de-france-japon-quittera-fonctions,318255

  • Islam et éducation : Gérard Couvert témoigne pour Désislamiser l'Europe

  • Désislamiser l'Europe : le rôle des médias - Jean-Yves Le Gallou